La sentence de mort
Pilate réunit les chefs des prêtres, les dirigeants et le peuple, et leur dit : « Vous m'avez amené cet homme en me disant qu'il égare le peuple. Eh bien, je l'ai interrogé devant vous et je ne l'ai trouvé coupable d'aucune des mauvaises actions dont vous l'accusez. Hérode ne l'a pas non plus trouvé coupable, car il nous l'a renvoyé. Ainsi, cet homme n'a commis aucune faute pour laquelle il mériterait de mourir. Je vais donc le faire battre à coups de fouet, puis je le relâcherai. » [À chaque fête de la Pâque, Pilate devait leur libérer un prisonnier.] Mais ils se mirent à crier tous ensemble : « Fais mourir cet homme! Relâche-nous Barabbas! » — Barabbas avait été mis en prison pour une révolte qui avait eu lieu dans la ville et pour un meurtre. — Comme Pilate désirait libérer Jésus, il leur adressa de nouveau la parole.
Mais ils lui criaient : « Cloue-le sur une croix! Cloue-le sur une croix! » Pilate prit la parole une troisième fois et leur dit : « Quel mal a-t-il commis? Je n'ai trouvé en lui aucune faute pour laquelle il mériterait de mourir. Je vais donc le faire battre à coups de fouet, puis je le relâcherai. » Mais ils continuaient à réclamer à grands cris que Jésus soit cloué sur une croix. Et leurs cris l'emportèrent : Pilate décida de leur accorder ce qu'ils demandaient. Il libéra l'homme qu'ils réclamaient, celui qui avait été mis en prison pour révolte et meurtre, et leur livra Jésus pour qu'ils en fassent ce qu'ils voulaient (Évangile de saint Luc 23:13-25).
Chers amis,
Hier matin j’ai célébré la Sainte Messe en français dans le petit sanctuaire de Notre-Dame-de-l’Ile-du-Prince-Édouard devant un groupe assez nombreux. En fin de journée j’ai été invité à souper chez des gens et à 19 h, je suis allé à l’église paroissiale, sur le chemin Palmer, afin de prendre part à la rencontre pro-vie qui a lieu chaque mois à cet endroit.
Vous trouverez ci-après le message que notre Seigneur et Rédempteur a donné au Père Melvin. Jésus lui a parlé en ces termes :
« Je vous appelle, toi mon frère Melvin et vous tous mes frères et mes sœurs de chacune des parties du monde, à prendre le temps aujourd’hui et tous les jours de vous mettre en contemplation avec moi. Voyez ce que j’ai souffert durant ma Passion. On m’a conduit devant Pilate, le gouverneur de l’État hébreu, qui, même s’il ne m’avait reconnu coupable d’aucun crime, m’a condamné à mort devant l’insistance de la foule entrainée par les chefs des prêtres et les maitres de la loi. Ils hurlaient ces paroles hostiles envers moi : "Crucifie-le! Crucifie-le!" Alors à la fin je fus condamné à mort par crucifixion. Tel fut vraiment le premier Vendredi Saint.
« En ce vendredi, mes amis, j’aimerais que preniez du temps pour regarder le crucifix et pour voir combien j’ai souffert, avec ces clous plantés dans mes mains et mes pieds. Je suis resté là suspendu pendant trois heures, et à la fin je suis mort. J’ai accepté de m’offrir en sacrifice à Dieu le Père pour votre salut. Mes souffrances montrent à quel point le péché est horrible pour m’avoir causé tant de douleur et finalement me faire mourir.
« Venez, repentez-vous de toutes vos fautes et engagez-vous envers moi à faire tout ce que vous pouvez, avec l’aide de ma grâce, pour éviter le péché à l’avenir. Je vous bénis tous. »
Père Melvin
Traduction : RF
Vendredi 25 novembre 2011
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Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3