Stan
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Québec, Canada
| Sujet: MEDJUGORJE : Marija parle de la pandémie, des problèmes économiques et du Père Slavko Barbaric (Interview du 25 octobre 2020) Mar Oct 27 2020, 13:31 | |
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MARIJA PARLE DE LA PANDÉMIE, DES PROBLÈMES ECONOMIQUES ET DU PÈRE SLAVKO BARBARIC Voici trois extraits de l'interview (25 octobre 2020):
1)-La plus grande pandémie
PERE LIVIO : Certains se demandent pourquoi la Sainte Vierge ne nous parle jamais de la pandémie. Peut-être veut-elle que nous comprenions que la véritable pandémie - c'est-à-dire celle qui est la plus dangereuse pour nous - est la pandémie spirituelle...
MARIJA : Exactement. La Sainte Vierge nous dit : "C’est pourquoi je suis avec vous depuis si longtemps, afin de vous guider sur le chemin du salut vers Celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie". La plus grande pandémie est celle de l'âme : quand nous voyons un cœur sans espoir; quand nous voyons la tristesse dans de nombreux cœurs où il n'y a pas Dieu, la colère, le vide de ceux qui ne connaissent pas Dieu... Souvent, nous mettons notre confiance dans l'argent et dans les choses matérielles. Mais à la fin, si nous n'avons pas Dieu, quel aura été le sens de notre vie ? De nombreuses personnes qui sont venues à Medjugorje m'ont dit : "Avant j'étais attaché aux choses matérielles. Mais maintenant, je suis attaché à Dieu, aux sacrements, à la prière, à la paix. Avant, je devais prendre des cachets pour dormir, alors que maintenant, je m'endors comme un petit ange tout en priant". 2)-Les problèmes économiques
PERE LIVIO : A cause du Coronavirus, les gens paniquent. Tout le monde a peur de mourir de ce virus. Et toi, as tu peur de la mort ?
MARIJA : Tôt ou tard, nous devrons mourir. La pire chose, à propos du Coronavirus, c'est justement cette peur. Elle vient aussi du fait que de nombreuses familles gardent la télévision toujours allumée. Je voudrais leur dire : "Eteignez la télévision, commencez à prier et la peur s'en ira". Bien sûr, nous voyons les problèmes économiques que cela crée. Beaucoup de gens perdent leur emploi. La situation n'est pas facile. Mais je me souviens qu'il y a de nombreuses années, quand il y avait le communisme, le père de Vicka travaillait en Allemagne et sa mère a dit : "Si Vicka continue de dire que la Sainte Vierge lui apparaît, alors ils prendront le passeport de son père, il n'aura plus de travail et nous mourrons tous de faim". Certes, il y avait la peur de l'avenir. Mais nous avons commencé à prier, à croire et à dire : "Seigneur, tu vois et pourvois !" Et je pense également à ce que la Sainte Vierge nous a dit dans son dernier message : "Satan est fort et il se bat pour attirer le plus de cœurs possible à lui. Il veut la guerre et la haine". Bien sûr, nous aurons toujours des difficultés. Et c'est justement pour cette raison que nous devons être aujourd'hui des chrétiens unis, des chrétiens qui prient, qui aiment et qui partagent. 3)-L'intercession du Père Slavko Barbaric
MARIJA : Je me souviens d'une dame latino-américaine qui était arrivée à Medjugorje avec une amie. Elle était désespérée parce que son mari était mort subitement. Elle est allée sur la Colline des Apparitions, mais elle était agitée. Elle ne pensait qu'à son mari qui était décédé, et elle ne pouvait pas retrouver la paix. Soudain, alors qu'elle était seule, elle raconte qu'elle a rencontré un frère franciscain qui lui a donné des conseils et qui lui a dit qu'elle devait aller se confesser à l'église. Elle y est allée. Elle a avoué ses péchés. Et puis, dans un livre, elle a vu la photo du père Slavko Barbaric et elle a dit que c'était justement le frère qu'elle avait rencontré sur la Colline. Son amie lui a alors répondu que le Père Slavko était mort... mais elle a répété avec beaucoup de conviction : "C'est bien lui que j'ai rencontré sur la Colline !"
Source : http://chere-gospa.eklablog.com/marija-sur-radio-maria-le-25-octobre-2020-marija-parle-de-la-pandemie--a148277318?fbclid=IwAR3kgdne3Gylh7fOD5EYjwr-Lg5vcyzkkhYJbEVBXmE9IKnLehA_-jRViE0
Stan _________________ "Une pieuse réserve sur ce qui nous échappe vaut mieux qu'une âpre discussion sur ce dont on est incertain" (Adam de Perseigne)
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