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 Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur !

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Gilles1

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MessageSujet: Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur !   Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur ! Icon_minitimeLun Aoû 26 2019, 13:14

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Gilles1

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MessageSujet: Re: Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur !   Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur ! Icon_minitimeMer Aoû 28 2019, 14:07

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Bibliothèque nationale de France - Gargantua à son grand couvert, estampe anonyme, 18e siècle, Bibliothèque nationale de France, Paris

Le péché de gourmandise

La gourmandise se définit par le fait de manger de manière déréglée. L’Église catholique la classe comme cinquième péché capital. Au Moyen Âge, théologiens et moralistes la réprouvent et prônent la modération. Le plaisir de manger se conçoit alors dans un repas codifié et convivial. Dès l’époque moderne, l’image du gourmand qui s’impose est celle du gourmet ou du gastronome. La question morale s’est de nos jours déplacée vers le culte de la minceur et le souci de la santé.

Un péché capital


L’orgueil, l’avarice, l’envie, la colère, la luxure, la paresse et, enfin, la gourmandise. L’Église catholique fixe la liste des sept péchés capitaux au 13e siècle. Le péché de gourmandise est capital car il peut en entraîner d’autres. Cependant, il peut être mortel ou véniel, selon la gravité de son intention et du contexte dans lequel il est commis. Les plaisirs du ventre sont également associés aux plaisirs du bas-ventre, c’est-à-dire au péché de la luxure qui échauffe les sens et provoque des dérèglements de la chair conduisant à la volupté. La morale chrétienne condamne ainsi fermement « ceux qui font un Dieu de leur ventre » (Saint Paul, Épître aux Philippiens, 3) et qui mangent avec avidité et excès, car la gloutonnerie les rabaisse au stade de l’animal et les pousse à bafouer en même temps le principe de charité chrétienne et de partage, tout en laissant planer le soupçon d’une sexualité condamnable. La représentation du gourmand est celle d’un être égoïste qui dévore, accapare et devient une menace pour la société, d’autant plus lors de disettes. Le moine glouton et jouisseur est raillé dans la littérature médiévale. Le roi de France Louis XVI (1754-1793), trop vorace, est perçu comme l’affameur du peuple.

Le plaisir qualitatif et la recherche immodérée de la bonne chère n’est pas à l’abri du péché. Ainsi les Réformateurs s’en prennent à la gourmandise des ecclésiastiques, qui apprêtent avec raffinement poissons et friandises lors des jours de jeûne. Le christianisme oscille entre tolérance et rigorisme, ainsi la question de ce plaisir gourmand est débattue durant des siècles.

Face au péché de gourmandise, la réponse quasi unanime est celle de la tempérance, l’une des quatre vertus cardinales. Durant plusieurs siècles, théologiens, moralistes et pédagogues prônent la modération. L’ancienne diététique d’ailleurs, qui recommande l’équilibre et la mesure, va dans le même sens. S’il est naturel d’éprouver du plaisir en mangeant, il est en revanche indispensable de maîtriser son appétit, son comportement à table, et de faire du repas un moment de convivialité. Les manières de table se codifient et la gourmandise, encadrée, devient acceptable.

Le visage double de la gourmandise


Les contextes intellectuel et religieux, ainsi que les recherches scientifiques permettent à la gourmandise de se libérer dès le 17e siècle. Les livres consacrés aux arts de la bouche se multiplient. L’art du bien manger et sa valorisation deviennent progressivement un signe de distinction sociale, d’abord en France, puis dans le reste de l’Europe. Les aristocrates à la recherche d’hédonisme s’entichent du courant libertin des 17e et 18e siècles. Le raffinement gastronomique s’associe alors librement à d’autres plaisirs sensuels. En fait, la gourmandise, qui garde une connotation négative, s’affiche masquée : les gourmands s’appellent friands, puis gourmets, gastronomes au 19e siècle ou encore épicuriens. La gourmandise se rapporte alors surtout au domaine des mets sucrés.

De nos jours, le problème moral de la gourmandise réapparaît sous une nouvelle forme. Le culte de la minceur et le discours médical réactualisent l’idée de faute. Pour appliquer les prescriptions diététiques, l’acte alimentaire peut s’avérer contraignant, voire frustrant. ‘Céder à la gourmandise’ devient culpabilisant et dénoterait une faiblesse de caractère envers soi-même et envers la société, puisque la maladie a un coût.


Le festin et la bouffe : plaisir de bouche et le péché de ventre

Les œuvres cinématographiques La Grande Bouffe (1973) et Le Festin de Babette (1987) mettent le repas gastronomique au cœur du récit. Le Festin de Babette en fait un moment de partage au service de la vie et du lien social, où les personnages vivant dans l’austérité se révèlent enfin en fins gastronomes. Les protagonistes de La Grande Bouffe, au contraire, incarnent la gourmandise comme plaisir démesuré du ventre et du bas-ventre, cumulant le péché de bouche et de chair pour finalement commettre violence envers soi-même, péché que Dante Alighieri dans sa Divine Comédie, par exemple, a relégué au 7e cercle de l’enfer.


Source : alimentarium
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Gilles1

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MessageSujet: Re: Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur !   Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur ! Icon_minitimeMer Aoû 28 2019, 14:09

Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur ! Grignotter-850x430

Trois questions à se poser avant de grignoter

Me voilà rempli de frustration montant les escaliers pour aller me coucher le ventre plein, mais ressentant un grand vide ; ballonné mais à plat, encore une fois. Alors que je m’étais pour la énième fois fait la promesse de « mieux manger aujourd’hui », je venais de passer les 20 dernières minutes à m’empiffrer de pizzas, d’Oreos, de beurre de cacahuète et d’autres cochonneries.

J’avais passé une bonne journée, mais alors que le soleil se couchait, j’ai baissé la garde. J’entendais l’appel de la malbouffe rangée dans le placard. Et j’ai lâché prise, encore.

Je ne compte plus les fois où j’ai fini la journée comme ça. En fait, cet incident n’est pas occasionnel pour moi ; trop manger fait partie de mon alimentation ordinaire. Cette habitude alimentaire m’a montré une triste réalité : mon péché le plus habituel, persistant et envahissant, c’est la gourmandise.

Une faim plus profonde


Johnathon Bowers définit la gourmandise comme : « l’adoration de la nourriture » et « l’idolâtrie de table ». Il dit que ça concerne « plus de l’orientation de notre affection que ce que contiennent nos placards ». Plutôt que de se demander ce que nous mangeons, demandons-nous qu’est-ce que nous exaltons : la nourriture ou Dieu ?

La gourmandise, c’est lorsque nous allons chercher dans la nourriture ce que nous avons besoin de rechercher auprès de Dieu. Le gourmand veut trouver la satisfaction, le confort, ou l’épanouissement dans la nourriture, tout en mettant Dieu de côté, comme on mettrait de côté du persil sur un bon steak. En bref, manger à l’excès est beaucoup plus inquiétant pour notre sujet d’adoration que pour notre ligne.

Cela m’a pris des années pour comprendre que ma faim me révélait non seulement le vide dans mon estomac, mais aussi de mon âme. Et quand je trouve mon plaisir dans la nourriture sans trouver mon plaisir en Dieu, je commets le péché de la gourmandise. Voici trois questions qui vous aideront à savoir si vos habitudes alimentaires sont motivées par la gourmandise, ou l’adoration de Dieu.

1. Est-ce que cette nourriture est utile pour ma mission ?


Les chrétiens, appelés et missionnés par Jésus, mangent pour accomplir leur mission. Comme des soldats de guerre sur le champ de bataille qui mangent des repas pleins de nutriments et denses en calories pour les aider à rester vigilants et à avoir de l’énergie pour accomplir leur mission, nous devrions manger avec le même état d’esprit, c’est-à-dire pour accomplir notre mission.

Jonathan Edwards est un bon modèle. Il avait pris plusieurs résolutions pour maintenir un régime alimentaire strict ; Sereno Dwight, qui a écrit une de ses biographies, a noté comment Edwards a « observé avec attention les effets des différents aliments et sélectionné ceux qui lui correspondaient le mieux et le rendaient le plus efficace pour l’effort mental ».

Edwards estimait qu’à la fin d’un repas, on devrait quitter la table plus vigilant et plein d’énergie pour faire ce que Dieu nous appelle à faire. Il voyait la nourriture comme un don de Dieu pour nous donner de l’énergie et pour nous permettre d’accomplir notre mission.

Une des conséquences destructives de la gourmandise, c’est qu’elle nous rend moins efficace pour notre mission. Au lieu de quitter la table stimulés pour faire ce que Dieu nous appelle à faire, nous sommes endormis, ramollo, et rêvant d’une sieste.

Mais au lieu de trop manger, nous pouvons mettre de coté les friandises et les aliments qui nous ralentissent et nous rendent inefficaces pour Christ. Que chaque repas nous aide à « [courir] avec persévérance l’épreuve qui nous est proposée »  (Hébreux  12.1 NBS).

Ainsi, avant d’aller nous servir dans le placard, posons-nous la question : « est-ce qu’après avoir mangé ça, j’aurai plus ou moins d’énergie pour faire ce à quoi Dieu m’appelle aujourd’hui ? »

2. Est-ce que cette nourriture m’aide pour la communion fraternelle ?

Une des raisons les plus importantes pour laquelle nous mangeons, c’est pour expérimenter le don de la communauté. Dans toutes les cultures et à toutes les époques, la nourriture a rassemblé les humains. Dans la Bible, le peuple de Dieu prend souvent part à des festins, et c’est presque toujours en communauté.

Le problème de la gourmandise, ce n’est pas de déguster des festins, puisque la nourriture est un don de Dieu dont nous pouvons profiter pleinement et librement (1 Timothée 4.3). Mais le péché de gourmandise, c’est quand nous profitons d’un festin de la mauvaise façon : sans louange et loin de la communauté.

Les festins sont des dons de Dieu dont on doit profiter à certains moments et au sein de la communauté. Ce n’est pas le soir tard quand vous êtes tout seul chez vous. Le péché se développe dans le secret, ce n’est donc pas une surprise que la gourmandise préfère la solitude. Mais des occasions  spéciales comme Noël, les repas en commun, les anniversaires et les repas d’Église sont des opportunités géniales où l’on peut se réjouir dans l’Évangile tout en mangeant avec la famille et les amis.

Avant d’aller dans le placard, demandons-nous : « qui va manger avec moi ? ». Si la réponse est « personne », ce n’est sûrement pas le moment d’organiser un festin juste pour soi.

3. Est-ce que cette nourriture va m’aider à savourer Dieu ?

La nourriture est une grâce de Dieu pour nous aider à expérimenter la bonté de Dieu de la façon la plus naturelle et terre à terre. La raison ultime pour laquelle nous mangeons, c’est pour goûter et voir sa bonté (Psaume 34). De ce fait, grignoter sans réfléchir n’est pas la façon dont un chrétien devrait manger ; on dénigre le don de la nourriture en déconnectant la bénédiction de celui qui la donne.

Le régime alimentaire chrétien devrait avoir pour objectif premier l’appréciation de Dieu. Quand le gourmand veut profiter de la pizza, le chrétien mange pour goûter la bonté de Dieu au travers des textures, des arômes et des goûts. La gourmandise est une entrave à une attitude consciente de reconnaissance et de louange pendant les repas.

Lors de notre prochain repas ou goûter, demandons-nous : « est-ce que cela m’aidera à prendre plaisir dans celui qui a créé cet aliment ? (Genèse 1.29), celui qui a pourvu cet aliment (Matthieu 6.15-34, Psaume 136.25), celui qui soutient ma vie par cet aliment (Actes 17.28), le pain de la vie et l’eau vive (Jean 6.35 et 4.10-14) ? »
Goûte sa bonté

Cette semaine, la plupart d’entre nous va manger environ vingt-et-un repas, et probablement plusieurs goûters. La question n’est pas ce que vous mangerez ou quelle quantité, mais plutôt pourquoi. Mangeons pour accomplir notre mission, mangeons pour apprécier le don de la nourriture au sein de la communauté, et mangeons pour goûter la bonté même de Dieu.

« Ainsi, soit que vous mangiez, soit que vous buviez, ou quoi que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu. »
 (1 Corinthiens 10.31). Vous verrez que le prochain repas pourrait faire bien plus que remplir votre estomac ou ravir vos papilles ; en effet, il pourrait satisfaire votre âme.


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MessageSujet: Re: Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur !   Incroyable... mais vrai !!! Un restaurant où on incite à la gourmandise - Quelle horreur ! Icon_minitimeJeu Aoû 29 2019, 12:12

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Que dit la Bible des excès de nourriture ?

La gourmandise est un péché que beaucoup de chrétiens semblent négliger. Nous sommes souvent très prompts à dénoncer le tabac et l’alcool comme des péchés, tout en acceptant, ou du moins en tolérant, la gloutonnerie. Pourtant, beaucoup d’arguments employés contre le tabac et l’alcool, comme la préservation de la santé ou l’addiction, s’appliquent tout autant aux excès de nourriture. Beaucoup de croyants qui excluent de boire un verre de vin ou de fumer une cigarette n’ont en revanche aucun scrupule à se gaver à table. Il ne doit pas en être ainsi !

Proverbes 23.20-21 nous met en garde : « Ne figure pas parmi les buveurs de vin, parmi ceux qui font excès de viande, car l’ivrogne et celui qui se livre à des excès s’appauvrissent, et la somnolence fait porter des haillons. » Proverbes 28.7 déclare : « Celui qui respecte la loi est un fils intelligent, mais celui qui fréquente des voyous fait honte à son père. » Proverbes 23.2 proclame : « Place un couteau devant ta gorge, si tu as trop d’appétit. »

Notre appétit physique révèle notre contrôle de nous-même. Si nous ne sommes pas même capables de contrôler nos habitudes alimentaires, nous ne pouvons probablement pas non plus maîtriser d’autres habitudes, de l’esprit (envie, convoitise, colère) ou de la langue (médisance, querelle). Nous ne devons pas laisser notre appétit nous contrôler, mais contrôler notre appétit (voir Deutéronome 21.20, Proverbes 23.2, 2 Pierre 1.5-7, 2 Timothée 3.1-9, et 2 Corinthiens 10.5). La maîtrise de soi, la capacité de dire non à toute sorte d’excès, est un des fruits de l’Esprit communs à tous les croyants (Galates 5.22).

Dieu nous a bénis en remplissant la terre d’aliments délicieux, nourrissants et agréables. Nous devons honorer sa création en appréciant ces aliments et en les consommant raisonnablement. Dieu veut que nous dominions notre appétit au lieu de le laisser nous dominer.

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