Kathryn Kuhlman, une protestante évangélique avec la puissance du Saint Esprit (Vidéo - 3 min)

Kathryn Kuhlman,
une protestante évangélique
avec la puissance du Saint Esprit



C'est un fait que je suis, dans le Renouveau charismatique,
l'adepte enthousiaste du ministère de guérison de Kathryn Kuhlman.
J'ai été informé très tôt, par quelques témoins directs, de la réalité
des manifestations du Saint Esprit chez cette protestante évangélique
qui ne faisait aucun prosélytisme, et qui accueillait sur la scène
où elle exerçait son ministère, des prêtres catholiques en habits
distinctifs de franciscains ou de dominicains. Le célèbre théologien
et abbé René Laurentin en avait rapporté la citation ci-dessous
dans un livre dont je donne la source en conclusion...

Citation :

Compte rendu
sur un ministère de guérison
de Kathryn Kuhlman


« Les gens se pressent ( au service de guérison de Kathryn Kuhlman) depuis 5 heures du matin. Quand nous arrivons vers 8 h 1/2, la nef, le choeur immense, les balcons étaient remplis de monde, 2500 personnes ! On nous avait réservé une place dans le premier rang...

Ici tout est ordre et respect. À l'heure dite, Kathryn Kuhlman, femme entre deux âges, grande et maigre, dans une tunique longue et flottante aux couleurs vives... accourt sur le podium. Elle est applaudie. Mais, immédiatement, elle demande à l'assemblée de louer le Seigneur. Le chant s'élève, rythmé par ses gestes. Une prière d'action de grâce et les guérisons commencent. les gens s'approchent : des diabétiques d'abord, en grand nombre. Quand elle les touchent, ils tombent à la renverse et sont maintenus par deux aides masculins qui, eux-mêmes, seront de temps en temps touchés et tomberont presque, surtout quand ils seront fatigués. Elle en enverra quelques-uns chez leur médecin, faire des analyses... Quand le malade tombe elle répète souvent :
« What a power ! (Quelle puissance!)

Mais elle rappelle à tout bout de champ : « Ce n'est pas Kathryn Kuhlman qui vous guérit, c'est le Seigneur. Rappelez-vous que c'est le Seigneur, Lui seul. »

Puis ce sont d'autres malades qui affluent, deux soeurs catholiques, des canadiennes. Elle guérit l'une d'elle de sa surdité. l'autre de sa mauvaise vue. Les soeurs pleurent de joie, ne savent comment remercier. Puis ce sont les colonnes vertébrales cassées. Kathryn Kuhlman fait se baisser les malades encore et encore une fois. Un homme d'une cinquantaine d'années pleure de joie. Kathryn Kuhlman lui dit: « Ne pleurez pas, voyons, n'est-ce pas cela que vous avez voulu ? (...)

Impossible de relater tout ce que nous avons vu dans cette église.

Chaque fois qu'il y avait guérison, elle demandait de quelle Église le malade faisait partie et recommandait de lui rester fidèle. Cette femme, qui n'était d'aucune Église, elle a rappelé :

«Voyez comme Dieu est bon. N'oubliez pas de le remercier. Allez vous faire inscrire dans une église de votre choix.»

Puis les guérisons prirent fin et Kathryn Kuhlman
commença sa prédication...

« Tout cela, le Seigneur l'a fait. Il peut faire bien plus! Mais ce qu'Il ne peut pas faire ou ne veut pas faire, c'est de prendre lui-même possession de votre coeur. Celui-là il faut que vous le lui donniez vous-même! Le plus grand miracle, c'est une vie humaine
changée par l'Esprit Saint. » (...)

Ici, les choses dernières ont commencé. Le mal relâche son empire
sur l'humanité malade. »

« C'est donc que le Royaume de Dieu est au milieu de nous »
(Lc 11, 20; Foi et vie; p. 5-7)

Source : Pentecôtisme chez les catholiques, René Laurentin, Ed Beauchesne, 1974, p. 139-141