| | Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté | |
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Auteur | Message |
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DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 1 Mai - 8:55 | |
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 1 Mai - 8:56 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
MÉDITATIONS POUR LES JOURS DU MOIS DE MAI
Premier jour
Premier pas fait par la Divine Volonté en la céleste Maman au moment de sa Conception immaculée.
L’âme à la Reine immaculée :
Ô très douce Maman, me voici prosternée devant toi. C’est aujourd’hui le premier jour du mois de mai, ce mois qui t’est consacré et dans lequel tous tes enfants veulent t’offrir leurs petites fleurs pour te manifester leur amour et susciter le tien. Je te vois comme si tu descendais du Royaume de notre Père Céleste, escortée par des myriades d’anges pour recevoir de tes enfants des roses magnifiques, d’humbles violettes et de gracieux lys blancs, alors que tu leur prodigues en retour de ravissants sourires accompagnés de grâces et de bénédictions. Je te vois ensuite presser sur ton Coeur maternel ces cadeaux de tes enfants ; tu les amènes avec toi au Ciel pour les y conserver comme des gages et des couronnes pour le moment de leur mort. Ô céleste Maman, moi, le plus petit et le plus démuni de tes enfants, je veux chaque jour venir m’asseoir sur tes genoux maternels pour t’apporter, non pas des fleurs, mais des soleils. Cependant, ô Maman, tu dois enseigner à ton enfant comment former ces soleils divins qui te rendront les hommages les plus beaux et te donneront l’amour le plus pur. Chère Maman, tu as compris ce que je veux : que tu m’enseignes la manière de vivre dans la Divine Volonté. Quant à moi, après que, en accord avec tes enseignements, toutes mes actions et tout mon être auront été transformés dans la Divine Volonté, j’apporterai chaque jour sur tes genoux maternels toutes mes actions changées en soleils. Leçon de la Reine du Ciel :
Fille bénie, ta prière a rejoint mon Coeur maternel et m’a fait descendre du Ciel. Me voici à tes côtés pour te donner ma leçon d’aujourd’hui.
Regarde-moi, chère fille : des milliers d’anges sont autour de moi dans l’attente de m’entendre te parler de cette Divine Volonté dont, plus que quiconque, je suis issue. Je connais ses admirables secrets, ses joies infinies, sa valeur incommensurable. Quand tu me demandes de te parler de la Divine Volonté, c’est pour moi un moment de fête et de joie, et je me sens particulièrement heureuse d’être ta Maman. Oh ! comme je désire avoir une fille habitée par le désir de vivre complètement dans la Divine Volonté !
Dis-moi, ma fille, vas-tu me contenter ? Vas-tu déposer ton coeur, ta volonté et tout ton être entre mes mains maternelles afin que je te prépare, te fortifie et te vide de tout pour pouvoir te remplir de la Divine Volonté et faire croître la Vie divine en toi ? Pose ta tête sur le Coeur de ta Maman du Ciel et sois très attentive à l’écouter, afin que ses leçons te fassent décider de ne jamais faire ta propre volonté mais toujours celle de Dieu. Ma fille, écoute-moi : c’est mon Coeur maternel, ce Coeur qui t’aime tant, qui veut se déverser en toi. Sache que tu es inscrite dans mon Coeur et que je t’aime comme ma véritable fille. Cependant, je sens de la peine en moi parce que je vois que tu n’es pas tout à fait semblable à ta Maman. Sais-tu pourquoi nous sommes différentes ? C’est à cause de ta propre volonté : elle éloigne de toi la fraîcheur de la grâce, la beauté qui enflamme le Créateur, la force d’âme qui permet de tout supporter et surmonter, et l’amour qui consume tout. Bref, tu n’es pas animée par la même volonté que ta céleste Maman.
Tu dois savoir que je n’ai connu ma volonté humaine que pour l’avoir totalement sacrifiée en hommage à mon Créateur. Ma vie s’est entièrement écoulée dans la Divine Volonté. À partir du premier instant de ma Conception, j’ai été formée, réchauffée et placée dans la Divine Volonté qui a purifié mon germe humain par sa puissance. Ainsi, j’ai été conçue pure et sainte, sans la tache du péché originel. Si ma Conception a été sans tache et glorieuse, au point de me faire partager les honneurs de la famille divine, ce fut uniquement parce que la Divine Volonté s’est déversée sur mon germe humain. Si la Divine Volonté ne s’était pas penchée comme une tendre maman sur mon germe humain pour empêcher les effets du péché originel, j’aurais eu le même sort que toutes les autres créatures humaines, celui d’être conçue avec ce péché en moi. Donc, la cause première de ce privilège a été uniquement la Divine Volonté à qui en reviennent tout honneur, toute gloire et tous remerciements. Fille de mon Coeur, écoute ta Maman : mets ta volonté humaine de côté et préfère plutôt mourir que de lui concéder un seul acte de ta vie. Ta céleste Maman aurait préféré mourir des milliers de fois plutôt que de faire un seul acte par sa propre volonté. Ne veux-tu pas m’imiter ? Ah ! si tu veux sacrifier ta volonté en l’honneur de ton Créateur, la Divine Volonté va faire ses premiers pas dans ton âme. Tu te sentiras modelée, purifiée et réchauffée par une douce et céleste rosée. Les germes de tes passions seront anéantis. Tu feras tes premiers pas dans le Royaume de la Divine Volonté. Par conséquent, sois attentive. Si tu m’écoutes bien, je te guiderai. En te tenant par la main, je te conduirai à travers les routes infinies de la Divine Volonté. Je t’abriterai sous mon manteau bleu et tu seras mon honneur, ma gloire et ma victoire. L’âme :
Vierge immaculée, prends-moi sur tes genoux maternels et sois une mère pour moi. Avec tes saintes mains, prends possession de ma volonté, purifie-la, forme-la et réchauffe-la. Apprends-moi à vivre seulement de la Divine Volonté.
Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer dans toutes tes actions, tu placeras ta volonté dans mes mains en me disant : « Ma très chère Maman, offre toi-même le sacrifice de ma volonté à mon Créateur. » Oraison jaculatoire :
«Ma douce Maman, dépose dans mon âme la Divine Volonté pour qu’elle y occupe toute la place, y établissant sa demeure et son trône.»
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 2 Mai - 9:15 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
MÉDITATIONS POUR LES JOURS DU MOIS DE MAI
Deuxième jour
Le second pas fait par la Divine Volonté en la Reine du Ciel. Le premier sourire de la Très Sainte Trinité à l’Immaculée.
L’âme :
Ô céleste Maman, me voici de nouveau sur tes genoux maternels pour entendre tes leçons. La fille indigente que je suis se place sous ton autorité. Je suis très pauvre, je le sais, mais je sais aussi que tu m’aimes comme une maman. Cela me suffit pour que je vienne me jeter dans tes bras en comptant sur ta compassion. En ouvrant les oreilles de mon coeur, tu me feras entendre ta douce voix. Sainte Maman, purifie mon coeur en le touchant de tes doigts maternels et dépose en lui la rosée céleste de tes précieux enseignements.
Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille, écoute-moi. Si tu savais à quel point je t’aime, tu aurais une confiance totale en moi et tu ne laisserais aucun de mes mots t’échapper. Tu dois savoir que, non seulement je te garde inscrite dans mon Coeur, mais que mon Coeur comporte une fibre maternelle me faisant t’aimer sans mesure.
Je veux te faire connaître un autre des grands prodiges que la Trinité a accompli dans mon intérieur. Ainsi, en m’imitant, tu pourras me procurer l’honneur de devenir ma princesse. Mon Coeur débordant d’amour languit d’avoir autour de moi la noble compagnie de beaucoup de petites princesses. Aussitôt que la Divinité se fut déversée sur mon germe humain, afin d’empêcher la triste conséquence du péché originel de m’atteindre, elle sourit et se réjouit en constatant que mon germe humain était pur et saint, conformément à son dessein originel lors de la création de l’homme. Elle fit son second pas en moi en m’emmenant devant elle de manière à pouvoir se déverser par torrents sur ma petitesse durant l’acte même de ma Conception. Voyant le résultat de son travail créateur dans mon intérieur si pur et magnifique, elle sourit avec contentement. Voulant me souhaiter la bienvenue, le Père Céleste répandit sur moi des océans de puissance, le Fils, des océans de sagesse et l’Esprit Saint, des océans d’amour. Ainsi, je fus conçue dans la lumière infinie de la Divine Volonté. Immergée dans ces divins océans que ma petitesse ne pouvait contenir, j’ai formé de hautes vagues pour adresser au Père, au Fils et à l’Esprit Saint mes hommages d’amour et d’adoration. En admiration devant moi, la Trinité me sourit et me caressa et, pour ne pas se laisser vaincre en amour, elle m’envoya encore d’autres océans qui m’embellirent au point que, dès que ma petite humanité eut pris forme, j’étais investie du don merveilleux d’extasier mon Créateur. Il fut tellement remplie d’admiration pour moi que, entre lui et moi, c’était la fête continuelle. Nous ne nous refusions jamais rien : je ne lui ai jamais rien refusé et il ne m’a jamais rien refusé. Mais, sais-tu d’où me vint ce pouvoir de ravir mon Créateur ? De la Divine Volonté qui était toute ma vie. La puissance de l’Être divin était mienne et, par conséquent, nous avions une égale capacité de nous ravir mutuellement. Ma fille, sache que je t’aime beaucoup et que je désire voir ton âme remplie de mes propres océans. Ces océans sont débordants et veulent se déverser dans les âmes, dans ton âme. Cependant, pour que cela puisse se faire, tu dois te départir de ta propre volonté. C’est alors que la Divine Volonté fera son second pas en toi. Se constituant comme principe de vie en toi, elle attirera sur toi l’attention du Père Céleste, du Fils et du Saint-Esprit, qui voudront déverser en toi leurs océans débordants. Cela ne sera cependant possible que s’ils trouvent leur propre Volonté en toi, car ils ne veulent pas déverser leurs océans de puissance, de sagesse et d’indescriptible beauté dans une volonté humaine. Ma très chère fille, écoute ta Maman. Pose ta main sur ton coeur et dis-moi tes secrets. Combien de fois as-tu été malheureuse, tourmentée et aigrie parce que tu faisais ta propre volonté ? Sache que lorsque tu rejettes la Divine Volonté, tu tombes dans l’abîme du mal. Moi, je veux que tu deviennes pure et sainte, heureuse et belle, d’une beauté enchanteresse. Mais, en faisant ta propre volonté, tu fais la guerre à la Divine Volonté ; dans la souffrance, tu la chasses da sa chère demeure : ton âme. Écoute, enfant de mon Coeur, c’est une souffrance pour ta Maman de ne pas voir en toi le soleil de la Divine Volonté et, à la place, l’obscurité de ta volonté humaine. Lève-toi et prends courage ! Si tu promets de mettre ta volonté entre mes mains, moi, ta céleste Maman, je te prendrai dans mes bras, te placerai sur mes genoux et déposerai dans ton intérieur la Divine Volonté, de telle manière que, après tant de larmes, tu sois mon sourire et ma fête ainsi que le sourire et la fête de la Très Sainte Trinité. L’âme :
Ô céleste Maman, puisque tu m’aimes tant, je te conjure de ne pas me permettre de quitter tes genoux maternels. Si tu vois que je suis sur le point de faire ma volonté, serre-moi sur ton Coeur et laisse la puissance de ton amour réduire ma volonté en cendres. De cette manière, je changerai tes pleurs en sourires de joie. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras trois fois sur mes genoux et, en me remettant ta volonté, tu me diras : « Ma chère Maman, je veux que ma volonté t’appartienne afin que tu puisses l’échanger contre la Divine Volonté. » Oraison jaculatoire :
Ô Reine souveraine, par ta maternelle autorité, défais-moi de ma volonté pour que la semence de la Divine Volonté prenne racine en moi.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 2 Mai - 18:14 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
MÉDITATIONS POUR LES JOURS DU MOIS DE MAI
Premier jour
Premier pas fait par la Divine Volonté en la céleste Maman au moment de sa Conception immaculée.
L’âme à la Reine immaculée :
Ô très douce Maman, me voici prosternée devant toi. C’est aujourd’hui le premier jour du mois de mai, ce mois qui t’est consacré et dans lequel tous tes enfants veulent t’offrir leurs petites fleurs pour te manifester leur amour et susciter le tien. Je te vois comme si tu descendais du Royaume de notre Père Céleste, escortée par des myriades d’anges pour recevoir de tes enfants des roses magnifiques, d’humbles violettes et de gracieux lys blancs, alors que tu leur prodigues en retour de ravissants sourires accompagnés de grâces et de bénédictions. Je te vois ensuite presser sur ton Coeur maternel ces cadeaux de tes enfants ; tu les amènes avec toi au Ciel pour les y conserver comme des gages et des couronnes pour le moment de leur mort. Ô céleste Maman, moi, le plus petit et le plus démuni de tes enfants, je veux chaque jour venir m’asseoir sur tes genoux maternels pour t’apporter, non pas des fleurs, mais des soleils. Cependant, ô Maman, tu dois enseigner à ton enfant comment former ces soleils divins qui te rendront les hommages les plus beaux et te donneront l’amour le plus pur. Chère Maman, tu as compris ce que je veux : que tu m’enseignes la manière de vivre dans la Divine Volonté. Quant à moi, après que, en accord avec tes enseignements, toutes mes actions et tout mon être auront été transformés dans la Divine Volonté, j’apporterai chaque jour sur tes genoux maternels toutes mes actions changées en soleils. Leçon de la Reine du Ciel :
Fille bénie, ta prière a rejoint mon Coeur maternel et m’a fait descendre du Ciel. Me voici à tes côtés pour te donner ma leçon d’aujourd’hui.
Regarde-moi, chère fille : des milliers d’anges sont autour de moi dans l’attente de m’entendre te parler de cette Divine Volonté dont, plus que quiconque, je suis issue. Je connais ses admirables secrets, ses joies infinies, sa valeur incommensurable. Quand tu me demandes de te parler de la Divine Volonté, c’est pour moi un moment de fête et de joie, et je me sens particulièrement heureuse d’être ta Maman. Oh ! comme je désire avoir une fille habitée par le désir de vivre complètement dans la Divine Volonté !
Dis-moi, ma fille, vas-tu me contenter ? Vas-tu déposer ton coeur, ta volonté et tout ton être entre mes mains maternelles afin que je te prépare, te fortifie et te vide de tout pour pouvoir te remplir de la Divine Volonté et faire croître la Vie divine en toi ? Pose ta tête sur le Coeur de ta Maman du Ciel et sois très attentive à l’écouter, afin que ses leçons te fassent décider de ne jamais faire ta propre volonté mais toujours celle de Dieu. Ma fille, écoute-moi : c’est mon Coeur maternel, ce Coeur qui t’aime tant, qui veut se déverser en toi. Sache que tu es inscrite dans mon Coeur et que je t’aime comme ma véritable fille. Cependant, je sens de la peine en moi parce que je vois que tu n’es pas tout à fait semblable à ta Maman. Sais-tu pourquoi nous sommes différentes ? C’est à cause de ta propre volonté : elle éloigne de toi la fraîcheur de la grâce, la beauté qui enflamme le Créateur, la force d’âme qui permet de tout supporter et surmonter, et l’amour qui consume tout. Bref, tu n’es pas animée par la même volonté que ta céleste Maman.
Tu dois savoir que je n’ai connu ma volonté humaine que pour l’avoir totalement sacrifiée en hommage à mon Créateur. Ma vie s’est entièrement écoulée dans la Divine Volonté. À partir du premier instant de ma Conception, j’ai été formée, réchauffée et placée dans la Divine Volonté qui a purifié mon germe humain par sa puissance. Ainsi, j’ai été conçue pure et sainte, sans la tache du péché originel. Si ma Conception a été sans tache et glorieuse, au point de me faire partager les honneurs de la famille divine, ce fut uniquement parce que la Divine Volonté s’est déversée sur mon germe humain. Si la Divine Volonté ne s’était pas penchée comme une tendre maman sur mon germe humain pour empêcher les effets du péché originel, j’aurais eu le même sort que toutes les autres créatures humaines, celui d’être conçue avec ce péché en moi. Donc, la cause première de ce privilège a été uniquement la Divine Volonté à qui en reviennent tout honneur, toute gloire et tous remerciements. Fille de mon Coeur, écoute ta Maman : mets ta volonté humaine de côté et préfère plutôt mourir que de lui concéder un seul acte de ta vie. Ta céleste Maman aurait préféré mourir des milliers de fois plutôt que de faire un seul acte par sa propre volonté. Ne veux-tu pas m’imiter ? Ah ! si tu veux sacrifier ta volonté en l’honneur de ton Créateur, la Divine Volonté va faire ses premiers pas dans ton âme. Tu te sentiras modelée, purifiée et réchauffée par une douce et céleste rosée. Les germes de tes passions seront anéantis. Tu feras tes premiers pas dans le Royaume de la Divine Volonté. Par conséquent, sois attentive. Si tu m’écoutes bien, je te guiderai. En te tenant par la main, je te conduirai à travers les routes infinies de la Divine Volonté. Je t’abriterai sous mon manteau bleu et tu seras mon honneur, ma gloire et ma victoire. L’âme :
Vierge immaculée, prends-moi sur tes genoux maternels et sois une mère pour moi. Avec tes saintes mains, prends possession de ma volonté, purifie-la, forme-la et réchauffe-la. Apprends-moi à vivre seulement de la Divine Volonté.
Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer dans toutes tes actions, tu placeras ta volonté dans mes mains en me disant : « Ma très chère Maman, offre toi-même le sacrifice de ma volonté à mon Créateur. » Oraison jaculatoire :
«Ma douce Maman, dépose dans mon âme la Divine Volonté pour qu’elle y occupe toute la place, y établissant sa demeure et son trône.» _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | Mary-ray
Date d'inscription : 01/09/2010 Localisation : France
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mar 3 Mai - 7:50 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
MÉDITATIONS POUR LES JOURS DU MOIS DE MAI
Premier jour
Premier pas fait par la Divine Volonté en la céleste Maman au moment de sa Conception immaculée.
L’âme à la Reine immaculée :
Ô très douce Maman, me voici prosternée devant toi. C’est aujourd’hui le premier jour du mois de mai, ce mois qui t’est consacré et dans lequel tous tes enfants veulent t’offrir leurs petites fleurs pour te manifester leur amour et susciter le tien. Je te vois comme si tu descendais du Royaume de notre Père Céleste, escortée par des myriades d’anges pour recevoir de tes enfants des roses magnifiques, d’humbles violettes et de gracieux lys blancs, alors que tu leur prodigues en retour de ravissants sourires accompagnés de grâces et de bénédictions. Je te vois ensuite presser sur ton Coeur maternel ces cadeaux de tes enfants ; tu les amènes avec toi au Ciel pour les y conserver comme des gages et des couronnes pour le moment de leur mort. Ô céleste Maman, moi, le plus petit et le plus démuni de tes enfants, je veux chaque jour venir m’asseoir sur tes genoux maternels pour t’apporter, non pas des fleurs, mais des soleils. Cependant, ô Maman, tu dois enseigner à ton enfant comment former ces soleils divins qui te rendront les hommages les plus beaux et te donneront l’amour le plus pur. Chère Maman, tu as compris ce que je veux : que tu m’enseignes la manière de vivre dans la Divine Volonté. Quant à moi, après que, en accord avec tes enseignements, toutes mes actions et tout mon être auront été transformés dans la Divine Volonté, j’apporterai chaque jour sur tes genoux maternels toutes mes actions changées en soleils. Leçon de la Reine du Ciel :
Fille bénie, ta prière a rejoint mon Coeur maternel et m’a fait descendre du Ciel. Me voici à tes côtés pour te donner ma leçon d’aujourd’hui.
Regarde-moi, chère fille : des milliers d’anges sont autour de moi dans l’attente de m’entendre te parler de cette Divine Volonté dont, plus que quiconque, je suis issue. Je connais ses admirables secrets, ses joies infinies, sa valeur incommensurable. Quand tu me demandes de te parler de la Divine Volonté, c’est pour moi un moment de fête et de joie, et je me sens particulièrement heureuse d’être ta Maman. Oh ! comme je désire avoir une fille habitée par le désir de vivre complètement dans la Divine Volonté !
Dis-moi, ma fille, vas-tu me contenter ? Vas-tu déposer ton coeur, ta volonté et tout ton être entre mes mains maternelles afin que je te prépare, te fortifie et te vide de tout pour pouvoir te remplir de la Divine Volonté et faire croître la Vie divine en toi ? Pose ta tête sur le Coeur de ta Maman du Ciel et sois très attentive à l’écouter, afin que ses leçons te fassent décider de ne jamais faire ta propre volonté mais toujours celle de Dieu. Ma fille, écoute-moi : c’est mon Coeur maternel, ce Coeur qui t’aime tant, qui veut se déverser en toi. Sache que tu es inscrite dans mon Coeur et que je t’aime comme ma véritable fille. Cependant, je sens de la peine en moi parce que je vois que tu n’es pas tout à fait semblable à ta Maman. Sais-tu pourquoi nous sommes différentes ? C’est à cause de ta propre volonté : elle éloigne de toi la fraîcheur de la grâce, la beauté qui enflamme le Créateur, la force d’âme qui permet de tout supporter et surmonter, et l’amour qui consume tout. Bref, tu n’es pas animée par la même volonté que ta céleste Maman.
Tu dois savoir que je n’ai connu ma volonté humaine que pour l’avoir totalement sacrifiée en hommage à mon Créateur. Ma vie s’est entièrement écoulée dans la Divine Volonté. À partir du premier instant de ma Conception, j’ai été formée, réchauffée et placée dans la Divine Volonté qui a purifié mon germe humain par sa puissance. Ainsi, j’ai été conçue pure et sainte, sans la tache du péché originel. Si ma Conception a été sans tache et glorieuse, au point de me faire partager les honneurs de la famille divine, ce fut uniquement parce que la Divine Volonté s’est déversée sur mon germe humain. Si la Divine Volonté ne s’était pas penchée comme une tendre maman sur mon germe humain pour empêcher les effets du péché originel, j’aurais eu le même sort que toutes les autres créatures humaines, celui d’être conçue avec ce péché en moi. Donc, la cause première de ce privilège a été uniquement la Divine Volonté à qui en reviennent tout honneur, toute gloire et tous remerciements. Fille de mon Coeur, écoute ta Maman : mets ta volonté humaine de côté et préfère plutôt mourir que de lui concéder un seul acte de ta vie. Ta céleste Maman aurait préféré mourir des milliers de fois plutôt que de faire un seul acte par sa propre volonté. Ne veux-tu pas m’imiter ? Ah ! si tu veux sacrifier ta volonté en l’honneur de ton Créateur, la Divine Volonté va faire ses premiers pas dans ton âme. Tu te sentiras modelée, purifiée et réchauffée par une douce et céleste rosée. Les germes de tes passions seront anéantis. Tu feras tes premiers pas dans le Royaume de la Divine Volonté. Par conséquent, sois attentive. Si tu m’écoutes bien, je te guiderai. En te tenant par la main, je te conduirai à travers les routes infinies de la Divine Volonté. Je t’abriterai sous mon manteau bleu et tu seras mon honneur, ma gloire et ma victoire. L’âme :
Vierge immaculée, prends-moi sur tes genoux maternels et sois une mère pour moi. Avec tes saintes mains, prends possession de ma volonté, purifie-la, forme-la et réchauffe-la. Apprends-moi à vivre seulement de la Divine Volonté.
Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer dans toutes tes actions, tu placeras ta volonté dans mes mains en me disant : « Ma très chère Maman, offre toi-même le sacrifice de ma volonté à mon Créateur. » Oraison jaculatoire :
«Ma douce Maman, dépose dans mon âme la Divine Volonté pour qu’elle y occupe toute la place, y établissant sa demeure et son trône.» _________________ Le Seigneur est mon rempart , Marie est ma Mère , le Saint Esprit est mon phare
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mar 3 Mai - 11:56 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Troisième jour
Le troisième pas fait par la Divine Volonté en la Reine du Ciel. Le sourire de toute la création à la Conception de la céleste Reine.
L’âme à la Vierge :
Souveraine Maman, ravie par tes célestes leçons, ton enfant sent un grand besoin de venir chaque jour sur tes genoux pour t’écouter et pour que tu déposes dans son coeur tes enseignements maternels. Ton amour, tes douces paroles et tes étreintes me donnent courage et infusent en moi la confiance que tu me donneras la grâce de percevoir le mal qui se trouve dans ma volonté et m’amèneras à vivre totalement dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille, écoute-moi, c’est le Coeur de ta Mère qui te parle. En voyant que tu désires m’écouter, mon Coeur est dans la joie et espère que tu voudras bien prendre possession du Royaume de la Divine Volonté que je possède dans mon Coeur de Mère et que je peux donner à tous mes enfants. Sois attentive et écris mes paroles dans ton coeur pour qu’ainsi tu puisses les méditer et ajuster ta vie à mes enseignements. Après que, au moment de ma Conception, la Sainte Trinité eut souri et célébré, elle fit son troisième pas dans ma petite humanité : même si j’étais toute petite, elle me donna le don de posséder la raison. D’autre part, toute joyeuse, la création me reconnut comme sa Reine ; elle reconnut en moi la vie de la Divine Volonté et se prosterna à mes pieds, même si je n’étais pas encore née. Me chantant des hymnes, le soleil me sourit avec sa lumière. Le firmament me célébra avec ses étoiles en liesse qui formèrent une resplendissante couronne au-dessus de ma tête. La mer me fêta avec ses vagues montant et descendant doucement. En somme, la création tout entière s’unit au sourire et à la joie de la Très Sainte Trinité et accepta ma royauté sur elle. Elle se sentit honorée de trouver en moi sa Reine après qu’elle eut perdu la royauté d’Adam depuis tant de siècles à la suite de sa désobéissance à la Divine Volonté. Elle me proclama la Reine du Ciel et de la terre. Ma chère enfant, tu dois savoir que lorsque la Divine Volonté règne dans une âme, elle ne cesse d’y accomplir de grandes choses. Elle lui communique ses divines qualités. Tout ce qui émane d’elle entoure cette âme et obéit à tous ses désirs. La Divine Volonté m’a tout donné. Le Ciel et la terre étaient sous mon pouvoir. Je me sentais dominatrice de tout, et même de mon Créateur.
Oh ! comme mon Coeur souffre de te voir si faible et pauvre, sans véritable autorité sur toi-même. Ce qui te domine, ce sont tes peurs, tes doutes, tes inquiétudes, en somme les misérables haillons de ta volonté humaine. Il en est ainsi parce que la vie intégrale de la Divine Volonté n’est pas en toi. Si elle était maîtresse de ton âme, elle ferait fuir tout le mal de ta volonté humaine, te rendrait heureuse et te remplirait de tous ses biens. Si, avec une ferme intention, tu décidais de ne plus donner vie à ta volonté humaine, tu sentirais mourir tout le mal en toi et y vivre tous les biens. Par la suite, la Divine Volonté ferait son troisième pas en toi et toute la création te ferait la fête en t’accueillant comme une nouvelle venue dans le Royaume de la Divine Volonté. Dis-moi, mon enfant, vas-tu m’écouter ? Vas-tu me donner ta parole que tu n’utiliseras jamais plus ta volonté humaine ? Sache que si tu fais ainsi, je ne te quitterai jamais, je me placerai comme gardienne de ton âme, je t’envelopperai dans ma lumière afin que personne n’ose venir te troubler, et je dirigerai ton âme de telle manière que tu arrives à écarter tout mal de ta volonté. L’âme :
Ô céleste Maman, tes leçons me remplissent d’un baume céleste. Je te remercie pour ton immense indulgence envers ton enfant qui se sent tellement misérable. Très chère Maman, j’ai peur de moi-même ; cependant, si tu le veux, tu peux tout faire et, avec toi, je peux aussi tout faire. Je m’abandonne entre tes bras comme un petit bébé entre les bras de sa maman et, ainsi, je suis certaine de répondre à tes désirs maternels. Petite pratique :
À trois reprises, aujourd’hui, tu m’honoreras en t’unissant avec les cieux, le soleil et la terre et en récitant à chaque fois trois Gloire au Père pour remercier Dieu de m’avoir constituée Reine de tout. Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, domine ma volonté de manière à ce qu’elle soit transformée en Volonté de Dieu.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mer 4 Mai - 9:17 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Troisième jour
Le troisième pas fait par la Divine Volonté en la Reine du Ciel. Le sourire de toute la création à la Conception de la céleste Reine.
L’âme à la Vierge :
Souveraine Maman, ravie par tes célestes leçons, ton enfant sent un grand besoin de venir chaque jour sur tes genoux pour t’écouter et pour que tu déposes dans son coeur tes enseignements maternels. Ton amour, tes douces paroles et tes étreintes me donnent courage et infusent en moi la confiance que tu me donneras la grâce de percevoir le mal qui se trouve dans ma volonté et m’amèneras à vivre totalement dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille, écoute-moi, c’est le Coeur de ta Mère qui te parle. En voyant que tu désires m’écouter, mon Coeur est dans la joie et espère que tu voudras bien prendre possession du Royaume de la Divine Volonté que je possède dans mon Coeur de Mère et que je peux donner à tous mes enfants. Sois attentive et écris mes paroles dans ton coeur pour qu’ainsi tu puisses les méditer et ajuster ta vie à mes enseignements. Après que, au moment de ma Conception, la Sainte Trinité eut souri et célébré, elle fit son troisième pas dans ma petite humanité : même si j’étais toute petite, elle me donna le don de posséder la raison. D’autre part, toute joyeuse, la création me reconnut comme sa Reine ; elle reconnut en moi la vie de la Divine Volonté et se prosterna à mes pieds, même si je n’étais pas encore née. Me chantant des hymnes, le soleil me sourit avec sa lumière. Le firmament me célébra avec ses étoiles en liesse qui formèrent une resplendissante couronne au-dessus de ma tête. La mer me fêta avec ses vagues montant et descendant doucement. En somme, la création tout entière s’unit au sourire et à la joie de la Très Sainte Trinité et accepta ma royauté sur elle. Elle se sentit honorée de trouver en moi sa Reine après qu’elle eut perdu la royauté d’Adam depuis tant de siècles à la suite de sa désobéissance à la Divine Volonté. Elle me proclama la Reine du Ciel et de la terre. Ma chère enfant, tu dois savoir que lorsque la Divine Volonté règne dans une âme, elle ne cesse d’y accomplir de grandes choses. Elle lui communique ses divines qualités. Tout ce qui émane d’elle entoure cette âme et obéit à tous ses désirs. La Divine Volonté m’a tout donné. Le Ciel et la terre étaient sous mon pouvoir. Je me sentais dominatrice de tout, et même de mon Créateur.
Oh ! comme mon Coeur souffre de te voir si faible et pauvre, sans véritable autorité sur toi-même. Ce qui te domine, ce sont tes peurs, tes doutes, tes inquiétudes, en somme les misérables haillons de ta volonté humaine. Il en est ainsi parce que la vie intégrale de la Divine Volonté n’est pas en toi. Si elle était maîtresse de ton âme, elle ferait fuir tout le mal de ta volonté humaine, te rendrait heureuse et te remplirait de tous ses biens. Si, avec une ferme intention, tu décidais de ne plus donner vie à ta volonté humaine, tu sentirais mourir tout le mal en toi et y vivre tous les biens. Par la suite, la Divine Volonté ferait son troisième pas en toi et toute la création te ferait la fête en t’accueillant comme une nouvelle venue dans le Royaume de la Divine Volonté. Dis-moi, mon enfant, vas-tu m’écouter ? Vas-tu me donner ta parole que tu n’utiliseras jamais plus ta volonté humaine ? Sache que si tu fais ainsi, je ne te quitterai jamais, je me placerai comme gardienne de ton âme, je t’envelopperai dans ma lumière afin que personne n’ose venir te troubler, et je dirigerai ton âme de telle manière que tu arrives à écarter tout mal de ta volonté. L’âme :
Ô céleste Maman, tes leçons me remplissent d’un baume céleste. Je te remercie pour ton immense indulgence envers ton enfant qui se sent tellement misérable. Très chère Maman, j’ai peur de moi-même ; cependant, si tu le veux, tu peux tout faire et, avec toi, je peux aussi tout faire. Je m’abandonne entre tes bras comme un petit bébé entre les bras de sa maman et, ainsi, je suis certaine de répondre à tes désirs maternels. Petite pratique :
À trois reprises, aujourd’hui, tu m’honoreras en t’unissant avec les cieux, le soleil et la terre et en récitant à chaque fois trois Gloire au Père pour remercier Dieu de m’avoir constituée Reine de tout. Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, domine ma volonté de manière à ce qu’elle soit transformée en Volonté de Dieu. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mer 4 Mai - 12:08 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quatrième jour
Le quatrième pas fait par la Divine Volonté en la Reine du Ciel. L’épreuve.
L’âme :
Ma chère Maman du Ciel, je viens de nouveau sur tes genoux maternels. Remplie du désir d’entendre tes merveilleuses leçons, mon coeur palpite d’amour. Prends-moi dans tes bras où je vivrai des moments paradisiaques. Je me sens si heureuse ! Oh ! comme j’aime entendre ta voix ! Une vie nouvelle descend dans mon coeur. Parle-moi et je te promets de mettre en pratique tes saints enseignements. Leçon de la Reine du Ciel :
Mon enfant, si tu savais à quel point j’aime te presser sur mon Coeur maternel en te faisant entendre les secrets de la Divine Volonté ! Ton ardent désir de m’entendre n’est autre que l’écho de mon propre désir de te confier les secrets de mon Coeur et de te raconter ce que la Divine Volonté a accompli en moi. Enfant de mon Coeur, prête-moi bien attention. Mon coeur de maman veux te confier des secrets qui n’ont encore été révélés à personne sur la terre parce que le temps prévu par Dieu n’était pas encore venu. Voulant gratifier les créatures de grâces surprenantes non accordées jusqu’à présent, Dieu désire faire connaître aux âmes les splendeurs de sa Divine Volonté ainsi que les merveilles qu’elle peut accomplir dans les âmes si celles-ci acceptent de vivre en elle. Dieu veut me proposer à tous comme modèle, moi qui ai eu l’honneur de vivre ma vie tout entière dans la Divine Volonté. Sache, mon enfant, qu’aussitôt que je fus conçue et que la Sainte Trinité se trouva en ravissement devant mon petit être, le Ciel et la terre firent la fête en mon honneur et me reconnurent comme leur Reine. J’étais tellement identifiée avec mon Créateur que je me suis sentie comme investie de la Royauté divine. Je ne savais pas distinguer de séparation entre mon Créateur et moi. La Divine Volonté qui m’animait était la même qui animait les divines Personnes ; elle nous rendait inséparables. Tandis que tout était sourire et fête entre la Sainte Trinité et moi, je compris que tout ce qui m’arrivait devait être sanctionné par une épreuve que j’aurais à surmonter. L’épreuve surmontée est la bannière qui proclame la victoire. Elle met en sûreté tous les biens que Dieu désire donner à l’âme, la rend mûre et la dispose à faire de grandes conquêtes. Je compris la nécessité de cette épreuve et je voulus honorer mon Créateur par un acte de fidélité allant jusqu’au sacrifice de ma vie en reconnaissance des mers de grâces reçues de Dieu. Comme il est beau de pouvoir dire : « Tu m’as aimé et je t’ai aimé. » Sans avoir traversé l’épreuve, personne ne peut dire cela. Dieu créateur m’informa que l’homme avait été créé innocent et saint. Pour lui, tout était bonheur. Il avait le contrôle sur toute la création et tous les éléments répondaient à ses souhaits. Comme la Divine Volonté régnait en Adam, lui aussi était inséparable de son Créateur. Pour pouvoir lui maintenir tous ces droits et ce pouvoir, le Créateur le soumit à une épreuve. Il lui demanda de ne pas toucher à l’un des fruits se trouvant dans le paradis terrestre. Cette épreuve allait confirmer son innocence, sa sainteté et sa fidélité. Mais Adam a échoué le test. N’ayant pas été loyal, Dieu ne pouvait pas lui faire confiance. C’est ainsi qu’il perdit sa royauté, son innocence et sa félicité. Par son refus, il mit toute la création sans dessus dessous.
En percevant en Adam et en toute sa descendance la grave méchanceté de la volonté humaine, moi, ta céleste Maman, à peine conçue, j’ai pleuré amèrement sur l’homme déchu. Par la suite, la Divine Volonté me demanda comme épreuve de lui céder ma volonté humaine. Elle me dit : « Je ne te demande pas, comme à Adam, de me concéder un fruit. Non et non ! Ce que je te demande, c’est ta propre volonté. Tu la conserveras, mais tu vivras comme ne l’ayant pas, la plaçant sous la domination totale de ma Divine Volonté, qui sera ta vie et qui pourra disposer de toi à sa convenance. » C’est en me demandant ce don total de ma volonté et en attendant que je prononce mon fiat comme preuve d’acceptation que la Divine Volonté fit son quatrième pas dans mon âme. Demain, quand tu reviendras sur mes genoux, je te ferai part des suites de cette épreuve. Puisque je désire tant que tu imites ta Maman, je te conjure de ne jamais rien refuser à Dieu, même si cela doit se répercuter sur toute ta vie. Que tu demeures continuellement fidèle est ce que Dieu attend de toi : son dessein sur toi. Ainsi, ton âme pourra devenir un chef-d’oeuvre de l’Être Suprême. L’épreuve surmontée est comme la matière première déposée entre les mains divines pour qu’il puisse agir dans l’âme. Dieu ne sait que faire de ceux qui sont infidèles. L’âme infidèle sème le désordre dans les travaux grandioses de son Créateur. Sois donc attentive, chère enfant. Si tu demeures fidèle dans cette épreuve, tu m’en verras tout heureuse ! Ne me cause pas d’inquiétude : donne-moi ta parole et, en conséquence, je te guiderai et te soutiendrai en tout comme mon enfant. L’âme :
Sainte Maman, tu sais combien je suis faible. Cependant, tes bienfaits maternels font monter tellement de confiance en moi que j’espère tout de toi et, qu’avec toi, je me sens en sécurité. Je dépose dans tes mains maternelles les épreuves que Dieu désire me donner, en espérant que tu me donneras les grâces nécessaires pour m’empêcher de ruiner le plan divin sur moi. Petite pratique :
Pour m’honorer, aujourd’hui, tu viendras trois fois sur mes genoux maternels et me confieras toutes les souffrances de ton âme et de ton corps. Tu les confieras totalement à ta Maman ; elle les bénira pour infuser en toi la force, la lumière et les grâces nécessaires. Oraison jaculatoire :
Ô céleste Maman, prends-moi dans tes bras et inscris dans mon cœur : Fiat ! Fiat ! Fiat !
Cordialement dans la Croix Glorieuse
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Jeu 5 Mai - 10:05 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quatrième jour
Le quatrième pas fait par la Divine Volonté en la Reine du Ciel. L’épreuve.
L’âme :
Ma chère Maman du Ciel, je viens de nouveau sur tes genoux maternels. Remplie du désir d’entendre tes merveilleuses leçons, mon coeur palpite d’amour. Prends-moi dans tes bras où je vivrai des moments paradisiaques. Je me sens si heureuse ! Oh ! comme j’aime entendre ta voix ! Une vie nouvelle descend dans mon coeur. Parle-moi et je te promets de mettre en pratique tes saints enseignements. Leçon de la Reine du Ciel :
Mon enfant, si tu savais à quel point j’aime te presser sur mon Coeur maternel en te faisant entendre les secrets de la Divine Volonté ! Ton ardent désir de m’entendre n’est autre que l’écho de mon propre désir de te confier les secrets de mon Coeur et de te raconter ce que la Divine Volonté a accompli en moi. Enfant de mon Coeur, prête-moi bien attention. Mon coeur de maman veux te confier des secrets qui n’ont encore été révélés à personne sur la terre parce que le temps prévu par Dieu n’était pas encore venu. Voulant gratifier les créatures de grâces surprenantes non accordées jusqu’à présent, Dieu désire faire connaître aux âmes les splendeurs de sa Divine Volonté ainsi que les merveilles qu’elle peut accomplir dans les âmes si celles-ci acceptent de vivre en elle. Dieu veut me proposer à tous comme modèle, moi qui ai eu l’honneur de vivre ma vie tout entière dans la Divine Volonté. Sache, mon enfant, qu’aussitôt que je fus conçue et que la Sainte Trinité se trouva en ravissement devant mon petit être, le Ciel et la terre firent la fête en mon honneur et me reconnurent comme leur Reine. J’étais tellement identifiée avec mon Créateur que je me suis sentie comme investie de la Royauté divine. Je ne savais pas distinguer de séparation entre mon Créateur et moi. La Divine Volonté qui m’animait était la même qui animait les divines Personnes ; elle nous rendait inséparables. Tandis que tout était sourire et fête entre la Sainte Trinité et moi, je compris que tout ce qui m’arrivait devait être sanctionné par une épreuve que j’aurais à surmonter. L’épreuve surmontée est la bannière qui proclame la victoire. Elle met en sûreté tous les biens que Dieu désire donner à l’âme, la rend mûre et la dispose à faire de grandes conquêtes. Je compris la nécessité de cette épreuve et je voulus honorer mon Créateur par un acte de fidélité allant jusqu’au sacrifice de ma vie en reconnaissance des mers de grâces reçues de Dieu. Comme il est beau de pouvoir dire : « Tu m’as aimé et je t’ai aimé. » Sans avoir traversé l’épreuve, personne ne peut dire cela. Dieu créateur m’informa que l’homme avait été créé innocent et saint. Pour lui, tout était bonheur. Il avait le contrôle sur toute la création et tous les éléments répondaient à ses souhaits. Comme la Divine Volonté régnait en Adam, lui aussi était inséparable de son Créateur. Pour pouvoir lui maintenir tous ces droits et ce pouvoir, le Créateur le soumit à une épreuve. Il lui demanda de ne pas toucher à l’un des fruits se trouvant dans le paradis terrestre. Cette épreuve allait confirmer son innocence, sa sainteté et sa fidélité. Mais Adam a échoué le test. N’ayant pas été loyal, Dieu ne pouvait pas lui faire confiance. C’est ainsi qu’il perdit sa royauté, son innocence et sa félicité. Par son refus, il mit toute la création sans dessus dessous.
En percevant en Adam et en toute sa descendance la grave méchanceté de la volonté humaine, moi, ta céleste Maman, à peine conçue, j’ai pleuré amèrement sur l’homme déchu. Par la suite, la Divine Volonté me demanda comme épreuve de lui céder ma volonté humaine. Elle me dit : « Je ne te demande pas, comme à Adam, de me concéder un fruit. Non et non ! Ce que je te demande, c’est ta propre volonté. Tu la conserveras, mais tu vivras comme ne l’ayant pas, la plaçant sous la domination totale de ma Divine Volonté, qui sera ta vie et qui pourra disposer de toi à sa convenance. » C’est en me demandant ce don total de ma volonté et en attendant que je prononce mon fiat comme preuve d’acceptation que la Divine Volonté fit son quatrième pas dans mon âme. Demain, quand tu reviendras sur mes genoux, je te ferai part des suites de cette épreuve. Puisque je désire tant que tu imites ta Maman, je te conjure de ne jamais rien refuser à Dieu, même si cela doit se répercuter sur toute ta vie. Que tu demeures continuellement fidèle est ce que Dieu attend de toi : son dessein sur toi. Ainsi, ton âme pourra devenir un chef-d’oeuvre de l’Être Suprême. L’épreuve surmontée est comme la matière première déposée entre les mains divines pour qu’il puisse agir dans l’âme. Dieu ne sait que faire de ceux qui sont infidèles. L’âme infidèle sème le désordre dans les travaux grandioses de son Créateur. Sois donc attentive, chère enfant. Si tu demeures fidèle dans cette épreuve, tu m’en verras tout heureuse ! Ne me cause pas d’inquiétude : donne-moi ta parole et, en conséquence, je te guiderai et te soutiendrai en tout comme mon enfant. L’âme :
Sainte Maman, tu sais combien je suis faible. Cependant, tes bienfaits maternels font monter tellement de confiance en moi que j’espère tout de toi et, qu’avec toi, je me sens en sécurité. Je dépose dans tes mains maternelles les épreuves que Dieu désire me donner, en espérant que tu me donneras les grâces nécessaires pour m’empêcher de ruiner le plan divin sur moi. Petite pratique :
Pour m’honorer, aujourd’hui, tu viendras trois fois sur mes genoux maternels et me confieras toutes les souffrances de ton âme et de ton corps. Tu les confieras totalement à ta Maman ; elle les bénira pour infuser en toi la force, la lumière et les grâces nécessaires. Oraison jaculatoire :
Ô céleste Maman, prends-moi dans tes bras et inscris dans mon cœur : Fiat ! Fiat ! Fiat ! _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Jeu 5 Mai - 11:27 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Cinquième jour
Le cinquième pas fait par la Divine Volonté en la Reine du Ciel. Le triomphe après l’épreuve.
L’âme :
Céleste Souveraine, je vois que tu m’ouvres les bras pour me recevoir sur tes genoux et je cours, je vole vers toi pour savourer tes chastes étreintes et tes célestes sourires. Sainte Maman, ton apparence aujourd’hui est triomphale car tu veux me raconter ta victoire sur l’épreuve. C’est le coeur en joie que je veux t’écouter. Je te prie de me donner la grâce de triompher des épreuves que Dieu m’enverra. Leçon de la Reine du Ciel :
Mon enfant bien-aimée, comme je désire te confier mes secrets, secrets qui vont ajouter à ma gloire et à la gloire de Dieu, lui, la cause première de ma Conception immaculée, de ma sainteté, de ma souveraineté et de ma maternité divine ! Je dois tout à Dieu et à lui seul. Tous les sublimes privilèges, qui étonnent le Ciel et la terre et dont la sainte Église m’honore tant, ne sont rien d’autre que les fruits de la Divine Volonté qui a toujours habité et régné en moi. C’est pour cela que je désire tant que cette Divine Volonté soit connue par toute la terre. Quand l’Être Suprême me demanda ma volonté humaine, j’ai compris tout le mal que cette volonté peut faire en la créature et comment elle met tout en danger, même les plus belles oeuvres du Créateur. Avec sa volonté propre, l’être humain est vacillant, faible et désordonné. Il en est ainsi parce qu’en créant l’homme, Dieu avait prévu que la volonté humaine serait en symbiose avec sa Divine Volonté pour que cette dernière soit sa force, son moteur, son support, sa nourriture et sa vie. En n’acceptant pas que la Divine Volonté soit la vie de notre volonté, nous écartons les privilèges et les droits que Dieu avait prévus pour nous en nous créant. Oh ! comme j’ai bien compris la grave erreur que commettent les créatures et les malheurs qu’elles attirent sur elles quand elles écartent de leur vie la Divine Volonté ! L’idée de faire ma propre volonté me plongeait dans une effroyable crainte, laquelle était justifiée puisque, en effet, Adam aussi avait été créé innocent et, en faisant sa propre volonté, il s’était plongé dans d’innombrables malheurs et, avec lui, toutes les générations qui lui succédèrent. C’est pourquoi, moi, ta Maman, remplie d’une crainte extrême mais, beaucoup plus encore, remplie d’amour pour mon Créateur, j’ai juré de ne jamais faire ma volonté. Et, pour être sûre de ne jamais manquer à ma promesse et pour mieux attester mon sacrifice à celui qui m’avait donné tant de grâces et de privilèges, j’ai pris ma volonté humaine et l’ai attachée au pied du Trône divin en hommage continuel d’amour et de sacrifice envers mon Créateur, lui promettant de ne jamais faire usage de ma volonté, mais toujours de la sienne. Ma fille, il pourrait te sembler que mon sacrifice de vivre sans faire usage de ma volonté humaine ne me fut pas difficile. Ce fut tout le contraire. Il n’existe aucun sacrifice plus difficile. Tous les autres sacrifices peuvent être considérés comme des ombres comparativement à celui-là. Se sacrifier pendant une journée suivant les occasions est simple, mais se sacrifier à tout instant, dans chacun de ses actes, y compris ses actes vertueux, et cela durant toute sa vie, en ne donnant même pas une ombre de vie à sa volonté, c’est le sacrifice des sacrifices. Il est si grand que Dieu ne peut en demander un plus grand à la créature et que celle-ci ne peut en faire un plus grand pour son Créateur. Ma chère enfant, dès que j’eus offert ma volonté en cadeau à mon Créateur, je me suis sentie triomphante de l’épreuve que j’avais à subir, et Dieu s’est senti triomphant de ma volonté humaine. Il attendait que je sois victorieuse de mon épreuve (c’est-à-dire qu’une créature vive sans sa propre volonté de manière à réparer les impairs de l’espèce humaine) pour accorder sa clémence et sa miséricorde à l’espèce humaine. Je poursuivrai sur ce sujet plus tard en te racontant ce que fit la Divine Volonté à la suite de mon triomphe sur mon épreuve. Juste un mot pour finir. Si tu savais combien je désire te voir vivre sans te servir de ta volonté humaine ! Tu sais que je suis ta Maman et que je veux ton bonheur, mais comment pourras-tu être heureuse si tu ne décides pas de renoncer à ta volonté comme l’a fait ta Maman ? Si tu décides de m’imiter sur ce point, je te donnerai tout et je serai continuellement à ta disposition, pourvu que j’aie la joie d’avoir une fille qui vit totalement et uniquement de la Divine Volonté. L’âme :
Reine victorieuse, je dépose ma volonté dans tes mains maternelles afin que tu la purifies, l’embellisses et la lies avec la tienne au pied du Trône divin de telle manière que je ne veuille plus vivre selon ma volonté, mais uniquement selon celle de Dieu. Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer dans chaque acte que tu poseras, tu placeras ta volonté dans mes mains maternelles et tu me prieras de faire couler la Divine Volonté en toi à la place de ta volonté. Oraison jaculatoire :
Reine triomphante, départis-moi de ma volonté et fais-moi don de la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Jeu 5 Mai - 20:52 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Cinquième jour
Le cinquième pas fait par la Divine Volonté en la Reine du Ciel. Le triomphe après l’épreuve.
L’âme :
Céleste Souveraine, je vois que tu m’ouvres les bras pour me recevoir sur tes genoux et je cours, je vole vers toi pour savourer tes chastes étreintes et tes célestes sourires. Sainte Maman, ton apparence aujourd’hui est triomphale car tu veux me raconter ta victoire sur l’épreuve. C’est le coeur en joie que je veux t’écouter. Je te prie de me donner la grâce de triompher des épreuves que Dieu m’enverra. Leçon de la Reine du Ciel :
Mon enfant bien-aimée, comme je désire te confier mes secrets, secrets qui vont ajouter à ma gloire et à la gloire de Dieu, lui, la cause première de ma Conception immaculée, de ma sainteté, de ma souveraineté et de ma maternité divine ! Je dois tout à Dieu et à lui seul. Tous les sublimes privilèges, qui étonnent le Ciel et la terre et dont la sainte Église m’honore tant, ne sont rien d’autre que les fruits de la Divine Volonté qui a toujours habité et régné en moi. C’est pour cela que je désire tant que cette Divine Volonté soit connue par toute la terre. Quand l’Être Suprême me demanda ma volonté humaine, j’ai compris tout le mal que cette volonté peut faire en la créature et comment elle met tout en danger, même les plus belles oeuvres du Créateur. Avec sa volonté propre, l’être humain est vacillant, faible et désordonné. Il en est ainsi parce qu’en créant l’homme, Dieu avait prévu que la volonté humaine serait en symbiose avec sa Divine Volonté pour que cette dernière soit sa force, son moteur, son support, sa nourriture et sa vie. En n’acceptant pas que la Divine Volonté soit la vie de notre volonté, nous écartons les privilèges et les droits que Dieu avait prévus pour nous en nous créant. Oh ! comme j’ai bien compris la grave erreur que commettent les créatures et les malheurs qu’elles attirent sur elles quand elles écartent de leur vie la Divine Volonté ! L’idée de faire ma propre volonté me plongeait dans une effroyable crainte, laquelle était justifiée puisque, en effet, Adam aussi avait été créé innocent et, en faisant sa propre volonté, il s’était plongé dans d’innombrables malheurs et, avec lui, toutes les générations qui lui succédèrent. C’est pourquoi, moi, ta Maman, remplie d’une crainte extrême mais, beaucoup plus encore, remplie d’amour pour mon Créateur, j’ai juré de ne jamais faire ma volonté. Et, pour être sûre de ne jamais manquer à ma promesse et pour mieux attester mon sacrifice à celui qui m’avait donné tant de grâces et de privilèges, j’ai pris ma volonté humaine et l’ai attachée au pied du Trône divin en hommage continuel d’amour et de sacrifice envers mon Créateur, lui promettant de ne jamais faire usage de ma volonté, mais toujours de la sienne. Ma fille, il pourrait te sembler que mon sacrifice de vivre sans faire usage de ma volonté humaine ne me fut pas difficile. Ce fut tout le contraire. Il n’existe aucun sacrifice plus difficile. Tous les autres sacrifices peuvent être considérés comme des ombres comparativement à celui-là. Se sacrifier pendant une journée suivant les occasions est simple, mais se sacrifier à tout instant, dans chacun de ses actes, y compris ses actes vertueux, et cela durant toute sa vie, en ne donnant même pas une ombre de vie à sa volonté, c’est le sacrifice des sacrifices. Il est si grand que Dieu ne peut en demander un plus grand à la créature et que celle-ci ne peut en faire un plus grand pour son Créateur. Ma chère enfant, dès que j’eus offert ma volonté en cadeau à mon Créateur, je me suis sentie triomphante de l’épreuve que j’avais à subir, et Dieu s’est senti triomphant de ma volonté humaine. Il attendait que je sois victorieuse de mon épreuve (c’est-à-dire qu’une créature vive sans sa propre volonté de manière à réparer les impairs de l’espèce humaine) pour accorder sa clémence et sa miséricorde à l’espèce humaine. Je poursuivrai sur ce sujet plus tard en te racontant ce que fit la Divine Volonté à la suite de mon triomphe sur mon épreuve. Juste un mot pour finir. Si tu savais combien je désire te voir vivre sans te servir de ta volonté humaine ! Tu sais que je suis ta Maman et que je veux ton bonheur, mais comment pourras-tu être heureuse si tu ne décides pas de renoncer à ta volonté comme l’a fait ta Maman ? Si tu décides de m’imiter sur ce point, je te donnerai tout et je serai continuellement à ta disposition, pourvu que j’aie la joie d’avoir une fille qui vit totalement et uniquement de la Divine Volonté. L’âme :
Reine victorieuse, je dépose ma volonté dans tes mains maternelles afin que tu la purifies, l’embellisses et la lies avec la tienne au pied du Trône divin de telle manière que je ne veuille plus vivre selon ma volonté, mais uniquement selon celle de Dieu. Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer dans chaque acte que tu poseras, tu placeras ta volonté dans mes mains maternelles et tu me prieras de faire couler la Divine Volonté en toi à la place de ta volonté. Oraison jaculatoire :
Reine triomphante, départis-moi de ma volonté et fais-moi don de la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Ven 6 Mai - 12:48 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Sixième jour
Sixième pas de la Divine Volonté en la Reine du Ciel. Après le triomphe sur l’épreuve, la possession.
L’âme à la Vierge :
Maman Reine, je vois que tu m’attends encore et que tu me tends les bras pour que je vienne sur tes genoux afin de me presser sur ton Coeur et de me faire ressentir la vie de la Divine Volonté qui est en toi. Oh ! que sa chaleur est bienfaisante ! Que sa lumière est pénétrante ! Sainte Mère, puisque tu m’aimes tant, plonge le petit atome que je suis dans le soleil de la Divine Volonté qui est en toi. Que moi aussi je puisse dire : « Ma volonté n’a plus de vie ; ma vie est la Divine Volonté. » Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille bien-aimée, aie confiance en ta Maman et sois attentive à ses leçons qui t’aideront à avoir en horreur ta volonté personnelle et à désirer ardemment que celle de Dieu prenne toute la place en toi, comme cela est son souhait le plus ardent. Ma fille, c’est seulement après que j’eus surmonté l’épreuve à laquelle j’étais soumise par la Divinité que celle-ci se trouva assurée de ma fidélité. Tous croyaient que je n’ai eu à subir aucune épreuve et qu’il a suffi à Dieu d’avoir réalisé en moi le grand prodige d’être conçue sans la tache originelle. Oh ! comme ils se sont trompés ! En effet, Dieu me demanda une épreuve qu’il n’avait demandée à personne d’autre. Il fit ainsi avec justice et sagesse car, comme le Verbe Éternel devait descendre en moi, il aurait été inconvenant qu’il trouve en moi la faute originelle ; il aurait été tout aussi inconvenant qu’une volonté humaine opère en moi. Voilà pourquoi Dieu me demanda ma propre volonté comme épreuve, non seulement pour un peu de temps, mais pour ma vie entière, afin que soit sécurisée la vie de la Divine Volonté dans mon âme. Une fois cela réalisé, Dieu pouvait accomplir en moi tous ses désirs selon sa convenance. Il pouvait tout me donner et, je peux le dire, il ne me refusa rien. Au cours de mes leçons, je t’expliquerai ce que la Divine Volonté fit en moi. Pour l’instant, reprenons à l’endroit où nous en étions. Après mon triomphe sur l’épreuve, la Divine Volonté fit son sixième pas dans mon âme en me faisant prendre possession de toutes les qualités divines, dans la mesure où cela était possible pour une créature. Tout m’appartenait : le Ciel et la terre, et même Dieu, dont je possédais la Volonté. Je me sentais maîtresse de la sainteté, de l’amour, de la beauté, de la puissance, de la sagesse et de la bonté de Dieu. Je me sentais comme la Reine de tout. Je ne me sentais aucunement étrangère dans la maison de mon Père Céleste. Je sentais vivement sa paternité et la joie suprême d’être sa fille bien-aimée. Je peux dire que j’ai été élevée sur les genoux paternels de Dieu et que je ne connus pas d’autre amour ni d’autre science que celles que mon Créateur me donnait. Qui pourrait dire ce que la Divine Volonté fit en moi ? Elle m’éleva à une telle hauteur et m’embellit tellement que les anges en étaient muets, ne sachant pas par quel bout commencer quand ils voulaient parler de moi.
À présent, ma très chère fille, tu dois savoir que dès que la Divine Volonté me fit prendre possession de tout, je sentis que je possédais non seulement toutes les choses mais aussi tous les êtres. Par sa puissance, son immensité et son infinité, Dieu enferma toutes les créatures dans mon âme et je sentais que j’avais dans mon Coeur une place pour chacune d’elles. Ainsi, à partir du moment où je fus conçue, je te portais dans mon Coeur. Oh ! comme je t’aimais et que je t’aime encore ! C’est à travers mon amour pour toi que je remplis devant Dieu mon rôle de Mère auprès de toi. Mes prières et mes soupirs sont pour toi et, dans mon enthousiasme maternel, je te dis : « Comme j’aimerais voir mon enfant en possession de tout comme moi ! » Ma fille, écoute bien ta Maman. Renonce totalement à ta volonté humaine. Si tu fais ainsi, tout sera en commun entre toi et moi. Tu auras la force divine à ta disposition. Pour toi, tout sera converti en sainteté, en beauté et en amour divins. Et puisque le Très-Haut m’exalta en me disant : « Marie, tu es toute belle, toute pure et toute sainte », je te dirai dans l’ardeur de mon amour : « Belle, pure et sainte est ma fille, parce qu’elle possède la Divine Volonté. » L’âme :
Reine du Ciel, moi aussi je veux te saluer : « Toute belle, toute pure et toute sainte est ma céleste Maman. » Et si tu as une petite place pour moi dans ton Coeur, je t’en prie, enferme-moi en son intérieur et, ainsi, je serai certaine de ne jamais faire ma volonté, mais toujours celle de mon Dieu. Et nous serons heureuses toutes les deux, Mère et fille. Petite pratique :
Aujourd’hui, à trois reprises, tu réciteras en mon honneur trois Gloire au Père pour remercier la Très Sainte Trinité d’avoir établi en moi le Royaume de la Divine Volonté et de m’avoir ainsi donné possession de tout. De plus, en faisant tiennes les paroles de l’Être Suprême à mon endroit, tu me diras après chaque Gloire au Père : « Toute belle, toute pure et toute sainte est ma Maman. » Oraison jaculatoire :
Reine du Ciel, fais que je sois totalement habitée par la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Ven 6 Mai - 18:55 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Sixième jour
Sixième pas de la Divine Volonté en la Reine du Ciel. Après le triomphe sur l’épreuve, la possession.
L’âme à la Vierge :
Maman Reine, je vois que tu m’attends encore et que tu me tends les bras pour que je vienne sur tes genoux afin de me presser sur ton Coeur et de me faire ressentir la vie de la Divine Volonté qui est en toi. Oh ! que sa chaleur est bienfaisante ! Que sa lumière est pénétrante ! Sainte Mère, puisque tu m’aimes tant, plonge le petit atome que je suis dans le soleil de la Divine Volonté qui est en toi. Que moi aussi je puisse dire : « Ma volonté n’a plus de vie ; ma vie est la Divine Volonté. » Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille bien-aimée, aie confiance en ta Maman et sois attentive à ses leçons qui t’aideront à avoir en horreur ta volonté personnelle et à désirer ardemment que celle de Dieu prenne toute la place en toi, comme cela est son souhait le plus ardent. Ma fille, c’est seulement après que j’eus surmonté l’épreuve à laquelle j’étais soumise par la Divinité que celle-ci se trouva assurée de ma fidélité. Tous croyaient que je n’ai eu à subir aucune épreuve et qu’il a suffi à Dieu d’avoir réalisé en moi le grand prodige d’être conçue sans la tache originelle. Oh ! comme ils se sont trompés ! En effet, Dieu me demanda une épreuve qu’il n’avait demandée à personne d’autre. Il fit ainsi avec justice et sagesse car, comme le Verbe Éternel devait descendre en moi, il aurait été inconvenant qu’il trouve en moi la faute originelle ; il aurait été tout aussi inconvenant qu’une volonté humaine opère en moi. Voilà pourquoi Dieu me demanda ma propre volonté comme épreuve, non seulement pour un peu de temps, mais pour ma vie entière, afin que soit sécurisée la vie de la Divine Volonté dans mon âme. Une fois cela réalisé, Dieu pouvait accomplir en moi tous ses désirs selon sa convenance. Il pouvait tout me donner et, je peux le dire, il ne me refusa rien. Au cours de mes leçons, je t’expliquerai ce que la Divine Volonté fit en moi. Pour l’instant, reprenons à l’endroit où nous en étions. Après mon triomphe sur l’épreuve, la Divine Volonté fit son sixième pas dans mon âme en me faisant prendre possession de toutes les qualités divines, dans la mesure où cela était possible pour une créature. Tout m’appartenait : le Ciel et la terre, et même Dieu, dont je possédais la Volonté. Je me sentais maîtresse de la sainteté, de l’amour, de la beauté, de la puissance, de la sagesse et de la bonté de Dieu. Je me sentais comme la Reine de tout. Je ne me sentais aucunement étrangère dans la maison de mon Père Céleste. Je sentais vivement sa paternité et la joie suprême d’être sa fille bien-aimée. Je peux dire que j’ai été élevée sur les genoux paternels de Dieu et que je ne connus pas d’autre amour ni d’autre science que celles que mon Créateur me donnait. Qui pourrait dire ce que la Divine Volonté fit en moi ? Elle m’éleva à une telle hauteur et m’embellit tellement que les anges en étaient muets, ne sachant pas par quel bout commencer quand ils voulaient parler de moi.
À présent, ma très chère fille, tu dois savoir que dès que la Divine Volonté me fit prendre possession de tout, je sentis que je possédais non seulement toutes les choses mais aussi tous les êtres. Par sa puissance, son immensité et son infinité, Dieu enferma toutes les créatures dans mon âme et je sentais que j’avais dans mon Coeur une place pour chacune d’elles. Ainsi, à partir du moment où je fus conçue, je te portais dans mon Coeur. Oh ! comme je t’aimais et que je t’aime encore ! C’est à travers mon amour pour toi que je remplis devant Dieu mon rôle de Mère auprès de toi. Mes prières et mes soupirs sont pour toi et, dans mon enthousiasme maternel, je te dis : « Comme j’aimerais voir mon enfant en possession de tout comme moi ! » Ma fille, écoute bien ta Maman. Renonce totalement à ta volonté humaine. Si tu fais ainsi, tout sera en commun entre toi et moi. Tu auras la force divine à ta disposition. Pour toi, tout sera converti en sainteté, en beauté et en amour divins. Et puisque le Très-Haut m’exalta en me disant : « Marie, tu es toute belle, toute pure et toute sainte », je te dirai dans l’ardeur de mon amour : « Belle, pure et sainte est ma fille, parce qu’elle possède la Divine Volonté. » L’âme :
Reine du Ciel, moi aussi je veux te saluer : « Toute belle, toute pure et toute sainte est ma céleste Maman. » Et si tu as une petite place pour moi dans ton Coeur, je t’en prie, enferme-moi en son intérieur et, ainsi, je serai certaine de ne jamais faire ma volonté, mais toujours celle de mon Dieu. Et nous serons heureuses toutes les deux, Mère et fille. Petite pratique :
Aujourd’hui, à trois reprises, tu réciteras en mon honneur trois Gloire au Père pour remercier la Très Sainte Trinité d’avoir établi en moi le Royaume de la Divine Volonté et de m’avoir ainsi donné possession de tout. De plus, en faisant tiennes les paroles de l’Être Suprême à mon endroit, tu me diras après chaque Gloire au Père : « Toute belle, toute pure et toute sainte est ma Maman. » Oraison jaculatoire :
Reine du Ciel, fais que je sois totalement habitée par la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Sam 7 Mai - 8:42 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. » Septième jour
La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté reçoit le sceptre de commande : la Très Sainte Trinité en fait sa Secrétaire.
L’âme à la divine Secrétaire :
Souveraine Maman, vois ta fille prosternée à tes pieds et qui ne peut vivre sans toi. Même si, aujourd’hui, tu viens à moi avec ton sceptre de commande et ta couronne royale, tu es quand même ma Maman. Toute tremblante, je me jette dans tes bras pour que tu soignes les blessures que j’ai faites à mon âme en faisant ma propre volonté. Écoute, ma souveraine Maman, si tu n’opères pas un prodige et ne prends pas ton sceptre de commande pour me guider dans tous mes actes et empêcher ma volonté de commander en moi, je ne parviendrai jamais à établir ma vie dans le Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, viens dans les bras de ta Maman et sois bien attentive. Je vais te parler des prodiges inouïs que la Divine Volonté a accomplis en ta céleste Maman. Les six pas faits en moi par la Divinité et décrits plus haut correspondent aux six jours de la Création. À chacun des jours de la Création, Dieu prononça un Fiat. C’était comme s’il franchissait une étape à chaque fois. Au sixième jour, il franchit la dernière étape en disant : « Fiat, faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance. » Le septième jour, il se reposa de ses travaux comme pour contempler tout ce qu’il avait créé avec tant de magnificence. En regardant son travail, il dit : « Mes travaux sont d’une merveilleuse beauté ! Tout y est parfait, ordonné et harmonieux ! » Regardant l’homme, il dit dans l’ardeur de son amour : « Ce que j’ai fait de plus magnifique, c’est l’homme ; il est le chef-d’oeuvre, la couronne de toutes mes oeuvres. » Ma Conception surpassa tous les prodiges de la Création et c’est ainsi que le Créateur voulut que le Fiat qu’il prononça sur moi se fasse en six étapes, comme pour l’ensemble de la Création. Au moment où je pris possession du Royaume de la Divine Volonté, les étapes en moi prirent fin et commença dans mon âme la vie complète de la Divine Volonté. Oh ! à quelles divines hauteurs le Très-Haut me plaça ! Les cieux ne pouvaient ni m’atteindre, ni me contenir. La lumière du soleil était petite devant la mienne. Aucune chose créée ne pouvait me dépasser. Je nageais dans les océans divins comme s’ils étaient miens. Le Père Céleste, le Fils et le Saint-Esprit aimaient ardemment me tenir dans leurs bras pour chérir leur petite fille. Quel bonheur pour eux de constater que je les aimais, les priais et les adorais à partir de la Divine Volonté qui se trouvait dans le centre de mon âme.
Ils savouraient les vagues d’amour divin, les chastes fragrances et les joies indicibles qui provenaient du ciel que leur Divine Volonté avait formé dans la petitesse de mon être, à tel point qu’ils ne cessaient de répéter : « Toute belle, toute pure et toute sainte est notre petite fille. Ses paroles sont des chaînes qui nous lient, ses regards des dards qui nous transpercent, ses battements de coeur des flèches qui nous plongent dans un amour délirant. » Le rayonnement de leur Divine Volonté qui émanait de moi nous rendait inséparables. Ils m’appelaient notre fille invincible qui sera victorieuse de tout, même de notre Être divin. Dans un excès d’amour pour moi, la Très Sainte Trinité me dit : « Fille bien-aimée, notre amour pour toi suffoquera si nous ne te disons pas nos secrets. En conséquence, nous faisons de toi notre Secrétaire. Nous voulons te confier nos peines et nos décrets. Quel qu’en soit le prix, nous voulons sauver l’homme. Vois comme il se dirige vers le précipice. Ses rébellions l’entraînent continuellement vers le mal. Parce qu’il n’a pas en lui la vie, la force et le support de la Divine Volonté, il dévie des voies de son Créateur et se traîne sur la terre dans la faiblesse, la maladie et tous les vices.
« Il n’y a pas d’autre moyen de le sauver que par la descente sur la terre du Verbe Éternel qui prendra son apparence humaine, avec ses misères et ses péchés. Le Verbe Éternel deviendra son frère, le conquerra à force d’amour et de souffrances ; il lui donnera tellement de confiance qu’il le ramènera dans nos bras paternels. Oh ! comme le sort de l’homme nous afflige ! « Notre peine est immense et nous ne pouvons confier la tâche à personne d’autre. N’ayant pas la Divine Volonté en lui, l’homme ne peut comprendre ni nos souffrances ni la grave méchanceté de l’homme tombé dans le péché.
« À toi qui possèdes notre Divine Volonté, il est donné la possibilité de comprendre cela. Par conséquent, en tant que notre Secrétaire, nous voulons te révéler nos secrets et mettre entre tes mains le sceptre de commande pour que tu puisses tout dominer et tout gouverner. Ta domination pourra convaincre Dieu et les hommes et nous les ramener en tant que nos enfants régénérés dans ton Coeur maternel. » Qui pourrait dire, ma chère fille, ce que mon Coeur ressentit à ces paroles divines ? Une souffrance intense m’envahit et je résolus, au risque de ma vie, de conquérir Dieu et les créatures, et de les réunir. Ma fille, écoute bien ta Maman. Tu avais l’air surprise en m’entendant te raconter l’histoire de mon entrée dans le Royaume de la Divine Volonté. Sache que c’est aussi ta destinée. Si tu décides de ne jamais faire ta volonté, la Divine Volonté formera son Ciel dans ton âme. Tu te sentiras inséparable de Dieu. Le sceptre de commande sur toi-même et sur tes passions te sera donné. Tu ne seras plus esclave de toi-même, car la volonté humaine rend la créature esclave et l’empêche de s’élancer vers son Créateur et Père Céleste. Avec sa volonté humaine, il est impossible à l’homme de connaître les secrets du grand amour avec lequel le Père l’aime. Il est comme un étranger dans la maison de son Père Divin. Quelle distance la volonté humaine établit entre le Créateur et la créature ! Écoute-moi bien et fais-moi plaisir : dis-moi que tu ne donneras plus jamais vie à ta volonté humaine et je t’emplirai complètement de la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, aide-moi. Ne vois-tu pas ma faiblesse ? Tes merveilleuses leçons m’émeuvent jusqu’aux larmes et je pleure sur les nombreuses fois où j’ai fait ma propre volonté, m’étant ainsi éloignée de la Volonté de mon Créateur. Oh ! s’il te plaît, douce Maman, ne me laisse pas à moi-même. Unis ma volonté à la Divine Volonté et enferme-moi dans ton Coeur maternel où je serai certaine de ne jamais faire ma propre volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu resteras sous mon manteau pour vivre sous ma surveillance. En m’adressant trois Je te salue Marie, tu me prieras de faire connaître la Divine Volonté à tous. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, enferme-moi dans ton Cœur pour que je puisse y apprendre la manière de vivre dans la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Sam 7 Mai - 18:00 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. » Septième jour
La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté reçoit le sceptre de commande : la Très Sainte Trinité en fait sa Secrétaire.
L’âme à la divine Secrétaire :
Souveraine Maman, vois ta fille prosternée à tes pieds et qui ne peut vivre sans toi. Même si, aujourd’hui, tu viens à moi avec ton sceptre de commande et ta couronne royale, tu es quand même ma Maman. Toute tremblante, je me jette dans tes bras pour que tu soignes les blessures que j’ai faites à mon âme en faisant ma propre volonté. Écoute, ma souveraine Maman, si tu n’opères pas un prodige et ne prends pas ton sceptre de commande pour me guider dans tous mes actes et empêcher ma volonté de commander en moi, je ne parviendrai jamais à établir ma vie dans le Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, viens dans les bras de ta Maman et sois bien attentive. Je vais te parler des prodiges inouïs que la Divine Volonté a accomplis en ta céleste Maman. Les six pas faits en moi par la Divinité et décrits plus haut correspondent aux six jours de la Création. À chacun des jours de la Création, Dieu prononça un Fiat. C’était comme s’il franchissait une étape à chaque fois. Au sixième jour, il franchit la dernière étape en disant : « Fiat, faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance. » Le septième jour, il se reposa de ses travaux comme pour contempler tout ce qu’il avait créé avec tant de magnificence. En regardant son travail, il dit : « Mes travaux sont d’une merveilleuse beauté ! Tout y est parfait, ordonné et harmonieux ! » Regardant l’homme, il dit dans l’ardeur de son amour : « Ce que j’ai fait de plus magnifique, c’est l’homme ; il est le chef-d’oeuvre, la couronne de toutes mes oeuvres. » Ma Conception surpassa tous les prodiges de la Création et c’est ainsi que le Créateur voulut que le Fiat qu’il prononça sur moi se fasse en six étapes, comme pour l’ensemble de la Création. Au moment où je pris possession du Royaume de la Divine Volonté, les étapes en moi prirent fin et commença dans mon âme la vie complète de la Divine Volonté. Oh ! à quelles divines hauteurs le Très-Haut me plaça ! Les cieux ne pouvaient ni m’atteindre, ni me contenir. La lumière du soleil était petite devant la mienne. Aucune chose créée ne pouvait me dépasser. Je nageais dans les océans divins comme s’ils étaient miens. Le Père Céleste, le Fils et le Saint-Esprit aimaient ardemment me tenir dans leurs bras pour chérir leur petite fille. Quel bonheur pour eux de constater que je les aimais, les priais et les adorais à partir de la Divine Volonté qui se trouvait dans le centre de mon âme.
Ils savouraient les vagues d’amour divin, les chastes fragrances et les joies indicibles qui provenaient du ciel que leur Divine Volonté avait formé dans la petitesse de mon être, à tel point qu’ils ne cessaient de répéter : « Toute belle, toute pure et toute sainte est notre petite fille. Ses paroles sont des chaînes qui nous lient, ses regards des dards qui nous transpercent, ses battements de coeur des flèches qui nous plongent dans un amour délirant. » Le rayonnement de leur Divine Volonté qui émanait de moi nous rendait inséparables. Ils m’appelaient notre fille invincible qui sera victorieuse de tout, même de notre Être divin. Dans un excès d’amour pour moi, la Très Sainte Trinité me dit : « Fille bien-aimée, notre amour pour toi suffoquera si nous ne te disons pas nos secrets. En conséquence, nous faisons de toi notre Secrétaire. Nous voulons te confier nos peines et nos décrets. Quel qu’en soit le prix, nous voulons sauver l’homme. Vois comme il se dirige vers le précipice. Ses rébellions l’entraînent continuellement vers le mal. Parce qu’il n’a pas en lui la vie, la force et le support de la Divine Volonté, il dévie des voies de son Créateur et se traîne sur la terre dans la faiblesse, la maladie et tous les vices.
« Il n’y a pas d’autre moyen de le sauver que par la descente sur la terre du Verbe Éternel qui prendra son apparence humaine, avec ses misères et ses péchés. Le Verbe Éternel deviendra son frère, le conquerra à force d’amour et de souffrances ; il lui donnera tellement de confiance qu’il le ramènera dans nos bras paternels. Oh ! comme le sort de l’homme nous afflige ! « Notre peine est immense et nous ne pouvons confier la tâche à personne d’autre. N’ayant pas la Divine Volonté en lui, l’homme ne peut comprendre ni nos souffrances ni la grave méchanceté de l’homme tombé dans le péché.
« À toi qui possèdes notre Divine Volonté, il est donné la possibilité de comprendre cela. Par conséquent, en tant que notre Secrétaire, nous voulons te révéler nos secrets et mettre entre tes mains le sceptre de commande pour que tu puisses tout dominer et tout gouverner. Ta domination pourra convaincre Dieu et les hommes et nous les ramener en tant que nos enfants régénérés dans ton Coeur maternel. » Qui pourrait dire, ma chère fille, ce que mon Coeur ressentit à ces paroles divines ? Une souffrance intense m’envahit et je résolus, au risque de ma vie, de conquérir Dieu et les créatures, et de les réunir. Ma fille, écoute bien ta Maman. Tu avais l’air surprise en m’entendant te raconter l’histoire de mon entrée dans le Royaume de la Divine Volonté. Sache que c’est aussi ta destinée. Si tu décides de ne jamais faire ta volonté, la Divine Volonté formera son Ciel dans ton âme. Tu te sentiras inséparable de Dieu. Le sceptre de commande sur toi-même et sur tes passions te sera donné. Tu ne seras plus esclave de toi-même, car la volonté humaine rend la créature esclave et l’empêche de s’élancer vers son Créateur et Père Céleste. Avec sa volonté humaine, il est impossible à l’homme de connaître les secrets du grand amour avec lequel le Père l’aime. Il est comme un étranger dans la maison de son Père Divin. Quelle distance la volonté humaine établit entre le Créateur et la créature ! Écoute-moi bien et fais-moi plaisir : dis-moi que tu ne donneras plus jamais vie à ta volonté humaine et je t’emplirai complètement de la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, aide-moi. Ne vois-tu pas ma faiblesse ? Tes merveilleuses leçons m’émeuvent jusqu’aux larmes et je pleure sur les nombreuses fois où j’ai fait ma propre volonté, m’étant ainsi éloignée de la Volonté de mon Créateur. Oh ! s’il te plaît, douce Maman, ne me laisse pas à moi-même. Unis ma volonté à la Divine Volonté et enferme-moi dans ton Coeur maternel où je serai certaine de ne jamais faire ma propre volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu resteras sous mon manteau pour vivre sous ma surveillance. En m’adressant trois Je te salue Marie, tu me prieras de faire connaître la Divine Volonté à tous. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, enferme-moi dans ton Cœur pour que je puisse y apprendre la manière de vivre dans la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 8 Mai - 9:20 | |
| Huitième jour
La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté reçoit le mandat de son Créateur de mettre la destinée de l’espèce humaine en sûreté.
L’âme à la divine Mandataire :
Me voici, ô céleste Maman. Je ne peux me priver de toi. Mon pauvre coeur est sans repos jusqu’à ce que je me retrouve sur tes genoux et me presse sur ton Coeur pour écouter tes leçons. Ta charmante voix adoucit mon amertume et captive ma volonté ; je la dépose aux pieds de la Divine Volonté afin qu’elle me fasse ressentir sa douce domination et sa félicité. Leçon de la céleste Mandataire :
Ma fille, je t’aime tellement ! Fais confiance à ta Maman et sois sûre que tu auras la victoire sur ta volonté humaine. Si tu m’es fidèle, je me sentirai pleinement responsable de toi et me comporterai envers toi comme ta véritable Maman. Écoute bien ce que je fis auprès du Très-Haut. Rien d’autre que de demeurer sur les genoux de mon Père Céleste. J’étais très petite, pas même encore née mais, parce que j’avais en moi la vie de la Divine Volonté, je pouvais me permettre de visiter mon Créateur. Toutes les portes et tous les chemins m’étaient grands ouverts et je n’étais nullement effrayée par mon Dieu. La volonté humaine permet la frayeur et la méfiance vis-à-vis de Dieu, lui qui aime tellement ses créatures et qui désire tant être entouré d’elles. Si les créatures ont peur de leur Créateur et ne savent pas se comporter comme des enfants face à lui, elles vivent le martyre que leur impose leur volonté humaine. Donc, ne fais jamais ta propre volonté et, ainsi, ne sois pas martyre de toi-même. Je me maintenais dans les bras de la Divinité qui versait sans cesse en mon âme d’étonnants cadeaux, de nouveaux océans d’amour et de sainteté. Je priais pour l’espèce humaine. Souvent, dans les larmes et les soupirs, j’ai prié pour toi et pour tous. Je pleurais à cause de la volonté humaine rebelle qui vous maintient en esclavage et vous rend malheureux. Vous voyant ainsi malheureux me faisait verser des larmes amères qui baignaient les mains de notre Père Céleste. Émue par mes pleurs, la Divinité me dit : « Fille bien-aimée, ton amour nous touche au point que nous ne savons pas comment te résister ; tes larmes éteignent le feu de la justice divine, tes prières nous rapprochent des créatures. Pour ces motifs, nous te confions le mandat de mettre en sûreté la destinée de l’espèce humaine. Tu seras notre mandataire auprès d’eux. Nous te confions leurs âmes. Tu défendras nos droits brimés par leurs péchés. Tu rétabliras les ponts entre eux et nous. Tu portes en toi la force invincible de notre Divine Volonté, qui prie et pleure à travers toi. Qui donc pourra te résister ? Tes prières sont pour nous des ordres. Tes larmes triomphent de notre Divinité. Dès lors, empresse-toi d’accomplir ta mission. » Mon petit Coeur se sentit consumé d’amour par ces propos divins si remplis d’amour et, de tout mon Coeur, j’acceptai cette proposition en disant : « Très haute Majesté, je suis entre tes bras, dispose de moi selon ton bon plaisir. Je suis prête à te donner ma vie et, si je disposais d’autant de vies qu’il y a de créatures, je les mettrais toutes à ta disposition afin que toutes reviennent en toute sécurité dans tes bras paternels. » Même si, à ce moment-là, j’ignorais que j’allais devenir la Mère du Verbe Divin, je sentis monter en moi une double maternité : une maternité envers Dieu pour défendre ses justes droits et une maternité envers les créatures pour assurer leur sécurité. Je me sentis Mère de chacun. La Divine Volonté, qui régnait en moi et qui ne sait pas faire les choses à moitié, plaça en moi toutes les créatures de tous les siècles. Dans mon Coeur maternel, je sentis le Dieu offensé qui demandait satisfaction et les créatures ayant à subir la justice divine. Oh ! que de larmes j’ai versées ! Je désirais que ces larmes descendent dans tous les coeurs pour que chacun sente ma maternité amoureuse. J’ai pleuré pour toi et pour chacun. Aie pitié de mes larmes, ma fille ; prends-les pour éteindre tes passions et pour annihiler ta volonté humaine. Oh ! s’il te plaît, accepte mon mandat en faisant toujours la Volonté de ton Créateur. L’âme :
Céleste Maman, mon pauvre coeur ne peut résister à tant d’amour. Je sens tes larmes descendre dans mon coeur et, comme des flèches d’amour, me toucher et me faire réaliser combien tu m’aimes. Je mêle mes larmes aux tiennes et te prie de ne jamais me laisser seule et de me surveiller dans tout ce que je fais. Punis-moi, au besoin. Sois ma Maman et moi, en tant que ta petite fille, je te laisserai faire de moi ce que tu voudras afin que, en exerçant sur moi ton divin mandat, tu m’emmènes dans les bras de notre Père Céleste. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’apporteras ta volonté, tes souffrances, tes peines, tes larmes et tes peurs, et tu les déposeras dans mes mains maternelles afin que je les place dans mon Coeur comme gages pour ma fille. Je te donnerai en échange le gage précieux de la Divine Volonté. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, verse tes larmes dans mon âme pour soigner mes blessures causées par ma volonté humaine. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 8 Mai - 9:24 | |
| Huitième jour
La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté reçoit le mandat de son Créateur de mettre la destinée de l’espèce humaine en sûreté.
L’âme à la divine Mandataire :
Me voici, ô céleste Maman. Je ne peux me priver de toi. Mon pauvre coeur est sans repos jusqu’à ce que je me retrouve sur tes genoux et me presse sur ton Coeur pour écouter tes leçons. Ta charmante voix adoucit mon amertume et captive ma volonté ; je la dépose aux pieds de la Divine Volonté afin qu’elle me fasse ressentir sa douce domination et sa félicité. Leçon de la céleste Mandataire :
Ma fille, je t’aime tellement ! Fais confiance à ta Maman et sois sûre que tu auras la victoire sur ta volonté humaine. Si tu m’es fidèle, je me sentirai pleinement responsable de toi et me comporterai envers toi comme ta véritable Maman. Écoute bien ce que je fis auprès du Très-Haut. Rien d’autre que de demeurer sur les genoux de mon Père Céleste. J’étais très petite, pas même encore née mais, parce que j’avais en moi la vie de la Divine Volonté, je pouvais me permettre de visiter mon Créateur. Toutes les portes et tous les chemins m’étaient grands ouverts et je n’étais nullement effrayée par mon Dieu. La volonté humaine permet la frayeur et la méfiance vis-à-vis de Dieu, lui qui aime tellement ses créatures et qui désire tant être entouré d’elles. Si les créatures ont peur de leur Créateur et ne savent pas se comporter comme des enfants face à lui, elles vivent le martyre que leur impose leur volonté humaine. Donc, ne fais jamais ta propre volonté et, ainsi, ne sois pas martyre de toi-même. Je me maintenais dans les bras de la Divinité qui versait sans cesse en mon âme d’étonnants cadeaux, de nouveaux océans d’amour et de sainteté. Je priais pour l’espèce humaine. Souvent, dans les larmes et les soupirs, j’ai prié pour toi et pour tous. Je pleurais à cause de la volonté humaine rebelle qui vous maintient en esclavage et vous rend malheureux. Vous voyant ainsi malheureux me faisait verser des larmes amères qui baignaient les mains de notre Père Céleste. Émue par mes pleurs, la Divinité me dit : « Fille bien-aimée, ton amour nous touche au point que nous ne savons pas comment te résister ; tes larmes éteignent le feu de la justice divine, tes prières nous rapprochent des créatures. Pour ces motifs, nous te confions le mandat de mettre en sûreté la destinée de l’espèce humaine. Tu seras notre mandataire auprès d’eux. Nous te confions leurs âmes. Tu défendras nos droits brimés par leurs péchés. Tu rétabliras les ponts entre eux et nous. Tu portes en toi la force invincible de notre Divine Volonté, qui prie et pleure à travers toi. Qui donc pourra te résister ? Tes prières sont pour nous des ordres. Tes larmes triomphent de notre Divinité. Dès lors, empresse-toi d’accomplir ta mission. » Mon petit Coeur se sentit consumé d’amour par ces propos divins si remplis d’amour et, de tout mon Coeur, j’acceptai cette proposition en disant : « Très haute Majesté, je suis entre tes bras, dispose de moi selon ton bon plaisir. Je suis prête à te donner ma vie et, si je disposais d’autant de vies qu’il y a de créatures, je les mettrais toutes à ta disposition afin que toutes reviennent en toute sécurité dans tes bras paternels. » Même si, à ce moment-là, j’ignorais que j’allais devenir la Mère du Verbe Divin, je sentis monter en moi une double maternité : une maternité envers Dieu pour défendre ses justes droits et une maternité envers les créatures pour assurer leur sécurité. Je me sentis Mère de chacun. La Divine Volonté, qui régnait en moi et qui ne sait pas faire les choses à moitié, plaça en moi toutes les créatures de tous les siècles. Dans mon Coeur maternel, je sentis le Dieu offensé qui demandait satisfaction et les créatures ayant à subir la justice divine. Oh ! que de larmes j’ai versées ! Je désirais que ces larmes descendent dans tous les coeurs pour que chacun sente ma maternité amoureuse. J’ai pleuré pour toi et pour chacun. Aie pitié de mes larmes, ma fille ; prends-les pour éteindre tes passions et pour annihiler ta volonté humaine. Oh ! s’il te plaît, accepte mon mandat en faisant toujours la Volonté de ton Créateur. L’âme :
Céleste Maman, mon pauvre coeur ne peut résister à tant d’amour. Je sens tes larmes descendre dans mon coeur et, comme des flèches d’amour, me toucher et me faire réaliser combien tu m’aimes. Je mêle mes larmes aux tiennes et te prie de ne jamais me laisser seule et de me surveiller dans tout ce que je fais. Punis-moi, au besoin. Sois ma Maman et moi, en tant que ta petite fille, je te laisserai faire de moi ce que tu voudras afin que, en exerçant sur moi ton divin mandat, tu m’emmènes dans les bras de notre Père Céleste. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’apporteras ta volonté, tes souffrances, tes peines, tes larmes et tes peurs, et tu les déposeras dans mes mains maternelles afin que je les place dans mon Coeur comme gages pour ma fille. Je te donnerai en échange le gage précieux de la Divine Volonté. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, verse tes larmes dans mon âme pour soigner mes blessures causées par ma volonté humaine.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 8 Mai - 9:26 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Huitième jour
La Reine du Ciel dans le Royaume de la Divine Volonté reçoit le mandat de son Créateur de mettre la destinée de l’espèce humaine en sûreté.
L’âme à la divine Mandataire :
Me voici, ô céleste Maman. Je ne peux me priver de toi. Mon pauvre coeur est sans repos jusqu’à ce que je me retrouve sur tes genoux et me presse sur ton Coeur pour écouter tes leçons. Ta charmante voix adoucit mon amertume et captive ma volonté ; je la dépose aux pieds de la Divine Volonté afin qu’elle me fasse ressentir sa douce domination et sa félicité. Leçon de la céleste Mandataire :
Ma fille, je t’aime tellement ! Fais confiance à ta Maman et sois sûre que tu auras la victoire sur ta volonté humaine. Si tu m’es fidèle, je me sentirai pleinement responsable de toi et me comporterai envers toi comme ta véritable Maman. Écoute bien ce que je fis auprès du Très-Haut. Rien d’autre que de demeurer sur les genoux de mon Père Céleste. J’étais très petite, pas même encore née mais, parce que j’avais en moi la vie de la Divine Volonté, je pouvais me permettre de visiter mon Créateur. Toutes les portes et tous les chemins m’étaient grands ouverts et je n’étais nullement effrayée par mon Dieu.
La volonté humaine permet la frayeur et la méfiance vis-à-vis de Dieu, lui qui aime tellement ses créatures et qui désire tant être entouré d’elles. Si les créatures ont peur de leur Créateur et ne savent pas se comporter comme des enfants face à lui, elles vivent le martyre que leur impose leur volonté humaine. Donc, ne fais jamais ta propre volonté et, ainsi, ne sois pas martyre de toi-même. Je me maintenais dans les bras de la Divinité qui versait sans cesse en mon âme d’étonnants cadeaux, de nouveaux océans d’amour et de sainteté. Je priais pour l’espèce humaine. Souvent, dans les larmes et les soupirs, j’ai prié pour toi et pour tous. Je pleurais à cause de la volonté humaine rebelle qui vous maintient en esclavage et vous rend malheureux. Vous voyant ainsi malheureux me faisait verser des larmes amères qui baignaient les mains de notre Père Céleste. Émue par mes pleurs, la Divinité me dit : « Fille bien-aimée, ton amour nous touche au point que nous ne savons pas comment te résister ; tes larmes éteignent le feu de la justice divine, tes prières nous rapprochent des créatures. Pour ces motifs, nous te confions le mandat de mettre en sûreté la destinée de l’espèce humaine. Tu seras notre mandataire auprès d’eux. Nous te confions leurs âmes. Tu défendras nos droits brimés par leurs péchés. Tu rétabliras les ponts entre eux et nous. Tu portes en toi la force invincible de notre Divine Volonté, qui prie et pleure à travers toi. Qui donc pourra te résister ? Tes prières sont pour nous des ordres. Tes larmes triomphent de notre Divinité. Dès lors, empresse-toi d’accomplir ta mission. » Mon petit Coeur se sentit consumé d’amour par ces propos divins si remplis d’amour et, de tout mon Coeur, j’acceptai cette proposition en disant : « Très haute Majesté, je suis entre tes bras, dispose de moi selon ton bon plaisir. Je suis prête à te donner ma vie et, si je disposais d’autant de vies qu’il y a de créatures, je les mettrais toutes à ta disposition afin que toutes reviennent en toute sécurité dans tes bras paternels. » Même si, à ce moment-là, j’ignorais que j’allais devenir la Mère du Verbe Divin, je sentis monter en moi une double maternité : une maternité envers Dieu pour défendre ses justes droits et une maternité envers les créatures pour assurer leur sécurité. Je me sentis Mère de chacun. La Divine Volonté, qui régnait en moi et qui ne sait pas faire les choses à moitié, plaça en moi toutes les créatures de tous les siècles. Dans mon Coeur maternel, je sentis le Dieu offensé qui demandait satisfaction et les créatures ayant à subir la justice divine. Oh ! que de larmes j’ai versées ! Je désirais que ces larmes descendent dans tous les coeurs pour que chacun sente ma maternité amoureuse. J’ai pleuré pour toi et pour chacun. Aie pitié de mes larmes, ma fille ; prends-les pour éteindre tes passions et pour annihiler ta volonté humaine. Oh ! s’il te plaît, accepte mon mandat en faisant toujours la Volonté de ton Créateur. L’âme :
Céleste Maman, mon pauvre coeur ne peut résister à tant d’amour. Je sens tes larmes descendre dans mon coeur et, comme des flèches d’amour, me toucher et me faire réaliser combien tu m’aimes. Je mêle mes larmes aux tiennes et te prie de ne jamais me laisser seule et de me surveiller dans tout ce que je fais. Punis-moi, au besoin. Sois ma Maman et moi, en tant que ta petite fille, je te laisserai faire de moi ce que tu voudras afin que, en exerçant sur moi ton divin mandat, tu m’emmènes dans les bras de notre Père Céleste. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’apporteras ta volonté, tes souffrances, tes peines, tes larmes et tes peurs, et tu les déposeras dans mes mains maternelles afin que je les place dans mon Coeur comme gages pour ma fille. Je te donnerai en échange le gage précieux de la Divine Volonté. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, verse tes larmes dans mon âme pour soigner mes blessures causées par ma volonté humaine.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 9 Mai - 5:34 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Neuvième jour
La Reine céleste dans le Royaume de la Divine Volonté est établie Lien de paix entre le Créateur et les créatures.
L’âme à sa céleste Reine :
Souveraine Dame et chère Maman, tu m’interpelles par l’amour ardent qui brûle dans ton Coeur alors que tu veux me raconter ce que tu as fait pour ta fille dans le Royaume de la Divine Volonté. Je te vois diriger tes pas vers ton Créateur qui est émerveillé par la pureté de ton regard. Charmé par ton sourire candide, il te sourit lui aussi et a bien hâte de s’amuser avec toi. Sainte Maman, dans la joie et les sourires que tu échanges avec ton Créateur, n’oublie pas ton enfant en exil dont la faible volonté cherche toujours à l’éloigner du Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Fille de mon Coeur, n’aie pas peur, je ne t’oublierai jamais. Si tu fais toujours la Volonté Divine et vis dans son Royaume, nous serons inséparables. Je te tiendrai sans cesse par la main pour te guider et t’enseigner la manière de vivre dans la Divine Volonté. Chasse toute crainte car, dans la Divine Volonté, tout est paix et sécurité. La volonté humaine perturbe l’âme et compromet les plus beaux travaux, les choses les plus saintes. Tout est en danger avec elle : la sainteté, les vertus et même le salut de l’âme. Celui qui agit par sa volonté humaine est caractérisé par l’inconstance. Qui peux lui faire confiance ? Personne : ni Dieu ni les hommes. Il est comme ces roseaux qui s’agitent à chaque brise du vent. Ma chère enfant, si les mouvements du vent veulent te rendre inconstante, plonge-toi dans l’océan de la Divine Volonté et viens te réfugier sur les genoux de ta Maman. Elle te défendra contre les bourrasques de la volonté humaine en te serrant sur son Coeur maternel pour te rendre ferme et confiante sur les chemins du divin Royaume. Ma chère fille, viens avec moi jusqu’auprès de la Majesté Suprême et écoute-moi bien. D’un vol rapide, je me jetai dans les bras des divines Personnes et, en arrivant, je sentis leur amour débordant me couvrir de ses impétueuses vagues. Oh ! comme il est merveilleux d’être aimés par Dieu ! À travers cet amour, on ressent le bonheur, la sainteté, des joies infinies ; on devient tellement embelli que Dieu lui-même en est fasciné. De mon côté, je voulais imiter les divines Personnes et, bien que toute petite, je ne voulais pas être dépassée par elles en amour. Avec les vagues d’amour qu’elles m’envoyaient, je formais mes propres vagues de manière à les couvrir de mon amour. Ce faisant, je souriais, parce que je savais bien que mon amour ne pouvait atteindre l’immensité du leur. Je m’essayais quand même. L’Être Suprême souriait de mes sourires et s’amusait de mes riens. Au sommet de notre stratagème d’amour, je me rappelai le triste état de la famille humaine, étant donné que je fais partie de cette famille moi aussi. Comme j’étais chagrinée à cette pensée, je priai pour que le Verbe Éternel descende sur la terre et remette les choses en ordre. Je le fis avec tellement de tendresse et de sincérité que ma joie et mon sourire se changèrent en sanglots. Le Très-Haut fut ému par mes pleurs, surtout parce qu’ils provenaient d’une toute petite. En me pressant sur sa poitrine et en séchant mes larmes, il me dit : « Petite fille, ne pleure pas et prends courage. Puisque nous avons placé entre tes mains la destinée de l’espèce humaine, nous voulons que tu établisses la paix entre nous et elle. Il t’est donné de nous réconcilier. La puissance de notre Volonté qui règne en toi nous amène à donner le baiser de paix à cette humanité décadente et vacillante. » Qui pourrait dire ce que mon Coeur éprouva devant cette divine condescendance ? Mon amour devint tellement grand que je me sentis défaillir. Dans mon délire, je cherchais encore plus d’amour pour être capable de supporter cet amour. Quant à toi, si tu m’écoutes en mettant de côté ta volonté humaine et que tu donnes totalement la place à la Divine Volonté, toi aussi tu seras aimée d’un amour exceptionnel par ton Créateur. Tu seras son sourire et sa joie ainsi qu’un lien de paix entre Dieu et l’humanité. L’âme :
Très belle Maman, aide ton enfant. Plonge-moi dans l’océan de la Divine Volonté. Couvre-moi des vagues de l’amour éternel pour que je ne connaisse rien d’autre que la Divine Volonté et l’amour. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me demanderas tous mes actes et les enfermeras dans ton coeur afin de pouvoir sentir la puissance de la Divine Volonté qui règne en moi. Ensuite, tu offriras ces actes au Très-Haut en le remerciant de toutes les tâches qu’il m’a confiées pour le salut des créatures. Oraison jaculatoire :
Reine de la Paix, donne-moi le baiser de paix de la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 9 Mai - 12:25 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Neuvième jour
La Reine céleste dans le Royaume de la Divine Volonté est établie Lien de paix entre le Créateur et les créatures.
L’âme à sa céleste Reine :
Souveraine Dame et chère Maman, tu m’interpelles par l’amour ardent qui brûle dans ton Coeur alors que tu veux me raconter ce que tu as fait pour ta fille dans le Royaume de la Divine Volonté. Je te vois diriger tes pas vers ton Créateur qui est émerveillé par la pureté de ton regard. Charmé par ton sourire candide, il te sourit lui aussi et a bien hâte de s’amuser avec toi. Sainte Maman, dans la joie et les sourires que tu échanges avec ton Créateur, n’oublie pas ton enfant en exil dont la faible volonté cherche toujours à l’éloigner du Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Fille de mon Coeur, n’aie pas peur, je ne t’oublierai jamais. Si tu fais toujours la Volonté Divine et vis dans son Royaume, nous serons inséparables. Je te tiendrai sans cesse par la main pour te guider et t’enseigner la manière de vivre dans la Divine Volonté. Chasse toute crainte car, dans la Divine Volonté, tout est paix et sécurité. La volonté humaine perturbe l’âme et compromet les plus beaux travaux, les choses les plus saintes. Tout est en danger avec elle : la sainteté, les vertus et même le salut de l’âme. Celui qui agit par sa volonté humaine est caractérisé par l’inconstance. Qui peux lui faire confiance ? Personne : ni Dieu ni les hommes. Il est comme ces roseaux qui s’agitent à chaque brise du vent. Ma chère enfant, si les mouvements du vent veulent te rendre inconstante, plonge-toi dans l’océan de la Divine Volonté et viens te réfugier sur les genoux de ta Maman. Elle te défendra contre les bourrasques de la volonté humaine en te serrant sur son Coeur maternel pour te rendre ferme et confiante sur les chemins du divin Royaume. Ma chère fille, viens avec moi jusqu’auprès de la Majesté Suprême et écoute-moi bien. D’un vol rapide, je me jetai dans les bras des divines Personnes et, en arrivant, je sentis leur amour débordant me couvrir de ses impétueuses vagues. Oh ! comme il est merveilleux d’être aimés par Dieu ! À travers cet amour, on ressent le bonheur, la sainteté, des joies infinies ; on devient tellement embelli que Dieu lui-même en est fasciné. De mon côté, je voulais imiter les divines Personnes et, bien que toute petite, je ne voulais pas être dépassée par elles en amour. Avec les vagues d’amour qu’elles m’envoyaient, je formais mes propres vagues de manière à les couvrir de mon amour. Ce faisant, je souriais, parce que je savais bien que mon amour ne pouvait atteindre l’immensité du leur. Je m’essayais quand même. L’Être Suprême souriait de mes sourires et s’amusait de mes riens. Au sommet de notre stratagème d’amour, je me rappelai le triste état de la famille humaine, étant donné que je fais partie de cette famille moi aussi. Comme j’étais chagrinée à cette pensée, je priai pour que le Verbe Éternel descende sur la terre et remette les choses en ordre. Je le fis avec tellement de tendresse et de sincérité que ma joie et mon sourire se changèrent en sanglots. Le Très-Haut fut ému par mes pleurs, surtout parce qu’ils provenaient d’une toute petite. En me pressant sur sa poitrine et en séchant mes larmes, il me dit : « Petite fille, ne pleure pas et prends courage. Puisque nous avons placé entre tes mains la destinée de l’espèce humaine, nous voulons que tu établisses la paix entre nous et elle. Il t’est donné de nous réconcilier. La puissance de notre Volonté qui règne en toi nous amène à donner le baiser de paix à cette humanité décadente et vacillante. » Qui pourrait dire ce que mon Coeur éprouva devant cette divine condescendance ? Mon amour devint tellement grand que je me sentis défaillir. Dans mon délire, je cherchais encore plus d’amour pour être capable de supporter cet amour. Quant à toi, si tu m’écoutes en mettant de côté ta volonté humaine et que tu donnes totalement la place à la Divine Volonté, toi aussi tu seras aimée d’un amour exceptionnel par ton Créateur. Tu seras son sourire et sa joie ainsi qu’un lien de paix entre Dieu et l’humanité. L’âme :
Très belle Maman, aide ton enfant. Plonge-moi dans l’océan de la Divine Volonté. Couvre-moi des vagues de l’amour éternel pour que je ne connaisse rien d’autre que la Divine Volonté et l’amour. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me demanderas tous mes actes et les enfermeras dans ton coeur afin de pouvoir sentir la puissance de la Divine Volonté qui règne en moi. Ensuite, tu offriras ces actes au Très-Haut en le remerciant de toutes les tâches qu’il m’a confiées pour le salut des créatures. Oraison jaculatoire :
Reine de la Paix, donne-moi le baiser de paix de la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 9 Mai - 19:20 | |
| Cher Delacroix, Un membre m'a écrit pour savoir de qui est cette belle méditation. Avez-vous des détails sur l'auteur de cette neuvaine ? Merci à l'avance. Céline _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 9 Mai - 19:50 | |
| Bien sur ma Chère Céline,c'est bien plus qu'une neuvaine, car il y a 31 jours de méditations plus un appendice de 6jours dans le mois de juin suivi d'une consécration à la Divine Volonté.C'est le chef-d'œuvre du tout puissant par sa servante Luisa Piccarreta sous ordre de son Père spirituel le père benedetto Calvi. A lire et à méditer ,avec mon épouse ,cela fait 8 ans que l'on fait ce mois de mai avec la Sainte Vierge Marie dans la Divine Volonté . N'oublions pas le Notre Père :"que Votre Volonté soit faites sur la terre comme au ciel".............! La Vierge Marie dans le Royaume de la Divine VolontéMéditations pour les 31 jours du mois de maiCe que je vous dis dans ma Volonté, c’est l’exécution d’un décret fait de toute éternité dans la stabilité de notre Très Sainte Trinité, à savoir que notre Volonté doit avoir son Royaume sur la terre. Nos décrets sont infaillibles : personne ne peut nous empêcher de les réaliser. Comme il y a eu le décret de la Rédemption, il y a aussi eu le décret du Royaume de notre Volonté sur la terre. Jésus INTRODUCTIONCe livre a été écrit par Luisa Piccarreta, la Petite Fille de la Divine Volonté, en 1932, par obéissance à son confesseur Don Benedetto Calvi qui, par la suite, le publia en italien. Sa diffusion fut rapide et publiée en trois éditions. Le livre se répandit rapidement, non seulement à travers l’Italie et d’autres pays d’Europe, mais aussi en Amérique. Les bénéfices spirituels des âmes qui en firent la lecture et le méditèrent furent immenses. On a vu des pécheurs obstinés se convertir après la lecture d’une seule des méditations, parce qu’ils ont cru pieusement à ces écrits dictés par la Vierge Marie. Nombreuses furent les appréciations écrites et orales (signalées au prêtre qui a publié le livre) de personnes de tous pays, y compris des prêtres et des évêques. Le thème de ce livre est la vie de la Reine de la Divine Volonté qui désire ardemment partager la gloire divine, l’amour, la vie, la paix et la félicité qu’elle possède dans ce Royaume. Avec un amour maternel, elle invite tous ses enfants à vivre dans la Divine Volonté, comme elle l’a fait elle-même durant toute sa vie ici-bas, leur demandant de lui remettre leur volonté humaine faible, obscure, malheureuse et engendrant toutes sortes de maux et de méchancetés. En échange, elle leur communiquera le don de la Divine Volonté et les guidera pas à pas dans les chemins infinis de la vie dans la Divine Volonté. Elle leur montrera le bien immense que la Divine Volonté a accompli en elle. Elle expliquera comment ses enfants devront se laisser dominer par la Divine Volonté et leur signalera les grands maux que cause la volonté humaine. Père J. Gary de la Fraternité des Fils de la Divine Volonté PRÉLIMINAIRESInvitation maternelle de la Reine célesteMa très chère fille, j’éprouve l’irrésistible besoin de descendre du Ciel pour te visiter maternellement. Si tu m’assures de ton amour filial et de ta fidélité, je resterai toujours avec toi, dans ton âme, pour y être ton éducatrice, ton modèle et ta tendre Maman. Je t’invite à entrer dans le Royaume de ta Maman, le Royaume de la Divine Volonté. Je frappe à la porte de ton coeur pour être accueillie par toi. Je t’apporte ce livre comme un cadeau. Je te l’offre le coeur tout rempli de sollicitude maternelle, avec l’espoir qu’il t’apprendra à vivre plus dans le Ciel que sur la terre. Ma fille, ce livre sera précieux comme l’or. Il sera ta richesse spirituelle et causera ton bonheur, même sur la terre. Tu y trouveras la fontaine de tous les biens : si tu te sens faible, il t’apportera la force ; si tu es tentée, il t’aidera à vaincre ; si tu as succombé au péché, tu y trouveras une aide puissante et compatissante pour te relever ; si tu es affligée, tu y trouveras le réconfort ; si tu as froid, tu y trouveras la chaleur ; si tu as faim, tu y savoureras la nourriture délicieuse de la Divine Volonté. Tu ne manqueras de rien. Tu ne seras jamais seule, car tu auras toujours la douce compagnie de ta Maman qui, par ses soins maternels, saura te rendre heureuse. Ta céleste Impératrice comblera tous tes besoins, pourvu que tu acceptes de vivre unie à elle. Oh ! si tu connaissais mes ardents désirs et toutes les larmes que je verse pour mes enfants ! Si tu savais combien je brûle du désir que tu écoutes mes célestes leçons et que tu apprennes à vivre dans la Divine Volonté ! Dans ce livre, tu trouveras des merveilles et découvriras une Maman qui t’aime au point de sacrifier son Fils bien-aimé pour que tu parviennes à vivre comme elle-même le faisait pendant son séjour terrestre. De grâce, ne m’attriste pas, ne me rejette pas ! Accepte le cadeau du Ciel que je t’apporte. Accueille mes visites et mes leçons. Sache que je ferai le tour du monde, que je visiterai chaque personne, chaque famille, chaque communauté religieuse et chaque nation et que, si nécessaire, je poursuivrai pendant des siècles, jusqu’à ce que j’aie formé tous mes sujets, en tant que Reine, et tous mes enfants, en tant que Mère, pour que tous connaissent la Divine Volonté et la laissent régner en eux. Voilà le but de ce livre. Ceux qui l’accueilleront seront mes premiers bienheureux enfants à appartenir au Royaume de la Divine Volonté. J’inscrirai leur nom en lettres d’or dans mon Coeur maternel. Vois-tu, mon enfant, ce même amour infini de Dieu, qui a voulu se servir de moi pour faire descendre le Verbe Éternel sur la terre pour la Rédemption, me confie maintenant le mandat difficile et sublime de former les enfants du Royaume de la Divine Volonté sur la terre. Avec un soin tout maternel, je me mets à la tâche de préparer le chemin qui vous conduira vers cet heureux Royaume. Ainsi, je te donnerai de célestes leçons et t’enseignerai des prières nouvelles et spéciales par lesquelles tu engageras les cieux, le soleil, la création, mon Fils, moi-même, ainsi que tous les saints à supplier Dieu d’établir sur la terre le précieux règne de la Divine Volonté. Ces prières seront des plus puissantes parce qu’elles impliqueront l’Agir divin lui-même. À travers elles, Dieu se sentira désarmé et conquis par ses créatures. Par le moyen de ces prières, tu hâteras la venue du Royaume de la Divine Volonté sur la terre et, ensemble, nous obtiendrons que la Volonté de Dieu soit faite sur la terre comme au Ciel, conformément au désir du divin Maître. Sois courageuse, mon enfant. Contente-moi et je te bénirai. Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| | | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mar 10 Mai - 8:23 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Dixième jour
La glorieuse naissance de la Reine du Ciel. L’aurore qui se lève fait fuir la nuit de la volonté humaine.
L’âme à la Reine du Ciel :
Me voici, sainte Mère, au pied de ton berceau pour être témoin de ta prodigieuse naissance. Les cieux sont étonnés, la lumière du soleil se concentre sur toi, la terre exulte de joie et est honorée de porter sa Reine nouveau-née, et les anges se bousculent pour entourer ton berceau et répondre à tous tes désirs. Tous t’honorent et veulent célébrer ta naissance. M’unissant à eux, je me prosterne devant ton berceau sur lequel, dans le ravissement, sont penchés ta mère Anne et ton père Joachim. Permets que je t’adresse mes premiers mots et te confie mes premiers secrets. Je veux déverser mon coeur dans le tien en te disant : « Ma petite Maman, tu es l’aurore du règne de la Divine Volonté sur la terre. Oh ! s’il te plaît, chasse de moi et de tous les humains les ténèbres de nos volontés humaines. » Leçon de la Reine nouveau-née :
Fille de mon Coeur, ma naissance fut prodigieuse. Aucune autre naissance ne peut lui être comparée. J’enfermais en moi le soleil de la Divine Volonté ainsi que la terre de mon humanité, une terre bénie et sainte, porteuse des plus belles fleurs. Bien que je n’étais qu’une nouveau-née, je portais le plus grand des prodiges : la Divine Volonté qui régnait en moi, un ciel plus magnifique et un soleil plus resplendissant que ceux de la création dont j’étais la Reine. Je portais aussi en moi un océan de grâces qui murmurait constamment : « Amour, amour pour mon Créateur ! » Ma naissance était l’aube mettant en fuite la noirceur de la volonté humaine et présage de l’éclatante lumière du Verbe Éternel sur la terre. Ma fille, viens à mon berceau et écoute ta petite Maman. À peine née, j’ouvris les yeux pour voir ce bas monde et me mettre à la recherche de tous mes enfants afin de les enfermer dans mon Coeur, de leur prodiguer mon amour maternel et de leur ouvrir le chemin du Royaume de la Divine Volonté que je possédais. Je désirais remplir auprès d’eux ma fonction de Mère et de Reine. Dans mon Coeur, j’avais une place pour chacun, car celui qui possède la Divine Volonté n’a aucune limite : il possède des immensités infinies. Je posai aussi mes yeux sur toi, ma fille. Personne ne m’échappait. Et puisque tous célébraient ma naissance ce jour-là, c’était aussi une fête pour moi. Néanmoins, je fus peinée de voir les créatures dans la nuit profonde de la volonté humaine.
Oh ! quelle noirceur enveloppe la créature qui se laisse dominer par sa propre volonté ! C’est pour elle la nuit, une nuit sans étoiles. Au plus, il y a des éclairs suivies de coups de tonnerre déversant sur elle la tempête : tempête de frayeurs, de faiblesses et de dangers qui la pousse au péché. Mon Coeur fut transpercé en voyant mes enfants dans cet état. Maintenant, écoute bien ta Maman : je suis dans mon berceau, toute petite. Vois les larmes que je verse pour toi. Chaque fois que tu exerces ta propre volonté, tu formes une nuit en toi. Si tu savais combien de mal cette nuit peut te faire, tu pleurerais avec moi. Elle te fait perdre la lumière du jour de la Divine Volonté, te met sens dessus dessous et détruit l’amour en toi ; tu deviens comme une pauvre malade manquant de ce qu’il faut pour guérir. Ah ! ma fille, ma chère fille, ne fais jamais ta volonté ! Donne-moi ta parole que tu veux contenter ta Maman. L’âme :
Petite sainte Maman, je me sens toute tremblante en t’entendant parler de la nuit de ma volonté humaine. C’est pourquoi je suis ici à ton berceau pour te demander, par ta prodigieuse naissance, la grâce de me faire renaître dans la Divine Volonté. Je serai toujours près de toi, petit bébé céleste. Je joindrai mes prières et mes larmes aux tiennes pour intercéder pour moi et pour tous, afin que le Royaume de la Divine Volonté vienne sur la terre. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras trois fois me visiter dans mon berceau en me disant à chaque fois : « Céleste petit bébé, fais-moi renaître avec toi à la vie dans la Divine Volonté. » Oraison jaculatoire :
Petite Maman, fais poindre l’aube de la Divine Volonté dans mon âme.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mar 10 Mai - 9:35 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Dixième jour
La glorieuse naissance de la Reine du Ciel. L’aurore qui se lève fait fuir la nuit de la volonté humaine.
L’âme à la Reine du Ciel :
Me voici, sainte Mère, au pied de ton berceau pour être témoin de ta prodigieuse naissance. Les cieux sont étonnés, la lumière du soleil se concentre sur toi, la terre exulte de joie et est honorée de porter sa Reine nouveau-née, et les anges se bousculent pour entourer ton berceau et répondre à tous tes désirs. Tous t’honorent et veulent célébrer ta naissance. M’unissant à eux, je me prosterne devant ton berceau sur lequel, dans le ravissement, sont penchés ta mère Anne et ton père Joachim. Permets que je t’adresse mes premiers mots et te confie mes premiers secrets. Je veux déverser mon coeur dans le tien en te disant : « Ma petite Maman, tu es l’aurore du règne de la Divine Volonté sur la terre. Oh ! s’il te plaît, chasse de moi et de tous les humains les ténèbres de nos volontés humaines. » Leçon de la Reine nouveau-née :
Fille de mon Coeur, ma naissance fut prodigieuse. Aucune autre naissance ne peut lui être comparée. J’enfermais en moi le soleil de la Divine Volonté ainsi que la terre de mon humanité, une terre bénie et sainte, porteuse des plus belles fleurs. Bien que je n’étais qu’une nouveau-née, je portais le plus grand des prodiges : la Divine Volonté qui régnait en moi, un ciel plus magnifique et un soleil plus resplendissant que ceux de la création dont j’étais la Reine. Je portais aussi en moi un océan de grâces qui murmurait constamment : « Amour, amour pour mon Créateur ! » Ma naissance était l’aube mettant en fuite la noirceur de la volonté humaine et présage de l’éclatante lumière du Verbe Éternel sur la terre. Ma fille, viens à mon berceau et écoute ta petite Maman. À peine née, j’ouvris les yeux pour voir ce bas monde et me mettre à la recherche de tous mes enfants afin de les enfermer dans mon Coeur, de leur prodiguer mon amour maternel et de leur ouvrir le chemin du Royaume de la Divine Volonté que je possédais. Je désirais remplir auprès d’eux ma fonction de Mère et de Reine. Dans mon Coeur, j’avais une place pour chacun, car celui qui possède la Divine Volonté n’a aucune limite : il possède des immensités infinies. Je posai aussi mes yeux sur toi, ma fille. Personne ne m’échappait. Et puisque tous célébraient ma naissance ce jour-là, c’était aussi une fête pour moi. Néanmoins, je fus peinée de voir les créatures dans la nuit profonde de la volonté humaine.
Oh ! quelle noirceur enveloppe la créature qui se laisse dominer par sa propre volonté ! C’est pour elle la nuit, une nuit sans étoiles. Au plus, il y a des éclairs suivies de coups de tonnerre déversant sur elle la tempête : tempête de frayeurs, de faiblesses et de dangers qui la pousse au péché. Mon Coeur fut transpercé en voyant mes enfants dans cet état. Maintenant, écoute bien ta Maman : je suis dans mon berceau, toute petite. Vois les larmes que je verse pour toi. Chaque fois que tu exerces ta propre volonté, tu formes une nuit en toi. Si tu savais combien de mal cette nuit peut te faire, tu pleurerais avec moi. Elle te fait perdre la lumière du jour de la Divine Volonté, te met sens dessus dessous et détruit l’amour en toi ; tu deviens comme une pauvre malade manquant de ce qu’il faut pour guérir. Ah ! ma fille, ma chère fille, ne fais jamais ta volonté ! Donne-moi ta parole que tu veux contenter ta Maman. L’âme :
Petite sainte Maman, je me sens toute tremblante en t’entendant parler de la nuit de ma volonté humaine. C’est pourquoi je suis ici à ton berceau pour te demander, par ta prodigieuse naissance, la grâce de me faire renaître dans la Divine Volonté. Je serai toujours près de toi, petit bébé céleste. Je joindrai mes prières et mes larmes aux tiennes pour intercéder pour moi et pour tous, afin que le Royaume de la Divine Volonté vienne sur la terre. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras trois fois me visiter dans mon berceau en me disant à chaque fois : « Céleste petit bébé, fais-moi renaître avec toi à la vie dans la Divine Volonté. » Oraison jaculatoire :
Petite Maman, fais poindre l’aube de la Divine Volonté dans mon âme. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mer 11 Mai - 9:05 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Onzième jour
Durant la première année de sa vie terrestre, la Reine du Ciel a formé la plus splendide des aurores pour que naisse dans les coeurs un ardent désir du Rédempteur.
L’âme à la petite Reine bébé :
Me voici encore une fois près de ton berceau, petite Maman céleste. Mon coeur est fasciné par ta beauté dont je ne puis détourner mes yeux. Comme ton regard est doux ! Les gestes de tes petites mains m’invitent à t’embrasser et à te serrer sur mon coeur. Petite Maman, donne-moi tes flammes amoureuses pour qu’elles brûlent ma volonté et te rendent heureuse en m’amenant à vivre dans la Divine Volonté comme toi. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille, si tu savais à quel point mon petit Coeur maternel se réjouit de te voir près de mon berceau dans l’attente de mes enseignements ! Ainsi, je ne me sens pas une Mère stérile ou une Reine sans sujets puisque j’ai auprès de moi ma chère fille qui m’aime beaucoup et désire que j’accomplisse auprès d’elle mon rôle de Mère et de Reine. Tu es pour moi porteuse de joie, d’autant plus que tu es là pour que je t’enseigne la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Avoir une fille qui veut vivre dans ce Royaume si saint est pour moi la plus belle fête, le plus bel hommage que tu puisses me rendre. Sois attentive, ma chère fille, et je continuerai à te raconter les merveilles relatives à ma naissance. Mon berceau était entouré d’anges qui chantaient des berceuses à leur Souveraine. Puisque j’avais l’usage de mon intelligence (infusée en moi par mon Créateur), j’adorais la Très Sainte Trinité, ce qui était mon premier devoir, et ce que je faisais à travers mes babillages d’enfant. L’ardeur de mon amour pour cette sainte Majesté était si grand que je me sentis tomber dans le délire, délire accompagné du désir ardent de me trouver dans les bras de la Divinité pour recevoir ses baisers et lui donner les miens. Les anges, pour qui mes désirs étaient des ordres, me prirent sur leurs ailes et me déposèrent dans les bras aimants de mon Père Céleste. Oh ! avec quel amour les trois Personnes divines me reçurent ! J’arrivais de l’exil et la brève pause de séparation d’avec eux fut la cause de nouvelles flambées d’amour. Ces nouveaux cadeaux de leur part me fournirent de nouvelles ressources pour demander pitié et indulgence pour mes enfants exilés vivant sous le joug de la divine justice. Remplie d’amour, je leur ai dit : « Adorable Trinité, je me sens heureuse et Reine ; je ne sais pas ce que c’est que d’être malheureuse et esclave. Par votre Volonté qui règne en moi, je suis inondée de tellement de joie et d’allégresse que, dans ma petitesse, je ne peux porter tant de faveurs. Malgré ce grand bonheur, il y a de l’amertume dans mon petit Coeur. Je sens mes enfants malheureux et esclaves de leur volonté rebelle. « Ayez pitié, Trinité Sainte, ayez pitié ! Rendez-moi totalement heureuse en rendant heureux ces malheureux enfants que je porte dans mon Coeur maternel. Faites descendre le Verbe Divin sur la terre et je serai comblée ! Père, je ne quitterai pas tes genoux si tu ne m’accordes pas la joie d’apporter à mes enfants la bonne nouvelle de leur Rédemption. » La Divinité fut attendrie par ma prière et, me comblant de nouveaux cadeaux, me dit : « Retourne en exil et continue tes prières. Fais tous tes actes dans notre Volonté et, au temps voulu, nous te donnerons satisfaction. » Elle ne précisa ni le temps ni l’endroit où le Verbe allait se manifester.
Pour me conformer à la Divine Volonté, je quittai donc le Ciel. Cela fut pour moi un sacrifice extrême, mais je l’ai fait de bon gré, car seule la Divine Volonté pouvait décider de mon agir. Ma fille, vois combien ton âme m’a coûté. Ce fut au point de changer en amertume l’immense mer de ma joie et de mon bonheur. Chaque fois que tu fais ta volonté, tu te rends esclave et malheureuse. Et moi, je ressens dans mon Coeur maternel la tristesse de ma fille. Quelle peine je ressens quand je vois mes enfants malheureux ! Comme tu devrais avoir à coeur d’accomplir la Divine Volonté en voyant que je me suis résignée à quitter le Ciel pour que ma volonté personnelle continue de n’avoir aucune vie en moi. Ma fille, dans chacune de tes actions, aie comme premier devoir celui d’adorer ton Créateur, de le connaître et de l’aimer. Agir ainsi place l’âme dans l’ordre de la Création et l’amène à reconnaître celui qui l’a créée. Cette connaissance est le devoir le plus saint de chaque créature : connaître son origine. Mon départ du Ciel et mes prières ont fait poindre l’aurore, prélude du plein jour de la venue du Verbe Divin sur la terre. L’âme :
Petite Maman céleste, te voir nouveau-née et me donner des leçons si saintes me bouleverse. Je comprends à quel point tu m’aimes quand je te vois devenir malheureuse à cause de moi. Sainte Maman, toi qui m’aimes tant, fais que la puissance, l’amour et les joies qui te remplissent descendent dans mon âme afin que, remplie de ces dons, ma volonté personnelle n’ait en moi aucun espace et cède totalement la place à la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu feras trois actes d’adoration à ton Créateur en récitant trois Gloire au Père pour le remercier pour toutes les fois où j’ai été admise en sa divine Présence. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, que l’aurore de la Divine Volonté s’élève dans mon âme.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mer 11 Mai - 9:15 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Onzième jour
Durant la première année de sa vie terrestre, la Reine du Ciel a formé la plus splendide des aurores pour que naisse dans les coeurs un ardent désir du Rédempteur.
L’âme à la petite Reine bébé :
Me voici encore une fois près de ton berceau, petite Maman céleste. Mon coeur est fasciné par ta beauté dont je ne puis détourner mes yeux. Comme ton regard est doux ! Les gestes de tes petites mains m’invitent à t’embrasser et à te serrer sur mon coeur. Petite Maman, donne-moi tes flammes amoureuses pour qu’elles brûlent ma volonté et te rendent heureuse en m’amenant à vivre dans la Divine Volonté comme toi. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma fille, si tu savais à quel point mon petit Coeur maternel se réjouit de te voir près de mon berceau dans l’attente de mes enseignements ! Ainsi, je ne me sens pas une Mère stérile ou une Reine sans sujets puisque j’ai auprès de moi ma chère fille qui m’aime beaucoup et désire que j’accomplisse auprès d’elle mon rôle de Mère et de Reine. Tu es pour moi porteuse de joie, d’autant plus que tu es là pour que je t’enseigne la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Avoir une fille qui veut vivre dans ce Royaume si saint est pour moi la plus belle fête, le plus bel hommage que tu puisses me rendre. Sois attentive, ma chère fille, et je continuerai à te raconter les merveilles relatives à ma naissance. Mon berceau était entouré d’anges qui chantaient des berceuses à leur Souveraine. Puisque j’avais l’usage de mon intelligence (infusée en moi par mon Créateur), j’adorais la Très Sainte Trinité, ce qui était mon premier devoir, et ce que je faisais à travers mes babillages d’enfant. L’ardeur de mon amour pour cette sainte Majesté était si grand que je me sentis tomber dans le délire, délire accompagné du désir ardent de me trouver dans les bras de la Divinité pour recevoir ses baisers et lui donner les miens. Les anges, pour qui mes désirs étaient des ordres, me prirent sur leurs ailes et me déposèrent dans les bras aimants de mon Père Céleste. Oh ! avec quel amour les trois Personnes divines me reçurent ! J’arrivais de l’exil et la brève pause de séparation d’avec eux fut la cause de nouvelles flambées d’amour. Ces nouveaux cadeaux de leur part me fournirent de nouvelles ressources pour demander pitié et indulgence pour mes enfants exilés vivant sous le joug de la divine justice. Remplie d’amour, je leur ai dit : « Adorable Trinité, je me sens heureuse et Reine ; je ne sais pas ce que c’est que d’être malheureuse et esclave. Par votre Volonté qui règne en moi, je suis inondée de tellement de joie et d’allégresse que, dans ma petitesse, je ne peux porter tant de faveurs. Malgré ce grand bonheur, il y a de l’amertume dans mon petit Coeur. Je sens mes enfants malheureux et esclaves de leur volonté rebelle. « Ayez pitié, Trinité Sainte, ayez pitié ! Rendez-moi totalement heureuse en rendant heureux ces malheureux enfants que je porte dans mon Coeur maternel. Faites descendre le Verbe Divin sur la terre et je serai comblée ! Père, je ne quitterai pas tes genoux si tu ne m’accordes pas la joie d’apporter à mes enfants la bonne nouvelle de leur Rédemption. » La Divinité fut attendrie par ma prière et, me comblant de nouveaux cadeaux, me dit : « Retourne en exil et continue tes prières. Fais tous tes actes dans notre Volonté et, au temps voulu, nous te donnerons satisfaction. » Elle ne précisa ni le temps ni l’endroit où le Verbe allait se manifester.
Pour me conformer à la Divine Volonté, je quittai donc le Ciel. Cela fut pour moi un sacrifice extrême, mais je l’ai fait de bon gré, car seule la Divine Volonté pouvait décider de mon agir. Ma fille, vois combien ton âme m’a coûté. Ce fut au point de changer en amertume l’immense mer de ma joie et de mon bonheur. Chaque fois que tu fais ta volonté, tu te rends esclave et malheureuse. Et moi, je ressens dans mon Coeur maternel la tristesse de ma fille. Quelle peine je ressens quand je vois mes enfants malheureux ! Comme tu devrais avoir à coeur d’accomplir la Divine Volonté en voyant que je me suis résignée à quitter le Ciel pour que ma volonté personnelle continue de n’avoir aucune vie en moi. Ma fille, dans chacune de tes actions, aie comme premier devoir celui d’adorer ton Créateur, de le connaître et de l’aimer. Agir ainsi place l’âme dans l’ordre de la Création et l’amène à reconnaître celui qui l’a créée. Cette connaissance est le devoir le plus saint de chaque créature : connaître son origine. Mon départ du Ciel et mes prières ont fait poindre l’aurore, prélude du plein jour de la venue du Verbe Divin sur la terre. L’âme :
Petite Maman céleste, te voir nouveau-née et me donner des leçons si saintes me bouleverse. Je comprends à quel point tu m’aimes quand je te vois devenir malheureuse à cause de moi. Sainte Maman, toi qui m’aimes tant, fais que la puissance, l’amour et les joies qui te remplissent descendent dans mon âme afin que, remplie de ces dons, ma volonté personnelle n’ait en moi aucun espace et cède totalement la place à la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu feras trois actes d’adoration à ton Créateur en récitant trois Gloire au Père pour le remercier pour toutes les fois où j’ai été admise en sa divine Présence. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, que l’aurore de la Divine Volonté s’élève dans mon âme. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Jeu 12 Mai - 9:39 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Douzième jour
La Reine du Ciel fait ses premiers pas et, à travers ses activités d’enfant, elle appelle Dieu à descendre sur la terre et convoque les créatures à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
L’âme à la petite Reine céleste :
Me voici auprès de toi dans la maison de Nazareth, chère petite Reine. Je veux t’accompagner dans ta petite enfance, te donner la main pour t’aider à faire tes premiers pas et parler avec tes saints parents Anne et Joachim. Après avoir appris à marcher, tu aides sainte Anne par de petits travaux. Ma petite Maman, comme tu es charmante ! Donne-moi tes leçons pour que je connaisse mieux ta petite enfance et que, à travers tes activités d’enfant, tu m’apprennes l’art de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, mon plus grand désir est de te garder près de moi. Sans toi, je me sens seule et je ne sais pas à qui d’autre confier mes secrets. C’est dans mon souci maternel que je désire t’avoir près de moi, dans mon Coeur, pour te donner mes leçons et, ainsi, t’enseigner la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. La volonté humaine ne peut entrer dans ce Royaume que si elle est broyée par des morts continuelles face à la lumière, la sainteté et la puissance de la Divine Volonté. Ne crois cependant pas que l’âme s’affligera à cause de cela. Au contraire, elle sera heureuse car, sur sa volonté vaincue, la Divine Volonté s’élèvera triomphante, lui apportant joie et félicité sans fin. Chère fille, comprendre ce que veut dire se laisser dominer par la Divine Volonté est une chose, mais être prêt à se laisser mettre en pièces plutôt que de la quitter est beaucoup plus. Écoute-moi bien. Afin d’accomplir la Volonté de l’Éternel, j’ai quitté le Ciel, ma patrie céleste, ce Ciel où, toute petite, j’étais en présence des trois Personnes divines qui me berçaient dans leurs bras paternels, me faisant partager leur joie, leur bonheur, leur richesse et leur sainteté jusqu’à la limite du possible pour une créature. Les Personnes divines se réjouissaient en voyant que, sans crainte et avec le plus grand amour, je me remplissais de leurs richesses. Je n’étais pas étonnée qu’elles me laissent prendre tout ce que je voulais, puisque j’étais leur fille, qu’une seule et même Volonté nous animait et que tout ce qu’elles désiraient, je le désirais aussi. Ainsi, je sentais que leurs biens m’appartenaient. La seule différence était que, étant toute petite, je ne pouvais posséder tous leurs biens ; il en restait toujours que je ne pouvais pas contenir puisque je demeurais toujours une créature alors que, dans leur pouvoir infini, elles pouvaient tout embrasser en un seul acte. Dès que les trois Personnes divines me firent comprendre que je devais me priver de ces joies célestes et des chastes étreintes que nous nous accordions, j’ai quitté le Ciel sans hésiter pour aller rejoindre mes chers parents. Mes parents m’aimaient beaucoup car j’étais très aimable, joyeuse, pacifique, remplie de charmes enfantins. Ils étaient très attentifs envers moi : j’étais leur joyau. Quand ils me prenaient dans leurs bras, ils percevaient des choses inhabituelles et la Vie divine qui palpitait en moi. Maintenant, fille de mon Coeur, tu dois savoir que, dès que débuta ma vie sur la terre, la Divine Volonté animait tout en moi : mes prières, mes paroles, mes pas, la nourriture que je mangeais, le sommeil que je prenais, ainsi que les petits services que je rendais à ma Maman. D’autre part, dans toutes mes activités, je te portais dans mon Coeur et te considérais comme mon enfant. J’appelais tes actes, même les plus simples, à être unis aux miens pour qu’ils soient ainsi accomplis dans la Divine Volonté. Je t’aime beaucoup, ma fille. Quand je priais, j’appelais tes prières à s’unir aux miennes pour qu’elles aient la même valeur et la même puissance que les miennes : celles de la Divine Volonté. Quand je parlais, marchais ou faisais les actes humains indispensables à la vie journalière — comme apporter de l’eau, balayer ou passer le bois à ma maman pour qu’elle allume le feu —, j’unissais ces actions aux actions similaires réalisées par toi, de telle manière que ces dernières appartiennent au Royaume de la Divine Volonté comme les miennes. À travers toutes ces actions, je demandais au Verbe Divin de descendre sur la terre. Oh ! comme je t’ai aimée, ma fille ! Je voulais que tes actes soient unis aux miens pour te rendre heureuse et te faire régner avec moi. Combien de fois t’ai-je appelée, toi et tes actions, mais, à ma plus grande déception, mes actions restaient isolées et je pouvais voir les tiennes perdues dans ta volonté humaine. Tes actions — c’est horrible à dire — étaient d’un royaume humain, non pas divin : un royaume de passions, de péchés et de misères. Encore aujourd’hui, à chaque action que tu fais dans ta volonté humaine, mes larmes coulent, sachant à quel misérable royaume elles appartiennent. Donc, si tu agis dans la Divine Volonté, joie et bonheur te seront donnés comme si cela était un droit, et tout en toi sera en commun avec ton Créateur. Les faiblesses et les misères seront bannies de ta vie et tu seras la plus chère de mes filles. Je te garderai dans mon Royaume pour que tu vives toujours dans la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, qui pourrait supporter de te voir pleurer et ne pas prêter attention à tes saintes leçons ? De tout mon coeur, je te promets de ne plus jamais faire ma volonté. Et toi, céleste Maman, ne me laisse jamais seule, afin que ta présence captive ma volonté et me fasse régner sans cesse dans la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras tous tes actes pour me tenir compagnie dans ma petite enfance. Tu me feras trois actes d’amour en souvenir des trois années que j’ai vécues avec ma mère sainte Anne. Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, capture mon coeur pour l’emprisonner dans la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Jeu 12 Mai - 11:25 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Douzième jour
La Reine du Ciel fait ses premiers pas et, à travers ses activités d’enfant, elle appelle Dieu à descendre sur la terre et convoque les créatures à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté.
L’âme à la petite Reine céleste :
Me voici auprès de toi dans la maison de Nazareth, chère petite Reine. Je veux t’accompagner dans ta petite enfance, te donner la main pour t’aider à faire tes premiers pas et parler avec tes saints parents Anne et Joachim. Après avoir appris à marcher, tu aides sainte Anne par de petits travaux. Ma petite Maman, comme tu es charmante ! Donne-moi tes leçons pour que je connaisse mieux ta petite enfance et que, à travers tes activités d’enfant, tu m’apprennes l’art de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, mon plus grand désir est de te garder près de moi. Sans toi, je me sens seule et je ne sais pas à qui d’autre confier mes secrets. C’est dans mon souci maternel que je désire t’avoir près de moi, dans mon Coeur, pour te donner mes leçons et, ainsi, t’enseigner la manière de vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. La volonté humaine ne peut entrer dans ce Royaume que si elle est broyée par des morts continuelles face à la lumière, la sainteté et la puissance de la Divine Volonté. Ne crois cependant pas que l’âme s’affligera à cause de cela. Au contraire, elle sera heureuse car, sur sa volonté vaincue, la Divine Volonté s’élèvera triomphante, lui apportant joie et félicité sans fin. Chère fille, comprendre ce que veut dire se laisser dominer par la Divine Volonté est une chose, mais être prêt à se laisser mettre en pièces plutôt que de la quitter est beaucoup plus. Écoute-moi bien. Afin d’accomplir la Volonté de l’Éternel, j’ai quitté le Ciel, ma patrie céleste, ce Ciel où, toute petite, j’étais en présence des trois Personnes divines qui me berçaient dans leurs bras paternels, me faisant partager leur joie, leur bonheur, leur richesse et leur sainteté jusqu’à la limite du possible pour une créature. Les Personnes divines se réjouissaient en voyant que, sans crainte et avec le plus grand amour, je me remplissais de leurs richesses. Je n’étais pas étonnée qu’elles me laissent prendre tout ce que je voulais, puisque j’étais leur fille, qu’une seule et même Volonté nous animait et que tout ce qu’elles désiraient, je le désirais aussi. Ainsi, je sentais que leurs biens m’appartenaient. La seule différence était que, étant toute petite, je ne pouvais posséder tous leurs biens ; il en restait toujours que je ne pouvais pas contenir puisque je demeurais toujours une créature alors que, dans leur pouvoir infini, elles pouvaient tout embrasser en un seul acte. Dès que les trois Personnes divines me firent comprendre que je devais me priver de ces joies célestes et des chastes étreintes que nous nous accordions, j’ai quitté le Ciel sans hésiter pour aller rejoindre mes chers parents. Mes parents m’aimaient beaucoup car j’étais très aimable, joyeuse, pacifique, remplie de charmes enfantins. Ils étaient très attentifs envers moi : j’étais leur joyau. Quand ils me prenaient dans leurs bras, ils percevaient des choses inhabituelles et la Vie divine qui palpitait en moi. Maintenant, fille de mon Coeur, tu dois savoir que, dès que débuta ma vie sur la terre, la Divine Volonté animait tout en moi : mes prières, mes paroles, mes pas, la nourriture que je mangeais, le sommeil que je prenais, ainsi que les petits services que je rendais à ma Maman. D’autre part, dans toutes mes activités, je te portais dans mon Coeur et te considérais comme mon enfant. J’appelais tes actes, même les plus simples, à être unis aux miens pour qu’ils soient ainsi accomplis dans la Divine Volonté. Je t’aime beaucoup, ma fille. Quand je priais, j’appelais tes prières à s’unir aux miennes pour qu’elles aient la même valeur et la même puissance que les miennes : celles de la Divine Volonté. Quand je parlais, marchais ou faisais les actes humains indispensables à la vie journalière — comme apporter de l’eau, balayer ou passer le bois à ma maman pour qu’elle allume le feu —, j’unissais ces actions aux actions similaires réalisées par toi, de telle manière que ces dernières appartiennent au Royaume de la Divine Volonté comme les miennes. À travers toutes ces actions, je demandais au Verbe Divin de descendre sur la terre. Oh ! comme je t’ai aimée, ma fille ! Je voulais que tes actes soient unis aux miens pour te rendre heureuse et te faire régner avec moi. Combien de fois t’ai-je appelée, toi et tes actions, mais, à ma plus grande déception, mes actions restaient isolées et je pouvais voir les tiennes perdues dans ta volonté humaine. Tes actions — c’est horrible à dire — étaient d’un royaume humain, non pas divin : un royaume de passions, de péchés et de misères. Encore aujourd’hui, à chaque action que tu fais dans ta volonté humaine, mes larmes coulent, sachant à quel misérable royaume elles appartiennent. Donc, si tu agis dans la Divine Volonté, joie et bonheur te seront donnés comme si cela était un droit, et tout en toi sera en commun avec ton Créateur. Les faiblesses et les misères seront bannies de ta vie et tu seras la plus chère de mes filles. Je te garderai dans mon Royaume pour que tu vives toujours dans la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, qui pourrait supporter de te voir pleurer et ne pas prêter attention à tes saintes leçons ? De tout mon coeur, je te promets de ne plus jamais faire ma volonté. Et toi, céleste Maman, ne me laisse jamais seule, afin que ta présence captive ma volonté et me fasse régner sans cesse dans la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras tous tes actes pour me tenir compagnie dans ma petite enfance. Tu me feras trois actes d’amour en souvenir des trois années que j’ai vécues avec ma mère sainte Anne. Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, capture mon coeur pour l’emprisonner dans la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Ven 13 Mai - 10:06 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Treizième jour
La Reine du Ciel se prépare à quitter ses parents pour aller vivre au Temple. Elle donne l’exemple du triomphe total dans le sacrifice.
L’âme à la Reine triomphante :
Céleste Maman, je me prosterne devant toi et te demande ton invincible force face à mes souffrances. Tu sais combien mon coeur en est accablé. Toi qui aimes tant être ma Maman, prends mon coeur dans tes mains et verses-y l’amour, la grâce et la force pour que je triomphe de mes souffrances et les convertisse en actes d’amour dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine triomphante :
Ma fille, prends courage et n’aie pas peur. Ta Maman est toute à toi. Aujourd’hui, je t’attends pour que mon héroïsme et mon triomphe dans le sacrifice infusent en toi force et courage et que tu puisses triompher de tes souffrances avec héroïsme et amour dans la Divine Volonté. Ma fille, écoute-moi bien. Alors que je n’avais que trois ans, mes parents me firent savoir qu’ils voulaient me consacrer au Seigneur et m’envoyer vivre dans le Temple. Mon Coeur exulta de joie en apprenant que j’allais être consacrée et que j’allais passer ma vie dans la maison de Dieu. Ma joie était cependant accompagnée d’une grande peine : celle de devoir être privée de mes parents, les personnes qui m’étaient les plus chères sur la terre. J’étais petite, j’avais besoin de leurs soins paternels et maternels. De plus, j’allais être privée de la compagnie de deux grands saints. Je me rendais aussi compte qu’ils allaient être eux-mêmes privés de moi, leur enfant qui remplissait leur vie de tant de joie et de bonheur. Ils en ressentaient de la peine à en mourir. Malgré ces souffrances, ils étaient disposés à accomplir cet acte héroïque. L’amour qu’ils me portaient était d’ordre divin. Ils me considéraient comme un cadeau de Dieu et cela leur donnait la force de faire ce si grand sacrifice. Ainsi, ma fille, si tu veux avoir la force invincible de souffrir les peines les plus douloureuses, considère toutes les choses qui te concernent comme étant d’ordre divin, comme étant des cadeaux précieux du Seigneur. C’est avec courage que je me suis préparée à partir pour le Temple car, quand j’ai livré ma volonté à Dieu et qu’il prit possession de tout mon être, j’ai reçu toutes les vertus comme si elles m’appartenaient par nature. J’avais un contrôle complet sur moi-même. Toutes les vertus étaient en moi comme de nobles princesses et, selon les circonstances, elles remplissaient leur office sans aucune résistance. On m’aurait faussement appelée Reine si je n’avais pas d’abord été reine sur moi-même. J’avais sous ma domination une parfaite charité, une invincible patience, une douceur enchanteresse, une profonde humilité de même que toutes les autres vertus. La Divine Volonté avait fait de la petite terre de mon humanité un jardin magnifique toujours en fleurs et sans aucune des épines du vice. Comprends-tu maintenant ce que signifie vivre dans la Divine Volonté ? Par sa lumière, sa sainteté et sa puissance, la Divine Volonté place toutes les vertus dans l’âme comme si elles lui étaient naturelles. La Divine Volonté ne s’abaisserait pas à régner dans une âme rebelle. Elle veut que l’âme soit sainte et en ordre pour pouvoir y régner. Le sacrifice d’aller au Temple était pour moi une conquête et, à travers cette conquête, la Divine Volonté a triomphé en moi. Ce triomphe m’apporta d’autres océans de grâces, de sainteté et de lumière, au point que je me sentais heureuse dans mes souffrances et en quête de nouveaux triomphes. Maintenant, ma fille, pose ta main sur ton coeur et réponds à ta Maman : ressens-tu en toi une attirance vers les vertus ou sens-tu plutôt les épines de l’impatience, les mauvaises herbes de l’agitation ou la mauvaise terre des affections malsaines ? Écoute, laisse ta Maman faire les changements en toi en remettant ta volonté entre ses mains. Prend la décision de cesser de faire ta volonté et je te ferai posséder la Divine Volonté. Ta Maman bannira tout de toi et tu accompliras en une journée ce que tu n’as pas pu accomplir durant de nombreuses années. Ce sera le commencement d’une réelle vie de bonheur et de sainteté. L’âme :
Sainte Maman, aide ta fille. Visite mon âme et, de tes mains maternelles, déracine en moi tout ce que tu y trouves de non conforme à la Volonté de Dieu. Brûle en moi les ronces et les mauvaises herbes, et appelle la Divine Volonté à venir régner dans mon âme. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’appelleras trois fois à venir visiter ton âme en me donnant la liberté d’y faire tout ce que je veux. Oraison jaculatoire :
Reine souveraine, prends mon âme dans tes mains et transforme-la complètement en Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Ven 13 Mai - 11:08 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Treizième jour
La Reine du Ciel se prépare à quitter ses parents pour aller vivre au Temple. Elle donne l’exemple du triomphe total dans le sacrifice.
L’âme à la Reine triomphante :
Céleste Maman, je me prosterne devant toi et te demande ton invincible force face à mes souffrances. Tu sais combien mon coeur en est accablé. Toi qui aimes tant être ma Maman, prends mon coeur dans tes mains et verses-y l’amour, la grâce et la force pour que je triomphe de mes souffrances et les convertisse en actes d’amour dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine triomphante :
Ma fille, prends courage et n’aie pas peur. Ta Maman est toute à toi. Aujourd’hui, je t’attends pour que mon héroïsme et mon triomphe dans le sacrifice infusent en toi force et courage et que tu puisses triompher de tes souffrances avec héroïsme et amour dans la Divine Volonté. Ma fille, écoute-moi bien. Alors que je n’avais que trois ans, mes parents me firent savoir qu’ils voulaient me consacrer au Seigneur et m’envoyer vivre dans le Temple. Mon Coeur exulta de joie en apprenant que j’allais être consacrée et que j’allais passer ma vie dans la maison de Dieu. Ma joie était cependant accompagnée d’une grande peine : celle de devoir être privée de mes parents, les personnes qui m’étaient les plus chères sur la terre. J’étais petite, j’avais besoin de leurs soins paternels et maternels. De plus, j’allais être privée de la compagnie de deux grands saints. Je me rendais aussi compte qu’ils allaient être eux-mêmes privés de moi, leur enfant qui remplissait leur vie de tant de joie et de bonheur. Ils en ressentaient de la peine à en mourir. Malgré ces souffrances, ils étaient disposés à accomplir cet acte héroïque. L’amour qu’ils me portaient était d’ordre divin. Ils me considéraient comme un cadeau de Dieu et cela leur donnait la force de faire ce si grand sacrifice. Ainsi, ma fille, si tu veux avoir la force invincible de souffrir les peines les plus douloureuses, considère toutes les choses qui te concernent comme étant d’ordre divin, comme étant des cadeaux précieux du Seigneur. C’est avec courage que je me suis préparée à partir pour le Temple car, quand j’ai livré ma volonté à Dieu et qu’il prit possession de tout mon être, j’ai reçu toutes les vertus comme si elles m’appartenaient par nature. J’avais un contrôle complet sur moi-même. Toutes les vertus étaient en moi comme de nobles princesses et, selon les circonstances, elles remplissaient leur office sans aucune résistance. On m’aurait faussement appelée Reine si je n’avais pas d’abord été reine sur moi-même. J’avais sous ma domination une parfaite charité, une invincible patience, une douceur enchanteresse, une profonde humilité de même que toutes les autres vertus. La Divine Volonté avait fait de la petite terre de mon humanité un jardin magnifique toujours en fleurs et sans aucune des épines du vice. Comprends-tu maintenant ce que signifie vivre dans la Divine Volonté ? Par sa lumière, sa sainteté et sa puissance, la Divine Volonté place toutes les vertus dans l’âme comme si elles lui étaient naturelles. La Divine Volonté ne s’abaisserait pas à régner dans une âme rebelle. Elle veut que l’âme soit sainte et en ordre pour pouvoir y régner. Le sacrifice d’aller au Temple était pour moi une conquête et, à travers cette conquête, la Divine Volonté a triomphé en moi. Ce triomphe m’apporta d’autres océans de grâces, de sainteté et de lumière, au point que je me sentais heureuse dans mes souffrances et en quête de nouveaux triomphes. Maintenant, ma fille, pose ta main sur ton coeur et réponds à ta Maman : ressens-tu en toi une attirance vers les vertus ou sens-tu plutôt les épines de l’impatience, les mauvaises herbes de l’agitation ou la mauvaise terre des affections malsaines ? Écoute, laisse ta Maman faire les changements en toi en remettant ta volonté entre ses mains. Prend la décision de cesser de faire ta volonté et je te ferai posséder la Divine Volonté. Ta Maman bannira tout de toi et tu accompliras en une journée ce que tu n’as pas pu accomplir durant de nombreuses années. Ce sera le commencement d’une réelle vie de bonheur et de sainteté. L’âme :
Sainte Maman, aide ta fille. Visite mon âme et, de tes mains maternelles, déracine en moi tout ce que tu y trouves de non conforme à la Volonté de Dieu. Brûle en moi les ronces et les mauvaises herbes, et appelle la Divine Volonté à venir régner dans mon âme. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’appelleras trois fois à venir visiter ton âme en me donnant la liberté d’y faire tout ce que je veux. Oraison jaculatoire :
Reine souveraine, prends mon âme dans tes mains et transforme-la complètement en Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Mary-ray
Date d'inscription : 01/09/2010 Localisation : France
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Ven 13 Mai - 13:52 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Treizième jour
La Reine du Ciel se prépare à quitter ses parents pour aller vivre au Temple. Elle donne l’exemple du triomphe total dans le sacrifice.
L’âme à la Reine triomphante :
Céleste Maman, je me prosterne devant toi et te demande ton invincible force face à mes souffrances. Tu sais combien mon coeur en est accablé. Toi qui aimes tant être ma Maman, prends mon coeur dans tes mains et verses-y l’amour, la grâce et la force pour que je triomphe de mes souffrances et les convertisse en actes d’amour dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine triomphante :
Ma fille, prends courage et n’aie pas peur. Ta Maman est toute à toi. Aujourd’hui, je t’attends pour que mon héroïsme et mon triomphe dans le sacrifice infusent en toi force et courage et que tu puisses triompher de tes souffrances avec héroïsme et amour dans la Divine Volonté. Ma fille, écoute-moi bien. Alors que je n’avais que trois ans, mes parents me firent savoir qu’ils voulaient me consacrer au Seigneur et m’envoyer vivre dans le Temple. Mon Coeur exulta de joie en apprenant que j’allais être consacrée et que j’allais passer ma vie dans la maison de Dieu. Ma joie était cependant accompagnée d’une grande peine : celle de devoir être privée de mes parents, les personnes qui m’étaient les plus chères sur la terre. J’étais petite, j’avais besoin de leurs soins paternels et maternels. De plus, j’allais être privée de la compagnie de deux grands saints. Je me rendais aussi compte qu’ils allaient être eux-mêmes privés de moi, leur enfant qui remplissait leur vie de tant de joie et de bonheur. Ils en ressentaient de la peine à en mourir. Malgré ces souffrances, ils étaient disposés à accomplir cet acte héroïque. L’amour qu’ils me portaient était d’ordre divin. Ils me considéraient comme un cadeau de Dieu et cela leur donnait la force de faire ce si grand sacrifice. Ainsi, ma fille, si tu veux avoir la force invincible de souffrir les peines les plus douloureuses, considère toutes les choses qui te concernent comme étant d’ordre divin, comme étant des cadeaux précieux du Seigneur. C’est avec courage que je me suis préparée à partir pour le Temple car, quand j’ai livré ma volonté à Dieu et qu’il prit possession de tout mon être, j’ai reçu toutes les vertus comme si elles m’appartenaient par nature. J’avais un contrôle complet sur moi-même. Toutes les vertus étaient en moi comme de nobles princesses et, selon les circonstances, elles remplissaient leur office sans aucune résistance. On m’aurait faussement appelée Reine si je n’avais pas d’abord été reine sur moi-même. J’avais sous ma domination une parfaite charité, une invincible patience, une douceur enchanteresse, une profonde humilité de même que toutes les autres vertus. La Divine Volonté avait fait de la petite terre de mon humanité un jardin magnifique toujours en fleurs et sans aucune des épines du vice. Comprends-tu maintenant ce que signifie vivre dans la Divine Volonté ? Par sa lumière, sa sainteté et sa puissance, la Divine Volonté place toutes les vertus dans l’âme comme si elles lui étaient naturelles. La Divine Volonté ne s’abaisserait pas à régner dans une âme rebelle. Elle veut que l’âme soit sainte et en ordre pour pouvoir y régner. Le sacrifice d’aller au Temple était pour moi une conquête et, à travers cette conquête, la Divine Volonté a triomphé en moi. Ce triomphe m’apporta d’autres océans de grâces, de sainteté et de lumière, au point que je me sentais heureuse dans mes souffrances et en quête de nouveaux triomphes. Maintenant, ma fille, pose ta main sur ton coeur et réponds à ta Maman : ressens-tu en toi une attirance vers les vertus ou sens-tu plutôt les épines de l’impatience, les mauvaises herbes de l’agitation ou la mauvaise terre des affections malsaines ? Écoute, laisse ta Maman faire les changements en toi en remettant ta volonté entre ses mains. Prend la décision de cesser de faire ta volonté et je te ferai posséder la Divine Volonté. Ta Maman bannira tout de toi et tu accompliras en une journée ce que tu n’as pas pu accomplir durant de nombreuses années. Ce sera le commencement d’une réelle vie de bonheur et de sainteté. L’âme :
Sainte Maman, aide ta fille. Visite mon âme et, de tes mains maternelles, déracine en moi tout ce que tu y trouves de non conforme à la Volonté de Dieu. Brûle en moi les ronces et les mauvaises herbes, et appelle la Divine Volonté à venir régner dans mon âme. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu m’appelleras trois fois à venir visiter ton âme en me donnant la liberté d’y faire tout ce que je veux. Oraison jaculatoire :
Reine souveraine, prends mon âme dans tes mains et transforme-la complètement en Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse _________________ Le Seigneur est mon rempart , Marie est ma Mère , le Saint Esprit est mon phare
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Sam 14 Mai - 7:31 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quatorzième jour
La Reine du Ciel arrive au Temple, sa nouvelle demeure, et devient le modèle des âmes consacrées à Dieu.
L’âme à la Reine du Ciel :
Céleste Maman, moi, ta pauvre fille, je sens un besoin irrésistible d’être avec toi, de marcher dans tes pas et d’examiner tes actions afin d’en faire des modèles pour ma vie. J’ai besoin d’être guidée car, par moi-même, je ne sais rien faire. Mais, avec ma Maman qui m’aime tellement, je saurai tout faire et comment vivre dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, c’est mon ardent désir que tu me voies en action afin que tu deviennes amoureuse et imitatrice de ta Maman. Donne-moi la main : je me sentirai plus heureuse en sachant que nous sommes ensemble. Écoute bien. Je quittai la maison de Nazareth accompagnée de mes saints parents. Au moment de partir, j’ai jeté un dernier regard sur notre petite maison en remerciant mon Créateur de m’y avoir fait naître et en souhaitant que cet endroit demeure dans la Divine Volonté. De cette façon, mon enfance et tous mes précieux souvenirs — car, ayant le plein usage de ma raison, je comprenais tout — pouvaient être conservés dans la Divine Volonté comme gages de mon amour envers Celui qui m’avait créée. Ma fille, remercier Dieu et déposer dans ses mains tous nos actes comme preuves de notre amour pour lui ouvrent de nouveaux canaux de grâces et de communications entre Dieu et notre âme. C’est aussi le plus bel hommage que l’on puisse donner à Celui qui nous aime tant. Apprends de moi à remercier Dieu pour tout ce qu’il met à ta disposition et, quand tu t’apprêtes à faire quelque chose, que ta devise soit : Merci Seigneur, je remets tout entre tes mains. Puisque j’avais tout déposé dans la Divine Volonté qui régnait en moi et ne m’avait jamais quitté — pas même un seul instant de toute ma vie —, je portais cette Divine Volonté comme en triomphe dans mon petit Coeur. Ô prodigieuse Divine Volonté ! Par sa puissance, elle agissait dans toutes mes actions, petites et grandes. C’était son triomphe et le mien. Ainsi, je n’ai jamais perdu la mémoire d’aucune de mes actions. Cela me donnait tellement de gloire et d’honneur que je me sentais Reine. Chacune de mes actions, toutes faites dans la Divine Volonté, était plus que le soleil et j’étais inondée de lumière, de félicité et de joie. La Divine Volonté me maintenait dans son Paradis. Ma fille, vivre dans la Divine Volonté devrait être le désir de tous, voire leur passion, tant est grande la beauté et le bien que l’âme acquiert en elle. La volonté humaine est tout à l’opposé. Elle infecte la pauvre créature, l’oppresse, la maintient dans la nuit et obscurcit son chemin. L’âme hésite toujours à faire le bien et, souvent, elle oublie le peu qu’elle a fait. J’ai quitté la maison paternelle avec courage et détachement parce que je ne regardais que la Divine Volonté sur laquelle mon Coeur était toujours fixé. Pour moi, cela suffisait pour tout. Pendant que je me rendais au Temple, je contemplais la création et, quelle merveille, je sentais les palpitations de la Divine Volonté dans le soleil, le vent, les étoiles, le ciel ; je la sentais palpiter même sous mes pas. La Divine Volonté, cachée en mon intérieur, ordonnait à toute la création de s’agenouiller et de rendre honneur à sa Reine. Ainsi, toutes les choses s’inclinaient en me donnant des signes de leur obéissance à Dieu. Même les petites fleurs des champs ne manquaient pas de me rendre leurs hommages. Je rendais toutes les choses en fête quand, par nécessité, je sortais de la maison ; la création se mettait en devoir de me donner des signes d’honneur et je devais ordonner aux choses de demeurer à leur place et de garder l’ordre établi par le Créateur. Ma fille, écoute bien ta Maman et dis-moi : sens-tu dans ton coeur la joie, la paix et le détachement pour toutes les choses et toutes les personnes, de même que le courage de faire tout ce que la Divine Volonté te demande, pour ainsi sentir en toi une fête continuelle ? Ma fille, la paix, le détachement et le courage forment dans l’âme l’espace dans lequel la Divine Volonté trouve place. Être imperturbable quelle que soit sa souffrance apporte un état de fête continuel dans la créature. Par conséquent, prends courage, ma fille. Dis-moi que tu désires vivre dans la Divine Volonté, et ta Maman s’occupera de tout. Demain, je te dirai comment je me comportais dans le Temple. L’âme :
Chère Maman, tes leçons me ravissent et pénètrent profondément dans mon coeur. Toi qui désires tellement que ta fille vive dans la Divine Volonté, par ta souveraineté, vide-moi de tout et infuse en moi le courage de donner la mort à ma volonté. Et moi, avec confiance, je dirai : « Je désire vivre dans la Divine Volonté. » Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras toutes tes actions comme preuve de ton amour pour moi en me disant : « Ma Maman, je t’aime. » Et moi je déposerai tes actions dans la Divine Volonté. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, vide-moi de tout et cache-moi dans la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Sam 14 Mai - 9:34 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quatorzième jour
La Reine du Ciel arrive au Temple, sa nouvelle demeure, et devient le modèle des âmes consacrées à Dieu.
L’âme à la Reine du Ciel :
Céleste Maman, moi, ta pauvre fille, je sens un besoin irrésistible d’être avec toi, de marcher dans tes pas et d’examiner tes actions afin d’en faire des modèles pour ma vie. J’ai besoin d’être guidée car, par moi-même, je ne sais rien faire. Mais, avec ma Maman qui m’aime tellement, je saurai tout faire et comment vivre dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, c’est mon ardent désir que tu me voies en action afin que tu deviennes amoureuse et imitatrice de ta Maman. Donne-moi la main : je me sentirai plus heureuse en sachant que nous sommes ensemble. Écoute bien. Je quittai la maison de Nazareth accompagnée de mes saints parents. Au moment de partir, j’ai jeté un dernier regard sur notre petite maison en remerciant mon Créateur de m’y avoir fait naître et en souhaitant que cet endroit demeure dans la Divine Volonté. De cette façon, mon enfance et tous mes précieux souvenirs — car, ayant le plein usage de ma raison, je comprenais tout — pouvaient être conservés dans la Divine Volonté comme gages de mon amour envers Celui qui m’avait créée. Ma fille, remercier Dieu et déposer dans ses mains tous nos actes comme preuves de notre amour pour lui ouvrent de nouveaux canaux de grâces et de communications entre Dieu et notre âme. C’est aussi le plus bel hommage que l’on puisse donner à Celui qui nous aime tant. Apprends de moi à remercier Dieu pour tout ce qu’il met à ta disposition et, quand tu t’apprêtes à faire quelque chose, que ta devise soit : Merci Seigneur, je remets tout entre tes mains. Puisque j’avais tout déposé dans la Divine Volonté qui régnait en moi et ne m’avait jamais quitté — pas même un seul instant de toute ma vie —, je portais cette Divine Volonté comme en triomphe dans mon petit Coeur. Ô prodigieuse Divine Volonté ! Par sa puissance, elle agissait dans toutes mes actions, petites et grandes. C’était son triomphe et le mien. Ainsi, je n’ai jamais perdu la mémoire d’aucune de mes actions. Cela me donnait tellement de gloire et d’honneur que je me sentais Reine. Chacune de mes actions, toutes faites dans la Divine Volonté, était plus que le soleil et j’étais inondée de lumière, de félicité et de joie. La Divine Volonté me maintenait dans son Paradis. Ma fille, vivre dans la Divine Volonté devrait être le désir de tous, voire leur passion, tant est grande la beauté et le bien que l’âme acquiert en elle. La volonté humaine est tout à l’opposé. Elle infecte la pauvre créature, l’oppresse, la maintient dans la nuit et obscurcit son chemin. L’âme hésite toujours à faire le bien et, souvent, elle oublie le peu qu’elle a fait. J’ai quitté la maison paternelle avec courage et détachement parce que je ne regardais que la Divine Volonté sur laquelle mon Coeur était toujours fixé. Pour moi, cela suffisait pour tout. Pendant que je me rendais au Temple, je contemplais la création et, quelle merveille, je sentais les palpitations de la Divine Volonté dans le soleil, le vent, les étoiles, le ciel ; je la sentais palpiter même sous mes pas. La Divine Volonté, cachée en mon intérieur, ordonnait à toute la création de s’agenouiller et de rendre honneur à sa Reine. Ainsi, toutes les choses s’inclinaient en me donnant des signes de leur obéissance à Dieu. Même les petites fleurs des champs ne manquaient pas de me rendre leurs hommages. Je rendais toutes les choses en fête quand, par nécessité, je sortais de la maison ; la création se mettait en devoir de me donner des signes d’honneur et je devais ordonner aux choses de demeurer à leur place et de garder l’ordre établi par le Créateur. Ma fille, écoute bien ta Maman et dis-moi : sens-tu dans ton coeur la joie, la paix et le détachement pour toutes les choses et toutes les personnes, de même que le courage de faire tout ce que la Divine Volonté te demande, pour ainsi sentir en toi une fête continuelle ? Ma fille, la paix, le détachement et le courage forment dans l’âme l’espace dans lequel la Divine Volonté trouve place. Être imperturbable quelle que soit sa souffrance apporte un état de fête continuel dans la créature. Par conséquent, prends courage, ma fille. Dis-moi que tu désires vivre dans la Divine Volonté, et ta Maman s’occupera de tout. Demain, je te dirai comment je me comportais dans le Temple. L’âme :
Chère Maman, tes leçons me ravissent et pénètrent profondément dans mon coeur. Toi qui désires tellement que ta fille vive dans la Divine Volonté, par ta souveraineté, vide-moi de tout et infuse en moi le courage de donner la mort à ma volonté. Et moi, avec confiance, je dirai : « Je désire vivre dans la Divine Volonté. » Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me donneras toutes tes actions comme preuve de ton amour pour moi en me disant : « Ma Maman, je t’aime. » Et moi je déposerai tes actions dans la Divine Volonté. Oraison jaculatoire :
Céleste Maman, vide-moi de tout et cache-moi dans la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 15 Mai - 8:23 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Quinzième jour
La vie de la Reine du Ciel dans le Temple.
L’âme à la Reine du Ciel :
Maman Reine, ton enfant veut être auprès de toi pour suivre tes pas dans le Temple. Oh ! comme j’aimerais que ma Maman prenne mon âme et l’enferme dans le Temple de la Divine Volonté en l’isolant de tout excepté de sa douce compagnie et de celle de Jésus. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma chère fille, comme tes mots sont doux à mes oreilles quand tu me dis que tu désires être enfermée avec moi dans le Temple pour y vivre dans la Divine Volonté en ne désirant d’autre compagnie que celle de Jésus et la mienne ! Chère fille, tu fais monter dans mon Coeur de grandes joies maternelles. Si tu me laisses vraiment faire ce que tu me demandes, je suis certaine que tu seras très heureuse et que tu partageras ma joie. Avoir un enfant heureux est le plus grand bonheur et la plus grande gloire d’un coeur maternel. Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je suis allée au Temple pour y vivre uniquement de la Divine Volonté. À notre arrivée, mes saints parents me confièrent aux supérieurs du Temple et me consacrèrent à Dieu. On m’avait vêtue d’habits de fête et on chantait des hymnes et des prophéties relatives à la venue du Messie. Oh ! comme mon Coeur exultait ! Ensuite, je fis courageusement mes adieux à mes chers et saints parents. J’embrassai leur main droite et les remerciai pour tous les soins qu’ils m’avaient prodigués depuis ma naissance et pour m’avoir consacrée à Dieu avec autant d’amour et de renoncement. Mon attitude pacifique, courageuse et sans larmes infusa en eux la force de me quitter. La Divine Volonté qui régnait en moi étendait son Royaume sur tous mes actes. Ô puissance de la Divine Volonté, toi seule pouvait me donner la force héroïque de me séparer de ceux que j’aimais tant, moi qui étais si petite et constatais à quel point leurs coeurs étaient brisés par notre séparation. Écoute bien, ma fille. Comme le voulait le Seigneur, je m’enfermai dans le Temple pour que, par mes actions accomplies dans la Divine Volonté, j’instaure son Royaume en ce lieu et que toutes les âmes consacrées au Seigneur qui s’y trouvaient puissent en profiter. J’étais très attentive à tout ce qui se passait dans ce saint lieu. J’étais en paix avec tous et ne causais jamais de peine ou de tracasserie à personne. J’étais soumise aux services les plus humbles. Je ne trouvais aucune difficulté en quoi que ce soit. Tout sacrifice était pour moi un honneur, un triomphe. Pour moi, tout était Volonté de Dieu. Ainsi, j’entendais le son mystérieux de la Divine Volonté dans le tintement de la clochette qui m’appelait. Alors mon Coeur exultait et j’allais aussitôt à l’endroit où j’étais appelée. Ma loi était la Divine Volonté si sainte et je voyais mes supérieurs comme ses administrateurs. Le tintement de la cloche, la loi, les supérieurs, mes actions, même les plus humbles, étaient pour moi joie et félicité émanant de la Divine Volonté. La Divine Volonté rayonnait autour de moi. Son Royaume se formait à travers tous mes actes, même les plus petits. Je faisais comme l’océan qui dissimule tout ce qu’il possède et ne laisse voir que de l’eau : je dissimulais tout dans l’immense océan de la Divine Volonté. Tout m’apportait bonheur et joie. Ah ! ma fille, toi et toutes les âmes étiez présentes dans mes actes. Je ne faisais rien sans y adjoindre tous mes enfants. C’était précisément pour mes enfants que je préparais le Royaume de la Divine Volonté sur la terre. Ah ! si toutes les âmes consacrées à Dieu dans les endroits saints faisaient tout disparaître dans la Divine Volonté, comme elles seraient heureuses ! Elles convertiraient leurs communautés en familles célestes et peupleraient la terre de saintes âmes ! Mais, hélas ! je dois reconnaître combien de perturbations et de discordes s’y trouvent parce que ces âmes ne savent pas se conformer à la Divine Volonté. La Divine Volonté est la pacificatrice des âmes, la force et le soutien dans les sacrifices les plus difficiles. L’âme :
Sainte Maman, comme tes leçons sont magnifiques. Avec quelle douceur elles descendent dans mon coeur ! Je te prie d’emplir mon âme de l’océan de la Divine Volonté et d’élever autour un mur pour que je ne voie et ne sache rien d’autre que la Divine Volonté. Ainsi, je connaîtrai ses secrets, ses joies et son bonheur. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me feras douze actes d’amour en l’honneur des douze années que j’ai vécues dans le Temple, et tu me prieras d’unir tes actes aux miens. Oraison jaculatoire :
Maman Reine, enferme-moi dans le Temple sacré de la Volonté de Dieu. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 16 Mai - 7:00 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Seizième jour
Poursuivant sa vie dans le Temple, la Reine du Ciel prépare et hâte la venue du Verbe Divin sur la terre.
L’âme à sa céleste Maman :
Ma douce Maman, j’accours vers toi. Je sens que tu as dérobé mon coeur et l’as déposé dans le tien comme gage de mon amour pour toi. Tu veux déposer dans mon coeur la Divine Volonté. Je viens dans tes bras pour que tu puisses me donner tes leçons et faire de moi tout ce que tu voudras. Daigne me garder toujours avec toi. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, comme je désire que tu sois toujours avec moi ! J’aimerais être les battements de ton coeur, ta respiration, le travail de tes mains et les pas de tes pieds pour te faire sentir ce que la Divine Volonté a opéré en moi. J’aimerais verser sa vie en toi ! Oh ! comme cette vie est douce, aimable, enchanteresse et paisible ! Oh ! comme tu me rendrais heureuse si tu étais complètement soumise à la Divine Volonté, laquelle a été toute ma richesse, mon bonheur et ma gloire. Ma fille, sois attentive et écoute ta Maman qui désire tant partager sa richesse avec toi. Bien que je poursuivais ma vie dans le Temple, le Ciel ne m’était pas fermé. Je pouvais m’y rendre aussi souvent que je le voulais. J’avais libre passage pour y aller et en revenir. Au Ciel se trouvait ma divine Famille et j’aimais ardemment être avec elle. Les trois Personnes divines me recevaient avec beaucoup d’amour pour converser avec moi et me rendre plus joyeuse, plus heureuse, plus magnifique et plus chère à leurs yeux. Après tout, elles ne m’avaient pas créée pour me garder à distance. Absolument pas ! Elles voulaient me combler de joie en tant que leur fille. Elles voulaient entendre mes paroles qui, animées par la Divine Volonté, avaient le pouvoir de mettre la paix entre Dieu et les créatures. Elles aimaient être vaincues par leur fille et m’entendre leur répéter : « Faites descendre le Verbe sur la terre. » Souvent, c’était elles-mêmes qui m’appelaient, auquel cas, bien sûr, je volais vers elles. N’ayant jamais fait ma volonté humaine, ma présence auprès d’elles leur donnait un retour d’amour et de gloire pour la grande oeuvre de la Création. Elles me racontaient l’histoire de l’espèce humaine. Je priais beaucoup pour que la paix vienne entre Dieu et les hommes. Ma fille, tu dois savoir que c’est la volonté humaine qui ferme le Ciel aux créatures et que c’est pour cette raison qu’elles ne peuvent avoir accès aux régions célestes et avoir des rapports familiers avec leur Créateur. La volonté humaine a éloigné l’homme de celui qui l’a créé. Quand l’homme se sépara de la Divine Volonté, il devint peureux, timide ; il perdit la maîtrise de lui-même et de toute la création. Tous les éléments, parce qu’ils étaient dominés par la Divine Volonté, lui étaient supérieurs et pouvaient lui faire du mal. L’homme devint craintif de tout. Cela ne te paraît-il pas surprenant que l’homme, qui avait été créé roi, maître de tout, en vint au point d’avoir peur de celui qui l’avait créé ? Cela est étrange, ma fille. En effet, il est contre nature qu’un enfant ait peur de son père. Il est naturel que lorsqu’un être engendre, l’amour et la confiance entre le père et l’enfant soient engendrés en même temps. On pourrait appeler cela l’héritage premier dû à l’enfant et le droit premier dû au père. En faisant sa propre volonté, Adam perdit l’héritage prévu par son Père Céleste. Il perdit sa royauté et devint la risée de toutes les choses créées. Ma fille, écoute ta Maman et médite bien sur la grande méchanceté de la volonté humaine. Elle arrache les yeux de l’âme et, ainsi, tout devient obscurité et frayeur pour la pauvre créature. Pose ta main sur ton coeur et promets à ta Maman que tu voudras plutôt mourir que de faire usage de ta volonté humaine. N’ayant jamais fait ma volonté, je n’avais aucune crainte de mon Créateur. Comment aurais-je pu en avoir peur, lui qui m’aimait tant ? Sa Royauté était tellement grande en moi que, par mes actes, je hâtais la venue du Verbe Éternel sur la terre. En voyant que cette venue se rapprochait graduellement, j’augmentais mes supplications pour que ce jour tant attendu de la paix entre le Ciel et la terre vienne encore plus rapidement. Demain, je te raconterai une autre surprise concernant ma vie ici-bas. L’âme :
Ma souveraine Maman, comme tes leçons me sont douces ! Elles me font comprendre la grande méchanceté de ma volonté humaine. Combien de fois, moi aussi, je me suis sentie effrayée et timide, pour ne pas dire très éloignée de mon Créateur. Ah ! c’était ma volonté humaine qui régnait en moi, non la Divine Volonté ! Ô sainte Maman, toi qui m’aimes comme ta fille, prends mon coeur dans tes mains et chasse la peur et la timidité qui l’empêchent de prendre son envol vers son Créateur. Remplace tout en moi par la Divine Volonté que tu aimes tant. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu déposeras dans mes mains tout trouble, toute peur, toute méfiance que tu pourrais ressentir, pour que je les convertisse en Volonté de Dieu. Tu me diras à trois reprises : « Maman, fais régner la Divine Volonté en mon âme. » Oraison jaculatoire :
Maman, toi en qui j’ai tant confiance, fais s’élever le jour de la Divine Volonté dans mon âme.
_________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mar 17 Mai - 10:15 | |
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Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-septième jour
La Reine du Ciel quitte le Temple. Elle épouse saint Joseph. Un exemple pour tous ceux qui sont appelés à l’état conjugal.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, aujourd’hui plus que jamais, je veux me réfugier dans tes bras maternels afin que la Divine Volonté qui règne en toi exerce un doux enchantement sur ma volonté et qu’ainsi je n’ose rien faire qui ne soit pas selon la Volonté de Dieu. Ta leçon d’hier m’a fait comprendre dans quelle prison la volonté humaine jette la pauvre créature. J’ai peur que ma volonté revienne en moi. Pour cette raison, je me confie totalement à ma Maman afin qu’elle me surveille. Ainsi, je serai certaine de toujours vivre dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Courage, ma fille ; aie confiance en ta Maman et prends la ferme décision de ne jamais donner vie à ta volonté. Oh ! comme j’aimerais entendre de ta bouche ces paroles : « Maman, ma volonté est morte et la Divine Volonté domine totalement en moi. » Ta Maman est prête à utiliser toutes ses astuces de maman afin que sa fille en vienne à vivre dans le même Royaume qu’elle. Ce sera pour toi une mort douce qui te donnera la vraie vie et, pour moi, la victoire la plus belle dans le Royaume de la Divine Volonté. Prends courage et aie confiance en moi. La méfiance appartient aux lâches et à ceux qui ne sont pas réellement déterminés à obtenir la victoire ; ces gens sont toujours sans arme. Sans arme, on ne peut être victorieux, on est toujours hésitant dans le bien. Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie dans le Temple tout en faisant mes petites visites là-haut dans ma céleste patrie. J’exerçais mes droits de fille de visiter ma divine Famille. Quelle ne fut pas ma surprise quand, lors d’une de mes visites, les divines Personnes me firent savoir que c’était leur Volonté que je quitte le Temple et m’unisse par les liens du mariage à un saint homme nommé Joseph — me conformant ainsi aux usages de ce temps-là — pour aller vivre avec lui dans une maison de Nazareth. Par cette demande, il me sembla que Dieu voulait me mettre à l’épreuve. Je n’avais jamais humainement aimé personne sur la terre et, comme la Divine Volonté remplissait tout mon être, ma volonté humaine n’avait jamais accompli aucun acte humain. Par conséquent, il manquait en moi le germe de l’amour humain. Comment arriverais-je à aimer un homme à la manière humaine, même un homme très saint ? Il est vrai que j’aimais tout le monde et que mon amour envers tous était maternel. Le nom de chacun était inscrit dans mon coeur de mère avec des lettres de feu ineffaçables. Mais tout cela était dans l’ordre divin. L’amour humain, comparé au divin, est comme une ombre, un atome d’amour. Cependant, chère fille, ce qui aurait pu me paraître en contradiction avec la sainteté de ma vie, Dieu l’utilisa admirablement dans la poursuite de ses desseins en accordant à l’humanité la grâce que je désirais si ardemment pour elle : celle de la venue du Verbe Divin sur la terre. De plus, Dieu me garantissait ainsi la protection pour que personne ne puisse douter de mon intégrité. Saint Joseph allait être le coopérateur fournissant le minimum d’humain indispensable, l’écho de la paternité divine dans la formation de notre petite famille terrestre. En conséquence, malgré ma surprise, j’ai dit fiat immédiatement, sachant que la Divine Volonté ne me ferait jamais de mal et ne mettrait jamais ma sainteté en danger. Si j’avais voulu faire un acte de ma volonté humaine, même pour la raison de ne pas vouloir connaître un homme, j’aurais contrecarré les plans divins concernant la venue du Verbe sur la terre. Ce n’est pas l’état de vie auquel Dieu nous appelle qui peut causer préjudice à la sainteté, mais l’exercice de notre volonté personnelle en opposition avec celle de Dieu. Tous les états de vie sont saints, y compris celui du mariage, du moment que la Divine Volonté y règne et que l’on sache faire les sacrifices qui y sont inhérents. La majorité des gens sont paresseux. En conséquence, ils ne deviennent pas saints et, de leur état de vie, ils font un purgatoire, voire un enfer. Je n’ai dit à personne que j’allais devoir quitter le Temple. J’attendais que Dieu lui-même organise les choses pour que s’accomplisse son adorable Volonté. C’est d’ailleurs ce qui s’est produit : les supérieurs du Temple m’appelèrent et me dirent que, conformément à l’usage, je devais me préparer pour le mariage. J’ai accepté. Miraculeusement, parmi plusieurs hommes, le choix tomba sur saint Joseph. Nous nous sommes donc mariés et j’ai quitté le Temple. Je te prie, fille bien-aimée, de te conformer en toute chose à la Divine Volonté, si tu veux que les divins desseins s’accomplissent pour toi. L’âme :
Céleste Maman, ta fille se confie totalement à toi. Par ma confiance, je veux blesser ton Coeur maternel en espérant que cette blessure dise sans cesse : Fiat, fiat, fiat ! Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras sur mes genoux et réciteras quinze Gloire au Père pour remercier le Seigneur pour toutes les grâces qu’il m’a accordées pendant les quinze premières années de ma vie et, en particulier, pour m’avoir donné la compagnie d’un homme si saint, saint Joseph. Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, donne-moi les armes pour que je gagne la bataille dans ma conquête de la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mar 17 Mai - 21:04 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-septième jour
La Reine du Ciel quitte le Temple. Elle épouse saint Joseph. Un exemple pour tous ceux qui sont appelés à l’état conjugal.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, aujourd’hui plus que jamais, je veux me réfugier dans tes bras maternels afin que la Divine Volonté qui règne en toi exerce un doux enchantement sur ma volonté et qu’ainsi je n’ose rien faire qui ne soit pas selon la Volonté de Dieu. Ta leçon d’hier m’a fait comprendre dans quelle prison la volonté humaine jette la pauvre créature. J’ai peur que ma volonté revienne en moi. Pour cette raison, je me confie totalement à ma Maman afin qu’elle me surveille. Ainsi, je serai certaine de toujours vivre dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel :
Courage, ma fille ; aie confiance en ta Maman et prends la ferme décision de ne jamais donner vie à ta volonté. Oh ! comme j’aimerais entendre de ta bouche ces paroles : « Maman, ma volonté est morte et la Divine Volonté domine totalement en moi. » Ta Maman est prête à utiliser toutes ses astuces de maman afin que sa fille en vienne à vivre dans le même Royaume qu’elle. Ce sera pour toi une mort douce qui te donnera la vraie vie et, pour moi, la victoire la plus belle dans le Royaume de la Divine Volonté. Prends courage et aie confiance en moi. La méfiance appartient aux lâches et à ceux qui ne sont pas réellement déterminés à obtenir la victoire ; ces gens sont toujours sans arme. Sans arme, on ne peut être victorieux, on est toujours hésitant dans le bien. Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie dans le Temple tout en faisant mes petites visites là-haut dans ma céleste patrie. J’exerçais mes droits de fille de visiter ma divine Famille. Quelle ne fut pas ma surprise quand, lors d’une de mes visites, les divines Personnes me firent savoir que c’était leur Volonté que je quitte le Temple et m’unisse par les liens du mariage à un saint homme nommé Joseph — me conformant ainsi aux usages de ce temps-là — pour aller vivre avec lui dans une maison de Nazareth. Par cette demande, il me sembla que Dieu voulait me mettre à l’épreuve. Je n’avais jamais humainement aimé personne sur la terre et, comme la Divine Volonté remplissait tout mon être, ma volonté humaine n’avait jamais accompli aucun acte humain. Par conséquent, il manquait en moi le germe de l’amour humain. Comment arriverais-je à aimer un homme à la manière humaine, même un homme très saint ? Il est vrai que j’aimais tout le monde et que mon amour envers tous était maternel. Le nom de chacun était inscrit dans mon coeur de mère avec des lettres de feu ineffaçables. Mais tout cela était dans l’ordre divin. L’amour humain, comparé au divin, est comme une ombre, un atome d’amour. Cependant, chère fille, ce qui aurait pu me paraître en contradiction avec la sainteté de ma vie, Dieu l’utilisa admirablement dans la poursuite de ses desseins en accordant à l’humanité la grâce que je désirais si ardemment pour elle : celle de la venue du Verbe Divin sur la terre. De plus, Dieu me garantissait ainsi la protection pour que personne ne puisse douter de mon intégrité. Saint Joseph allait être le coopérateur fournissant le minimum d’humain indispensable, l’écho de la paternité divine dans la formation de notre petite famille terrestre. En conséquence, malgré ma surprise, j’ai dit fiat immédiatement, sachant que la Divine Volonté ne me ferait jamais de mal et ne mettrait jamais ma sainteté en danger. Si j’avais voulu faire un acte de ma volonté humaine, même pour la raison de ne pas vouloir connaître un homme, j’aurais contrecarré les plans divins concernant la venue du Verbe sur la terre. Ce n’est pas l’état de vie auquel Dieu nous appelle qui peut causer préjudice à la sainteté, mais l’exercice de notre volonté personnelle en opposition avec celle de Dieu. Tous les états de vie sont saints, y compris celui du mariage, du moment que la Divine Volonté y règne et que l’on sache faire les sacrifices qui y sont inhérents. La majorité des gens sont paresseux. En conséquence, ils ne deviennent pas saints et, de leur état de vie, ils font un purgatoire, voire un enfer. Je n’ai dit à personne que j’allais devoir quitter le Temple. J’attendais que Dieu lui-même organise les choses pour que s’accomplisse son adorable Volonté. C’est d’ailleurs ce qui s’est produit : les supérieurs du Temple m’appelèrent et me dirent que, conformément à l’usage, je devais me préparer pour le mariage. J’ai accepté. Miraculeusement, parmi plusieurs hommes, le choix tomba sur saint Joseph. Nous nous sommes donc mariés et j’ai quitté le Temple. Je te prie, fille bien-aimée, de te conformer en toute chose à la Divine Volonté, si tu veux que les divins desseins s’accomplissent pour toi. L’âme :
Céleste Maman, ta fille se confie totalement à toi. Par ma confiance, je veux blesser ton Coeur maternel en espérant que cette blessure dise sans cesse : Fiat, fiat, fiat ! Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras sur mes genoux et réciteras quinze Gloire au Père pour remercier le Seigneur pour toutes les grâces qu’il m’a accordées pendant les quinze premières années de ma vie et, en particulier, pour m’avoir donné la compagnie d’un homme si saint, saint Joseph. Oraison jaculatoire :
Puissante Reine, donne-moi les armes pour que je gagne la bataille dans ma conquête de la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mer 18 Mai - 9:25 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-huitième jour
La Reine du Ciel dans la maison de Nazareth. Le Ciel et la terre sont sur le point de se donner le baiser de paix.
L’âme à sa Reine Maman :
Ma souveraine Maman, me revoici pour poursuivre ma route avec toi. Ton amour m’enchaîne et me rend tout attentive à écouter tes merveilleuses leçons. Mais cela ne me suffit pas. Si vraiment tu m’aimes comme ta fille, enferme-moi dans le Royaume de la Divine Volonté où tu as vécu et vis toujours, et fermes-en les frontières de telle façon que, même si je le veux, je ne puisse plus en ressortir. Alors, comme une mère avec sa fille, nous vivrons ensemble et serons heureuses. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, si tu savais à quel point je désire te garder enfermée dans le Royaume de la Divine Volonté ! Chacune des leçons que je te donne est une clôture que je dresse pour t’empêcher de sortir. Elles forment une forteresse qui emmure ta volonté pour qu’elle comprenne et aime la douce domination de la Divine Volonté. Sois donc attentive en m’écoutant, car mes leçons sont des oeuvres que ta Maman fait pour séduire et captiver ta volonté et pour rendre la Divine Volonté victorieuse en toi. Ma chère fille, écoute-moi bien. J’ai quitté le Temple avec le même courage que lorsque j’y suis venue, uniquement pour accomplir la Divine Volonté. Je me suis rendue à Nazareth, mais je n’y ai pas trouvé mes chers et saints parents. Durant le voyage, j’étais accompagnée uniquement de saint Joseph, que je voyais comme un ange gardien donné par Dieu, bien que j’avais aussi une cohorte d’anges qui m’accompagnaient. Toutes les choses créées s’inclinaient à mon passage et moi, en tant que Reine, je les baisais et les saluais en guise de remerciement. C’est ainsi que nous arrivâmes à Nazareth. Je dois te dire que saint Joseph et moi, nous nous regardions avec réserve et modestie ; nous avions le coeur gros parce que chacun voulait faire savoir à l’autre que nous avions fait à Dieu le voeu de virginité perpétuelle. Finalement, le silence fut rompu et chacun de nous déclara ce fait. Oh ! comme nous nous sommes sentis heureux ! En rendant grâce au Seigneur, nous nous sommes promis mutuellement de vivre comme frère et soeur. J’étais très attentionnée en le servant. Nous nous regardions l’un l’autre avec vénération, et une grande paix régnait entre nous. Oh ! si tous voulaient se refléter en moi, en m’imitant ! Je m’adaptai très bien à une vie ordinaire. Je ne laissais rien paraître extérieurement de ces grands océans de grâces que je possédais. Maintenant, écoute-moi bien, ma fille. Dans la maison de Nazareth, je me sentais plus que jamais enflammée et je priais pour la descente du Verbe Divin sur la terre. La Divine Volonté qui régnait en moi ne faisait rien d’autre que de revêtir mes actes de lumière, de beauté, de sainteté et de puissance. Je sentais qu’elle formait en moi un royaume de lumière, mais d’une lumière toujours montante, un royaume de beauté, de sainteté et de puissance qui grandissait toujours. Ainsi, toutes les divines qualités que la Divine Volonté avait mises en moi par son règne m’apportaient la fécondité. La lumière qui m’envahissait était tellement immense et mon humanité tellement embellie par le soleil de la Divine Volonté qu’elle ne faisait rien d’autre que de produire des fleurs célestes. Je sentais le Ciel s’incliner vers moi et la terre de mon humanité s’élever. Le Ciel et la terre s’étreignaient et se réconciliaient en se donnant un baiser de paix et d’amour. La terre se disposait à produire la semence pour former le Juste, le Saint ; et le Ciel s’ouvrait pour que le Verbe descende dans cette semence. Je ne faisais rien d’autre que de descendre et remonter vers ma céleste Patrie et me jeter dans les bras paternels de mon Papa céleste en lui disant avec mon Coeur : « Père Saint, je ne peux plus résister ! Je me sens enflammée et, pendant que je brûle, je sens en moi une grande force qui désire gagner sur toi. Avec les chaînes de mon amour, je désire te lier, afin de pouvoir te désarmer, pour que tu n’attendes plus. Sur les ailes de mon amour, je désire transporter le Verbe Divin du Ciel vers la terre. » Je priais et pleurais pour qu’il m’entende. La Divinité, vaincue par mes larmes et mes prières, me rassura en me disant : « Fille, qui peut te résister ? Tu as gagné. L’heure divine est proche. Retourne sur la terre et continue d’agir dans la puissance de la Divine Volonté et, par tes actes faits en elle, tout sera secoué et le Ciel et la terre échangeront le baiser de paix. » Mais, malgré tout cela, je ne savais pas encore que j’allais être la Mère du Verbe Éternel. Chère enfant, écoute-moi et comprends bien ce que signifie vivre dans la Divine Volonté. En vivant en elle, je formai le Ciel et son divin Royaume dans mon âme. Si je n’avais pas formé ce Royaume en moi, le Verbe n’aurait jamais pu descendre du Ciel sur la terre. S’il descendit, c’est parce qu’il y avait en moi son propre Royaume formé par la Divine Volonté. Il trouva en moi son Ciel et ses joies divines. Le Verbe ne serait jamais descendu dans un royaume étranger. Oh ! non, non ! Il voulut d’abord former son Royaume en moi et, ensuite, y descendre en vainqueur. En vivant toujours dans la Divine Volonté, j’ai acquis par grâce ce qui est en Dieu par nature : la divine fécondité, laquelle m’a rendue apte à former la semence sans intervention humaine pour que germe en moi l’Humanité du Verbe Éternel. Qu’est-ce que la Divine Volonté ne peut faire quand elle opère dans une créature ? Elle peut tout faire et produire tous les biens possibles et imaginables. Aie donc à coeur que tout soit Divine Volonté en toi, si tu veux imiter ta Maman et la rendre heureuse. L’âme :
Sainte Maman, si tu veux, tu peux. Comme tu as eu la puissance pour vaincre Dieu au point de le faire descendre du Ciel sur la terre, tu ne manqueras pas non plus de puissance pour vaincre ma volonté afin qu’elle n’ait plus de vie. J’espère en toi et, de toi, je recevrai tout. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me feras une petite visite à la maison de Nazareth. Tu me donneras tous tes actes en hommage pour que je puisse les unir aux miens, afin de les convertir en Divine Volonté. Oraison jaculatoire :
Céleste Impératrice, donne le baiser de la Volonté de Dieu à mon coeur. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Mer 18 Mai - 12:16 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-huitième jour
La Reine du Ciel dans la maison de Nazareth. Le Ciel et la terre sont sur le point de se donner le baiser de paix.
L’âme à sa Reine Maman :
Ma souveraine Maman, me revoici pour poursuivre ma route avec toi. Ton amour m’enchaîne et me rend tout attentive à écouter tes merveilleuses leçons. Mais cela ne me suffit pas. Si vraiment tu m’aimes comme ta fille, enferme-moi dans le Royaume de la Divine Volonté où tu as vécu et vis toujours, et fermes-en les frontières de telle façon que, même si je le veux, je ne puisse plus en ressortir. Alors, comme une mère avec sa fille, nous vivrons ensemble et serons heureuses. Leçon de la Reine du Ciel :
Ma très chère fille, si tu savais à quel point je désire te garder enfermée dans le Royaume de la Divine Volonté ! Chacune des leçons que je te donne est une clôture que je dresse pour t’empêcher de sortir. Elles forment une forteresse qui emmure ta volonté pour qu’elle comprenne et aime la douce domination de la Divine Volonté. Sois donc attentive en m’écoutant, car mes leçons sont des oeuvres que ta Maman fait pour séduire et captiver ta volonté et pour rendre la Divine Volonté victorieuse en toi. Ma chère fille, écoute-moi bien. J’ai quitté le Temple avec le même courage que lorsque j’y suis venue, uniquement pour accomplir la Divine Volonté. Je me suis rendue à Nazareth, mais je n’y ai pas trouvé mes chers et saints parents. Durant le voyage, j’étais accompagnée uniquement de saint Joseph, que je voyais comme un ange gardien donné par Dieu, bien que j’avais aussi une cohorte d’anges qui m’accompagnaient. Toutes les choses créées s’inclinaient à mon passage et moi, en tant que Reine, je les baisais et les saluais en guise de remerciement. C’est ainsi que nous arrivâmes à Nazareth. Je dois te dire que saint Joseph et moi, nous nous regardions avec réserve et modestie ; nous avions le coeur gros parce que chacun voulait faire savoir à l’autre que nous avions fait à Dieu le voeu de virginité perpétuelle. Finalement, le silence fut rompu et chacun de nous déclara ce fait. Oh ! comme nous nous sommes sentis heureux ! En rendant grâce au Seigneur, nous nous sommes promis mutuellement de vivre comme frère et soeur. J’étais très attentionnée en le servant. Nous nous regardions l’un l’autre avec vénération, et une grande paix régnait entre nous. Oh ! si tous voulaient se refléter en moi, en m’imitant ! Je m’adaptai très bien à une vie ordinaire. Je ne laissais rien paraître extérieurement de ces grands océans de grâces que je possédais. Maintenant, écoute-moi bien, ma fille. Dans la maison de Nazareth, je me sentais plus que jamais enflammée et je priais pour la descente du Verbe Divin sur la terre. La Divine Volonté qui régnait en moi ne faisait rien d’autre que de revêtir mes actes de lumière, de beauté, de sainteté et de puissance. Je sentais qu’elle formait en moi un royaume de lumière, mais d’une lumière toujours montante, un royaume de beauté, de sainteté et de puissance qui grandissait toujours. Ainsi, toutes les divines qualités que la Divine Volonté avait mises en moi par son règne m’apportaient la fécondité. La lumière qui m’envahissait était tellement immense et mon humanité tellement embellie par le soleil de la Divine Volonté qu’elle ne faisait rien d’autre que de produire des fleurs célestes. Je sentais le Ciel s’incliner vers moi et la terre de mon humanité s’élever. Le Ciel et la terre s’étreignaient et se réconciliaient en se donnant un baiser de paix et d’amour. La terre se disposait à produire la semence pour former le Juste, le Saint ; et le Ciel s’ouvrait pour que le Verbe descende dans cette semence. Je ne faisais rien d’autre que de descendre et remonter vers ma céleste Patrie et me jeter dans les bras paternels de mon Papa céleste en lui disant avec mon Coeur : « Père Saint, je ne peux plus résister ! Je me sens enflammée et, pendant que je brûle, je sens en moi une grande force qui désire gagner sur toi. Avec les chaînes de mon amour, je désire te lier, afin de pouvoir te désarmer, pour que tu n’attendes plus. Sur les ailes de mon amour, je désire transporter le Verbe Divin du Ciel vers la terre. » Je priais et pleurais pour qu’il m’entende. La Divinité, vaincue par mes larmes et mes prières, me rassura en me disant : « Fille, qui peut te résister ? Tu as gagné. L’heure divine est proche. Retourne sur la terre et continue d’agir dans la puissance de la Divine Volonté et, par tes actes faits en elle, tout sera secoué et le Ciel et la terre échangeront le baiser de paix. » Mais, malgré tout cela, je ne savais pas encore que j’allais être la Mère du Verbe Éternel. Chère enfant, écoute-moi et comprends bien ce que signifie vivre dans la Divine Volonté. En vivant en elle, je formai le Ciel et son divin Royaume dans mon âme. Si je n’avais pas formé ce Royaume en moi, le Verbe n’aurait jamais pu descendre du Ciel sur la terre. S’il descendit, c’est parce qu’il y avait en moi son propre Royaume formé par la Divine Volonté. Il trouva en moi son Ciel et ses joies divines. Le Verbe ne serait jamais descendu dans un royaume étranger. Oh ! non, non ! Il voulut d’abord former son Royaume en moi et, ensuite, y descendre en vainqueur. En vivant toujours dans la Divine Volonté, j’ai acquis par grâce ce qui est en Dieu par nature : la divine fécondité, laquelle m’a rendue apte à former la semence sans intervention humaine pour que germe en moi l’Humanité du Verbe Éternel. Qu’est-ce que la Divine Volonté ne peut faire quand elle opère dans une créature ? Elle peut tout faire et produire tous les biens possibles et imaginables. Aie donc à coeur que tout soit Divine Volonté en toi, si tu veux imiter ta Maman et la rendre heureuse. L’âme :
Sainte Maman, si tu veux, tu peux. Comme tu as eu la puissance pour vaincre Dieu au point de le faire descendre du Ciel sur la terre, tu ne manqueras pas non plus de puissance pour vaincre ma volonté afin qu’elle n’ait plus de vie. J’espère en toi et, de toi, je recevrai tout. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu me feras une petite visite à la maison de Nazareth. Tu me donneras tous tes actes en hommage pour que je puisse les unir aux miens, afin de les convertir en Divine Volonté. Oraison jaculatoire :
Céleste Impératrice, donne le baiser de la Volonté de Dieu à mon coeur.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Jeu 19 Mai - 9:23 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-neuvième jour
Les portes du Ciel s’ouvrent. Le Soleil du Verbe Éternel envoie son ange pour informer la Vierge que l’heure de Dieu est arrivée.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, me voici de nouveau sur tes genoux. Je suis ton enfant qui désire être nourrie de tes douces paroles ; elles seront pour moi un baume pour guérir les blessures causées par ma misérable volonté humaine. Ô ma Mère, parle-moi. Que tes paroles pénétrantes descendent dans mon coeur et y forment une nouvelle création, afin que germe en mon âme la semence de la Divine Volonté. Leçon de la Reine Souveraine :
Ma très chère fille, c’est justement pour cela que j’aime tant te parler des célestes secrets de la Divine Volonté. Je veux que tu connaisses tous les prodiges qu’elle peut accomplir là où elle règne totalement ainsi que les grands dommages que subissent ceux qui se laissent dominer par leur volonté humaine. Cela avec l’espoir que tu aimeras assez cette Divine Volonté pour la laisser trôner totalement en toi, tout en abhorrant ta volonté humaine au point d’en faire le marchepied de la Divine Volonté. Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie à Nazareth et la Divine Volonté continuait d’accroître son Royaume en moi. Elle utilisait mes actions les plus petites, même les plus banales, comme tenir la maison en ordre, allumer le feu, balayer : en somme, tous les travaux habituels dans une vie familiale. Cela me permettait de sentir palpiter la Divine Volonté dans le feu, l’eau, les aliments, l’air que je respirais, bref, en toute chose. Avec toutes mes petites actions, la Divine Volonté formait des mers de lumière, de grâces, de sainteté car, partout où elle règne, la Divine Volonté fait des choses les plus petites des cieux nouveaux d’une beauté enchanteresse. Étant immense, elle ne sait pas faire de petites choses et, par sa puissance, elle donne de la valeur aux choses les plus simples en faisant d’elles des choses grandioses au point d’éblouir le Ciel et la terre. Tout devient saint, tout devient sacré pour qui vit dans la Divine Volonté. Fille de mon coeur, écoute-moi bien. Plusieurs jours avant que le Verbe descende sur la terre, j’ai pu voir le Ciel s’entrouvrir et le Soleil du Verbe Divin se tenir à son entrée, comme à la recherche de la personne vers laquelle il allait prendre son envol pour en devenir le céleste Prisonnier. Oh ! comme il était beau de le voir aux portes du Ciel comme un veilleur, une sentinelle, à la recherche de l’heureuse créature qui allait accorder son hospitalité à son Créateur ! Les divines Personnes ne regardaient plus la terre comme un endroit inhospitalier parce qu’il s’y trouvait la petite Marie possédant la Divine Volonté. Elle constituait un Royaume divin où le Verbe pourra descendre en toute sécurité, comme dans sa propre demeure, et où il trouvera un Ciel décoré d’une multitude de soleils provenant de la multitude des actes accomplis dans mon âme par la Divine Volonté. Débordante d’amour, la Divinité enleva le manteau de sa justice qu’elle portait à l’égard de ses créatures depuis tant de siècles et le remplaça par un manteau d’infinie miséricorde. De plus, elle décréta la descente du Verbe sur la terre, l’heure de ce grand événement étant venue. À cette nouvelle, le Ciel et la terre furent sidérés et se mirent à l’attention pour être les spectateurs de cet excès d’amour si grandiose, de ce prodige si extraordinaire ! Quant à moi, je me sentis brûlante d’amour et, me faisant l’écho de l’amour de mon Créateur, je voulus former un immense océan d’amour dans lequel le Verbe pourrait descendre sur la terre. Mes prières étaient incessantes et, pendant que je priais dans ma petite chambre, un ange me fut envoyé du Ciel comme un messager du grand Roi. Il se plaça devant moi et, se prosternant, il me salua en disant : « Salut, ô Marie, notre Reine. La Divine Volonté t’a comblée de grâces. Elle a prononcé son Fiat pour que descende sur la terre le Verbe Divin. Il est prêt, il est derrière moi, mais il désire ton fiat pour que s’accomplisse en toi son Fiat. » Devant cette annonce si sublime et tellement désirée par moi, bien que je n’avais jamais pensé être l’élue, je fus stupéfiée et j’hésitai un moment. Mais l’ange du Seigneur me dit : « Notre Reine, n’aie pas peur, tu as trouvé grâce devant Dieu, tu as conquis ton Créateur ; aussi, pour que la victoire soit complète, prononce ton fiat. » Je prononçai mon fiat et, ô merveille, les deux fiats fusionnèrent, ce qui eut comme conséquence la descente du Verbe Divin en moi. Mon fiat, auquel Dieu accorda la même valeur qu’au sien, donna vie à la toute petite Humanité du Verbe Divin, à partir de la semence que constituait mon humanité. Ainsi, le grand prodige de l’Incarnation fut accompli. Ô puissance de la Divine Volonté, tu m’élevas si haut et me rendis si puissante, que tu as pu déposer en mon intérieur cette petite Humanité qui devait enfermer le Verbe Éternel que ni le Ciel ni la terre ne pouvaient contenir ! Les cieux furent secoués et toute la création prit une attitude de fête. Exultant de joie, ils se rassemblèrent autour de la petite maison de Nazareth pour rendre leurs hommages et leurs respects au Créateur devenu homme. Dans leur langage muet, ils disaient : « Ô prodige des prodiges que seul un Dieu pouvait accomplir ! L’Immensité est devenue petite, la Puissance s’est faite faiblesse, la Grandeur inaccessible s’est abaissée à s’enfermer dans le sein d’une vierge ! Elle est à la fois petite et immense, puissante et impuissante, forte et faible ! » Ma chère fille, tu ne peux comprendre ce que ta Maman ressentit pendant l’acte de l’Incarnation du Verbe. Tout faisait pression sur moi pour que je prononce mon fiat, que je pourrais qualifier de “tout-puissant”. Ma chère fille, écoute-moi bien. Combien tu devrais avoir à coeur de toujours accomplir la Divine Volonté et de vivre en elle ! Ma puissance est toujours là : laisse-moi prononcer ton fiat dans ton âme. Mais, pour que je puisse le faire, il me faut le tien. Le bien véritable ne peut s’accomplir par une seule personne ; les travaux les plus grands se font toujours à deux. Dieu lui-même ne voulut pas accomplir le grand prodige de l’Incarnation seul ; il m’a voulue avec lui dans cette entreprise. Par son action et la mienne, la vie de l’Homme-Dieu prit forme et la destinée de l’espèce humaine fut restaurée. Le Ciel ne fut plus fermé et tous les biens furent placés entre les deux fiats. Disons ensemble : fiat ! fiat ! et mon amour maternel déposera en toi la vie de la Divine Volonté. C’est assez pour l’instant. Demain, je t’attendrai de nouveau pour te raconter la suite de l’histoire de l’Incarnation. L’âme :
Belle Maman, je suis abasourdie par tes si magnifiques leçons. Je te prie de prononcer ton fiat sur moi ; je prononcerai le mien en même temps. Ainsi, le fiat que tu souhaites tant voir se réaliser dans ma vie prendra forme en moi. Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer, tu viendras donner le premier baiser à Jésus et tu lui diras neuf fois que tu veux accomplir sa Volonté. Par la suite, je répéterai le prodige de la Conception de Jésus dans ton âme. Oraison jaculatoire :
Reine toute-puissante, prononce ton fiat en mon âme pour que la Divine Volonté prenne vie en moi. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Jeu 19 Mai - 14:08 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Dix-neuvième jour
Les portes du Ciel s’ouvrent. Le Soleil du Verbe Éternel envoie son ange pour informer la Vierge que l’heure de Dieu est arrivée.
L’âme à sa céleste Maman :
Sainte Maman, me voici de nouveau sur tes genoux. Je suis ton enfant qui désire être nourrie de tes douces paroles ; elles seront pour moi un baume pour guérir les blessures causées par ma misérable volonté humaine. Ô ma Mère, parle-moi. Que tes paroles pénétrantes descendent dans mon coeur et y forment une nouvelle création, afin que germe en mon âme la semence de la Divine Volonté. Leçon de la Reine Souveraine :
Ma très chère fille, c’est justement pour cela que j’aime tant te parler des célestes secrets de la Divine Volonté. Je veux que tu connaisses tous les prodiges qu’elle peut accomplir là où elle règne totalement ainsi que les grands dommages que subissent ceux qui se laissent dominer par leur volonté humaine. Cela avec l’espoir que tu aimeras assez cette Divine Volonté pour la laisser trôner totalement en toi, tout en abhorrant ta volonté humaine au point d’en faire le marchepied de la Divine Volonté. Maintenant, ma fille, écoute-moi bien. Je poursuivais ma vie à Nazareth et la Divine Volonté continuait d’accroître son Royaume en moi. Elle utilisait mes actions les plus petites, même les plus banales, comme tenir la maison en ordre, allumer le feu, balayer : en somme, tous les travaux habituels dans une vie familiale. Cela me permettait de sentir palpiter la Divine Volonté dans le feu, l’eau, les aliments, l’air que je respirais, bref, en toute chose. Avec toutes mes petites actions, la Divine Volonté formait des mers de lumière, de grâces, de sainteté car, partout où elle règne, la Divine Volonté fait des choses les plus petites des cieux nouveaux d’une beauté enchanteresse. Étant immense, elle ne sait pas faire de petites choses et, par sa puissance, elle donne de la valeur aux choses les plus simples en faisant d’elles des choses grandioses au point d’éblouir le Ciel et la terre. Tout devient saint, tout devient sacré pour qui vit dans la Divine Volonté. Fille de mon coeur, écoute-moi bien. Plusieurs jours avant que le Verbe descende sur la terre, j’ai pu voir le Ciel s’entrouvrir et le Soleil du Verbe Divin se tenir à son entrée, comme à la recherche de la personne vers laquelle il allait prendre son envol pour en devenir le céleste Prisonnier. Oh ! comme il était beau de le voir aux portes du Ciel comme un veilleur, une sentinelle, à la recherche de l’heureuse créature qui allait accorder son hospitalité à son Créateur ! Les divines Personnes ne regardaient plus la terre comme un endroit inhospitalier parce qu’il s’y trouvait la petite Marie possédant la Divine Volonté. Elle constituait un Royaume divin où le Verbe pourra descendre en toute sécurité, comme dans sa propre demeure, et où il trouvera un Ciel décoré d’une multitude de soleils provenant de la multitude des actes accomplis dans mon âme par la Divine Volonté. Débordante d’amour, la Divinité enleva le manteau de sa justice qu’elle portait à l’égard de ses créatures depuis tant de siècles et le remplaça par un manteau d’infinie miséricorde. De plus, elle décréta la descente du Verbe sur la terre, l’heure de ce grand événement étant venue. À cette nouvelle, le Ciel et la terre furent sidérés et se mirent à l’attention pour être les spectateurs de cet excès d’amour si grandiose, de ce prodige si extraordinaire ! Quant à moi, je me sentis brûlante d’amour et, me faisant l’écho de l’amour de mon Créateur, je voulus former un immense océan d’amour dans lequel le Verbe pourrait descendre sur la terre. Mes prières étaient incessantes et, pendant que je priais dans ma petite chambre, un ange me fut envoyé du Ciel comme un messager du grand Roi. Il se plaça devant moi et, se prosternant, il me salua en disant : « Salut, ô Marie, notre Reine. La Divine Volonté t’a comblée de grâces. Elle a prononcé son Fiat pour que descende sur la terre le Verbe Divin. Il est prêt, il est derrière moi, mais il désire ton fiat pour que s’accomplisse en toi son Fiat. » Devant cette annonce si sublime et tellement désirée par moi, bien que je n’avais jamais pensé être l’élue, je fus stupéfiée et j’hésitai un moment. Mais l’ange du Seigneur me dit : « Notre Reine, n’aie pas peur, tu as trouvé grâce devant Dieu, tu as conquis ton Créateur ; aussi, pour que la victoire soit complète, prononce ton fiat. » Je prononçai mon fiat et, ô merveille, les deux fiats fusionnèrent, ce qui eut comme conséquence la descente du Verbe Divin en moi. Mon fiat, auquel Dieu accorda la même valeur qu’au sien, donna vie à la toute petite Humanité du Verbe Divin, à partir de la semence que constituait mon humanité. Ainsi, le grand prodige de l’Incarnation fut accompli. Ô puissance de la Divine Volonté, tu m’élevas si haut et me rendis si puissante, que tu as pu déposer en mon intérieur cette petite Humanité qui devait enfermer le Verbe Éternel que ni le Ciel ni la terre ne pouvaient contenir ! Les cieux furent secoués et toute la création prit une attitude de fête. Exultant de joie, ils se rassemblèrent autour de la petite maison de Nazareth pour rendre leurs hommages et leurs respects au Créateur devenu homme. Dans leur langage muet, ils disaient : « Ô prodige des prodiges que seul un Dieu pouvait accomplir ! L’Immensité est devenue petite, la Puissance s’est faite faiblesse, la Grandeur inaccessible s’est abaissée à s’enfermer dans le sein d’une vierge ! Elle est à la fois petite et immense, puissante et impuissante, forte et faible ! » Ma chère fille, tu ne peux comprendre ce que ta Maman ressentit pendant l’acte de l’Incarnation du Verbe. Tout faisait pression sur moi pour que je prononce mon fiat, que je pourrais qualifier de “tout-puissant”. Ma chère fille, écoute-moi bien. Combien tu devrais avoir à coeur de toujours accomplir la Divine Volonté et de vivre en elle ! Ma puissance est toujours là : laisse-moi prononcer ton fiat dans ton âme. Mais, pour que je puisse le faire, il me faut le tien. Le bien véritable ne peut s’accomplir par une seule personne ; les travaux les plus grands se font toujours à deux. Dieu lui-même ne voulut pas accomplir le grand prodige de l’Incarnation seul ; il m’a voulue avec lui dans cette entreprise. Par son action et la mienne, la vie de l’Homme-Dieu prit forme et la destinée de l’espèce humaine fut restaurée. Le Ciel ne fut plus fermé et tous les biens furent placés entre les deux fiats. Disons ensemble : fiat ! fiat ! et mon amour maternel déposera en toi la vie de la Divine Volonté. C’est assez pour l’instant. Demain, je t’attendrai de nouveau pour te raconter la suite de l’histoire de l’Incarnation. L’âme :
Belle Maman, je suis abasourdie par tes si magnifiques leçons. Je te prie de prononcer ton fiat sur moi ; je prononcerai le mien en même temps. Ainsi, le fiat que tu souhaites tant voir se réaliser dans ma vie prendra forme en moi. Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer, tu viendras donner le premier baiser à Jésus et tu lui diras neuf fois que tu veux accomplir sa Volonté. Par la suite, je répéterai le prodige de la Conception de Jésus dans ton âme. Oraison jaculatoire :
Reine toute-puissante, prononce ton fiat en mon âme pour que la Divine Volonté prenne vie en moi.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Ven 20 Mai - 10:01 | |
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Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Vingtième jour
La Vierge était comme un ciel parsemé d’étoiles. Dans ce ciel, le Soleil divin brillait de ses rayons les plus brillants remplissant le Ciel et la terre. Jésus dans le sein de sa Maman.
L’âme à sa Reine Maman :
Me voici de nouveau avec toi, ma céleste Maman. Inclinée à tes saints pieds, je te salue et me réjouis avec toi, Comblée de grâces et Mère de Jésus. Oh ! jamais plus je ne te retrouverai seule, car je te trouverai toujours avec mon petit Jésus prisonnier. En fait, nous serons trois : ma Maman, Jésus et moi. Quelle chance pour moi ! Si je veux rencontrer mon petit Roi Jésus, il me suffira de rejoindre sa Mère, qui est aussi la mienne. Ô sainte Maman, dans ta grandeur de Mère de Dieu, aie pitié de ta misérable petite fille ; dis pour moi ton premier mot au petit Jésus prisonnier afin qu’il m’accorde la grande grâce de vivre dans sa Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel, Mère de Jésus :
Aujourd’hui, ma chère fille, je t’attendais comme jamais. Mon Coeur maternel est débordant. Je sens un grand besoin de partager mon amour ardent avec ma fille. Je veux te souligner que je suis la Mère de Jésus. Mes joies sont infinies, je suis inondée d’un océan de bonheur car je peux dire : « Je suis la Mère de Jésus ! » Moi, sa créature, sa servante, je suis sa Mère et cela, je le dois uniquement au Fiat de Dieu. Il me combla de grâces et aménagea en moi une digne demeure pour mon Créateur. Que toute gloire, tout honneur et tous remerciements soient rendus à la Suprême Volonté ! Maintenant, écoute-moi bien, fille de mon coeur. Dès que la petite Humanité de Jésus prit place dans mon sein par la puissance du divin Fiat, le Soleil du Verbe Éternel s’y incarna. J’avais ainsi en moi un ciel magnifique parsemé de brillantes étoiles scintillant de la joie, des béatitudes et des harmonies de la divine beauté. Le Soleil du Verbe Éternel rayonnait d’une lumière inaccessible au milieu de cet auguste Ciel, caché dans la petite Humanité de Jésus. Et comme cette petite Humanité ne pouvait contenir tant de lumière, celle-ci débordait à l’extérieur, investissant le Ciel et la terre et atteignant tous les coeurs. Par ses rayons ardents, elle interpellait toutes les créatures en leur disant : « Mes enfants, ouvrez-moi, donnez-moi une place dans vos coeurs. Je suis descendue du Ciel sur la terre pour former ma vie en chacun de vous. Ma Mère est le centre où je réside et mes enfants se placeront tout autour. En chacun d’eux, je veux établir ma vie et ma demeure. » Et cette lumière frappait et frappait, sans jamais cesser, et la petite Humanité de Jésus gémissait et pleurait. Ces gémissements et ces pleurs d’amour se mêlaient à cette lumière et envoyaient des rayons d’amour dans tous les coeurs. Ma fille, tu dois savoir qu’une nouvelle vie débuta alors pour ta Maman. J’étais au courant de tout ce que mon Fils faisait. Je le voyais dévoré par des mers de flammes d’amour. Chacun des battements de son coeur, chacune de ses respirations et de ses souffrances étaient des flammes d’amour avec lesquels il enveloppait toutes les créatures pour les faire siennes à force d’amour et de souffrances. En fait, dès que la petite Humanité de Jésus fut conçue, elle connut toutes les souffrances qu’elle allait assumer durant toute sa vie terrestre. Jésus enferma toutes les âmes en lui car, étant Dieu, personne ne pouvait lui échapper. Son immensité divine enfermait toutes les créatures et son omniscience les rendait toutes présentes à lui. C’est ainsi que mon Jésus, mon Fils, ressentit tout le poids et le lourd fardeau des péchés de toutes les créatures. Et moi, ta Maman, je le suivais en tout cela et je ressentais dans mon Coeur maternel ses souffrances. De plus, je prenais connaissance de toutes les âmes que, en tant que Mère et aux côtés de Jésus, j’allais générer à la grâce, à la lumière et à la vie nouvelle que mon cher Fils venait apporter sur la terre. Ma fille, tu dois savoir que, dès le moment de ma Conception, je t’ai aimée comme une maman, je te portais dans mon Coeur, je brûlais d’amour pour toi, bien que je ne comprenais pas pourquoi il en était ainsi. La Divine Volonté me faisait accomplir les choses, mais elle en maintenait le secret caché à mes yeux. Cependant, à l’Incarnation du Verbe en mon sein, elle me révéla ces secrets et me fit comprendre la fécondité de ma maternité : je ne devenais pas uniquement la Mère de Jésus, mais aussi la Maman de toutes les créatures. De plus, je compris que j’aurais à vivre cette maternité sous le double signe de la souffrance et de l’amour. Ma fille, combien je t’ai aimée, et combien je t’aime encore ! Maintenant, écoute bien, chère fille, quels sommets la créature peut atteindre quand la Divine Volonté l’habite et qu’elle la laisse agir en elle sans la moindre opposition. Cette Divine Volonté qui, par nature, possède la vertu d’engendrer, engendre tous les biens dans cette créature. Elle la rend féconde, lui donnant la maternité sur tout et sur tous, y compris sur son Créateur. La maternité signifie amour vrai, amour héroïque, amour qui accepte avec joie de mourir afin de donner la vie à l’être engendré. Sans cela, la maternité est stérile, elle n’est qu’un simple mot, elle n’existe pas dans les faits. Ainsi, ma fille, si tu veux que tous les biens soient engendrés en toi, laisse la Divine Volonté opérer en toi. Elle te donnera la maternité et tu aimeras toutes les créatures d’un amour maternel. Et moi, ta Maman, je t’enseignerai comment rendre féconde cette maternité toute sainte et divine. L’âme :
Sainte Maman, je m’abandonne entre tes bras. Oh ! comme je voudrais baigner tes mains maternelles avec mes larmes pour t’émouvoir de pitié à la vue de ma pauvre âme ! Si tu m’aimes comme une mère, enferme-moi dans ton Coeur, laisse ton amour brûler mes misères et laisse la puissance de la Divine Volonté, que tu possèdes en tant que Reine, agir en moi, pour que je puisse dire : « Ma Maman est tout pour moi et je suis tout pour ma Maman. » Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer, tu remercieras, au nom de chacun, trois fois le Seigneur pour s’être incarné et s’être emprisonné dans mon sein en me donnant le grand bonheur d’être sa Mère. Oraison jaculatoire :
Toi, la Maman de Jésus, sois aussi ma Maman, et guide-moi sur les sentiers de la Volonté de Dieu.
_________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Ven 20 Mai - 12:17 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Vingtième jour
La Vierge était comme un ciel parsemé d’étoiles. Dans ce ciel, le Soleil divin brillait de ses rayons les plus brillants remplissant le Ciel et la terre. Jésus dans le sein de sa Maman.
L’âme à sa Reine Maman :
Me voici de nouveau avec toi, ma céleste Maman. Inclinée à tes saints pieds, je te salue et me réjouis avec toi, Comblée de grâces et Mère de Jésus. Oh ! jamais plus je ne te retrouverai seule, car je te trouverai toujours avec mon petit Jésus prisonnier. En fait, nous serons trois : ma Maman, Jésus et moi. Quelle chance pour moi ! Si je veux rencontrer mon petit Roi Jésus, il me suffira de rejoindre sa Mère, qui est aussi la mienne. Ô sainte Maman, dans ta grandeur de Mère de Dieu, aie pitié de ta misérable petite fille ; dis pour moi ton premier mot au petit Jésus prisonnier afin qu’il m’accorde la grande grâce de vivre dans sa Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel, Mère de Jésus :
Aujourd’hui, ma chère fille, je t’attendais comme jamais. Mon Coeur maternel est débordant. Je sens un grand besoin de partager mon amour ardent avec ma fille. Je veux te souligner que je suis la Mère de Jésus. Mes joies sont infinies, je suis inondée d’un océan de bonheur car je peux dire : « Je suis la Mère de Jésus ! » Moi, sa créature, sa servante, je suis sa Mère et cela, je le dois uniquement au Fiat de Dieu. Il me combla de grâces et aménagea en moi une digne demeure pour mon Créateur. Que toute gloire, tout honneur et tous remerciements soient rendus à la Suprême Volonté ! Maintenant, écoute-moi bien, fille de mon coeur. Dès que la petite Humanité de Jésus prit place dans mon sein par la puissance du divin Fiat, le Soleil du Verbe Éternel s’y incarna. J’avais ainsi en moi un ciel magnifique parsemé de brillantes étoiles scintillant de la joie, des béatitudes et des harmonies de la divine beauté. Le Soleil du Verbe Éternel rayonnait d’une lumière inaccessible au milieu de cet auguste Ciel, caché dans la petite Humanité de Jésus. Et comme cette petite Humanité ne pouvait contenir tant de lumière, celle-ci débordait à l’extérieur, investissant le Ciel et la terre et atteignant tous les coeurs. Par ses rayons ardents, elle interpellait toutes les créatures en leur disant : « Mes enfants, ouvrez-moi, donnez-moi une place dans vos coeurs. Je suis descendue du Ciel sur la terre pour former ma vie en chacun de vous. Ma Mère est le centre où je réside et mes enfants se placeront tout autour. En chacun d’eux, je veux établir ma vie et ma demeure. » Et cette lumière frappait et frappait, sans jamais cesser, et la petite Humanité de Jésus gémissait et pleurait. Ces gémissements et ces pleurs d’amour se mêlaient à cette lumière et envoyaient des rayons d’amour dans tous les coeurs. Ma fille, tu dois savoir qu’une nouvelle vie débuta alors pour ta Maman. J’étais au courant de tout ce que mon Fils faisait. Je le voyais dévoré par des mers de flammes d’amour. Chacun des battements de son coeur, chacune de ses respirations et de ses souffrances étaient des flammes d’amour avec lesquels il enveloppait toutes les créatures pour les faire siennes à force d’amour et de souffrances. En fait, dès que la petite Humanité de Jésus fut conçue, elle connut toutes les souffrances qu’elle allait assumer durant toute sa vie terrestre. Jésus enferma toutes les âmes en lui car, étant Dieu, personne ne pouvait lui échapper. Son immensité divine enfermait toutes les créatures et son omniscience les rendait toutes présentes à lui. C’est ainsi que mon Jésus, mon Fils, ressentit tout le poids et le lourd fardeau des péchés de toutes les créatures. Et moi, ta Maman, je le suivais en tout cela et je ressentais dans mon Coeur maternel ses souffrances. De plus, je prenais connaissance de toutes les âmes que, en tant que Mère et aux côtés de Jésus, j’allais générer à la grâce, à la lumière et à la vie nouvelle que mon cher Fils venait apporter sur la terre. Ma fille, tu dois savoir que, dès le moment de ma Conception, je t’ai aimée comme une maman, je te portais dans mon Coeur, je brûlais d’amour pour toi, bien que je ne comprenais pas pourquoi il en était ainsi. La Divine Volonté me faisait accomplir les choses, mais elle en maintenait le secret caché à mes yeux. Cependant, à l’Incarnation du Verbe en mon sein, elle me révéla ces secrets et me fit comprendre la fécondité de ma maternité : je ne devenais pas uniquement la Mère de Jésus, mais aussi la Maman de toutes les créatures. De plus, je compris que j’aurais à vivre cette maternité sous le double signe de la souffrance et de l’amour. Ma fille, combien je t’ai aimée, et combien je t’aime encore ! Maintenant, écoute bien, chère fille, quels sommets la créature peut atteindre quand la Divine Volonté l’habite et qu’elle la laisse agir en elle sans la moindre opposition. Cette Divine Volonté qui, par nature, possède la vertu d’engendrer, engendre tous les biens dans cette créature. Elle la rend féconde, lui donnant la maternité sur tout et sur tous, y compris sur son Créateur. La maternité signifie amour vrai, amour héroïque, amour qui accepte avec joie de mourir afin de donner la vie à l’être engendré. Sans cela, la maternité est stérile, elle n’est qu’un simple mot, elle n’existe pas dans les faits. Ainsi, ma fille, si tu veux que tous les biens soient engendrés en toi, laisse la Divine Volonté opérer en toi. Elle te donnera la maternité et tu aimeras toutes les créatures d’un amour maternel. Et moi, ta Maman, je t’enseignerai comment rendre féconde cette maternité toute sainte et divine. L’âme :
Sainte Maman, je m’abandonne entre tes bras. Oh ! comme je voudrais baigner tes mains maternelles avec mes larmes pour t’émouvoir de pitié à la vue de ma pauvre âme ! Si tu m’aimes comme une mère, enferme-moi dans ton Coeur, laisse ton amour brûler mes misères et laisse la puissance de la Divine Volonté, que tu possèdes en tant que Reine, agir en moi, pour que je puisse dire : « Ma Maman est tout pour moi et je suis tout pour ma Maman. » Petite pratique :
Aujourd’hui, pour m’honorer, tu remercieras, au nom de chacun, trois fois le Seigneur pour s’être incarné et s’être emprisonné dans mon sein en me donnant le grand bonheur d’être sa Mère. Oraison jaculatoire :
Toi, la Maman de Jésus, sois aussi ma Maman, et guide-moi sur les sentiers de la Volonté de Dieu. Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Sam 21 Mai - 7:25 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Vingt et unième jour
Le lever du Soleil, puis son plein midi : le Verbe Éternel parmi nous.
L’âme à sa Reine Maman :
Très douce Maman, mon pauvre coeur ressent l’extrême besoin de venir sur tes genoux pour te confier ses petits secrets et les déposer dans ton Coeur maternel. Chère Maman, en regardant les si grands prodiges que la Divine Volonté a accomplis en toi, je sens qu’il ne m’est pas possible de t’imiter, étant donné que je suis si petite et faible, et aussi à cause des terribles batailles de mon existence qui m’ont littéralement broyée et ne m’ont laissé qu’un souffle de vie. Ma Maman, comme j’aimerais verser mon coeur dans le tien pour que tu puisses ressentir la douleur qui m’empoisonne et la peur qui me torture à l’idée d’échouer dans l’accomplissement de la Volonté de Dieu en moi. Aie pitié, ô céleste Maman, aie pitié ! Cache-moi dans ton Coeur pour que les mauvais souvenirs de mes méchancetés me quittent et que je ne pense plus qu’à vivre dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel, Mère de Jésus :
Ma très chère fille, n’aie pas peur, aie confiance en ta Maman, verse tout dans mon Coeur et je prendrai tout sur moi. Je serai ta Maman, je changerai tes souffrances en lumière et les utiliserai pour agrandir les frontières du Royaume de la Divine Volonté dans ton âme. Pour le moment, mets tout de côté et écoute-moi. Je veux te conter ce que le petit Roi Jésus accomplissait dans mon sein maternel, et comment ta Maman ne perdait pas même un seul mouvement de lui. La petite Humanité de Jésus se développait unie hypostatiquement à sa Divinité. Mon sein maternel était très petit et sombre : il ne s’y trouvait même pas un rayon de lumière et j’y voyais Jésus immobile et plongé dans une nuit profonde. Mais sais-tu ce qui formait cette obscurité si totale pour le petit Enfant Jésus ? La volonté humaine dans laquelle l’homme s’était volontairement placé et tous les péchés qu’il avait commis formaient des abîmes de noirceur en Jésus et autour de lui. Afin de chasser de chez l’homme la si profonde obscurité dans laquelle il s’était lui-même emprisonné, au point de perdre sa capacité de faire le bien, Jésus choisit la douce prison du sein de sa Maman et, volontairement, il y demeura dans l’immobilité pendant neuf mois. Ma fille, si tu savais à quel point mon Coeur maternel souffrait le martyre à la vue du petit Jésus pleurant et soupirant dans mon sein ! Délirant d’amour, son Coeur faisait entendre ses palpitations dans toutes les âmes afin qu’elles se tournent vers la lumière de sa Divinité. En effet, c’était par amour pour elles qu’il avait volontairement troqué sa lumière contre l’obscurité, afin que chaque âme soit dans la vraie lumière et en sécurité. Ma chère fille, comment te décrire les souffrances indescriptibles que mon petit Jésus a supportées dans mon sein ? Lui qui était Dieu et qui possédait la sagesse parfaite avait pour les hommes un amour si grand qu’il mettait de côté, en quelque sorte, les mers infinies de joie, de félicité et de lumière qui étaient siennes et plongeait sa petite Humanité dans les mers d’obscurité, d’amertume et de misère que les créatures lui avaient aménagées. Le petit Jésus prenait tout cela sur ses épaules comme si tout cela lui appartenait. Ma fille, le vrai amour ne dit jamais “c’est assez” et ne regarde jamais aux souffrances. Au contraire, à travers la souffrance, il recherche l’être aimé, et quand il donne sa propre vie pour l’être aimé, seulement alors il est content. Ma fille, écoute ta Maman. Vois-tu quel grand mal tu fais quand tu accomplis ta propre volonté ? Non seulement tu formes la nuit pour ton Jésus et pour toi-même, mais tu formes aussi les mers d’amertume, de malheur et de misère dans lesquelles tu deviens tellement engloutie que tu ne sais plus comment t’en sortir. Par conséquent, sois attentive et rends-moi heureuse en me disant : « Je veux toujours faire la Volonté de Dieu. » Le petit Jésus, par ses élans d’amour, s’apprêtait à venir à la lumière du jour. Son empressement, ses soupirs et ses désirs ardents d’embrasser la créature, de se faire voir par elle et de la voir lui-même, dans le but de se l’attacher à lui, ne lui donnaient aucun repos. Tout comme précédemment il s’était mis en état de garde aux portes du Ciel, s’apprêtant à venir s’enfermer dans mon sein, de la même manière il se mit à l’attention aux portes de mon sein qui était pour lui plus que le Ciel. C’est ainsi que le Soleil du Verbe Éternel apparût dans le monde pour en arriver à son plein midi. Ce ne sera plus la nuit pour les pauvres créatures, ni même l’aube ou le lever du jour, mais le plein midi. Ta Maman ressentait qu’elle ne pouvait plus le garder en son intérieur. Des océans de lumière et d’amour m’inondaient et, tout comme il avait été conçu dans un océan de lumière, il quitta mon sein maternel dans un océan de lumière. Ma chère fille, pour qui vit dans la Divine Volonté, tout est lumière et tout se transforme en lumière. Dans le ravissement de cette lumière, j’attendais de pouvoir prendre mon petit Jésus dans mes bras et, après qu’il eut quitté mon sein, j’entendis ses premiers vagissements d’amour. L’ange de Dieu le déposa dans mes bras, je le serrai affectueusement sur mon Coeur, je lui donnai mon premier baiser et le petit Jésus me donna le sien. C’est assez pour le moment. Demain je continuerai à t’entretenir sur la naissance de Jésus. L’âme :
Sainte Maman, comme tu es chanceuse ! En considération des joies que tu éprouvas quand tu pressas Jésus sur ta poitrine pour la première fois et lui donnas ton premier baiser, je te prie de me laisser prendre le petit Jésus dans mes bras pendant quelques instants. Je veux lui faire la joie de lui dire que je jure de l’aimer toujours et que je ne veux rien savoir d’autre que sa Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras embrasser les petits pieds de Bébé Jésus et tu placeras ta volonté dans ses petites mains pour qu’il joue avec elle en souriant. Oraison jaculatoire :
Ma Maman, enferme le petit Jésus dans mon coeur pour qu’il le transforme totalement en Volonté de Dieu. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Sam 21 Mai - 8:12 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Vingt et unième jour
Le lever du Soleil, puis son plein midi : le Verbe Éternel parmi nous.
L’âme à sa Reine Maman :
Très douce Maman, mon pauvre coeur ressent l’extrême besoin de venir sur tes genoux pour te confier ses petits secrets et les déposer dans ton Coeur maternel. Chère Maman, en regardant les si grands prodiges que la Divine Volonté a accomplis en toi, je sens qu’il ne m’est pas possible de t’imiter, étant donné que je suis si petite et faible, et aussi à cause des terribles batailles de mon existence qui m’ont littéralement broyée et ne m’ont laissé qu’un souffle de vie. Ma Maman, comme j’aimerais verser mon coeur dans le tien pour que tu puisses ressentir la douleur qui m’empoisonne et la peur qui me torture à l’idée d’échouer dans l’accomplissement de la Volonté de Dieu en moi. Aie pitié, ô céleste Maman, aie pitié ! Cache-moi dans ton Coeur pour que les mauvais souvenirs de mes méchancetés me quittent et que je ne pense plus qu’à vivre dans la Divine Volonté. Leçon de la Reine du Ciel, Mère de Jésus :
Ma très chère fille, n’aie pas peur, aie confiance en ta Maman, verse tout dans mon Coeur et je prendrai tout sur moi. Je serai ta Maman, je changerai tes souffrances en lumière et les utiliserai pour agrandir les frontières du Royaume de la Divine Volonté dans ton âme. Pour le moment, mets tout de côté et écoute-moi. Je veux te conter ce que le petit Roi Jésus accomplissait dans mon sein maternel, et comment ta Maman ne perdait pas même un seul mouvement de lui. La petite Humanité de Jésus se développait unie hypostatiquement à sa Divinité. Mon sein maternel était très petit et sombre : il ne s’y trouvait même pas un rayon de lumière et j’y voyais Jésus immobile et plongé dans une nuit profonde. Mais sais-tu ce qui formait cette obscurité si totale pour le petit Enfant Jésus ? La volonté humaine dans laquelle l’homme s’était volontairement placé et tous les péchés qu’il avait commis formaient des abîmes de noirceur en Jésus et autour de lui. Afin de chasser de chez l’homme la si profonde obscurité dans laquelle il s’était lui-même emprisonné, au point de perdre sa capacité de faire le bien, Jésus choisit la douce prison du sein de sa Maman et, volontairement, il y demeura dans l’immobilité pendant neuf mois. Ma fille, si tu savais à quel point mon Coeur maternel souffrait le martyre à la vue du petit Jésus pleurant et soupirant dans mon sein ! Délirant d’amour, son Coeur faisait entendre ses palpitations dans toutes les âmes afin qu’elles se tournent vers la lumière de sa Divinité. En effet, c’était par amour pour elles qu’il avait volontairement troqué sa lumière contre l’obscurité, afin que chaque âme soit dans la vraie lumière et en sécurité. Ma chère fille, comment te décrire les souffrances indescriptibles que mon petit Jésus a supportées dans mon sein ? Lui qui était Dieu et qui possédait la sagesse parfaite avait pour les hommes un amour si grand qu’il mettait de côté, en quelque sorte, les mers infinies de joie, de félicité et de lumière qui étaient siennes et plongeait sa petite Humanité dans les mers d’obscurité, d’amertume et de misère que les créatures lui avaient aménagées. Le petit Jésus prenait tout cela sur ses épaules comme si tout cela lui appartenait. Ma fille, le vrai amour ne dit jamais “c’est assez” et ne regarde jamais aux souffrances. Au contraire, à travers la souffrance, il recherche l’être aimé, et quand il donne sa propre vie pour l’être aimé, seulement alors il est content. Ma fille, écoute ta Maman. Vois-tu quel grand mal tu fais quand tu accomplis ta propre volonté ? Non seulement tu formes la nuit pour ton Jésus et pour toi-même, mais tu formes aussi les mers d’amertume, de malheur et de misère dans lesquelles tu deviens tellement engloutie que tu ne sais plus comment t’en sortir. Par conséquent, sois attentive et rends-moi heureuse en me disant : « Je veux toujours faire la Volonté de Dieu. » Le petit Jésus, par ses élans d’amour, s’apprêtait à venir à la lumière du jour. Son empressement, ses soupirs et ses désirs ardents d’embrasser la créature, de se faire voir par elle et de la voir lui-même, dans le but de se l’attacher à lui, ne lui donnaient aucun repos. Tout comme précédemment il s’était mis en état de garde aux portes du Ciel, s’apprêtant à venir s’enfermer dans mon sein, de la même manière il se mit à l’attention aux portes de mon sein qui était pour lui plus que le Ciel. C’est ainsi que le Soleil du Verbe Éternel apparût dans le monde pour en arriver à son plein midi. Ce ne sera plus la nuit pour les pauvres créatures, ni même l’aube ou le lever du jour, mais le plein midi. Ta Maman ressentait qu’elle ne pouvait plus le garder en son intérieur. Des océans de lumière et d’amour m’inondaient et, tout comme il avait été conçu dans un océan de lumière, il quitta mon sein maternel dans un océan de lumière. Ma chère fille, pour qui vit dans la Divine Volonté, tout est lumière et tout se transforme en lumière. Dans le ravissement de cette lumière, j’attendais de pouvoir prendre mon petit Jésus dans mes bras et, après qu’il eut quitté mon sein, j’entendis ses premiers vagissements d’amour. L’ange de Dieu le déposa dans mes bras, je le serrai affectueusement sur mon Coeur, je lui donnai mon premier baiser et le petit Jésus me donna le sien. C’est assez pour le moment. Demain je continuerai à t’entretenir sur la naissance de Jésus. L’âme :
Sainte Maman, comme tu es chanceuse ! En considération des joies que tu éprouvas quand tu pressas Jésus sur ta poitrine pour la première fois et lui donnas ton premier baiser, je te prie de me laisser prendre le petit Jésus dans mes bras pendant quelques instants. Je veux lui faire la joie de lui dire que je jure de l’aimer toujours et que je ne veux rien savoir d’autre que sa Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras embrasser les petits pieds de Bébé Jésus et tu placeras ta volonté dans ses petites mains pour qu’il joue avec elle en souriant. Oraison jaculatoire :
Ma Maman, enferme le petit Jésus dans mon coeur pour qu’il le transforme totalement en Volonté de Dieu.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 22 Mai - 6:34 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Vingt-deuxième jour
Le petit Roi Jésus est né. Le Ciel et la terre exultent. Les anges sont de la fête et invitent les bergers à venir adorer Jésus. La vie de la Sainte Famille à Bethléem.
L’âme à sa céleste Maman :
Aujourd’hui, sainte Maman, un ardent amour m’habite et je tiens à être sur tes genoux maternels pour y revoir le céleste Bébé dans tes bras. Sa beauté me ravit, ses regards me transpercent, et ses lèvres, au bord des sanglots, m’incitent à l’aimer. Ma très chère Maman, je sais que tu m’aimes ; par conséquent, je te prie de me faire une petite place dans tes bras pour que je puisse donner à mon petit Roi Jésus mon premier baiser et verser mon coeur dans le sien pour lui confier mes secrets qui m’oppressent tant. Pour le faire sourire, je lui dirai : « Ma volonté est à toi et la tienne est à moi, établis en moi le Royaume de la Divine Volonté. » Leçon de la Reine du Ciel à sa fille :
Ma très chère enfant, comme je suis impatiente de t’avoir dans mes bras et d’avoir le plaisir de dire à notre petit Bébé Roi : « Ne pleure pas, bel Enfant. Vois, ma petite fille est avec nous et elle veut te reconnaître comme Roi, t’accorder la complète domination sur son âme et te laisser établir le Royaume de la Divine Volonté en elle. » Fille de mon Coeur, pendant que tu contemples le petit Bébé Jésus, écoute-moi bien. Tu dois savoir qu’il était minuit quand le petit Roi quitta mon sein maternel. À ce moment, pour signifier ce qu’il venait accomplir dans les âmes, la nuit se changea en jour. Celui qui est le Seigneur de la lumière faisait fuir la nuit de la volonté humaine, la nuit du péché, la nuit de toutes les méchancetés. Toutes les choses créées se précipitèrent pour honorer leur Créateur dans sa petite Humanité. Ainsi, le soleil hâta son lever pour donner son premier baiser de lumière au petit Jésus et pour le réchauffer de sa chaleur ; le vent purifia l’air de l’étable par une douce brise qui fredonnait “je t’aime” à l’oreille de l’Enfant ; les cieux furent ébranlés ; la terre exulta et trembla jusque dans ses fondations et la mer devint tumultueuse avec des vagues gigantesques. En somme, toutes les choses créées reconnurent que leur Créateur était arrivé chez elles et rivalisaient pour chanter ses louanges. Les anges illuminaient le ciel en chantant des airs mélodieux que tous pouvaient entendre : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. Le céleste Bébé est né dans la grotte de Bethléem, il est emmailloté de langes. » Les bergers, qui étaient de garde dans le voisinage, entendirent les voix angéliques et accoururent rendre visite au petit Roi divin. Chère fille, quand j’ai reçu mon Fils dans mes bras et lui ai donné mon premier baiser, j’ai ressenti le besoin d’amour de lui donner quelque chose qui m’était propre et, lui présentant ma poitrine, je lui donnai abondamment du lait formé en moi par le divin Fiat. Qui pourrait raconter ce que j’ai alors ressenti, ainsi que les mers de grâces, d’amour et de sainteté que mon Fils me donna en échange ? Ensuite, je l’emmaillotai dans des langes pauvres, mais propres, et le déposai dans la crèche. C’était sa Volonté et je ne pouvais rien faire d’autre que d’obéir. Cependant, avant cela, je le partageai avec mon cher saint Joseph en le plaçant dans ses bras. Oh ! comme il exulta ! Il le pressa sur son coeur et le charmant petit Bébé versa des torrents de grâces dans son âme. Puis, après que Joseph et moi eussions aménagé un peu de foin dans la mangeoire, je détachai Jésus de mes bras maternels pour l’y coucher. Charmée par la beauté du divin Enfant, je restais à genoux près de lui presque tout le temps, déployant les mers d’amour que la Divine Volonté avait formées en moi pour l’aimer, l’adorer et le remercier. Et que faisait le céleste Bébé dans la mangeoire ? Un acte continuel de la Volonté de notre Père Céleste, cette Volonté qui était aussi la sienne. Il soupirait et pleurait, appelant ainsi toutes les créatures en leur disant par ses larmes d’amour : « Venez tous, mes enfants. Par amour pour vous, je suis né dans la souffrance et dans les pleurs. Venez tous pour connaître les excès de mon amour. Donnez-moi un refuge dans vos coeurs. » Et c’était un va-et-vient continuel des bergers qui venaient le visiter. À chacun, il donnait un doux regard et un sourire d’amour, souvent accompagnés de ses larmes. Maintenant, ma fille, un petit mot pour toi. Tu dois savoir que toute ma joie était d’avoir mon cher Fils Jésus sur mes genoux. Mais la Divine Volonté me fit comprendre que je devais le laisser dans la mangeoire à la disposition de tout le monde, afin que ceux qui le voulaient puissent le prendre dans leurs bras, le caresser et l’embrasser comme s’il était leur propre enfant. Il était le petit Roi de chacun et, par conséquent, ils avaient le droit de lui faire une douce promesse d’amour. Quant à moi, pour accomplir la Volonté Suprême, je me privais de mes innocentes joies de Mère, commençant ainsi, dans le travail et le sacrifice, mon rôle de donner Jésus à tous. Ma fille, la Divine Volonté veut tout, y compris le sacrifice des choses les plus saintes, selon les circonstances, même l’immense sacrifice d’être privé de Jésus. Cela est dans le but d’étendre davantage son Royaume et de multiplier sa vie. En fait, quand la créature est privée de Jésus et de son amour, son héroïsme est si grand qu’il produit une nouvelle vie de Jésus et lui procure une nouvelle demeure. Par conséquent, chère enfant, sois attentive. Sous aucun prétexte, ne refuse jamais rien à la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, tes leçons si belles me confondent. Si tu veux que je les mette en pratique, ne me laisse pas seule. Si tu me vois succomber sous le poids énorme de la privation de Dieu, presse-moi sur ton Coeur maternel ; ainsi, je me sentirai si forte que jamais je ne refuserai rien à la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras trois fois visiter le petit Bébé Jésus en embrassant ses petites mains et en lui faisant cinq actes d’amour pour honorer ses larmes et apaiser ses pleurs. Oraison jaculatoire :
Sainte Maman, verse les larmes de Jésus dans mon coeur afin que triomphe en moi la Divine Volonté. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Dim 22 Mai - 8:38 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Vingt-deuxième jour
Le petit Roi Jésus est né. Le Ciel et la terre exultent. Les anges sont de la fête et invitent les bergers à venir adorer Jésus. La vie de la Sainte Famille à Bethléem.
L’âme à sa céleste Maman :
Aujourd’hui, sainte Maman, un ardent amour m’habite et je tiens à être sur tes genoux maternels pour y revoir le céleste Bébé dans tes bras. Sa beauté me ravit, ses regards me transpercent, et ses lèvres, au bord des sanglots, m’incitent à l’aimer. Ma très chère Maman, je sais que tu m’aimes ; par conséquent, je te prie de me faire une petite place dans tes bras pour que je puisse donner à mon petit Roi Jésus mon premier baiser et verser mon coeur dans le sien pour lui confier mes secrets qui m’oppressent tant. Pour le faire sourire, je lui dirai : « Ma volonté est à toi et la tienne est à moi, établis en moi le Royaume de la Divine Volonté. » Leçon de la Reine du Ciel à sa fille :
Ma très chère enfant, comme je suis impatiente de t’avoir dans mes bras et d’avoir le plaisir de dire à notre petit Bébé Roi : « Ne pleure pas, bel Enfant. Vois, ma petite fille est avec nous et elle veut te reconnaître comme Roi, t’accorder la complète domination sur son âme et te laisser établir le Royaume de la Divine Volonté en elle. » Fille de mon Coeur, pendant que tu contemples le petit Bébé Jésus, écoute-moi bien. Tu dois savoir qu’il était minuit quand le petit Roi quitta mon sein maternel. À ce moment, pour signifier ce qu’il venait accomplir dans les âmes, la nuit se changea en jour. Celui qui est le Seigneur de la lumière faisait fuir la nuit de la volonté humaine, la nuit du péché, la nuit de toutes les méchancetés. Toutes les choses créées se précipitèrent pour honorer leur Créateur dans sa petite Humanité. Ainsi, le soleil hâta son lever pour donner son premier baiser de lumière au petit Jésus et pour le réchauffer de sa chaleur ; le vent purifia l’air de l’étable par une douce brise qui fredonnait “je t’aime” à l’oreille de l’Enfant ; les cieux furent ébranlés ; la terre exulta et trembla jusque dans ses fondations et la mer devint tumultueuse avec des vagues gigantesques. En somme, toutes les choses créées reconnurent que leur Créateur était arrivé chez elles et rivalisaient pour chanter ses louanges. Les anges illuminaient le ciel en chantant des airs mélodieux que tous pouvaient entendre : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. Le céleste Bébé est né dans la grotte de Bethléem, il est emmailloté de langes. » Les bergers, qui étaient de garde dans le voisinage, entendirent les voix angéliques et accoururent rendre visite au petit Roi divin. Chère fille, quand j’ai reçu mon Fils dans mes bras et lui ai donné mon premier baiser, j’ai ressenti le besoin d’amour de lui donner quelque chose qui m’était propre et, lui présentant ma poitrine, je lui donnai abondamment du lait formé en moi par le divin Fiat. Qui pourrait raconter ce que j’ai alors ressenti, ainsi que les mers de grâces, d’amour et de sainteté que mon Fils me donna en échange ? Ensuite, je l’emmaillotai dans des langes pauvres, mais propres, et le déposai dans la crèche. C’était sa Volonté et je ne pouvais rien faire d’autre que d’obéir. Cependant, avant cela, je le partageai avec mon cher saint Joseph en le plaçant dans ses bras. Oh ! comme il exulta ! Il le pressa sur son coeur et le charmant petit Bébé versa des torrents de grâces dans son âme. Puis, après que Joseph et moi eussions aménagé un peu de foin dans la mangeoire, je détachai Jésus de mes bras maternels pour l’y coucher. Charmée par la beauté du divin Enfant, je restais à genoux près de lui presque tout le temps, déployant les mers d’amour que la Divine Volonté avait formées en moi pour l’aimer, l’adorer et le remercier. Et que faisait le céleste Bébé dans la mangeoire ? Un acte continuel de la Volonté de notre Père Céleste, cette Volonté qui était aussi la sienne. Il soupirait et pleurait, appelant ainsi toutes les créatures en leur disant par ses larmes d’amour : « Venez tous, mes enfants. Par amour pour vous, je suis né dans la souffrance et dans les pleurs. Venez tous pour connaître les excès de mon amour. Donnez-moi un refuge dans vos coeurs. » Et c’était un va-et-vient continuel des bergers qui venaient le visiter. À chacun, il donnait un doux regard et un sourire d’amour, souvent accompagnés de ses larmes. Maintenant, ma fille, un petit mot pour toi. Tu dois savoir que toute ma joie était d’avoir mon cher Fils Jésus sur mes genoux. Mais la Divine Volonté me fit comprendre que je devais le laisser dans la mangeoire à la disposition de tout le monde, afin que ceux qui le voulaient puissent le prendre dans leurs bras, le caresser et l’embrasser comme s’il était leur propre enfant. Il était le petit Roi de chacun et, par conséquent, ils avaient le droit de lui faire une douce promesse d’amour. Quant à moi, pour accomplir la Volonté Suprême, je me privais de mes innocentes joies de Mère, commençant ainsi, dans le travail et le sacrifice, mon rôle de donner Jésus à tous. Ma fille, la Divine Volonté veut tout, y compris le sacrifice des choses les plus saintes, selon les circonstances, même l’immense sacrifice d’être privé de Jésus. Cela est dans le but d’étendre davantage son Royaume et de multiplier sa vie. En fait, quand la créature est privée de Jésus et de son amour, son héroïsme est si grand qu’il produit une nouvelle vie de Jésus et lui procure une nouvelle demeure. Par conséquent, chère enfant, sois attentive. Sous aucun prétexte, ne refuse jamais rien à la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, tes leçons si belles me confondent. Si tu veux que je les mette en pratique, ne me laisse pas seule. Si tu me vois succomber sous le poids énorme de la privation de Dieu, presse-moi sur ton Coeur maternel ; ainsi, je me sentirai si forte que jamais je ne refuserai rien à la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras trois fois visiter le petit Bébé Jésus en embrassant ses petites mains et en lui faisant cinq actes d’amour pour honorer ses larmes et apaiser ses pleurs. Oraison jaculatoire :
Sainte Maman, verse les larmes de Jésus dans mon coeur afin que triomphe en moi la Divine Volonté.
Cordialement dans la Croix Glorieuse | |
| | | Céline. Admin
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Canada
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 23 Mai - 5:49 | |
| Prière à la Reine céleste pour chaque jour du mois de mai
Reine immaculée, ô céleste Maman, en ce mois qui t’est consacré, je me place sur tes genoux maternels, m’abandonnant entre tes bras comme ton enfant chéri et te demandant avec véhémence la plus grande de toutes les grâces : celle que tu m’admettes à vivre dans le Royaume de la Divine Volonté. Sainte Maman, toi qui es la Reine de ce Royaume, permets que j’y vive en tant que ton enfant. Que ce Royaume soit rempli de tes enfants ! Je me confie à toi afin que tu y guides mes pas et que, soutenu par ta main maternelle, tout mon être vive constamment dans la Divine Volonté. Tu seras ma Maman. À toi, ma Maman, je confie ma volonté pour que tu l’échanges contre celle de Dieu et, qu’ainsi, je sois assuré de ne jamais quitter cette Divine Volonté. Je te prie de m’éclairer afin que je comprenne bien ce qu’est la Divine Volonté. Amen.
Je te salue Marie… [b]Petite pratique pour chaque jour du mois de mai
Chaque matin, chaque midi et chaque soir (trois fois par jour), se placer sur les genoux de notre céleste Maman et lui dire : « Maman, je t’aime. Aime-moi, toi aussi, et donne à mon âme une petite portion de Divine Volonté. Bénis-moi pour que je fasse toutes mes actions sous ton regard maternel. »
Vingt-troisième jour
La Circoncision. Une étoile appelle les Rois Mages à venir adorer Jésus. Un prophète révèle les souffrances qu’aura à vivre la Reine Souveraine.
L’âme à sa Reine Maman :
Ma très douce Maman, me voici de nouveau sur tes genoux. Ta fille ne peut plus vivre sans toi, ma Mère. Le doux enchantement provenant du céleste Bébé que tu serres dans tes bras, ou adores sur tes genoux, ou aimes couché dans la mangeoire, me ravit. Je réalise que ton heureuse destinée ainsi que le petit Roi Jésus lui-même proviennent de la Divine Volonté qui a établi son Royaume en toi. Ô Maman ! promets-moi que tu utiliseras ta puissance pour former en moi le Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Maman céleste :
Ma chère fille, comme je suis heureuse de t’avoir auprès de moi et de pouvoir t’enseigner comment le Royaume de la Divine Volonté peut s’étendre à toutes choses. Toutes les souffrances et les humiliations vécues dans la Divine Volonté sont des matières premières qu’elle utilise pour étendre son Royaume. Par conséquent, sois attentive et écoute bien ta Maman. Je continuais de demeurer dans la grotte de Bethléem avec Jésus et ce cher saint Joseph. Comme nous étions heureux ! Par la Présence du divin Enfant et par la Divine Volonté opérant en nous, cette petite grotte était comme un paradis. Il est vrai que les souffrances et les larmes ne manquaient pas mais, en comparaison des mers de joie, de félicité et de lumière que la Divine Volonté répandait à travers nos actes, ces souffrances et ces larmes n’étaient que des gouttes tombant dans ces mers. La présence charmante et aimable de mon Fils était le plus grand bonheur. Maintenant, chère fille, tu dois savoir que le huitième jour après la venue au monde du céleste Bébé, la Divine Volonté sonna l’heure de la souffrance en nous demandant de le faire circoncire. C’était une coupure très douloureuse à laquelle il allait être soumis. C’était la loi de ce temps-là que tous les premiers-nés devaient être circoncis. On peut appeler cette loi, la loi du péché. Mais mon Fils était innocent et sa loi était la loi de l’amour. En dépit de cela, puisqu’il était venu embrasser non pas l’homme roi, mais l’homme dégradé pour devenir son frère et l’élever, il voulut s’abaisser lui-même en se soumettant à cette loi. Ma fille, saint Joseph et moi, nous tremblions de douleur. Cependant, sans hésiter, nous avons appelé le ministre et l’Enfant Jésus fut circoncis par cette coupure douloureuse. À cette souffrance cruelle, Bébé Jésus pleura et se jeta dans mes bras en me demandant de l’aide. Saint Joseph et moi, nous mélangions nos larmes avec les siennes. Nous avons cueilli le premier sang que Jésus venait de verser par amour pour les créatures et avons donné à l’enfant le nom de Jésus, ce nom puissant qui fera trembler le Ciel et la terre, et même l’enfer, et qui deviendra un baume de guérison pour chaque coeur. Mon cher Fils s’est soumis à cette coupure pour guérir la profonde coupure faite à l’homme par la volonté humaine, ainsi que les blessures résultant de la multitude des péchés que le venin de la volonté humaine produit dans les créatures. Chaque acte fait avec sa volonté humaine est une coupure qu’on s’inflige, une plaie qui s’ouvre. Le céleste Bébé, par sa coupure douloureuse, a préparé le remède pour la guérison de toutes les blessures des créatures. Une autre surprise pour nous : une étoile nouvelle brilla dans le ciel. Par sa lumière, elle était à la recherche d’adorateurs pour les amener au petit Bébé Jésus pour l’adorer. Trois personnes, éloignées l’une de l’autre, furent rejointes par cette lumière et, investies d’une lumière surnaturelle, elles suivirent l’étoile qui les conduisit à la grotte de Bethléem aux pieds du céleste Bébé. Quel ne fut pas l’étonnement de ces trois Rois Mages quand ils reconnurent en l’Enfant le Roi du Ciel et de la terre, celui qui venait pour aimer et sauver toute l’humanité ! En fait, pendant qu’ils adoraient l’Enfant et contemplaient sa céleste beauté, le Nouveau-né fit briller sa Divinité à travers sa petite Humanité. La grotte se transforma en un paradis, si bien que les Rois Mages ne pouvaient se détacher des pieds du divin Enfant, jusqu’à ce que la lumière de sa Divinité revienne à l’intérieur de son Humanité. Et moi, exerçant mon rôle de Mère, je leur parlai longuement de la descente du Verbe et les fortifiai dans la foi, l’espérance et la charité, symbolisées par les cadeaux qu’ils offrirent à Jésus. Remplis de joie, ils retournèrent dans leurs régions respectives, pour y être les premiers propagateurs de la Bonne Nouvelle. Ma chère fille, reste à mes côtés et suis-moi partout. Nous étions sur le point d’arriver au quarantième jour après la naissance du petit Roi Jésus, quand la Divine Volonté nous convoqua au Temple pour y accomplir la loi : la Présentation de mon Fils. Nous sommes donc allés au Temple. C’était la première fois que nous sortions avec le charmant Bébé. Une douloureuse blessure s’ouvrit dans mon Coeur : je devais offrir mon Enfant comme victime pour le salut de tous. Nous sommes entrés dans le Temple et, en premier lieu, nous avons adoré la Majesté divine. Ensuite, nous avons appelé le prêtre et, en déposant l’Enfant dans ses bras, je fis l’offrande du Bébé céleste au Père Éternel en sacrifice pour le salut de tous. Le prêtre se nommait Siméon. Quand j’ai déposé Jésus dans ses bras, il a reconnu en lui le Verbe Divin. Il exulta d’une très grande joie et, après l’offrande, dans un rôle de prophète, il prophétisa mes futures souffrances. Oh ! comme la Majesté Suprême donna un grand coup à mon Coeur maternel en m’apprenant la tragédie de toutes les souffrances qu’allait vivre mon petit Enfant. Mais, ce qui me transperça le plus, ce furent les paroles du saint prophète : « Cet Enfant sera le salut et la ruine de beaucoup et sera un signe de contradiction. » Si la Divine Volonté ne m’avait pas soutenue, je serais morte instantanément de douleur. Mais elle me conserva la vie et se servit de cet événement pour former en moi le Royaume des douleurs, à l’intérieur du Royaume de la Divine Volonté. Outre le rôle de Mère que j’exerçais pour tous, j’acquis aussi le rôle de Mère et Reine des Douleurs. Oh oui ! par mes douleurs, j’acquis le moyen de payer les dettes de mes enfants, y compris de mes enfants ingrats. Maintenant, ma fille, tu dois savoir que, par la lumière de la Divine Volonté, je connaissais déjà toutes les souffrances de ma destinée, qui étaient même plus que ce que le prophète m’avait annoncé. Mais, dans cet acte tellement solennel de l’offrande de mon Fils, en me l’entendant dire, je me sentis tellement transpercée que mon Coeur se mit à saigner et que de profondes déchirures se firent dans mon âme. Ma chère fille, dans les souffrances et les rencontres douloureuses qui ne manquent pas pour toi, ne te décourage pas. Avec un amour héroïque, laisse la Divine Volonté prendre sa place royale dans toutes ces souffrances, afin qu’elles puissent être converties en monnaie d’une valeur infinie. Tu pourras ainsi payer les dettes de tes frères et soeurs en les libérant de l’esclavage de la volonté humaine, pour les faire revenir en enfants libres dans le Royaume de la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, je dépose toutes mes souffrances dans ton Coeur transpercé, et tu sais combien ces souffrances m’affligent ! Sois une mère pour moi et verse dans mon coeur le baume de tes souffrances pour que je sache utiliser mes souffrances comme des petites pièces de monnaie me permettant de conquérir le Royaume de la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras dans mes bras pour que je puisse verser en toi les premières gouttes de sang versées par le Bébé céleste, afin de guérir les blessures causées en toi par ta volonté humaine. Et tu feras trois actes d’amour pour atténuer les douleurs de la coupure faite au petit Bébé Jésus. Oraison jaculatoire :
Ma Maman, verse tes souffrances dans mon âme et convertis toutes mes souffrances en Volonté de Dieu. _________________ Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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| | | DelacroixdeDozulé
Date d'inscription : 11/09/2010
| Sujet: Re: Le mois de mai avec Marie dans la Divine Volonté Lun 23 Mai - 12:15 | |
| Vingt-troisième jour
La Circoncision. Une étoile appelle les Rois Mages à venir adorer Jésus. Un prophète révèle les souffrances qu’aura à vivre la Reine Souveraine.
L’âme à sa Reine Maman :
Ma très douce Maman, me voici de nouveau sur tes genoux. Ta fille ne peut plus vivre sans toi, ma Mère. Le doux enchantement provenant du céleste Bébé que tu serres dans tes bras, ou adores sur tes genoux, ou aimes couché dans la mangeoire, me ravit. Je réalise que ton heureuse destinée ainsi que le petit Roi Jésus lui-même proviennent de la Divine Volonté qui a établi son Royaume en toi. Ô Maman ! promets-moi que tu utiliseras ta puissance pour former en moi le Royaume de la Divine Volonté. Leçon de la Maman céleste :
Ma chère fille, comme je suis heureuse de t’avoir auprès de moi et de pouvoir t’enseigner comment le Royaume de la Divine Volonté peut s’étendre à toutes choses. Toutes les souffrances et les humiliations vécues dans la Divine Volonté sont des matières premières qu’elle utilise pour étendre son Royaume. Par conséquent, sois attentive et écoute bien ta Maman. Je continuais de demeurer dans la grotte de Bethléem avec Jésus et ce cher saint Joseph. Comme nous étions heureux ! Par la Présence du divin Enfant et par la Divine Volonté opérant en nous, cette petite grotte était comme un paradis. Il est vrai que les souffrances et les larmes ne manquaient pas mais, en comparaison des mers de joie, de félicité et de lumière que la Divine Volonté répandait à travers nos actes, ces souffrances et ces larmes n’étaient que des gouttes tombant dans ces mers. La présence charmante et aimable de mon Fils était le plus grand bonheur. Maintenant, chère fille, tu dois savoir que le huitième jour après la venue au monde du céleste Bébé, la Divine Volonté sonna l’heure de la souffrance en nous demandant de le faire circoncire. C’était une coupure très douloureuse à laquelle il allait être soumis. C’était la loi de ce temps-là que tous les premiers-nés devaient être circoncis. On peut appeler cette loi, la loi du péché. Mais mon Fils était innocent et sa loi était la loi de l’amour. En dépit de cela, puisqu’il était venu embrasser non pas l’homme roi, mais l’homme dégradé pour devenir son frère et l’élever, il voulut s’abaisser lui-même en se soumettant à cette loi. Ma fille, saint Joseph et moi, nous tremblions de douleur. Cependant, sans hésiter, nous avons appelé le ministre et l’Enfant Jésus fut circoncis par cette coupure douloureuse. À cette souffrance cruelle, Bébé Jésus pleura et se jeta dans mes bras en me demandant de l’aide. Saint Joseph et moi, nous mélangions nos larmes avec les siennes. Nous avons cueilli le premier sang que Jésus venait de verser par amour pour les créatures et avons donné à l’enfant le nom de Jésus, ce nom puissant qui fera trembler le Ciel et la terre, et même l’enfer, et qui deviendra un baume de guérison pour chaque coeur. Mon cher Fils s’est soumis à cette coupure pour guérir la profonde coupure faite à l’homme par la volonté humaine, ainsi que les blessures résultant de la multitude des péchés que le venin de la volonté humaine produit dans les créatures. Chaque acte fait avec sa volonté humaine est une coupure qu’on s’inflige, une plaie qui s’ouvre. Le céleste Bébé, par sa coupure douloureuse, a préparé le remède pour la guérison de toutes les blessures des créatures. Une autre surprise pour nous : une étoile nouvelle brilla dans le ciel. Par sa lumière, elle était à la recherche d’adorateurs pour les amener au petit Bébé Jésus pour l’adorer. Trois personnes, éloignées l’une de l’autre, furent rejointes par cette lumière et, investies d’une lumière surnaturelle, elles suivirent l’étoile qui les conduisit à la grotte de Bethléem aux pieds du céleste Bébé. Quel ne fut pas l’étonnement de ces trois Rois Mages quand ils reconnurent en l’Enfant le Roi du Ciel et de la terre, celui qui venait pour aimer et sauver toute l’humanité ! En fait, pendant qu’ils adoraient l’Enfant et contemplaient sa céleste beauté, le Nouveau-né fit briller sa Divinité à travers sa petite Humanité. La grotte se transforma en un paradis, si bien que les Rois Mages ne pouvaient se détacher des pieds du divin Enfant, jusqu’à ce que la lumière de sa Divinité revienne à l’intérieur de son Humanité. Et moi, exerçant mon rôle de Mère, je leur parlai longuement de la descente du Verbe et les fortifiai dans la foi, l’espérance et la charité, symbolisées par les cadeaux qu’ils offrirent à Jésus. Remplis de joie, ils retournèrent dans leurs régions respectives, pour y être les premiers propagateurs de la Bonne Nouvelle. Ma chère fille, reste à mes côtés et suis-moi partout. Nous étions sur le point d’arriver au quarantième jour après la naissance du petit Roi Jésus, quand la Divine Volonté nous convoqua au Temple pour y accomplir la loi : la Présentation de mon Fils. Nous sommes donc allés au Temple. C’était la première fois que nous sortions avec le charmant Bébé. Une douloureuse blessure s’ouvrit dans mon Coeur : je devais offrir mon Enfant comme victime pour le salut de tous. Nous sommes entrés dans le Temple et, en premier lieu, nous avons adoré la Majesté divine. Ensuite, nous avons appelé le prêtre et, en déposant l’Enfant dans ses bras, je fis l’offrande du Bébé céleste au Père Éternel en sacrifice pour le salut de tous. Le prêtre se nommait Siméon. Quand j’ai déposé Jésus dans ses bras, il a reconnu en lui le Verbe Divin. Il exulta d’une très grande joie et, après l’offrande, dans un rôle de prophète, il prophétisa mes futures souffrances. Oh ! comme la Majesté Suprême donna un grand coup à mon Coeur maternel en m’apprenant la tragédie de toutes les souffrances qu’allait vivre mon petit Enfant. Mais, ce qui me transperça le plus, ce furent les paroles du saint prophète : « Cet Enfant sera le salut et la ruine de beaucoup et sera un signe de contradiction. » Si la Divine Volonté ne m’avait pas soutenue, je serais morte instantanément de douleur. Mais elle me conserva la vie et se servit de cet événement pour former en moi le Royaume des douleurs, à l’intérieur du Royaume de la Divine Volonté. Outre le rôle de Mère que j’exerçais pour tous, j’acquis aussi le rôle de Mère et Reine des Douleurs. Oh oui ! par mes douleurs, j’acquis le moyen de payer les dettes de mes enfants, y compris de mes enfants ingrats. Maintenant, ma fille, tu dois savoir que, par la lumière de la Divine Volonté, je connaissais déjà toutes les souffrances de ma destinée, qui étaient même plus que ce que le prophète m’avait annoncé. Mais, dans cet acte tellement solennel de l’offrande de mon Fils, en me l’entendant dire, je me sentis tellement transpercée que mon Coeur se mit à saigner et que de profondes déchirures se firent dans mon âme. Ma chère fille, dans les souffrances et les rencontres douloureuses qui ne manquent pas pour toi, ne te décourage pas. Avec un amour héroïque, laisse la Divine Volonté prendre sa place royale dans toutes ces souffrances, afin qu’elles puissent être converties en monnaie d’une valeur infinie. Tu pourras ainsi payer les dettes de tes frères et soeurs en les libérant de l’esclavage de la volonté humaine, pour les faire revenir en enfants libres dans le Royaume de la Divine Volonté. L’âme :
Sainte Maman, je dépose toutes mes souffrances dans ton Coeur transpercé, et tu sais combien ces souffrances m’affligent ! Sois une mère pour moi et verse dans mon coeur le baume de tes souffrances pour que je sache utiliser mes souffrances comme des petites pièces de monnaie me permettant de conquérir le Royaume de la Divine Volonté. Petite pratique :
Pour m’honorer aujourd’hui, tu viendras dans mes bras pour que je puisse verser en toi les premières gouttes de sang versées par le Bébé céleste, afin de guérir les blessures causées en toi par ta volonté humaine. Et tu feras trois actes d’amour pour atténuer les douleurs de la coupure faite au petit Bébé Jésus. Oraison jaculatoire :
Ma Maman, verse tes souffrances dans mon âme et convertis toutes mes souffrances en Volonté de Dieu.
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