violaine
Date d'inscription : 06/09/2010
Localisation : FRANCE
 | Sujet: Réflexions  Jeu Sep 23 2010, 03:21 | |
| Mercredi 22 septembre 2010 3 22 /09 /2010 23:42 UN MALAISE ÉTRANGE ET « CALME » S'INSTALLE SUR LES U.S.A – Septembre 2010(partiel) COMMENT NOUS ENTENDONS CELA : ATTENDEZ-VOUS À DES ÉVÉNEMENTS QUI SERONT SOUDAINS ! Le mot que nous retenons est « soudain » Il y a cet inhabituel calme là-bas. Est-ce le calme avant la tempête ? Nous le disons, bien entendu, à un moment de malaise financier, de doutes à propos de notre nation (et de la structure future de la planète) et alors que des tempêtes réelles tourbillonnent là-bas (mais pas encore à terre). Il y a cet autre mot : malaise. Les gens semblent instables. Ils se retirent (ils font marche arrière). Ils recherchent s’ils doivent s’attendre au pire. Bref, ils attendent l'autre chaussure pour se baisser. Nous suggérons que l'Esprit Saint soit recherché pour guider chaque personne, car nous aurons chacun des besoins différents dans l'avenir - et seul Lui sait ce qu’ils seront. Il n'y a pas d’autre aphorisme. Il y a des chances que cela survienne au moment où et de la façon dont, nous l’attendons le moins. Quand nous pensons à soudain, nous pouvons nous référer à cet événement d'il y a neuf ans appelé le 11 septembre. Souvenons-nous comment nous avons tous allumé la télévision ou nous sommes réveillés à la première surprise : un avion (vraisemblablement, d'abord, un petit avion) s'était « crashé » dans la tour du World Trade Center. Nous avons regardé la fumée inattendue. Nous l’avons vu croître inopinément. Nous avons appris que l'avion était beaucoup plus grand qu’on l’avait pensé au premier abord. Soudain, il y avait un deuxième avion. Il était de même taille. Soudain, les gens sautaient par les fenêtres. Sans avertissement, nous avons appris encore qu'un autre avion frappait le Pentagone et qu’un autre était sur la Pennsylvanie. Le plus soudain de tout : d'abord une et ensuite la deuxième tour, se sont effondrées. C'était un jour de l'inattendu. Et c’est arrivé dans une série d'événements. Cela devrait nous indiquer que l'événement majeur à venir sera également imprévisible - et peut-être sans analogie visible. Cela se produira sans préavis . Dans l'histoire, nous voyons comment la plupart des méga-désastres sont arrivés de cette manière. Regardez la Grande tempête de la fête du travail (la plus puissante a avoir jamais frappé le continent, en 1935). Aucun avertissement. Regardez l'Ouragan Galveston. Aucun avertissement. Regardez les impôts après Katrina : aucun avertissement réel. Regardez les grands tremblements de terre de Californie. Dans les années 1800 - il n'y a pas deux cents ans - le monde a pris conscience de l'explosion soudaine d'une montagne en Indonésie appelée Tambora. Le volcan a soufflé la fumée 28 miles de haut et a tué 92,000. Certains d'entre eux sont morts du flux ardent, mais plus ont succombé à la famine qui s’est installée après que les cendres du Tambora aient ruiné l'agriculture. Pendant des mois après d’indicible autres sont morts comme la cendre du Tambora a navigué dans la stratosphère avec le gaz et les bombes qui ont reflété ou ont absorbé la radiation solaire, amenant la terre à se refroidir de presque deux degrés et conduisant à ce qui est devenu connu comme «l'année sans été.» Qui s'y était attendu ? Quel prévisionniste l'a vu venir ? En effet, qu'ils s'attendent d'habitude comme le « grand fait » tourne d'habitude court. Nous rencontrons au lieu de cela l'inattendu. C'était en 1816 et il a neigé durant juin et eu des gels chaque mois de l'année dans des régions des Etats-Unis. Partout dans le Nord-est, les cultures ont été à plusieurs reprises détruites au point qu'un fermier de Bennington, au Vermont, l’a désigné «la plus sombre et extraordinaire météo jamais vue.». Le 7 juin un autre observateur, celui-ci du Connecticut, a déclaré qu'il a eu besoin d'une paire de mitaines et que les vêtements que sa femme avait étendus sur le sol s'étaient gelés raide. Du 6 au 9 juin, un gel sévère est arrivé chaque nuit du Canada à la Virginie. Les températures ont frisé bien les quarante degrés en moins de 24 heures. Les feuilles se sont fanées et les arbres sont tombés. (à suivre) Par monSeigneur et monDieu - | |
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