Site de Vassula en français: http://www.tlig.org/fr.html
Modification par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi de la situation concernant la Vraie Vie en Dieu
Janvier 2005
Au cours de ces dernières années, une communication suivie a eu lieu entre la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (CDF) et Vassula. Cette communication a modifié la situation établie à la suite de la Notification publiée par la CDF en 1995. Sur la demande du cardinal Joseph Ratzinger, Préfet de la CDF, le dialogue entre Vassula et la CDF a été publié dans le plus récent volume de l'oeuvre La Vraie Vie en Dieu. La publication de ce dialogue a été annoncée dans une lettre datée du 10 juillet 2004, signée du Cardinal Ratzinger lui-même, adressée à plusieurs Présidents de Conférences épiscopales catholiques qui avaient exprimé leur souci concernant Vassula et ses écrits. Le Cardinal désire que chacun lise les questions posées par la CDF à Vassula et les réponses qu'elle leur a apportées .
Lorsque nous avons demandé au Cardinal Ratzinger, "que répondra votre bureau si quelqu'un demande si la notification est toujours valide?", il a répondu:
"La situation a été modifiée"
Lettre originale du Cardinal Ratzingerhttp:
http://www.tlig.org/fr/frratz.jpgLettre du Sous-Secrétaire de la CDF
Commentaire par Mgr l'Archevêque Ramón C. Argüelles
Commentaire par le père Lars Messerschmidt
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Le pape Jean-Paul II
«Que Dieu la bénisse»
Compte rendu d'une audience privée avec le Pape.
Le Pape lit la dédicace de Vassula, sur la première page du supplément 10 de La vraie vie en Dieu.
Pour voir une version agrandie de la photo, cliquez sur l'image.
14 février 1998
Rencontre avec le Saint-Père
Je m'appelle Niels Christian Hvidt. Avec deux amis, Anu et Abhay George, originaires du Kerala, en Inde, mais demeurant présentement au Danemark, j'ai eu l'occasion de participer à la messe du Saint-Père, dans sa chapelle privée, le 10 février 1998.
En plus des dix prêtres qui concélébraient avec le Saint-Père, nous étions vingt-trois laïques présents. Après la messe, très belle et très sobre, le Saint-Père nous a reçus dans la salle d'audience près de sa chapelle privée et nous a donné à chacun un chapelet, avec sa bénédiction et quelques mots de salutation. Cinq personnes environ avaient apporté des présents pour le Saint-Père.
J'avais avec moi le supplément 10 de La Vraie Vie en Dieu en français. Il y a quelques mois, Vassula avait dédicacé le livre au Saint-Père et me l'avait remis. À l'intérieur, sur la première page, il y avait écrit:
Pour le Saint Père Jean-Paul II.
Que Dieu vous bénisse et vous protège,
Vassula
Lorsqu'il est arrivé à moi, j'avais le livre à la main. Après avoir reçu le chapelet et baisé son anneau, je lui ai dit, en allemand: «Je vous ai apporté un livre très important. C'est le livre de Vassula.» Le Saint-Père a répondu, avec intérêt: «Ah! Vassula!» De même, Mgr Stanislaw Dziwizs, qui a été le secrétaire particulier du pape pendant de nombreuses années et qui venait d'être nommé évêque trois jours avant cette audience, a dit avec intérêt: «Vassula!» Il était évident qu'ils avaient tous deux reconnu son nom.
J'ai poursuivi: «Elle vous l'a dédicacé.» Avec un intérêt sincère et chaleureux, le pape a regardé le livre, l'a ouvert et a vu la salutation de Vassula, puis il a dit: «Gott segne sie» «Dieu la bénisse.» Il a fait le signe de la Croix sur le livre. Il l'a ensuite remis à Mgr Mietec qui prend les présents pour que le Saint-Père puisse les regarder après l'audience.
Avant qu'il ne se dirige vers la personne suivante, je lui ai dit: «Nous prions beaucoup pour vous, Saint-Père», et il a répondu: «Merci!»
Niels Christian Hvidt
Accademia di Danimarca
Via Omero 18
I-00197 Roma
La citation suivante du pape Jean-Paul II, prononcée lors d'une audience générale spéciale au Vatican, est tirée de l'édition en langue espagnole de L'Osservatore Romano, du 16 août 1996.
(Cette bénédiction apostolique est venue, évidemment, neuf mois après la Notification)
«Je salue cordialement les personnes de langue espagnole ici présentes, spécialement les religieuses de la Congrégation de Sainte Thérèse de Jésus et LES GROUPES SPIRITUELS DE LA VRAIE VIE EN DIEU. Je leur souhaite à tous un été spirituel qui les aidera à réaffirmer leur promesse de chrétiens afin que leur réponse généreuse à Dieu soit le témoignage de Son amour dans le monde. Je vous donne avec affection, ainsi qu'à ceux qui vous sont chers, la bénédiction apostolique.»
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Le cardinal Ratzinger
Nouvelle entrevue avec le Cardinal Ratzinger
Ce qui suit est extrait d'une entrevue avec le Cardinal Ratzinger publiée dans la populaire revue italienne 30Giorni, No.1, Janvier 1999.
La dernière question pourrait être quelque peu embarrassante. Elle concerne une figure prophétique contemporaine - la grecque orthodoxe Vassula Ryden. Elle est considérée par plusieurs fidèles, ainsi que par plusieurs théologiens, prêtres et évêques de l'Église catholique, comme une messagère du Christ. Ses messages, traduits dans 34 langues depuis 1991, sont connus à travers le monde. La Congrégation pour la Doctrine de la Foi a, cependant, fait des déclarations négatives sur cette question. La Notification de1995 concernant les points obscurs aussi bien que les aspects positifs de ses écrits a été interprétée par certains commentateurs comme une condamnation. Est-ce le cas?
RATZINGER: Vous touchez là un point délicat. Non, la Notification est un avertissement, pas une condamnation. Du strict point de vue de la procédure, personne ne peut être condamné sans procès et sans avoir eu d'abord la possibilité d'expliquer ses idées. Ce que nous disons, c'est qu'il y a de nombreux points qui ne sont pas clairs. Il y a des éléments apocalyptiques discutables et des aspects ecclésiologiques qui ne sont pas clairs. Ses écrits contiennent beaucoup de bonnes choses, mais le blé et la paille sont mêlés. C'est pourquoi nous avons invité les fidèles catholiques à les regarder avec prudence et à les mesurer selon le critère de la foi constante de l'Église.
Est-ce qu'on poursuit la procédure pour clarifier la question?
RATZINGER: Oui, et tant que dure le processus de clarification les fidèles doivent être prudents et garder une attitude de discernement. Il n'y a pas de doute qu'il y a une évolution dans les écrits qui ne semblent pas être terminés. Nous devons nous rappeler que le fait de présenter la parole et l'image d'un contact intérieur avec Dieu, même lorsqu'il s'agit d'une expérience mystique authentique, dépend toujours des capacités de l'âme humaine et de ses limites. Seule la Parole réelle de la Révélation, telle que nous la recevons dans la foi transmise par l'Église, mérite notre confiance illimitée.
Le père. James Fannan, PIME nous livre le commentaire suivant sur les propos du cardinal:
Dans cet article, le cardinal Ratzinger établit de nouveau ses positions très clairement. Il déclare formellement dans l'entrevue que la Notification n'était pas une «condamnation». Il la qualifie d'«avertissement». Il ajoute que Vassula n'a jamais eu l'occasion de pouvoir s'expliquer. Il est à noter que, encore une fois, comme dans toutes ses déclarations antérieures, le cardinal évite de décrire «La Vraie Vie en Dieu» comme des «erreurs». Il dit plutôt: «Il y a des éléments apocalyptiques discutables et des aspects ecclésiologiques qui ne sont pas clairs». Dans la langue du Vatican, être «discutable», ce n'est pas la même chose qu'être une «erreur». Il admet clairement qu'il y a de solides arguments à l'appui des enseignements de «La Vraie Vie en Dieu». C'est pourquoi le cardinal se contente de dire aux fidèles d'être «prudents» (pas soupçonneux!) et de mesurer de «La Vraie Vie en Dieu» selon la «foi constante de l'Église». C'est exactement ce que font tous ceux qui connaissent bien ces écrits chaque fois qu'ils les lisent.
Déclarations antérieures du Cardinal Ratzinger:
Il s'est dit beaucoup de choses sur la Notification concernant Vassula. Cependant le cardinal Ratzinger, Préfet de la Congrégation qui a émis ce document, a déclaré après sa publication:
«Vous pouvez continuer à promouvoir ses écrits».
Ce qui suit provient de membres d'un groupe de prière de Guadalajara, au Mexique, qui sont profondément touchés, depuis 1992, par les messages de La Vraie Vie en Dieu et qui, depuis, s'occupent activement d'en promouvoir la traduction, l'impression et la distribution à travers le Mexique. Le groupe s'est aussi impliqué dans la coordination des trois visites de Vassula Rydén au Mexique, en obtenant de prêtres, d'évêques et de cardinaux les autorisations nécessaires pour ses présentations dans des églises.
Les membres du groupe désiraient obtenir des directives du cardinal Ratzinger, lors de sa récente visite à Guadalajara, concernant l'attitude qu'ils devaient adopter à l'égard de la Notification du 6 octobre 1995 (émise par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi dont il est le cardinal-préfet).
Vous trouverez, ci-après, une partie de leur lettre et de la réponse du cardinal Ratzinger qu'il leur a remise en personne:
À Son Éminence Joseph Cardinal Ratzinger:
.....Nous sommes un groupe de quatorze personnes, dévouées à nos paroisses et désireuses de témoigner que ces messages nous ont beaucoup aidés.. Nous gardons l'obéissance et l'amour envers le Pape, en union avec Jésus et Marie, vivant de Jésus dans l'Eucharistie et de Sa Parole, des Commandements et de la prière du Saint Rosaire.
Nous avons vécu de nombreuses et authentiques conversions de franc-maçons, de témoins de Jéhovah et de protestants, pour la plupart des personnes exerçant des professions. Plusieurs lecteurs de La Vraie Vie en Dieu ont fait l'expérience d'une réelle soif de Jésus en communion avec le Pape et l'Église.
Nous avons été troublés par la Notification du 6 octobre publiée dans L'Osservatore Romano, et nous nous demandons quelle attitude adopter. Que pourriez-vous nous recommander?
Nous implorons Jésus et Marie de nous éclairer afin de faire la Volonté de Dieu, et nous nous soumettons docilement à l'Église. Dans l'attente de votre bonne réponse, nous vous saluons cordialement.
Sincèrement,
Signé:
Lic Javier Pelayo Jones,
Mme Maria del Carmen de la Torre de Pelayo, 9 mai 1996
Informés par les nouvelles locales de la présence du Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, le cardinal Ratzinger, venu présider une réunion du CELAM (Conseil des évêques d'Amérique Latine), nous avons cru opportun et providentiel de pouvoir lui donner notre témoignage en tant que lecteurs de La Vraie Vie en Dieu et lui demander par la même occasion quelle devait être notre attitude, suite à la Notification parue le 23/24 octobre 1995 dans L'Osservatore Romano.
Hier, jeudi 9 mai 1996, à 11h30, nous nous sommes présentés à la Casa de ejercicios espirituales, où se tenait la réunion.
Par un messager, nous avons fait porter au cardinal Ratzinger, qui se trouvait dans la salle de conférences, une lettre accompagnée des trois derniers livres édités à Guadalajara: Oraciones extraidas de la «Verdadera Vida en Dios» (Prières extraites de La Vraie Vie en Dieu), El Sagrado Corazón de Jesús en los escritos de Vassula (Le Sacré-Coeur de Jésus dans les écrits de Vassula) et Teologos defienden a Vassula Ryden (Des théologiens prennent la défense de Vassula Ryden). À notre surprise, le messager revint nous dire qu'il les avait remis dans les mains propres du cardinal et nous transmit la réponse de ce dernier: «Je vais prendre connaissance des livres et ensuite je vous rappellerai.»
Le même jour, à 13h30, nous avons eu la surprise de recevoir un appel du cardinal, nous convoquant le jour même à 15h45. Nous sommes arrivés ponctuellement au rendez-vous, mais nous avons été informés qu'un cas de force majeure l'empêchait, avec regrets, de nous recevoir à ce moment-là, et qu'il nous fallait attendre son nouvel appel. Celui-ci vint de bonne heure le lendemain (le vendredi 10 mai), nous convoquant à 10h15. Nous sommes venus, accompagnés du Père Tiberio Munari.
Le cardinal Ratzinger nous reçut avec beaucoup de cordialité durant la pause de 10h30, s'excusant du peu de temps dont il disposait et nous proposant de parler en italien pour faciliter le dialogue. Voici en substance ce qu'il nous a déclaré:
«Sur la base de ce que vous me communiquez dans votre lettre, à propos de témoignages et de conversions, cela est très bon. Nous demandons seulement que l'on procède avec discernement, que l'on ne prenne pas pour Parole de Dieu ce que, en ce moment, nous devons considérer comme quelque chose d'humain et de personnel. La notification que nous avons publiée a pour but premier que Vassula ne se manifeste plus dans les édifices catholiques réservés au culte liturgique, parce qu'elle est orthodoxe et que sa situation matrimoniale n'est, pour nous, pas clarifiée, car elle est divorcée, ce que nous sommes en train d'étudier. (cliquez ici pour autres informations)
Vous pouvez continuer à promouvoir ses écrits, mais toujours avec le discernement qui s'impose.»
Il a conclu en citant saint Paul: «N'éteignez pas l'Esprit, ne dépréciez pas les dons de prophétie; mais vérifiez tout: ce qui est bon, retenez-le.»(I Th 5.19-21)
Il a pris congé cordialement, s'excusant à nouveau du peu de temps dont il disposait. Unis pour toujours au Pape, dans les Coeurs de Jésus et Marie, et fidèles à notre Église.
Signé: Lic. Javier Pelayo Jones,
Carmen de la Torre de Pelayo,
Patricia Salamin de Rivera
Guadalajara, Mexique, 10 mai 1996
Le cardinal Ratzinger confirme sa position concernant les écrits de Vassula Rydén: La Vraie Vie en Dieu
Le magazine religieux portugais Annunciai a Boa Nova (140 [novembre 1997] p. 565-567) vient de publier l'article suivant :
Le 10 octobre 1997, lors d'une réunion de prière organisée pour Vassula à Brasilia, la capitale du Brésil, l'évêque auxiliaire a soulevé la question de la position de l'Église concernant ses écrits. Son Excellence Mgr João Terra a pris la parole devant une foule de quelques milliers de personnes. Il a commencé en disant: «J'aimerais exprimer mes remerciements, en tant qu'évêque auxiliaire, pour la joie que nous procure la présence de Vassula ici, à Brasilia. C'est là certainement une grâce extraordinaire.»
Puis il a poursuivi en parlant de la position de l'Église:
«Nous avons eu, cette année, la rencontre régionale des évêques avec le Saint Père. À cette occasion, j'ai posé des questions à propos de Vassula. Le cardinal Ratzinger a dit ‘J'ai reçu une montagne de lettres de cardinaux.'
Mgr Victor Tielbeek, du diocèse de Formosa (Brésil) lui a alors demandé: «Mais, M. le cardinal, dois-je changer complètement (mon appui envers elle)?» Le cardinal Ratzinger a répondu: «Continuez ce que vous avez fait jusqu'à présent, seulement soyez prudent.»
Dans une note, le magazine fait le commentaire suivant: «cette réponse du cardinal Ratzinger est tout à fait en accord avec la directive qu'il a donnée au Mexique, le 10 mai 1996: ‘vous pouvez continuer à promouvoir ses écrits, mais toujours avec le discernement qui s'impose...'»
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Le Père Tardif et Vassula
«C'est bien le Seigneur qui lui parle.»
Le Père Émilien Tardif, m.s.c., est une des figures les plus importantes du Mouvement charismatique. Né au Canada (1928 - 1999), il est ordonné prêtre en 1955, dans la Congrégation des Missionnaires du Sacré-Coeur. Depuis quarante ans, il est missionnaire en République Dominicaine. En juin 1973, une tuberculose pulmonaire aiguë l'oblige à rentrer d'urgence au Canada. À l'hôpital des tuberculeux de Québec, avant même que le traitement ne commence, cinq laïcs charismatiques lui rendent visite pour prier avec lui dans sa chambre. En quelques jours, il est parfaitement guéri par le Seigneur. Son ministère sacerdotal prend alors un nouveau tournant. Il étudie le Renouveau Charismatique, afin de mieux découvrir cette Nouvelle Pentecôte que le Seigneur donne aujourd'hui à Son Église. Progressivement, son charisme de guérison s'affirme et devient pour lui un merveilleux instrument au service de son travail d'évangélisation. Depuis 1975, il voyage à travers le monde pour annoncer à tous que «Jésus est vivant et continue, même aujourd'hui, d'accomplir des miracles et des merveilles, comme il le faisait il y a 2000 ans». Ses messes de guérisons attirent des foules considérables. Plusieurs guérisons soigneusement documentées sont attribuées à son charisme, parmi lesquelles des cas de cancer en phase terminale ou de Sida.
Voici un extrait d'une interview faite par le journaliste italien Marino Parodi, dans le journal Il Signo del Soprenaturale du mois d'octobre 1996. Le Père Tardif y exprime clairement sa position sur Vassula et La Vraie Vie en Dieu.
À la question: «À propos des grands charismes d'aujourd'hui, que pensez-vous de Vassula Rydén?» il répond:
Je pense qu'il s'agit d'une mystique authentique et sincère: c'est bien le Seigneur qui lui parle. La Vraie Vie en Dieu est pleine de trésors. Comment cette femme aurait-elle pu y arriver toute seule?
Je trouve très positive la récente interventionn du cardinal Ratzinger par laquelle, outre le fait que les fruits très nombreux, évidents et positifs de la mission de Vassula sont reconnus, les fidèles sont pleinement autorisés à diffuser ses messages.
Du reste, le document de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi était une absurdité: sans signature, jamais officialisé, inspiré par une totale méconnaissance du message et de la mission de cette mystique.
En 1981, le Père Tardif fonde une communauté charismatique de laïcs, Les Serviteurs du Christ Vivant qui se répand rapidement dans le monde entier. La maison mère de la communauté est à Saint-Domingue, où le Père Tardif demeure depuis plusieurs années. Cependant il consacre huit mois par année à sa mission d'évangélisation à travers le monde. Le Père Tardif a aussi reçu un puissant charisme de «connaissance» et de «discernement». Le Père Emilien a publié trois livres. Le premier, Jésus a fait de moi un témoin, (plus d'un million d'exemplaires) a été traduit en dix-huit langues. Il a également publié Jésus est le Messie et Dans le feu de l'Amour. (Sources: Revue La Vraie Vie en Dieu, No 8, juillet 1997, et L'Informateur catholique, juillet-août 1996).
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Déclaration du Père Michael O'Carroll
Le père Michael O'Carroll, CSSp, conseiller spirituel de Vassula pendant plusieurs années, l'a souvent accompagnée dans ses missions à travers le monde. Théologien de renom, il est membre de l'Académie mariale pontificale. Il a publié la déclaration qui suit au début de 1997 après qu'il ait dû mettre fin à son rôle d'accompagnateur.
Je veux que soit connu mon soutien à Vassula Rydén, comme cela est déjà évident par les deux livres que j'ai écrits: Vassula de la Passion du Sacré-Coeur et Vassula, médiatrice de l'unité des Chrétiens, ainsi qu'un troisième en préparation, Vassula, apôtre de la Sainte Trinité. À cette déclaration, il ne serait pas nécessaire d'ajouter quoi que ce soit, mais je désire souligner que, comme prêtre qui a été jusqu'à maintenant le conseiller de Vassula, je tiens à ce que soient levés tout doute, toute suspicion quels qu'ils soient concernant ma foi en l'origine divine des messages donnés à Vassula.
Cette question a été discutée et une conclusion affirmative a été amplement exprimée par de nombreux théologiens dans le monde entier, à savoir en Amérique du Nord et du Sud, au Japon, et beaucoup en Europe. J'ai le plaisir de déclarer que je suis en plein accord avec tous ceux qui ont fait connaître leur fidélité (à Vassula) et leur foi aux messages (de la Vraie Vie en Dieu), le faisant savoir à la plus haute autorité en la matière, c'est-à-dire au Cardinal Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, le Cardinal Joseph Ratzinger. Celui-ci, plus tard, après les nombreuses lettres qui lui ont été envoyées, a fait à nos amis de Guadalajara — qui sont prêts à en témoigner sous serment — une importante déclaration, dont l'essentiel est: «vous pouvez continuer à promouvoir ses écrits».
Cela me semble être une évidence suffisante, et je tiens à affirmer ma totale acceptation de cette position qui ne compromet en aucune façon mon attachement au Saint-Siège.
Je suis connu comme défenseur de la papauté. Lorsque j'ai rencontré le Pape actuel le 29 novembre 1995, je lui ai demandé sa bénédiction pour Vassula. Je lui avais auparavant offert les deux livres que j'ai écrits sur lui, l'un sur ses origines polonaises et l'autre sur sa vie et son enseignement, et je l'ai assuré que: «je suis votre défenseur», à quoi il m'a répondu: «nombreux sont les ennemis». Il m'a alors donné sa bénédiction pour Vassula, comme je le lui avais demandé.
L'on sait également que lorsqu'il a su qu'étaient présents à l'audience du 11 août 1996 des représentants de nos amis espagnols (de la Vraie Vie en Dieu), il leur a publiquement exprimé son encouragement et leur a demandé de continuer à témoigner de l'amour de Dieu, si magnifiquement exprimé, comme nous le savons, dans les message (de la Vraie Vie en Dieu).
Je pense que cela devrait rassurer quiconque serait tenté de penser que j'aurais changé d'opinion au sujet des messages de la Vraie Vie en Dieu.
Père Michael O'Carroll C.S.Sp.
Blackrock College
Co., Dublin, Irlande
le 2 janvier 1997
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L'abbé René Laurentin répond aux détracteurs de Vassula
«Vassula est une des voyantes les plus équilibrées, les plus limpides que je connaisse. Je serais même tenté de dire la plus normale, la plus équilibrée, quoique la plupart le soient, de manière parfaitement satisfaisante.»
Ainsi s'exprime René Laurentin dans son petit livre Qui est Vassula, en réponse aux objections contre Vassula. Nous en reproduisons, ci-après, deux extraits concernant les erreurs doctrinales dont on l'accuse souvent.
La situation maritale de Vassula
«Elle est divorcée et remariée. C'est ce qui semble être le plus grand problème. De fait, sa situation maritale est maintenant tout à fait en règle. Elle s'est mariée à l'église avec un protestant (1966), à une époque où elle était étrangère à toute pratique religieuse. Après un divorce civil (1980), elle s'est remariée le 13 juin 1981. Elle croyait, à l'époque, qu'il s'agissait d'une cérémonie protestante, conformément à la religion de son mari, mais il s'agissait, en fait, d'un mariage civil. Chrétienne de nom seulement, sans contact avec son Église orthodoxe, elle ne savait même pas que son remariage pouvait être source de problèmes. Lorsqu'elle s'est présenté à son église pour faire régulariser sa situation, le premier prêtre à qui elle a parlé ne semblait même pas penser qu'il pouvait y avoir un problème puisqu'il s'agissait d'un mariage mixte. Mais elle a insisté, afin d'être tout à fait en règle avec la législation orthodoxe. C'est alors qu'on l'a envoyée vers le prêtre chargé des questions de mariage; c'est lui qui s'est occupé de l'affaire selon la «règle de l'économie» de l'Église orthodoxe dans les cas d'échecs conjugaux.».
Son mariage actuel a été célébré le 13 octobre 1990, dans l'église orthodoxe grecque de Lausanne. D'après les lois de son Église, sa situation ne pose aucun problème.»
Objections doctrinales
Les attaques les plus graves concernent la Trinité. En les lisant, j'ai été impressionné. Aurais-je mal lu Vassula? me disais-je. Les ambiguïtés qui habitent tout texte prophétique, poétique ou mystique, même biblique se seraient-elles dégradées en erreurs caractérisées? J'ai perdu bien du temps à retrouver les phrases incriminées. Elles apparaissent autres dans leur contexte, dépouillées des déformations et dénaturations que la passion des hérésiologues leur a fait subir.
Le théologien le plus réputé parmi les adversaires de Vassula a cru trouver chez elle l'antique hérésie appelée Patripassianisme, de Noet, Epigone, Cleomène et Praxeas, pour lesquels le Père s'est incarné et a souffert la Passion, car pour eux il n'y avait qu'une personne, pas de Trinité.
Dans le manuscrit original, dont l'édition a gommé les références pour rendre plus difficile le contrôle des accusations, l'auteur donne quatre références au texte original anglais selon la première édition anastatique: 1, 76; 2, 17; 5 ,8; puis 4, 106 (Dans son texte dactylographié, l'adversaire de Vassula cite toujours la première édition anglaise: reproduction offset du manuscrit, non la seconde, ni l'éd. typographique.
1. Le 7 avril 1987 (éd. anglaise 1, 76; français 1, 105), ce n'est pas le Père qui parle, ce qui et d'ailleurs assez rare chez Vassula. C'est Jésus, comme elle et ses lecteurs l'ont toujours reconnu et comme l'indique le contexte.
Ce qui a induit l'auteur en confusion c'est que parfois Vassula appelle Jésus «Père», selon un titre donné au Roi Messie par Isaïe 9, 10 (9, 5). Et s'il est notre frère comme homme, il est Père comme Dieu. Auteur de notre existence même. Ainsi appelle-t-il ses disciples: «Mes petits enfants» (Jn 13.33). Vassula vit ce rapport filial en même temps que fraternel et sponsal. Ces diverses facettes sont très bien articulées chez cette femme mariée, qui ne confond pas le plan humain et le plan mystique. Heureusement, car si elle employait le langage du Cantique des cantiques «Qu'il me baise des baisers de sa bouche (Ct 1.2), ou même de certains mystiques, célébrant leur mariage sponsal avec Jésus, elle recevrait une terrible avalanche de critiques. Du simple fait qu'elle emploie le verbe to feel (ressentir) pour signifier l'amour qu'elle a du Christ ou que le Christ a pour nous, son censeur la taxe de sentimentalisme et d'érotisme («tout à fait déplacé par ses harmoniques sexuelles»: quite odd in its sexual overtones). Pourtant Vassula est sans ambiguïté. Si Jésus l'embrasse, c'est sur le front, comme un père. Tout est donc bien en place, au plan des sentiments comme au plan théologique. Le christianisme n'a jamais culpabilisé ni le coeur, ni les sentiments.
2. Dans le deuxième passage incriminé:
(8 novembre 1987, anglais 2, 17; français 2, 20), l'interlocuteur céleste dit bien: «Ma Croix est sur toi, porte-la avec amour. Ma Croix est la porte de la vraie vie. Embrasse-la de bon coeur. L'abnégation et la souffrance conduisent vers le chemin de la sainteté.»
Mais c'est Jésus qui parle, et c'est clair, puisqu'il dit:: «Moi ton Jésus.» Alors pourquoi l'attribuer au Père? pourquoi lancer sur Vassula la flèche empoisonnée du patripassianisme?
3. Dans le troisième passage incriminé (19 septembre 1991, anglais 5, 8; français, supplément 1, 37) c'est Jésus qui parle de sa croix et le contexte est des plus clairs. C'est Jésus seul qui parle ce jour-là, durant plusieurs pages.
Ce qui a permis à l'inquisiteur de trouver l'hérésie qu'il cherchait, c'est que dans les lignes précédentes, où Jésus fait écho à Jn 12.23-25, il évoque le moment où il annonçait la venue imminente de son «heure» (Jn l2:23); et où la voix du Père venait le glorifier (12:24-25). Mais c'est Lui qui évoque au passage la voix du Père, et non le Père qui parle dans toutes ces pages.
4. L'accusateur a cru trouver l'attribution erronée de la Passion au Père dans un quatrième passage: 22 décembre 1990 (édition anglaise 4, 106; édition française 4, 78). En fait, dans ce passage, Vassula entend successivement la voix du Père, qui dit seulement: «Mon enfant»; puis celle du Fils: «pénètre mes plaies, mange mon Corps et bois mon Sang...»
Des guillemets, des astérisques et une note manuscrite en bas de page indiquent le changement d'interlocuteur:
«Maintenant, c'est le Fils qui parle» dit la note.
Le théologien, qui a lu trop vite attribue au Père ce que dit le Fils. Il a sans doute l'excuse de travailler sur le texte manuscrit. Par souci de rigueur. Mais il aurait fallu faire attention au moindre détail pour ne pas défigurer le texte.
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Mgr João Evangelista Terra
Mgr João Evangelista Terra, évêque auxiliaire de Brasilia, est un exégète de renom, connu dans le monde entier. Il a travaillé dans plusieurs pays, y compris au Vatican, où il a travaillé avec le cardinal Ratzinger pendant dix ans. Il appuie entièrement Vassula et, à la fin la réunion de prière de Brasilia, le 12 octobre 1997, il a demandé à adresser à l'auditoire les quelques mots qui sont rapportés ci-après.
Continuellement applaudi par les milliers de participants à la rencontre, Mgr João Evangelista Terra a parlé avec tant de fermeté et de conviction qu'il ne semblait pas se rendre compte des applaudissements, un sourire imperturbable sur les lèvres. Sa ferme conviction ainsi que la joie extraordinaire qu'il ressentait étaient évidentes dans cette atmosphère de foi et d'évangélisation charismatique dont il était entouré. Attentifs et reconnaissants, nous écoutons Mgr Terra:
—J'aimerais dire quelques mots de remerciement, à titre d'évêque auxiliaire, pour la joie que nous ressentons de la présence de Vassula, ici à Brasilia.C'est certainement une grâce extraordinaire!
Nous avons vécu, cette semaine, la présence du Pape à Rio de Janeiro. Cela a valu bien plus que de nombreuses missions. Il y avait là deux millions de personnes; c'était réellement la présence de la grâce transformante; nous, qui y étions, nous en sommes revenus véritablement renouvelés. Le Pape nous exhorte à nous préparer, durant ces trois années, au Troisième Millénaire. Nous terminons actuellement la première de ces trois années.
Cette année, nous méditons sur Jésus Christ, sur la vertu théologale de la Foi, sur le sacrement de Baptême. Le Pape lui-même nous invite à présent à méditer, à partir de maintenant, en novembre, sur l'année qui vient et qui est entièrement consacrée à l'Esprit Saint. L'année 1998 sera l'année du renouveau charismatique, une année remplie de l'Esprit Saint, pendant laquelle nous méditerons sur le sacrement de la Confirmation, sur la vertu théologale de l'Espérance, et sur Marie, modèle d'Espérance.
L'année 1999, vigile du grand Jubilé du Troisième Millénaire qui s'en vient, est entièrement consacrée à Dieu le Père. Et nous voyons comme Vassula parle avec une telle tendresse, appelant Dieu «papa», comme Jésus l'a fait, avec une grande hardiesse. En 1999, nous méditerons tous aussi sur le Père, sur la vertu théologale de l'Amour — le Père est la source de l'Amour — sur le sacrement de la Réconciliation. Nous voyons en Marie le modèle de l'Amour, la Mère du Tendre Amour. C'est la préparation, les trois années de préparation.
L'année dernière, nous étions à un congrès à Jérusalem, à l'invitation de rabbins. Il y avait quelque cent rabbins, cinq cents évêques — catholiques et orthodoxes — et douze cardinaux. Au retour, j'ai parlé avec le Pape. Il a été enthousiaste. J'ai vécu deux ans à Jérusalem. Alors, j'ai fait voir au Pape ma grande espérance. Pour l'an 2000, il prépare activement une rencontre des chrétiens avec les membres de religions monothéistes — juifs et musulmans. Il y aura une grande rencontre au mont Sinaï, qui réunira juifs, chrétiens et musulmans; un espoir, un rêve du Pape. Ce Pape est un saint! Son rêve est réellement inspiré par Dieu: une grande rencontre à Jérusalem de toutes les confessions chrétiennes, traitant intensivement de l'Église orthodoxe, des Églises évangéliques — les grandes Églises évangéliques — avec l'espoir que se réalise la prière Jésus: qu'il n'y ait qu'un seul coeur, qu'un seul troupeau, et qu'un seul Pasteur.
C'est là la mission de Vassula. Pour elle aussi, sa mission se résume à ceci: réaliser en l'an 2000 cette demande de Jésus; c'est une prière véritablement scandaleuse que fait Jésus; scandaleuse! «Père, je veux que tous soient un.» Est-ce une façon de demander quelque chose? On dit au moins «s'il vous plaît». Il a dit: «Père, Je veux!» Il veut. Ce n'est pas un manque d'éducation, non. Il sait que c'est ce que le Père veut. Que la volonté du Père soit sa propre volonté: qu'il y ait un seul troupeau et un seul Pasteur. C'est la prière du Christ.
Le présent millénaire, de l'an 1000 à l'an 2000, fut un millénaire de grandes épreuves, de divisions dans l'Église. Que le Troisième Millénaire soit un millénaire d'unité. Dieu nous a envoyé cette personne charismatique. Je connais Vassula depuis cinq ans, lorsque j'ai fait sa connaissance à Recife (C'était la première visite de Vassula au Brésil, accompagnée du Père O'Carroll et des responsables des Éditions Boa Nova). Je parle un peu sa langue maternelle. J'ai aussi travaillé deux ans en Orient, en Égypte, et je l'ai moi-même saluée et elle a répondu, avec tendresse, en arabe.
De fait, quelle joie que cette Messe!... Je ne sais pas si elle s'en souvient: c'était dans le Collège des Dames, dans ce gymnase plein à craquer. Je venais de commencer à lire l'Évangile du jour, à la manière de Jésus, disant: «Tais-toi et sors de cet homme», quand un homme cria soudain d'une voix tonitruante: «Je ne sors pas! Je ne veux pas sortir!» Dix mille personnes restèrent figées sur place. Je me tus et restai tranquille. Je ne voulais pas discuter avec Satan; je baissai la tête. Tout le monde se mit à réciter le Notre Père, à prier... Et soudain, tous se turent: il était là-haut, au troisième étage, et s'apprêtait à sauter. Il a fallu cinq personnes pour le retenir!... Nous avons terminé la messe. Le possédé vint demander pardon à Vassula, disant: «Je ne sais pas ce qui s'est passé». Puis il a raconté: «à ma naissance, mon père m'a consacré à Satan. Ma vie a été un enfer. Mon seul espoir était que vous m'imposiez les mains.» Il était à genoux, transformé. C'était phénoménal!...
Notre grand ami, Mgr Victor (Mgr Victor Tielbeeck, évêque titulaire du diocèse de Formosa, dans l'état de Goías, au Brésil), disait: «Chaque fois que Vassula paraît, Satan fait des siennes!» L'année dernière, vous vous rappelez, les lumières se sont éteintes, ici, avant que la réunion commence..
Et, parlant de Mgr Victor, cette année nous avons eu une rencontre de la conférence régionale des évêques avec le Saint-Père. Alors, je l'ai interrogé à propos de Vassula. Le cardinal Ratzinger a dit alors: «J'ai reçu une montagne de lettres de cardinaux». Bien que le cardinal ait parlé jusque-là uniquement en italien, Mgr Victor lui a demandé en allemand: «Mais, cardinal, je dois changer d'attitude?» (Autrement dit «dois-je cesser d'appuyer Vassula?») Le cardinal lui a répondu alors en allemand: «Continuez comme vous l'avez fait jusqu'à maintenant (devant nous qui pouvions entendre), mais cependant soyez prudents.» ( Cette réponse du cardinal Ratzinger est tout à fait conforme aux directives qu'il a données au Mexique, le 10 mai 1996: «vous pouvez continuer à promouvoir ses écrits, mais toujours avec discernement.»)
Alors, voyons les faits... c'est à leurs fruits qu'on les reconnaît. Demandez-vous: a-t-on observé quels sont les fruits de ce mouvement? combien de transformations? combien de conversions? C'est à ses fruits qu'on reconnaît l'arbre.
Aujourd'hui, vous avez rempli cette enceinte. Pourquoi êtes-vous venus ici? Pourquoi? Parce qu'il y a eu une invitation, pourquoi, je ne le sais pas... Mais c'est une chance. La raison pour laquelle nous sommes venus, c'est que Quelqu'un nous a attirés. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l'attire» (Jn 6,44) Vous avez été attirés par quelqu'un, quelqu'un qui, le premier, vous a aimés. Quelqu'un qui nous a attirés ici pour que nous écoutions une parole de lumière, une parole de salut. Avez-vous compris? Vous devez être très contents; vous avez eu une chance.
En quelque sorte, vous représentez un groupe choisi de ce diocèse. Ceux qui ont été attirés par le Père sont venus jusqu'ici. Quelle beauté que celle de cette bienvenue! Vous voyez ce que signifie la présence d'une personne charismatique. Le charisme n'est pas une grâce de sanctification (personnelle). Cela ne veut pas dire que Vassula est plus sainte que vous. C'est une grâce pour sanctifier les autres. Nous devons être très reconnaissants, parce que cette grâce nous sanctifie, nous rapproche davantage de Jésus. Elle nous prépare au Troisième Millénaire.
Vassula, quelques mots en français: Je voudrais te dire ma grande joie. Nous sommes vraiment heureux de t'avoir parmi nous. C'est une présence de grâce, de lumière et de soleil. Merci bien, Vassula.
Sources: Ediçoes Boa Nova et «Actualizando Medjugorje»
(d'après une traduction espagnole)
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