nous n’arrivons pas à comprendre la mesure de l’état de rupture spirituelle dans lequel nous vivons

Citation :

Card. Lustiger in "Prier les jours saints"

"Le poids que porte à l’avance Jésus, le Saint de Dieu, pur de tout péché, c’est le drame insupportable du mal qui accable les hommes. Nous le supportons, parce que, aveuglés, nous ne savons plus reconnaître dans la mort, le mal et, dans le mal, le péché ; parce que nous n’arrivons pas à comprendre la mesure de l’état de rupture spirituelle dans lequel nous vivons."

http://www.zenit.org/fr

 

Oui, lorsque nous méditons le rosaire, dans le mystère de la couronne d'épines, nous pouvons nous associer au Christ qui supporte toute la fausseté du monde.

N'oublions pas qu'on a fait comparaître contre lui des faux témoins et qu'il a passé les derniers temps avant sa mort à être raillé comme un malfaiteur.

Le Démon tient les nations par la fausseté et nous fait passer pour des extrémistes lorsque nous rappelons au monde la vocation spirituelle de l'homme !!!

Bien à vous,

PG

Oui en effet Per Gratia, le péché engloutit l'homme dans le mal et la souffrance.

Seul Dieu peut nous repêcher et nous racheter. La Passion du Christ est LE Chemin vers notre rédemption. Chaque mystère douloureux nous fait prendre conscience de notre fragilité et de l'Amour puissant de Dieu venu à notre secours au-delà de toute compréhension humaine.  

 Si l'homme perd sa conscience, il devient un jouet dans les mains de l'Ennemi.
Toutes les personnes proches de Dieu - et peu importe leur religion - voient le désastre d'une société qui ne veut plus de SON Créateur.

Rejeter Dieu, c'est rejeter la Vie !
Rejeter la Vie, c'est entrer dans les Ténèbres.

L'Homme s'égare mais regardons Jésus souffrir sa Passion. Levons nos yeux vers Sa Croix et laissons l'Espérance du Saint Esprit nous habiter...  

L-A

Paul VI avait déclaré :

http://notredamedesneiges.over-blog.com/article-16356283.html

Citation :

par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu

et Benoit XVI :

http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/homilies/2005/documents/hf_ben-xvi_hom_20050424_inizio-pontificato_fr.html

Citation :

Priez pour moi, afin que je ne me dérobe pas, par peur, devant les loups

Le Pape François lui aussi  reconnait "la guerre des ténèbres contre la lumière", y compris au Vatican :


http://www.news.va/fr/news/le-pape-demande-de-defendre-le-vatican-contre-la-z

via :

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

Citation :

Le Diable essaye de provoquer une guerre interne au Vatican, une sorte de guerre civile et spirituelle. C’est ce que pense le pape François. Il l’a affirmé samedi matin devant les gendarmes du Vatican. Le Souverain Pontife célébrait une messe à leur intention, dans les jardins du Vatican à la veille de la fête liturgique du saint patron de la Gendarmerie, l’Archange Michel. Cette guerre on ne la combat pas avec les armes que nous connaissons, mais avec les langues.
Le pape François a lancé un appel pressant à ne pas dire du mal les uns des autres, à ne pas tendre l’oreille aux médisances. Il a exhorté les gendarmes à intervenir s’ils entendent des commérages. Il faut – a-t-il dit – leur dire d’arrêter et leur demander de sortir de l’enceinte du Vatican. Car c’est par les bavardages que le mal s’infiltre pour répandre son venin et détruire l’unité. Il faut défendre le Vatican contre la zizanie, cette contagion contre laquelle personne n’est immunisé. C’est donc contre un adversaire plus sournois qu’il invite les gendarmes du Vatican à agir.
Napoléon ne reviendra pas
Sur le ton de la plaisanterie, le pape Bergoglio a noté que Napoléon ne reviendra plus, qu’il est peu vraisemblable qu’un armée vienne s’emparer du Vatican. La guerre qui se livre aujourd’hui dans le petit Etat est tout autre : c’est la guerre des ténèbres contre la lumière ; de la nuit contre le jour. Il ne s’agit plus de défendre les portes et les fenêtres de l’Etat, mais plutôt les portes des cœurs de ceux qui y travaillent où la tentation peut entrer comme partout ailleurs.
Cette année la fête de la Gendarmerie Vaticane s’est déroulée sous une forme discrète, sans parade militaire, vendredi soir, en présence de huit cardinaux, dont le Secrétaire d’Etat sortant, et du ministre italien de la Justice. Dans son discours, le commandant Domenico Giani a évoqué l’impact du style pastoral du pape François sur le service quotidien de la gendarmerie.

J'adore notre pape !