VERS LA NOUVELLE JÉRUSALEM
Bienvenue !
VERS LA NOUVELLE JÉRUSALEM

Forum Catholique Romain sous la protection de Saint Michel Archange !

La reproduction du contenu de ce site est permise, à la condition d'en citer la provenance, y incluant l'adresse de notre site, https://nouvellejerusalem.forumactif.com/

Merci !
VERS LA NOUVELLE JÉRUSALEM
Bienvenue !
VERS LA NOUVELLE JÉRUSALEM

Forum Catholique Romain sous la protection de Saint Michel Archange !

La reproduction du contenu de ce site est permise, à la condition d'en citer la provenance, y incluant l'adresse de notre site, https://nouvellejerusalem.forumactif.com/

Merci !
VERS LA NOUVELLE JÉRUSALEM

Forum Catholique sous la protection de Saint-Michel
 
AccueilAccueil  PortailPortail  GalerieGalerie  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  Cliquez ICI pour participer aux échanges du ForumCliquez ICI pour participer aux échanges du Forum  ForumForum  
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

 

 Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min)

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Stan

Stan


Date d'inscription : 30/08/2010
Localisation : Québec, Canada

Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Empty
MessageSujet: Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min)   Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Icon_minitimeSam Mai 07 2016, 15:34


Le « rêve »
du pape François
pour l’Europe ?




Stan

_________________
"Une pieuse réserve sur ce qui nous échappe vaut mieux qu'une âpre discussion sur ce dont on est incertain" (Adam de Perseigne)
Revenir en haut Aller en bas
COQUELICOT

COQUELICOT


Date d'inscription : 06/09/2010
Localisation : Belgique

Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Empty
MessageSujet: Pape-prix-Charlemagne    Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Icon_minitimeLun Mai 09 2016, 14:33

Le rêve du pape pour l’Europe

9 mai 2016 par Pierre Granier

Pape-prix-Charlemagne

Le 6 mai dernier, le pape François s’est vu remettre le prix Charlemagne, un prix international décerné depuis 1948 pour des travaux réalisés en faveur de l’unification européenne.
A cette occasion, le pape a fait part de son rêve d’un nouvel humanisme européen, dans le sillage de son discours prononcé au Parlement européen en novembre 2014.

Alors que la remise de ce prestigieux prix Charlemagne est habituellement organisée à Aix-la-Chapelle, c’est au Vatican que cette cérémonie a exceptionnellement eu lieu cette année.
Et pour cause, c’est le pape François, qui goûte pourtant peu à ce genre de distinction, qui en était le récipiendaire. Il se serait laissé convaincre par le cardinal Kasper de l’accepter. Il a bien fait.
Car à cette occasion, le discours du Souverain Pontife a de nouveau marqué les esprits. Dans la salle royale et devant les plus hauts responsables des principales institutions européennes venus lui remettre ce Prix (Martin Schulz, président du Parlement européen, Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne et Donald Tusk, président du Conseil),
ainsi que bien d’autres hauts responsables européens comme la chancelière allemande Angela Merkel, le chef du gouvernement italien Matteo Renzi et le roi d’Espagne Felipe, le pape François a déclaré rêver d’un « nouvel humanisme européen ».

Transfusion de la mémoire

Comme à Strasbourg en novembre 2014, le Souverain Pontife a brossé le tableau sans com-plaisance d’une Europe en déclin, fatiguée et stérile, où les grands idéaux qui l’ont inspiré semblent avoir perdu leur force attractive. « Que t’est-il arrivé, Europe humaniste, paladin des droits de l’homme, de la démocratie et de la liberté? », a-t-il lancé avec gravité.

Empruntant une formule de l’écrivain Elie Wiesel, qui a survécu aux camps d’extermination nazis, le pape François a préconisé une « transfusion de la mémoire » qui permette de s’inspirer du passé, de « prendre un peu de distance » pour ne pas refaire les mêmes erreurs du passé et affronter avec courage le complexe cadre multipolaire actuel.
Il est urgent, selon le Saint-Père, d’accepter le défi d’ »actualiser » l’idée de l’Europe, dont ses Pères ont eu « l’audace de rêver ». « On ne peut se contenter de retouches cosmétiques ou de compromis bancals pour corriger quelques traités.
Il faut poser courageusement de nouvelles bases », a indiqué l’évêque de Rome qui n’a pas insisté sur les racines chrétiennes de l’Europe mais au contraire a parlé de l’identité européenne comme étant, et ayant toujours été, « une identité dynamique et multi-culturelle ».

Intégrer jeunes et migrants

Il faut donc « promouvoir une intégration qui trouve dans la solidarité la manière de faire les choses et la manière de construire l’histoire ». Et aussi promouvoir une culture du dialogue, « comme forme de rencontre, sans exclusion ».
Lorsqu’il fustige l’exclusion, le pape François pense bien sûr aux migrants, mais il pense aussi aux millions de jeunes Européens touchés par le chômage et le sous-emploi. « Ces jeunes, il faut les faire participer à ce rêve. »

D’où l’urgence de rechercher de « nouveaux modèles éco-nomiques plus inclusifs et équitables ».

Pour conclure ce long discours marquant, le pape François a développé, à l’instar de ce qu’avait fait le pasteur Martin Luther King pour les Etats-Unis, son « rêve » pour une « Europe humaniste ». « Une Europe jeune, capable d’être encore mère, qui prend soin de l’enfant, qui secourt comme un frère le pauvre et celui qui arrive en recherche d’accueil parce qu’il n’a plus rien et demande un refuge.

Une Europe qui écoute et valorise les personnes malades et âgées, pour qu’elles ne soient pas réduites à des objets de rejet improductifs.
Une Europe où être migrant ne soit pas un délit, mais plutôt une invitation à un plus grand engagement dans la dignité de l’être humain tout entier.
Une Europe des familles, avec des politiques vraiment effectives, centrées sur les visages plus que sur les chiffres, sur les naissances d’enfants plus que sur l’augmentation des biens.
Une Europe qui promeut et défend les droits de chacun, sans oublier les devoirs envers tous. Une Europe dont on ne puisse pas dire que son engage-ment pour les droits humains a été sa dernière utopie. »

P.G. (avec Radio Vatican)

_________________
Tout vient de Dieu
tout lui appartient
tout lui revient.
Revenir en haut Aller en bas
André Dominique

André Dominique


Date d'inscription : 15/09/2010
Age : 62
Localisation : Alsace

Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Empty
MessageSujet: Re: Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min)   Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Icon_minitimeMer Mai 11 2016, 19:34

Ces derniers temps je suis très interpellé par la dimension du "RÊVE", dans le sens d'une attente secrête intime, d'une aspiration profonde à l'image du Pape François ou encore de Lily-Anne, ainsi que de tant d'autres ...!
Que vienne enfin le JOUR DE LA DÉLIVRANCE !

https://nouvellejerusalem.forumactif.com/t25727-le-reve-du-pape-francois-pour-leurope-video-2-min#205422


Pour que cette Europe se fasse ... ou encore la Nouvelle France jaillisse des ruines de l'ancienne ... il faut impérativement que l'ancien monde sous la coupe de satan disparaisse totalement, tellement le système est entièrement corrompu ... et pour qu'il ne renaisse pas de ses cendres les serviteurs-profiteurs du systèmes disparaissent pareillement !
J'ai du mal à croire que ceux qui ont évolué dans le PUR VRAI MENSONGE pour ne faire qu'un avec le mauvais puissent encore évoluer dans le BIEN, dans l'AMOUR MISÉRICORDIEUX de notre DIEU !
Quand Jésus CHRIST ajoute en plus que le péché contre l'ESPRIT SAINT ne peux absolument pas être pardonné ... cela veut tout dire, il convient donc de réduire autant que possible la nuisance que peuvent occasionner volontairement ces "impies" !

Pour cela nous sommes dotés de DONS SPIRITUELS, et c'est ces ARMES DE DIEU qu'il convient d'utiliser !
PRIER et JEÛNER, qu'est-ce donc ?
La TRÈS SAINTE VIERGE MARIE nous invite à PRIER et JEÛNER, car par la PRIÈRE et le JEUNE nos DONS SPIRITUELS, DONS DE COMMUNION peuvent TOUT obtenir de NOTRE PERE QUI EST AUX CIEUX !
Ce n'est pas parce que je jeûne et que je prie DIEU que j'obtiens ... NON, NON, NON !
C'est parce qu'en priant et jeûnant je deviens plus Fils dans le FILS DE DIEU, plus ressemblant, que l'ESPRIT SAINT arrive à accomplir le relèvement de notre nature déchue ... par l'intermédiaire de la Ste Vierge Marie c'est plus simple et facile !
Ainsi plus je suis Fils dans Son FILS Jésus CHRIST ... par Elle et NOTRE PERE QUI EST AUX CIEUX j'obtiens la capacité à pouvoir user de la GLOIRE MANIFESTE DE DIEU !

Citation :
ACTES DU II° CONCILE DU VATICAN — L'Église

L'Esprit et l'Église.


Lorsque fut accomplie l'œuvre que le Père avait chargé son Fils de réaliser sur la terre, le Saint-Esprit fut envoyé, le jour de la Pentecôte, afin de sanctifier continuellement l'Église et donner ainsi aux croyants accès vers le Père, par Christ, dans l'unique Esprit. Celui-ci est l'Esprit de vie, source jaillissante pour la vie éternelle, par qui le Père donne la vie aux hommes morts au péché en attendant qu'il ressuscite dans le Christ leurs corps mortels.

L'Esprit habite dans l'Église et dans les cœurs des fidèles comme dans un temple, c'est en eux qu'il prie et qu'il rend témoignage à leur adoption de fils de Dieu. Cette Église, qu'il guide vers la vérité tout entière, qu'il unifie par la communion et le ministère, l'Esprit lui fournit ses moyens d'action et la dirige par la diversité de ses dons hiérarchiques et charismatiques, et il l'embellit par ses fruits.

Par la vigueur de l'Évangile, il assure sa jeunesse, il la renouvelle sans cesse, il la conduit jusqu'à l'union parfaite avec son Époux. Car l'Esprit et l'Épouse disent au Seigneur Jésus : Viens !

L'Église apparaît ainsi comme « le peuple unifié qui participe de l'unité du Père, du Fils et de l'Esprit Saint ». ~

L'ensemble des fidèles, consacrés par l'onction qui vient du Saint-Esprit, ne peut se tromper dans la foi. L'Église manifeste ce privilège par le sens surnaturel de la foi qui appartient au peuple entier lorsque « des évêques jusqu'aux derniers des fidèles laïcs » elle manifeste un accord universel en matière de foi et de mœurs.

En effet, par ce sens de la foi, éveillé et soutenu par l'Esprit de vérité, le peuple de Dieu, conduit par le magistère de l'Église auquel il acquiesce avec fidélité, ne reçoit plus une parole venant des hommes : il reçoit vraiment la parole de Dieu. Il adhère indéfectiblement à la foi transmise aux saints une fois pour toutes, il y pénètre plus profondément par la rectitude de son jugement, il l'applique plus complètement dans sa vie.

L'Esprit Saint ne se borne pas à sanctifier et à conduire le peuple de Dieu par les sacrements et les ministères, ni à l'orner de vertus. En outre, il distribue à chacun ses dons selon sa volonté ; c'est-à-dire que, parmi les fidèles de toute catégorie, il répartit aussi des grâces particulières qui rendent capable et disponible pour assumer des entreprises et des fonctions diverses, avantageuses pour renouveler et développer l'Église, selon cette parole : Chacun reçoit le don de manifester l'Esprit en vue du bien de tous.

Ces charismes, les uns plus éclatants, les autres plus simples et plus communément répandus, doivent être reçus avec action de grâce et réconfort, du fait qu'ils sont principalement adaptés et utiles aux besoins de l'Église.

http://www.aelf.org/office-lectures

Et l'actualité nous répond ainsi :

Citation :

« Le terrible aveu de Donald Tusk : le rêve d’un seul État européen, d’une seule nation européenne est une illusion ! Et c’est le président du Conseil européen qui le dit. Enfin ! »  L’édito de Charles SANNAT  11 mai 2016

Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

Je suis un enfant de l’Europe et je n’aime pas ce qu’est devenue l’Europe.

Je suis un enfant d’Erasmus et des bourses d’échange pour étudier à « l’étranger » et je n’aime pas ce qu’est devenue l’Europe.

Je suis un enfant dont les pépés se battaient contre « les boches » mais j’ai grandi avec, à mes côtés, des pépés sans haine et je n’aime pas ce qu’est devenue l’Europe.

Je n’aime pas ce qu’est devenue l’Europe car contrairement à ce que vient d’affirmer Martin Schulz, ce n’est pas tant que « l’Europe est une promesse qui n’a pas été tenue », c’est plus grave que cela : l’idée d’Europe est une promesse qui a été trahie. L’Europe est même devenue l’outil de trahison des peuples et des souverainetés.

Certains me trouveront trop sévère, d’autres sans doute excessif surtout s’ils sont « pro-européens » ou, là encore plus précisément, suffisamment endoctrinés pour croire que l’enfer est le paradis.

Alors mon avis, pour eux, ne sera que de peu d’intérêt. Pourtant, ils devraient prendre le temps de lire ce qui suit, car ce qui suit c’est les avis autorisés de deux de nos plus grands « europathes », à savoir Martin Schulz, président du Parlement européen, et Donald Tusk, qui n’est rien de moins que le président du Conseil européen.

Que personne ne s’y méprenne, il n’y a aucune idéologie dans le fait de contempler avec une froide lucidité la réalité et d’affirmer que l’Europe est une trahison. L’idéologie consiste justement à vous faire croire que l’Europe est la solution alors que chaque jour, les faits vous montrent le contraire.

« L’Europe est une promesse non tenue »

Voici donc ce que nous apprend cet article, assez court au demeurant, du grand quotidien belge Le Soir. Vous noterez le silence des médias français.

« Lors d’un débat sur l’avenir de l’Europe à Rome, le président du Parlement européen s’est exprimé sur l’Union européenne et les sacrifices imposés aux générations futures pour « sauver les banques ».

L’Europe est une promesse qui n’a pas été tenue à l’égard de générations contraintes à des sacrifices pour « sauver des banques », a déploré jeudi le président du Parlement européen Martin Shulz.

« L’Europe est une promesse, mais une promesse qui n’a pas été tenue », a déclaré M. Shulz lors d’un débat sur l’avenir de l’Europe organisé à Rome en présence du président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, des présidents du Conseil européen Donald Tusk et du Conseil italien Matteo Renzi.

Or, a-t-il ajouté, les dirigeants européens continuent à demander des sacrifices, moins de services, plus d’impôts, « pour quoi faire, pour sauver des banques ».

Il y a dès lors « un sentiment d’injustice, ce n’est pas l’Europe qu’ils voulaient voir », a-t-il ajouté en réponse à une question sur la montée des populismes dans l’Union européenne.

« Le rêve d’un seul Etat européen, d’une seule nation européenne est une illusion »

Mais ce n’est pas tout. Après la sortie de Martin Shulz, c’est au tour toujours lors de ce même débat, de Donald Tusk d’enfoncer le dernier clou dans le cercueil de l’idée d’Europe fédérale.

« À trop idéaliser l’Europe, à la considérer comme un projet d’Union avec un seul État, une seule nation, est non seulement « complètement irréaliste », mais aussi dévastateur pour son avenir, a indiqué de son côté M. Tusk.

« Le rêve d’un seul État européen, d’une seule nation européenne est une illusion. Nous devons accepter de vivre dans une Europe avec différentes monnaies, avec différentes forces politiques, et la pire chose est de prétendre de ne pas le savoir », a-t-il ajouté. »

Amen… Repose en paix Europe fédérale.

Pour Juncker, l’Europe n’est plus gouvernable

Enfin pour Jean-Claude Juncker, autre grand mamamouchi européen atteint « d’europathie », « nous ne parlons pas de l’Europe de la bonne façon. Chaque réunion ministérielle européenne à Bruxelles donne lieu à des interprétations variées, comme si nous avions eu 28 réunions différentes ».

L’Europe fédérale est morte et c’est une excellente nouvelle, mais la fin du rêve et de la grande illusion sera très douloureuse.

Comme je le dis et je le répète inlassablement, mais cela va mieux lorsque c’est un garçon comme Tusk qui le dit, que l’idée d’une Europe fédérale est une grande illusion qui nous conduira à une immense catastrophe, ce n’est pas parce que je refuse l’idée d’une certaine Europe, bien au contraire.

Néanmoins, on veut nous faire oublier que nous avons le choix entre plusieurs idées, entre plusieurs concepts de ce que peut être l’Europe.

Pour résumer les choses rapidement, nous avons les États-Unis d’Europe d’un côté ou l’Europe des nations, communautés de destin et d’intérêt mais où l’indépendance de tous est assurée ce qui n’empêche pas d’être « uni dans la diversité ».

C’est donc une excellente nouvelle de voir nos éminences grises européennes enfin admettre y compris publiquement que l’Europe, leur Europe, est une illusion, illusion qui se fracasse évidemment et comme prévu depuis fort longtemps sur les récifs des réalités, des réalités cruelles et des défis monumentaux que nous avons à relever.

Il s’agit d’une crise économique, d’une crise bancaire, d’une crise industrielle, d’une crise technologique, d’une crise environnementale, d’une crise énergétique et bien sûr d’une crise migratoire, sans oublier enfin les problèmes majeurs liés au terrorisme. Sur le plan économique, les Allemands ne paieront pas pour le reste. Il n’y aura pas d’union de transfert. Les intérêts partout divergent. Les problématiques sont différentes et les différences irréconciliables aussi bien en termes d’endettement, d’immigration et, naturellement, monétaires. Partout ce n’est que divergence que l’on ne veut pas voir par confort.

Face à de tels enjeux, face à de tels risques, face à la conjonction de tant de crises qui rentrent en résonance les unes avec les autres, je peux vous assurer qu’il n’y aura de rempart que dans les nations souveraines et indépendantes. Il n’y aura de rempart que dans les solidarités nationales. Vouloir briser les nations est le crime idéologique le plus odieux dont toute une génération de dirigeants aura à répondre devant les tribunaux de l’Histoire.

En attendant, il appartiendra à notre génération de savoir reconstruire des ensembles nationaux cohérents et efficaces, et il faudra, ce qui sera une gageure, savoir le faire avec une grande humanité alors que tout a été consciemment cassé et détruit par nos europathes qui reconnaissent eux-mêmes qu’ils l’ont fait au nom d’une illusion.

Le moment des grands tourments arrive.
L’heure des comptes approche, et il faudra payer comptant.
L’Europe va s’effondrer.
Vive la France !

En attendant, mes chers amis, préparez-vous, il est déjà trop tard !

Charles SANNAT

http://www.insolentiae.com/le-terrible-aveu-de-donald-tusk-le-reve-dun-seul-etat-europeen-dune-seule-nation-europeenne-est-une-illusion-et-cest-le-president-du-conseil-europeen-qui-le-dit-enfin/

_________________
"J'écris seulement si quelque chose me coule du cœur jusqu'aux mains."
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Empty
MessageSujet: Re: Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min)   Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min) Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Le « rêve » du pape François pour l’Europe ? (Vidéo - 2 min)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Le Pape, la crise migratoire et l’apostasie de l’Europe (Vidéo - 2 min - Défense du pape François par le Père Venard)
» Pape Francois : "pour rajeunir l’Europe doit retrouver ses racines"
» Le pape François rend grâce pour le témoignage de Jean Vanier (Vidéo -1 min - Extrait de conférence de presse du pape François, dans l'avion, au retour des Balkans, le 7 mai 2019)
» L’hymne du pape François à l’Europe : Message sur Twitter pour la saint Benoît
» Pour Dominique Wolton, le pape François est communiste (Vidéo - 27 min - D. Wolton témoigne de ses rencontres avec le pape François)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
VERS LA NOUVELLE JÉRUSALEM  :: L'Église Catholique Romaine-
Sauter vers: