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 Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ?

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Céline.
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Céline.


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MessageSujet: Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ?   Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ? Icon_minitimeDim 19 Aoû - 22:25

LE BON PROPOS
Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ? Cate077aD : Qu'est-ce que le bon propos ?
R : Le bon propos est la résolution de ne plus offenser Dieu ; de réparer l'injure qu'on Lui a faite ou le tort qu'on a causé au prochain et de fuir les occasions, en ayant la volonté résolue de ne plus jamais commettre de péché : il doit avoir les mêmes qualités que la contrition.

Ce n'est pas assez d'avoir le regret du passé ; il faut encore former de bonnes résolutions pour l'avenir. C'est la seconde partie de la contrition : le bon propos de ne plus pécher à l'avenir (Concile de Trente, 14ème session, chapitre 4). Ce sentiment est inséparable du repentir ; car il est impossible de se repentir véritablement d'avoir mal fait, sans vouloir se corriger. Ce serait une insolence de dire à Dieu : je m'en veux de vous avoir déplu, cependant je continuerai de vous déplaire encore. Vous sentez bien que Dieu, tout bon qu'il est, ne peut accorder le pardon à une contrition si dérisoire. Bien sûr, on ne tient pas formellement ce langage, mais Dieu le voit au fond du cœur et dans la conduite d'un pécheur qui manque du bon propos.
Si nous ne l'avons pas, ce bon propos, notre contrition est fausse et ne mérite pas le pardon de Dieu ; c'est pour cela que le saint Concile de Trente joint le bon propos au regret du passé, dans la définition qu'il nous donne de la contrition.
Cette résolution doit être, non seulement de ne plus pécher, mais encore de satisfaire à Dieu et au prochain :
1°) A Dieu, par la prière, le jeûne, l'aumône, l'acquittement de la pénitence imposée ;
2°) Au prochain, par la réconciliation et les réparations de justice et de charité.
Le bon propos doit porter sur tous ces objets et encore sur les moyens de se corriger ; car ce serait toujours aimer le péché, que de n'en vouloir pas éviter les causes et les occasions.


D : Que faut-il faire pour avoir la contrition et le bon propos ?
R : Pour avoir la contrition et le bon propos, il faut les demander à nos Parents du Ciel, se souvenir de la Passion de notre Seigneur et faire un acte sincère de contrition.

1°) II faut la demander à Dieu par l'intercession de la Sainte Vierge, de son bon Ange et des saints pénitents, car elle vient du ciel. Les saints l'ont demandée par le jeûne, la prière, par toute sorte de pénitences et de bonnes œuvres. Faites comme eux. Peut-être ne l'avez-vous encore jamais demandée avant de vous confesser... ou l'avez-vous demandée sans presque désirer de l'avoir.
2°) Se représenter le Bon Dieu outragé par nos péchés, crucifié sur la Croix ; le ciel perdu à cause de nos passions ;
3°) Faire un acte de contrition parfaite, tout comme nous l'avons appris dans la leçon précédente.

D : Quelle est la marque la plus assurée du bon propos ?
R : C'est le changement de vie qui consiste à se corriger de ses mauvaises habitudes.

Changer de vie, c'est donner une preuve évidente que l'on a le bon propos. Par exemple, vous étiez autrefois médisant, insolent, colérique, emporté, intempérant, impudique, etc.; vous n'êtes plus rien de tout cela : voilà un bon changement ; on voit évidemment que vous tenez fermement la bonne résolution que vous avez formée. L'absolution prononcée par le confesseur sur des dispositions pareilles sera ratifiée dans le ciel par Celui qui est témoin de votre conduite et qui voit en vous un cœur nouveau.

D : Suffit-il de détester les péchés que l'on a commis, pour en recevoir le pardon dans le sacrement de pénitence ?
R : Non, il faut encore avoir la ferme résolution ou le bon propos de ne plus y retomber.

Pour obtenir, dans le sacrement de pénitence, le pardon des péchés que l'on a commis, il ne suffit pas de les détester et d'être pénétré pour eux de la plus vive horreur, il faut encore avoir le bon propos, c'est-à-dire la ferme résolution, la volonté bien déterminée de ne plus jamais y retomber et d'éviter avec soin tout ce qui pourrait y porter.

Comme la contrition, le bon propos doit avoir quatre conditions. Il faut qu'il soit sincère, ferme, universel et efficace.

1°) Sincère, autrement on se mentirait à soi-même, et on mentirait à Dieu. Il doit être constant, et durer autant que notre vie.
2°) Ferme, c’est-à-dire que le pénitent doit prendre la résolution actuelle, qu’il doit dire je veux et non je voudrais, avec l’aide de Dieu, m’abstenir du péché. Quelques personnes disent : "je ne voudrais plus commettre ce péché, ni offenser Dieu". Je voudrais, je voudrais. Ces mots prouvent que leur ferme propos n'est pas réellement un ferme propos. Pour qu'il le soit, il faut dire résolument : "je ne veux plus faire ce péché, je ne veux plus offenser Dieu délibérément".
3°) Universel, c’est-à-dire qu’il faut vouloir s’abstenir de tout péché sans exception.
4°) Efficace, c’est-à-dire qu’il doit induire à prendre les moyens nécessaires pour ne pas retomber, fuir les occasions prochaines et volontaires. Mais si l’on se propose de fuir le péché sans fuir les occasions, le bon propos est nul.

D : Pourquoi faut-il avoir la ferme résolution ou le bon propos de ne plus retomber dans le péché ?
R : Parce qu'il n'y a point de vraie contrition quand on conserve la volonté de pécher encore.

Sans bon propos, il n'y a point de véritable contrition. Peut-on dire, en effet, qu'on se repente d'une faute, si l'on a encore l'intention de la commettre, et ne serait-ce pas se moquer de Dieu, que de lui demander pardon de l'avoir offensé, si l'on n'était pas sincèrement résolu de ne plus l'offenser à l'avenir ?

D : Comment peut-on juger si on a le bon propos ?
R : On peut juger qu'on a le bon propos, quand on fait des efforts sérieux pour se corriger, en fuyant les occasions du péché et en suivant les avis du confesseur.

La première marque d'un bon propos, c'est lorsqu'on fait des efforts sérieux pour se corriger afin de changer de vie c'est ce qu'on appelle communément conversion. Par exemple, un homme était avare, et il est devenu charitable ; il était orgueilleux, et il est devenu humble : voilà une preuve sensible de la sincérité et de la fermeté de la résolution qu'il avait prise ; on ne peut douter qu'il n'ait eu le bon propos.
La seconde marque d'un bon propos, c'est la fuite des occasions du péché. On n'est véritablement converti qu'autant qu'on renonce absolument à ce qui a été la cause ou l'occasion du péché. Ce n'est pas sincèrement détester le mal que de rechercher ce qui le produit, et de suivre la route qui y mène. Si vous êtes dans la ferme résolution d'être toujours fidèle à Dieu, et de résister désormais vigoureusement aux tentations qui viendront vous assaillir, évitez avec le plus grand soin tout ce qui pourrait vous rendre prévaricateur. Les passions que nous portons au dedans de nous-mêmes sont bien assez fortes, sans chercher encore des occasions qui les excitent et les enflamment.
Enfin, le pénitent doit écouter les avis de son confesseur et accepter les remèdes spirituels qu'il lui propose pour fuir les occasions dangereuses, se délaisser de ses mauvaises habitudes, sortir du péché et persévérer dans le bon propos.

Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ? Cate077bD : Qu'entendez-vous par occasions dangereuses ?
R : J'entends par occasions dangereuses tout ce qui nous expose au danger de pécher, comme certains lieux, certaines paroles, certaines actions.

Par occasions dangereuses, il faut entendre tout ce qui porte au péché et nous expose au danger de le commettre. Il y a deux sortes d'occasions dangereuses ; les unes sont prochaines et les autres éloignées. Les occasions prochaines sont celles qui conduisent infailliblement au péché, où l'on peut regarder la chute comme moralement certaine : tels sont les bals et les spectacles (en particulier ceux de hard-rock, black-métal), la lecture des livres contre la foi et les mœurs, les chansons obscènes, les tableaux et les statues déshonnêtes, les nudités, les fréquentations trop familières, la liaison avec des personnes dans la société desquelles on a déjà offensé Dieu, etc.
Les occasions éloignées sont celles qui, bien qu'innocentes de leur nature, peuvent cependant donner lieu à des péchés. Nous devons éviter ces dernières autant qu'il est possible, à cause de notre extrême fragilité ; et, lorsque nous nous y trouvons engagés, elles exigent de notre part beaucoup de circonspection et de vigilance. Mais c'est un devoir indispensable d'éviter les occasions prochaines : « Quiconque aime le danger, doit être assuré d'y périr » (Eccl III, 27). — « Retirez-vous, s'écrie le Seigneur, sortez de ce lieu dangereux, gardez-vous de porter les mains à ce qui est souillé. » (Isaïe 52, 11).
Le Nouveau Testament n'est pas moins formel : « Si votre œil droit, dit Jésus-Christ, est pour vous une occasion de péché, arrachez-le et jetez-le loin de vous. Si c'est votre main droite vous entraine dans la chute, coupez-la et rejetez-la. II vaut bien mieux pour vous perdre un de vos membres les plus précieux, que de porter votre corps entier dans l'enfer » (Matth. V, 29). Remarquez combien ce précepte est impératif, combien il est précis. Le Seigneur ne nous dit pas de fermer l'œil, de lier la main qui nous scandalise : « Arrachez, nous dit-il, coupez, rejetez loin de vous. » Cet objet vous fût-il aussi cher que votre œil droit, s'il est pour vous une occasion de péché, vous devez vous en séparer absolument. Cette amitié si ancienne, si tendre, vous fût-elle aussi précieuse que votre main droite, si elle vous engage à des complaisances qui vous entrainent dans le péché, vous devez la rompre sans hésiter.
La fréquentation de tel lieu, telle personne, vous procura-t-elle les plus grands avantages, vous fût-elle aussi utile que votre pied droit, si elle vous entraîne dans la chute, si vous êtes exposés à y perdre votre âme, vous devez y renoncer à jamais. — Il y a donc obligation d'éviter les occasions de péché, et quiconque y demeure volontairement ou s'y expose de plein gré, prouve par là même qu'il n'a ni repentir ni bon propos ; peut-on dire, en effet, qu'on renonce au péché et qu'on est dans la ferme résolution de ne plus le commettre, quand on ne renonce pas à ce qui y conduit ?

D : Qu'entendez-vous par mauvaises habitudes ?
R : J'entends, par mauvaises habitudes, la facilité de tomber dans certains péchés auxquels on s'est accoutumé.

Ce mot habitude vient d'un mot latin habere, avoir, porter avec soi. Une mauvaise habitude, c'est un défaut que l'on porte habituellement, ordinairement avec soi, parce qu'on s'y est accoutumé. Jamais on ne peut croire au bon propos et au changement des mauvaises habitudes, à moins qu'on ne travaille sérieusement à se corriger. Un pécheur qui, ayant contracté de mauvaises habitudes, les combats avec courage, fait de fréquents actes des vertus qui y sont opposées, veille sur lui-même avec le plus grand soin, adresse au ciel de ferventes prières afin d'obtenir les grâces dont il a besoin pour triompher de ses penchants déréglés, s'impose quelque pénitence chaque fois qu'il retombe dans les péchés auxquels il est enclin, en un mot, ne néglige rien pour rectifier ses inclinations, un tel pécheur prouve évidemment qu'il a le bon propos, et qu'il est fortement déterminé à rompre avec l'iniquité. Mais celui qui ne fait aucun effort pour se corriger, qui ne prend aucune mesure pour détruire ses mauvaises habitudes, pour n'y plus retomber, est-il autre chose qu'un imposteur devant Dieu, lorsqu'en récitant l'acte de contrition, il lui dit : "Je prends la ferme résolution de ne plus vous offenser" ? Si une telle résolution était dans son cœur, ne chercherait-il pas les moyens de l'exécuter ? ne s'efforcerait-il pas de mettre en pratique ce que le Seigneur ordonne à tous ceux qui se sont écartés des voies de la justice divine : « Cessez de faire le mal, commencez à faire le bien. Que l'impie abandonne son péché pour retourner à Dieu, et Dieu lui pardonnera » (Isaïe 55, 7).

D : Que faut-il faire pour se corriger de ses mauvaises habitudes ?
R : Prier beaucoup, veiller sur soi-même, et éviter les occasions.

Voilà trois moyens de vous corriger que vous propose votre Catéchisme ; parcourons ces trois points importants d'instruction :
1°) Prier beaucoup. Nous ne pouvons rien sans la grâce ; demandez donc continuellement au Seigneur la victoire sur vos mauvaises habitudes. Pliez à la vertu votre cœur ; priez sans cesse le Seigneur, Sa très sainte Mère, votre saint Ange Gardien.
2°) Veillez sur vous. Qu'est-ce que veiller sur soi-même ? C'est prendre garde à ce qu'on dit, à ce qu'on fait, à ce qu'on entend, à ce qu'on voit, à tout ce qui nous environne ; c'est observer tous les mouvements de son cœur et toutes les pensées de son esprit ; c'est s'étudier soi-même, examiner quelle est sa passion dominante, quelles sont les fautes que l'on commet le plus souvent, s'en demander compte tous les jours, former là-dessus des actes de contrition, de bon propos, en faire la matière de l'examen particulier, etc. Par exemple, si vous avez la mauvaise habitude de médire, d'avoir de l'orgueil, eh bien, dès le matin, au cours de vos prières, faites le bon propos de veiller sur tous vos actes de la journée ; prévoyez les occasions qui pourront se présenter de mal parler ; tenez-vous en garde ; priez le Seigneur de mettre un frein à votre langue. S'il vous échappe une médisance ou une mauvaise parole, demandez-en pardon au Seigneur sur le champ ; imposez-vous une pénitence. Faites de même pour tous vos autres défauts, vos mauvaises pensées, etc. Veillez sur tous vos sens, combattez, fuyez les occasions, et s'il vous arrive malheureusement de succomber, excitez en vous la contrition et le bon propos pour vous relever. Au début, vous aurez besoin de faire cet examen particulier plusieurs fois le jour, puis à mesure que vous prendrez de bonnes habitudes vous verrez bientôt de l'amélioration dans votre conduite. Après cela, entreprenez la pratique d'une vertu ; la douceur, la charité, la patience, etc.; examinez-en les actes et les progrès tous les jours, et vous formerez d'heureuses habitudes.
C'est par ces soins et cette vigilance que vous viendrez à bout d'épurer votre cœur et de le former à la vertu. Imitez un jardinier attentif et soigneux ; arrachez les mauvaises herbes à mesure qu'elles paraissent ; ne les laissez ni croître ni multiplier ; elles étoufferaient les bonnes plantes qui doivent embellir votre âme ; et pour cela encore, ne vous exposez pas aux influences funestes qui pourraient y porter la corruption !
3°) Evitez les occasions du péché. Sans cela votre vigilance et vos prières sont vaines. Si vous affrontez le danger, votre âme périra dans le danger ; c'est la Vérité même qui vous en avertit.

D : Quand on s'est excité à la contrition et au bon propos, que faut-il faire ensuite ?
R : Il faut se confesser. Ce sera le thème de notre prochaine leçon.

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MessageSujet: Re: Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ?   Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ? Icon_minitimeDim 19 Aoû - 22:26

TRAITS HISTORIQUES


Ce n'est plus moi — De deux compagnons de débauche, l'un se convertit, et rencontra l'autre quelques années après. Observant ses mauvaises fréquentations, le premier fit semblant de ne plus reconnaître son complice de naguère, mais celui-ci alla vers lui en disant : « Tu ne me reconnais donc plus ? Je suis un tel. » — « Ah ! mais moi, je suis devenu autre. Adieu, et fais comme moi. » — Si le converti avait renoué des relations amicales, il serait peut-être retombé dans ses défauts.

Les idoles détruites, sauf une. — Chromatius, préfet de Rome sous le règne de Dioclétien, était affecté d'une maladie incurable. Ayant entendu parler des miracles de saint Sébastien, il le fit venir et promit, en cas de guérison, de se faire chrétien. « Tu guériras, dit Sébastien, si tu détruis tes idoles. » Chromatius le promit, mais après quelques jours il fit revenir le saint. « J'ai fait ce que tu m'avais ordonné, dit-il, et pourtant mon état empire de jour en jour. » — « C'est que tu n'as pas détruit toutes les idoles. » — « C'est vrai ; j'ai réservé une idole en or à laquelle je tiens beaucoup. » — « Tant pis ; si tu veux guérir, il faut la détruire, et même si tu y tiens plus qu'au monde entier. » Chromatius obéit et fut guéri. — Ainsi en est-il de même du pécheur : il n'y a pas de conversion vraie tant que l'on conserve une affection coupable à un seul péché.

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MessageSujet: Re: Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ?   Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ? Icon_minitimeDim 19 Aoû - 22:26

PRIÈRES


« O mon Dieu, qui êtes tout amour ! je vous remercie de nous avoir envoyé un Sauveur, qui, pour affermir notre foi, a bien voulu rester quarante jours sur la terre avec ses Apôtres, après sa Résurrection ; faites que notre résurrection à la grâce soit véritable, publique, constante, afin que nous méritions de monter au Ciel avec Lui.
Je prends la résolution d'aimer Dieu par-dessus toutes choses et mon prochain comme moi-même pour l'amour de Dieu ; et, en témoignage de cet amour, je promets de me défaire de mes mauvais penchants (faire ici un bref examen de conscience afin de s'en corriger par la suite). Aidez-moi Seigneur à me maintenir ferme dans le bon propos que je viens de formuler dans mon cœur, en attendant de me confesser au plus vite. Ainsi soit-il.

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MessageSujet: Re: Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ?   Enseignement spirituel : Qu'est-ce que le bon propos ? Icon_minitimeDim 19 Aoû - 22:26

Contrat d'alliance avec Dieu — Vœux ou promesses du saint baptême de Saint Louis-Marie Grignon de Montfort :
« 1. Je crois fermement toutes les vérités du Saint Evangile de Jesus-Christ.
2. Je renonce pour jamais au démon, au monde, au péché et à moi-même.
3. Je promets, moyennant la grâce de Dieu qui ne me manquera point, de garder fidèlement tous les Commandements de Dieu et de l'Eglise, évitant le peché mortel et ses occasions, entr'autres les mauvaises compagnies.
4. Je me donne tout entier à JESUS-CHRIST par les mains de MARIE, pour porter ma Croix à sa suite tous les jours de ma vie.
5. Je crois que si je garde fidèlement ces promesses jusqu'à la mort, je serai éternellement sauvé, mais que si je ne les garde pas, je serai éternellement damné.
En foi de quoi j'ai soussigné.
Fait en face d'Eglise dans la Paroisse de Pontchateau ce 4ème mai, l'an 1709.
Louis-Marie de Monfort. »

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