| | | Retraite de Père Manjackal à Capelou, sept. 2011 |  |
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Céline.
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| Sujet: Retraite de Père Manjackal à Capelou, sept. 2011  Jeu Aoû 16 2012, 20:51 | |
| 716/10/Oct/201123:01 Belves – France : Retraite de Père Manjackal à Capelou. 15-18 Septembre 2011 Ainsi que nous vous l’avons dit précédemment, une retraite de renouvellement suivie par plus de 500 personnes a été prêchée par le Fr. James au Sanctuaire de la Mère de Douleurs (Sanctuaire Notre Dame de Capelou, 24170 Belves) à La Faval, France du 15 au 18 septembre.Cette retraite étant sa seule prêchée en France cette année, des gens venus aussi de loin l’ont suivi avec beaucoup d'enthousiasme et d’intérêt. La manifestation organisée par Maryvonne et Patricia de l'association appelée « Fontaine d'Eau Vive », eu lieu dans une salle très proche du Sanctuaire. L’animation chorale a été le fait d’un groupe de prière dynamique et priant, « Arbre de Jessé » qui a contribué par des chants accompagnés de leur musique à faciliter l’entrée dans la louange des différents participants.Fr. James y a parlé du besoin de répondre à l'action de l'Esprit Saint dans la vie du Catholique Chrétien, et de celui de renoncer à Satan et à toutes ses œuvres.Fr. James était très heureux d'avoir la retraite dans les parages de ce Sanctuaire puisque la Mère de Douleurs est la Patronne de sa congrégation, Missionnaires de st. François De Sales. Aussi estimons nous nécessaire de vous en dire plus sur :La Chapelle Notre-Dame de Capelou La chapelle Notre-Dame de Capelou de Belvès, dans le département de la Dordogne, est le lieu d'un très ancien pèlerinage basé en partie sur sa légende et les miracles qui y ont lieu. Elle fait partie de la paroisse Notre-Dame de Capelou.Légende et MiraclesLégendeLa légende raconte qu'il y a très longtemps un berger gardait ici un troupeau. Il vit qu'une de ses vaches, au lieu de paître avec les autres, se tenait à proximité d'un épais buisson près duquel jaillissait une source et, malgré le fait que la vache ne mangeait pas, elle était en excellente santé.Il chercha à comprendre pourquoi cette attitude étrange d’obstination de sa vache. Il fouilla dans les broussailles et y découvrit une statue en pierre de la Vierge.Prévenu, le clergé de Belvès ramena cette statue en procession jusqu'à l'église Notre-Dame du Prieuré.Le lendemain, la statue avait disparu de l'autel. On la retrouva dans le buisson près de la source. On en déduisit que la Vierge voulait qu'on l'honore près de la source.On y construisit une chapelle, qui a donné le nom de Capelou au lieu, et depuis un pèlerinage annuel y a été organisé. On donna alors à la statue le nom de Notre-Dame-de-la-Pitié.MiraclesCapelou, lieu de grâce..Ce qui importe surtout c’est la prière quotidienne des humbles pèlerins qui, toute l’année, viennent ici confier à la Vierge de la Pitié leurs intentions personnelles en faisant brûler quelques cierges.Ils déposent leurs intentions, dans la boîte au pied de la statue.Les plaques qui ont été conservées sur les murs témoignent des nombreuses grâces insignes reçues par des pèlerins. Il faudrait les compléter par le courrier et les confidences reçus encore récemment par le curé de Belvès et les nombreux confesseurs des fêtes de clôture.Au presbytère de Belvès, un registre contient le témoignage de ces grâces reçues.Notons simplement par exemple :
- 1838, Jeanne Aubard, du canton de Villamblard, paralysé du côté droit depuis deux ans, est subitement guérie.
- 1848, Jean Borie de Cassagne (Lot) qui marche avec deux béquilles, subitement guéri à la fin de la messe.
- 1850, M. Boyer de Belvès, aveugle, subitement guéri à la fin de la messe.
- 1890, Marie Labrunie (de Castels) subitement guérie de sa paralysie en trempant ses mains dans la fontaine.
Les grâces se poursuivent jusqu’à ce jour ; nombreux sont ceux qui, tout au long de l’année, viennent ici se ressourcer ou remercier pour tant de grâces reçues.La fontaine miraculeuse est au bord de la route, sous la statue du XVII°. Située à l’origine derrière l’église, elle a été déplacée par le curé Cogniel en 1825, pour permettre l’agrandissement du chœur.C’est l’un des plus anciens lieu de pèlerinage du Périgord.Historique du pèlerinage On ne sait pas à quelle date a débuté le pèlerinage.
C'est un lieu de pèlerinage ancien.Il remonte au moins à 1153, date à laquelle le pape Eugène III mentionne la chapelle « Santa Maria de Capella » parmi les dépendances de l’abbaye de Sarlat.Il est probable que la chapelle connut les mêmes vicissitudes que l’église de Belvès (guerres médiévales, guerres de religion).En 1793 la chapelle fut à nouveau profanée, et l’antique statue fut brisée à coups de marteau.L’auteur de la profanation se convertit peu après et lui-même reconstruisit une nouvelle chapelle.On remplaça la statue par une Piéta de l’abbaye bénédictine de Fongauffier (en bas de Belvès).En 1839, le pape Grégoire XVI accorde une indulgence plénière aux pèlerins des octaves du 15 août et du 8 septembre. En 1859, le concile d’Agen proclame Notre-Dame de Capelou « pèlerinage privilégié de la région apostolique ».En 1860 on décida de reconstruire la chapelle. Mgr Georges posa la première pierre. Par manque d'argent la construction n'a pu être terminée.Une guérison miraculeuse a entraîné une donation qui a permis de reprendre la construction en 1872. La chapelle est consacrée le 16 septembre 1873 par Ferdinand-François-Auguste Donnet, cardinal archevêque de Bordeaux, en présence de 5 évêques, de 300 prêtres et d'une foule estimée à 10 000 fidèles.Le 8 septembre 1892, la statue de la Vierge est couronnée.Chaque année depuis 1873 une neuvaine (ou une semaine depuis 1997) est organisée qui s'achève le dimanche compris entre le 8 septembre (Nativité de la Vierge) et le 15 septembre (Notre-Dame des Sept Douleurs). Elle est présidée par l'évêque de Périgueux qui invite un évêque ou un cardinal. On compte entre 2 et 3 000 pèlerins de Belvès et des environs.Notre-Dame des Sept Douleurs.A Capelou, la Vierge est invoquée sous le nom de « Notre-Dame de Pitié ».La grande semaine de pèlerinage est située entre deux fêtes mariales :le 8 septembre, jour de la nativité de la Vierge,et le 15 septembre, fête de Notre-Dame des Douleurs.Lors de la Présentation de Jésus au Temple, le vieillard Siméon annonça à Marie qu’en même temps que son fils serait un signe en butte à la contradiction, elle-même aurait l’âme transpercée d’un glaive. (cf Lc 2, 22-35)La dévotion à cette « compassion » de la Vierge, (au sens étymologique : « souffrance avec »), s’est développée en Flandres au XVe siècle.Elle propose une réflexion spirituelle nourrie de la contemplation des grandes douleurs qui ont jalonné la vie de Marie.1- la prophétie de Siméon,2- la fuite en Égypte,3- la perte de Jésus au Temple4- la montée au calvaire,5- le crucifiement6- la descente de Croix,7- la mise au tombeau.Au XVIIIe siècle, a fête liturgique de N-D des Sept Douleurs fut instituée par le pape Benoît XIII, qui la fixa au vendredi de la semaine de la Passion (qui précédait alors la Semaine Sainte).Depuis 1913 elle est célébrée le 15 septembre, et depuis la Réforme de Paul VI, elle a rang de mémoire, sous le nom de Notre-Dame des Douleurs.Elle rappelle aux chrétiens que Marie après avoir mis au monde le Christ, a communié à sa Passion, engendrant dans cette souffrance les élus sauvés par lui.C’est à ce titre que Marie est considérée comme la figure de l’Église.Et en tant que telle, Elle a veillé particulièrement sur Ses enfants durant cette retraite afin de ramener le plus de récalcitrants à s’ouvrir à l’enseignement prodigué par Son « fils de prédilection » : Père James Manjackal, lequel n’assoit tout ce qu’il dit et professe que sur le message Évangélique tel que révélé par Notre Seigneur Jésus le Christ.Alors en ceux qui permettent à la Parole de les rejoindre, s’opèrent alors libérations et guérisons de toutes sortes, ainsi que cela a été dit :« De nombreux miracles et prodiges étaient accomplis par les apôtres parmi le peuple. » Actes 5; 12
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| | Sujet: Re: Retraite de Père Manjackal à Capelou, sept. 2011 Ven Aoû 17 2012, 17:32 | |
| Retraite Père James Manjackal à Notre Dame de Capelou - Belves-France - 15 au 18 septembre2011
Le Père James Manjackal a prêché une retraite de renouveau au Sanctuaire de Notre Dame de Capelou à Belvès en Dordogne.Cette retraite était organisée par l'Association Catholique « Fontaine d'Eau Vive », avec la participation du groupe de prières « Arbre de Jessé ».
Notre Dame de Capelou, à Belvès en Dordogne est un sanctuaire marial où se déroule chaque année un pèlerinage pendant la première semaine de septembre autour de la fête de la nativité de la Vierge, le 8 septembre. Une chapelle a été érigée au XIXe siècle à l'emplacement de la découverte miraculeuse d'une statue de Notre Dame par un berger à l'endroit où paissait son troupeau il y a fort longtemps. Compte rendu de Véronique sur la Retraite qui s’est tenue en France avec le Père Manjackal. Introduction faite à partir de l’en tête du mail qui m’a été adressé par l’intéressée.Je vous adresse mon compte rendu et une photo du Sacré Coeur qui se trouvait sur l’estrade.
Pour le compte rendu vous le publiez si vous pensez que cela vaut le coup ou vous coupez certains passages s’ils ne sont pas à votre goût ou n'ont pas d'intérêt.
 Retraite Belvès France du 15 au 18 septembre2011Le père Manjackal est arrivé le 15 vers 9h30. Il a emprunté l’allée centrale, suivi de Gaby. En fait, je ne l’ai pas entendu puisque placée dans les 1er rangs et de plus, à ce moment là, nous adressions des chants de louanges à Notre Seigneur. Aussi je l’ai vu brusquement surgir à mes yeux et ai ressenti une grande émotion, car il a beaucoup de prestance et son long habit blanc rehaussé par une veste rouge m’ont fait penser que le Christ arrivait parmi nous ! Concernant son passage à Paray le Monial, il s’est vraiment senti appeler car depuis tant de temps il souhaitait s’y arrêter. Mais les événements faisaient que jamais jusqu’à ce jour, il n’avait pu accéder à ce désir (nous a-t-il dit). Il a dit : « le Cœur du Christ est blessé et le Fr James a pleuré là-bas »Lors d’un enseignement sans que je m’y attende, il s’est agenouillé face à l’assemblée et a demandé « Pardon » pour l’Eglise et pour les prêtres qui ont commis des actes de pédophilie ou qui ont pu nous blesser.Il lui est aussi arrivé plusieurs fois que des sanglots viennent dans sa voix à divers propos,on peut dire qu’il ressent la tristesse du Christ et porte en son âme avec Jésus la souffrance de voir les hommes courir à leur perte.Lui aussi peut affirmer « ce n’est plus moi qui vit mais, c’est le Christ qui vit en moi ». Son grand souci pour nous tous c’est que nous aimions l’Eglise et soyons réconciliés avec elle. Autant il peut porter cette tristesse, autant il a de la joie en lui. Il est très chaleureux et aimant (derrière son pupitre mais il se protège énormément car il a subi une agression en Autriche et a été blessé (en conséquence l’approcher relève d’une tentative plutôt audacieuse !!). Il nous a dit « je vous aime » et la sincérité de ces paroles étaient réelles, palpables.Il a beaucoup insisté sur notre renonciation au péché. Ne pas hésiter et dire je veux la sainteté car c’est notre but et doit être notre quête.Six prêtres assistaient à la retraite par conséquent les confessions étaient aisées et conseillées par le Fr James en attendant l’effusion de l’Esprit Saint le samedi. Le père James a célébré les Messes en faisant l’effort de parler en français. Lors de la consécration toute l’assemblée se mettait à genoux ; des coussins nous étaient fournis car sinon nous étions sur des gravillons.L’Elévation de la Grande hostie était fervente, les yeux tournés vers le Ciel. Cette Elévation durait tellement longtemps que nous pouvions apprécier la Présence de Notre Seigneur qui nous regardait chacun avec son immense Amour et avec délicatesse il présentait cette grande Hostie en se tournant vers la droite puis la gauche puis au centre pour que personne ne fut oubliéalors toujours avec cette grande Hostie élevée nous chantions « merci Jésus » l’émotion était à son comble car vraiment toute l’assemblée était priante, en tout cas si certains ont pu arriver tièdes ils en seront repartis différents. Alléluia ! Lors de l’Elévation du Calice c’était tout aussi beau, très respectueux, et glorifiant le Dieu Trine.Ainsi était-il possible d’adresser et de présenter à Jésus nos prières nos supplications, nos joies nos peines : demandez et vous recevrez… (Ainsi que vous pouvez le constater, volontairement je n’ai pas modifié cette partie où Véronique introduit une confusion, voulue ou à son insu, qui s’instaure entre le célébrant et le Christ-Hostie. Je trouve cela très beau et bien explicatif de ce qu’est, et comment nous devrions vivre, le Saint moment de la Consécration Eucharistique.)Très important pour la Communion qui fut une Communion au Corps et au Sang du Christ, le père James qui est radical et ne mâche pas ses mots a dit : « ce n’est pas la peine d’arriver avec la main tendue »Ouf ! Enfin nous étions tous sur le même pied d’égalité pour recevoir Notre adorable Jésus.Beaucoup faisaient leur génuflexion et d’autres communiaient à genoux.Nous avions un groupe de prière qui a animé toute la retraite par des chants accompagnés de leur musique et je tiens à le faire remarquer car ils ont aussi contribué à l’ambiance priante et sincère. Après la Messe vint l’adoration avec les prières de guérison. Les prénoms des personnes sortaient de la bouche du père James avec facilité.Il nous a expliqué que c’est lors de l’Elévation que le Seigneur lui donnait le nom des personnes et que donc après il devait faire un énorme travail de mémoire et de plus les prénoms, il lui faut les traduire et parfois il ne sait si par exemple Martin ne peut pas être Martine en fonction de la prononciation.Il y eut beaucoup de guérisons dont : 3 scléroses en plaques, des grâces de prières, des infections urinaires, des cancers…Mais je sais que chacun de nous a été guéri à son niveau de quelque chose. Le lendemain toujours lors de l’adoration et prières de guérisons le Seigneur a renommé 2 mêmes personnes car elles ne croyaient pas à ce qui leur arrivait, et d’autres guérisons ont eu lieu.Le troisième jour ce fut les prières fort puissantes de libération de malédiction où la voix du père se faisait plus forte et très radicale si bien que les mauvais esprits ne pouvaient que fuir. Le père James a beaucoup insisté sur la guérison de l’arbre généalogique et il faut l’admettre et l’intégrer dans nos convictions. Lors de l’effusion de l’Esprit juste avant père James a prié l’Esprit Saint de descendre sur l’assemblée et a parlé avec autorité. L’Esprit Saint est descendu si fort qu’une personne s’est retrouvée par terre. Le Fr James a imposé les mains sur chaque retraitant et le repos dans l’esprit était le lot des ¾, mais j’en n’ai pas fait partie !!Tous les objets ont été bénis avec une bénédiction spéciale pour les croix de St Benoît et le père James a tenu aussi à signaler qu’en tant que Chrétiens Catholiques, il nous est conseillé de nous protéger, en plus des Sacrements et recours à la prière faite avec le cœur, en portant sur nous des sacramentaux bénis. Mais comme il le déplore et tient à le signaler après l’avoir constaté lors des séances d’impositions des mains : beaucoup parmi nous avaient autour du cou une chaîne, mais seule une infime partie arborait un crucifix ou une médaille (P. James conseille surtout de porter la croix de St Benoît), le plus grand nombre de personnes avaient un peu de tout autour du cou. Nous les dames avons surtout des cailloux au bout d’une chaîne ce qui ne veut rien dire !!! D’autres affichent même des objets idolâtres de divinités étrangères (ne pas porter d’objets dont on ignore la destination première et la signification de ce qui y est inscrit, même si c’est très joli !!!).Il est aussi conseillé de porter sur soi la carte d’identité catholique afin de bénéficier du dernier sacrement au cas où …Voilà un bref résumé car ma mémoire est sélective mais je sais qu’au fond de moi demeure d’autres choses que l’on ne peut traduire puisqu‘elles se vivent.Je recevrai bientôt les DVD de cette retraite.Pour vous tous dans la simplicité et l’honnêteté de ce que j’ai entendu et retransmis.
 VéroniqueRéponse donnée de sitôt le 02 Octobre à Véronique : Très bon compte rendu, on s'y croirait grâce à vos détails. J'ai pu voir la photo sans pb. Très belle prise !Il n'y a rien à retirer, je ferai quelques corrections et la mise en page plus tard car là je m'en vais prier... (Suite perso)Comme vous le constatez depuis l’eau a coulé sous les ponts et ce n’est pas parce que je sois resté en prière depuis lors, susse été très pieux de ma part et bon pour ma sanctification, mais il y a le quotidien et en l’espèce mes Pb de PC.Pour l’autre compte rendu reçu, ce sera pour bien plus tard car au fait ce sont des notes manuscrites qui m’ont été envoyées. Il va me falloir les faire entrer en PC, or en ce moment j’ai un peu accumulé du retard. Mais promis cela viendra d’autant que le Père James est un de ces serviteurs fidèles qui retiennent toute mon attention …Nos remerciements donc à Véronique....Nous prions le Seigneur de bien vouloir la gratifier de toutes les grâces qui lui sont destinées et nécessaires pour son voyage terrestre et qui jusqu'alors ne Lui ont pas encore été sollicitées.
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| | Sujet: Re: Retraite de Père Manjackal à Capelou, sept. 2011 Ven Aoû 17 2012, 17:34 | |
| Père Manjackal en France : Visites à Paray Monial et Ars Sanctuaire de Notre Dame de Capelou du 15 au 18 septembre.Visites à Paray Le Monial et ArsFr. James, avec Gaby et Johannes Hubner ont fait une visite de prière à Paray Le Monial et Ars en route vers La Faval pour la retraite du 14 septembre. C'est à Paray Le Monial que Jésus a apparu à Saint Marguerite Marie et a donné les promesses pour ceux qui gardent la Dévotion au Sacré-Cœur surtout à la Consécration.Ils ont visité l'Église d'Apparition et ont prié devant le Bl. Sacrement et les reliques de la Sainte Religieuse de la Visitation.C'était le désir de Fr. James de visiter Ars, de visiter la relique de St Jean Marie Vianney, connu comme le Curé d'Ars. L'équipe a prié longtemps devant le corps non corrompu du saint et visité les pièces où il a vécu. Ce n'était pas un pèlerinage planifié, ils ont visité ces endroits alors qu’ils se trouvaient en route vers le lieu de la retraite.Belves - France. Septembre 15-18. 2011Retraite Une retraite de renouvellement suivie par plus de 500 personnes a été prêchée par le Fr. James au Sanctuaire de la Mère de Douleurs (Sanctuaire Notre Dame de Capelou, 24170 Belves) à La Faval, France du 15 au 18 septembre. Puisqu’il faut environ 15 heures de voyage en voiture depuis Munich, Gaby et le Fr. James ont commencé à rouler dès même le 13 et ainsi ils ont eu l'occasion de visiter deux Lieus saints : Ars et Paray Le Monial.Fr. James était très heureux d'avoir la retraite dans les parages de ce Sanctuaire puisque la Mère de Douleurs est la Patronne de sa congrégation, Missionnaires de st. François De Sales. Comme c'est sa seule retraite en France cette année, des gens venus de loin ont aussi suivi cette retraite avec beaucoup d'enthousiasme et d’intérêt. Cela avait lieu dans une salle très proche du Sanctuaire. Cela a été organisé par Maryvonne et Patricia de l'association appelée « Fontaine d'Eau Vive ».Fr. James y a parlé du besoin de répondre à l'action de l'Esprit Saint dans la vie du Catholique Chrétien : et le besoin de renoncer à Satan et à toutes ses œuvres. Plusieurs n'étaient pas heureux quand il a parlé énergiquement de la nécessité de renoncer à toutes les formes de pratiques occultes incluant les médicaments alternatifs qui viennent de l'ésotérisme et du nouvel âge.Gaby a donné un témoignage passionnant le deuxième jour. En raison de son témoignage plusieurs en Europe sont guéris de la Sclérose en plaques (MSP). Vincent était le traducteur. Sur le dernier jour beaucoup de personnes se sont présentées pour donner des témoignages de conversion, renonciation aux surnaturels, guérison et vie nouvelle.Pour ceux qui étonnamment ne connaîtraient pas le Père James Manjackal voici un très court descriptif : Né au Kerala dans le Sud de l’Inde le 18 avril 1946, le Père James Manjackal a été ordonné prêtre de la Congrégation des Missionnaires de St François de Sales le 23 avril 1973. Il évangélise à travers plus de 96 pays dans le monde, prêche des retraites, anime des congrès et des sessions de guérison et met en place des écoles d’évangélisation.
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