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 la jeune génération favorable à la liturgie en forme extraordinaire......

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2 participants
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violaine

violaine


Date d'inscription : 06/09/2010
Localisation : FRANCE

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MessageSujet: la jeune génération favorable à la liturgie en forme extraordinaire......   la jeune génération favorable à la liturgie en forme extraordinaire...... Icon_minitimeLun Nov 28 2011, 16:49

Pour Mgr Bux, la jeune génération est favorable à la liturgie en forme extraordinaire

26 novembre 2011 | Enregistrer sous: Revue de presse,Rome | Publié par: Christophe Saint-Placide

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la jeune génération favorable à la liturgie en forme extraordinaire...... Image-111
Face au Saint-Père (à droite), Mgr Nicolas Bux


Mgr Lagrange racontait naguère que les jeunes qui découvraient la messe traditionnelle lui en parlaient comme d’une nouvelle messe, au sens où ce rite était nouveau pour eux. C’est un peu ce type de réflexion que Mgr Bux, consulteur de plusieurs congrégations romaines et professeur de liturgie, redit aujourd’hui, à l’heure du motu proprio. Ces propos sont rapportés par la dernière lettre de Paix liturgique qui met en évidence que pendant que certains clercs (évêques compris) constituent une arrière-garde freinant autant que possible l’application du motu proprio, la jeune génération, clercs et laïcs confondus, s’y montre plus favorable.

Selon Paix liturgique, Mgr Bux intervenait dans le cadre de la présentation d’un livre faisant étant des oppositions à l’application du motu proprio : L’opposizione al Motu Proprio Summorum Pontificum (Fede e Cultura) d’Alberto Carosa. Le contexte était donc clairement posé et Mgr Bux n’ignore pas l’existence de cette opposition. Mais il a voulu pour sa part souligner un autre aspect, l’autre face de la médaille. Ces propos sont rapportés et présentés par Paix liturgique en ces termes :


« Ce qui me frappe, a déclaré Monseigneur Bux au début de son intervention, c’est combien les laïcs et les jeunes sont en première ligne pour défendre la douce œuvre de Benoît XVI. » Il a notamment illustré cette importance de la mobilisation des jeunes et des laïcs en évoquant la messe qu’il a célébrée à Port-Marly (diocèse de Versailles – ICRSP) le 21 novembre 2010 et les contacts qu’il a eus à cette occasion avec les fidèles.



« Les cérémonies actuelles manquent de dévotion, non pas de celle de chaque fidèle pris séparément mais de celle de la communauté tout entière. » Don Nicola Bux a cité à ce propos le cardinal Antonelli, l’un des experts appelés à participer la réforme liturgique – mais qui a laissé des souvenirs très critiques – qui jugeait que « plus la réforme liturgique avançait, plus la dévotion reculait ».



Insistant sur le fait que, depuis la parution de l’instruction Universæ Ecclesiæ, les oppositions épiscopales au Motu Proprio s’estompaient doucement, Monseigneur Bux a néanmoins clairement indiqué que ceux « qui prétendent, contre le pape, que le rite romain traditionnel divise l’Église ont une attitude néogallicane ». Le Motu Proprio diviseur… voilà pourtant un « argument » que l’autorité n’hésite pas à servir aux demandeurs encore aujourd’hui pour refuser d’appliquer le Motu Proprio, à Saint Germain en Laye ou Mantes (diocèse de Versailles) comme à Saint-Malo dans l’archidiocèse de Rennes (Mgr d’Ornellas, voir lettre 289) pour ne citer que quelques exemples. Les sondages commandités par Paix Liturgique révèlent d’ailleurs, de façon concordante, que seule une minorité des catholiques pratiquants est opposée à la coexistence pacifique des deux formes du rite romain dans une même paroisse.



Enfin, après avoir rappelé que, selon la constitution Sacrosanctum Concilium sur la liturgie, la liturgie appartient à Dieu et non aux hommes, don Bux a conclu sa conférence comme il l’avait commencée, en saluant l’action « des laïcs, particulièrement des nombreux jeunes, qui contribuent à maintenir le sensus fidei » et que « nous autres, les clercs, devons respecter et soutenir ».


Il est intéressant de noter que lors de la discussion qui a suivi cette intervention deux cardinaux sont intervenus pour souligner, eux aussi, les difficultés à recevoir Summorum Pontificum :




Le cardinal Castrillón tout d’abord, ancien Préfet de la Congrégation pour le Clergé et ancien Président de la Commission Ecclesia Dei, qui a témoigné de la difficulté à élaborer le Motu Proprio Summorum Pontificum. Reconnaissant à quel point « mettre en œuvre le Motu Proprio a été une tragédie », il a néanmoins lui aussi mis en exergue l’intérêt des laïcs et des jeunes pour le texte pontifical. Selon lui, l’intérêt des jeunes pour la liturgie traditionnelle est « l’œuvre de l’Esprit Saint ». Plus encore, c’est toute l’herméneutique de la continuité de Benoît XVI qui est éclairée par l’action du Saint Esprit tandis que ceux qui veulent revenir sur le Motu Proprio sont, d’après le cardinal, victimes de leur ignorance. Ils oublient, ou feignent d’oublier, que « chaque geste, chaque parole, de la liturgie tridentine a été pensé théologiquement. »



Au cardinal Castrillón a succédé une originale intervention du cardinal Farina, successeur du cardinal Tauran aux Archives du Vatican. Celui-ci a expliqué qu’une partie des difficultés de réception du Motu Proprio pouvaient s’expliquer par la mauvaise diffusion de l’information pontificale au sein de l’Église – rappelons, par exemple, que le sondage de Paix Liturgique réalisé dans le diocèse de Rennes en mai 2011 indique que 44,5 % des catholiques n’ont jamais entendu parler du Motu Proprio de Benoît XVI… Combien de paroisses ou de maisons religieuses suivent-elles en effet au jour le jour les publications officielles du Saint-Siège et, plus encore, combien les mettent à la disposition des prêtres, des fidèles ou des religieux ? Une réflexion d’autant plus stimulante que venant d’un prélat confronté chaque jour à la question de la gestion et de l’accès à l’information.
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Lily-Anne
membre
Lily-Anne


Date d'inscription : 01/09/2010
Localisation : France - Provence

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MessageSujet: Re: la jeune génération favorable à la liturgie en forme extraordinaire......   la jeune génération favorable à la liturgie en forme extraordinaire...... Icon_minitimeLun Nov 28 2011, 17:44

Traduction française du « Motu proprio » de Benoît XVI (publié le 7 juillet)


ROME, Lundi 23 juillet 2007 (ZENIT.org) – Nous reprenons ci-dessous la traduction française de la Lettre apostolique en forme de « Motu proprio » sur l’usage de la liturgie romaine antérieure à la réforme de 1970 de Benoît XVI, publiée par le site du diocèse de Bordeaux (cf. http://catholique-bordeaux.cef.fr)
* * *


LETTRE APOSTOLIQUE EN FORME DE MOTU PROPRIO DU SOUVERAIN PONTIFE
sur l’usage de la Liturgie romaine antérieure à la réforme de 1970


LES SOUVERAINS PONTIFES ont toujours veillé jusqu’à nos jours à ce que l’Église du Christ offre à la divine Majesté un culte digne, « à la louange et à la gloire de son nom » et « pour le bien de toute sa sainte Église ».

Depuis des temps immémoriaux et aussi à l’avenir, le principe à observer est que « chaque Église particulière doit être en accord avec l’Église universelle, non seulement quant à la doctrine de la foi et aux signes sacramentels, mais aussi quant aux usages reçus universellement de la tradition apostolique ininterrompue, qui sont à observer non seulement pour éviter des erreurs, mais pour transmettre l’intégrité de la foi, parce que la lex orandi de l’Église correspond à sa lex credendi ».

Parmi les Pontifes qui ont eu ce soin se distingue le nom de saint Grégoire le Grand qui fut attentif à transmettre aux nouveaux peuples de l’Europe tant la foi catholique que les trésors du culte et de la culture accumulés par les Romains au cours des siècles précédents. Il ordonna de déterminer et de conserver la forme de la liturgie sacrée, aussi bien du Sacrifice de la Messe que de l’Office divin, telle qu’elle était célébrée à Rome. Il encouragea vivement les moines et les moniales qui, vivant sous la Règle de saint Benoît, firent partout resplendir par leur vie, en même temps que l’annonce de l’Évangile, cette très salutaire manière de vivre de la Règle, « à ne rien mettre au-dessus de l’oeuvre de Dieu » (chap. 43). Ainsi, la liturgie selon les coutumes de Rome féconda non seulement la foi et la piété mais aussi la culture de nombreux peuples. C’est un fait en tout cas que la liturgie latine de l’Église sous ses diverses formes, au cours des siècles de l’ère chrétienne, a été un stimulant pour la vie spirituelle d’innombrables saints et qu’elle a affermi beaucoup de peuples par la religion et fécondé leur piété.

Au cours des siècles, beaucoup d’autres Pontifes romains se sont particulièrement employés à ce que la liturgie accomplisse plus efficacement cette tâche ; parmi eux se distingue saint Pie V, qui, avec un grand zèle pastoral, suivant l’exhortation du Concile de Trente, renouvela tout le culte de l’Église, fit éditer des livres liturgiques corrigés et « réformés selon la volonté des Pères », et les donna à l’Église latine pour son usage.

Parmi les livres liturgiques du Rite romain, la première place revient évidemment au Missel romain, qui se répandit dans la ville de Rome puis, les siècles suivants, prit peu à peu des formes qui ont des similitudes avec la forme en vigueur dans les générations récentes.

C’est le même objectif qu’ont poursuivi les Pontifes romains au cours des siècles suivants en assurant la mise à jour des rites et des livres liturgiques ou en les précisant, et ensuite, depuis le début de ce siècle, en entreprenant une réforme plus générale ». Ainsi firent mes prédécesseurs Clément VIII, Urbain VIII, saint Pie X, Benoît XV et le bienheureux Jean XXIII.

Plus récemment, le Concile Vatican II exprima le désir que l’observance et le respect dus au culte divin soient de nouveau réformés et adaptés aux nécessités de notre temps. Poussé par ce désir, mon prédécesseur le Souverain Pontife Paul VI approuva en 1970 des livres liturgiques restaurés et partiellement rénovés de l’Église latine ; ceux-ci, traduits partout dans le monde en de nombreuses langues modernes, ont été accueillis avec plaisir par les Évêques comme par les prêtres et les fidèles. Jean-Paul II reconnut la troisième édition type du Missel romain. Ainsi, les Pontifes romains se sont employés à ce que « cet édifice liturgique, pour ainsi dire, […] apparaisse de nouveau dans la splendeur de sa dignité et de son harmonie ».

Dans certaines régions, toutefois, de nombreux fidèles se sont attachés et continuent à être attachés avec un tel amour et une telle passion aux formes liturgiques précédentes, qui avaient profondément imprégné leur culture et leur esprit, que le Souverain Pontife Jean-Paul II, poussé par la sollicitude pastorale pour ces fidèles, accorda en 1984, par un indult spécial Quattuor abhinc annos de la Congrégation pour le Culte divin, la faculté d’utiliser le Missel romain publié en 1962 par Jean XXIII ; puis de nouveau en 1988, par la lettre apostolique Ecclesia Dei en forme de motu proprio, Jean-Paul II exhorta les Évêques à utiliser largement et généreusement cette faculté en faveur de tous les fidèles qui en feraient la demande.

Les prières instantes de ces fidèles ayant déjà été longuement pesées par mon prédécesseur Jean-Paul II, ayant moi-même entendu les Pères Cardinaux au consistoire qui s’est tenu le 23 mars 2006, tout bien considéré, après avoir invoqué l’Esprit Saint et l’aide de Dieu, par la présente Lettre apostolique je DECIDE ce qui suit :

Art. 1. Le Missel romain promulgué par Paul VI est l’expression ordinaire de la « lex orandi » de l’Église catholique de rite latin. Le Missel romain promulgué par S. Pie V et réédité par le B. Jean XXIII doit être considéré comme l’expression extraordinaire de la même « lex orandi » de l’Église et être honoré en raison de son usage vénérable et antique. Ces deux expressions de la « lex orandi » de l’Église n’induisent aucune division de la « lex credendi » de l’Église ; ce sont en effet deux mises en oeuvre de l’unique rite romain.

Il est donc permis de célébrer le Sacrifice de la Messe suivant l’édition type du Missel romain promulgué par le B. Jean XXIII en 1962 et jamais abrogé, en tant que forme extraordinaire de la Liturgie de l’Église. Mais les conditions établies par les documents précédents Quattuor abhinc annos et Ecclesia Dei pour l’usage de ce Missel sont remplacées par ce qui suit :

Art. 2. Aux Messes célébrées sans peuple, tout prêtre catholique de rite latin, qu’il soit séculier ou religieux, peut utiliser le Missel romain publié en 1962 par le bienheureux Pape Jean XXIII ou le Missel romain promulgué en 1970 par le Souverain Pontife Paul VI, et cela quel que soit le jour, sauf le Triduum sacré. Pour célébrer ainsi selon l’un ou l’autre Missel, le prêtre n’a besoin d’aucune autorisation, ni du Siège apostolique ni de son Ordinaire.

Art. 3. Si des communautés d’Instituts de vie consacrée et de Sociétés de vie apostolique de droit pontifical ou de droit diocésain désirent, pour la célébration conventuelle ou « communautaire », célébrer dans leurs oratoires propres la Messe selon l’édition du Missel romain promulgué en 1962, cela leur est permis. Si une communauté particulière ou tout l’Institut ou Société veut avoir de telles célébrations souvent ou habituellement ou de façon permanente, cette façon de faire doit être déterminée par les Supérieurs majeurs selon les règles du droit et les lois et statuts particuliers.

Art. 4. Aux célébrations de la Messe dont il est question ci-dessus à l’art. 2 peuvent être admis, en observant les règles du droit, des fidèles qui le demandent spontanément.

Art. 5, § 1. Dans les paroisses où il existe un groupe stable de fidèles attachés à la tradition liturgique antérieure, le curé accueillera volontiers leur demande de célébrer la Messe selon le rite du Missel romain édité en 1962. Il appréciera lui-même ce qui convient pour le bien de ces fidèles en harmonie avec la sollicitude pastorale de la paroisse, sous le gouvernement de l’Évêque selon les normes du canon 392, en évitant la discorde et en favorisant l’unité de toute l’Église.

§ 2. La célébration selon le Missel du bienheureux Jean XXIII peut avoir lieu les jours ordinaires ; mais les dimanches et les jours de fêtes, une Messe sous cette forme peut aussi être célébrée.

§ 3. Le curé peut aussi autoriser aux fidèles ou au prêtre qui le demandent, la célébration sous cette forme extraordinaire dans des cas particuliers comme des mariages, des obsèques ou des célébrations occasionnelles, par exemple des pèlerinages.

§ 4. Les prêtres utilisant le Missel du bienheureux Jean XXIII doivent être idoines et non empêchés par le droit.

§ 5. Dans les églises qui ne sont ni paroissiales ni conventuelles, il appartient au Recteur de l’église d’autoriser ce qui est indiqué ci-dessus.

Art. 6. Dans les Messes selon le Missel du B. Jean XXIII célébrées avec le peuple, les lectures peuvent aussi être proclamées en langue vernaculaire, utilisant des éditions reconnues par le Siège apostolique.

Art. 7. Si un groupe de fidèles laïcs dont il est question à l’article 5 § 1 n’obtient pas du curé ce qu’ils lui ont demandé, ils en informeront l’Évêque diocésain. L’Évêque est instamment prié d’exaucer leur désir. S’il ne peut pas pourvoir à cette forme de célébration, il en sera référé à la Commission pontificale Ecclesia Dei.

Art. 8. L’Évêque qui souhaite pourvoir à une telle demande de fidèles laïcs, mais qui, pour différentes raisons, en est empêché, peut en référer à la Commission pontificale Ecclesia Dei, qui lui fournira conseil et aide.

Art. 9, § 1. De même, le curé, tout bien considéré, peut concéder l’utilisation du rituel ancien pour l’administration des sacrements du Baptême, du Mariage, de la Pénitence et de l’Onction des Malades, s’il juge que le bien des âmes le réclame.

§ 2. Aux Ordinaires est accordée la faculté de célébrer le sacrement de la Confirmation en utilisant le Pontifical romain ancien, s’il juge que le bien des âmes le réclame.

§ 3. Tout clerc dans les ordres sacrés a le droit d’utiliser aussi le Bréviaire romain promulgué par le bienheureux Pape Jean XXIII en 1962.

Art. 10. S’il le juge opportun, l’Ordinaire du lieu a le droit d’ériger une paroisse personnelle au titre du canon 518, pour les célébrations selon la forme ancienne du rite romain, ou de nommer soit un recteur soit un chapelain, en observant les règles du droit.

Art. 11. La Commission pontificale Ecclesia Dei, érigée par le Pape Jean-Paul II en 1988,
continue à exercer sa mission.

Cette commission aura la forme, la charge et les normes que le Pontife romain lui-même
voudra lui attribuer.

Art. 12. Cette commission, outre les facultés dont elle jouit déjà, exercera l’autorité du Saint-Siège, veillant à l’observance et à l’application de ces dispositions.

Tout ce que j’ai établi par la présente Lettre apostolique en forme de Motu proprio, j’ordonne que cela ait une valeur pleine et stable, et soit observé à compter du 14 septembre de cette année, nonobstant toutes choses contraires.

Donné à Rome, près de Saint-Pierre, le 7 juillet de l’an du Seigneur 2007, en la troisième année de mon pontificat.

BENEDICTUS Pp. XVI
PRESENTATION GENERALE DU MISSEL ROMAIN, troisième édition, 2002, n. 397.
2 JEAN-PAUL II, Lettre ap. Vicesimus quintus annus (4 décembre 1988), n. 3 : AAS 81 (1989), p. 899 ; La Documentation catholique 86 (1989), pp. 518-519.
Ibidem
Motu proprio Abhinc duos annos (23 octobre 1913) : AAS 5 (1913), pp. 449-450 ; cf. JEAN-PAUL II, Lettre ap. Vicesimus quintus annus, n. 3 : AAS 81 (1989), p. 899 ; La Documentation 86 (1989), p. 519.
Cf. JEAN-PAUL II, Motu proprio Ecclesia Dei adflicta (2 juillet 1988), n. 6 : AAS 80 (1988), p. 1498 : La Documentation catholique 85 (1988), pp. 788-789.


http://news.catholique.org/15460-Traduction-francaise-du-%C2%AB-Motu-proprio-%C2%BB-de

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