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 Miracle de Saint Nicolas en 1956 en Russie

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albanor




Date d'inscription : 30/01/2016
Age : 51
Localisation : France

Miracle de Saint Nicolas en 1956 en Russie Empty
MessageSujet: Miracle de Saint Nicolas en 1956 en Russie   Miracle de Saint Nicolas en 1956 en Russie Icon_minitimeMar 19 Mai - 13:17

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On pourrait penser que ce fait divers est un conte légendaire, mais il est relativement récent (1956), et surtout, le KGB en Russie a surveillé cette maison (ci dessus en image) jour et nuit. S'il y avait donc fumisterie, ils n'auraient très vraisemblablement jamais été présents. Vous allez comprendre.

En 1956, en Ex-URSS (Russie actuelle), a eu lieu un miracle qui a apporté beaucoup de repentance à des centaines de personnes dans la ville russe de Kuibyshev (aujourd'hui Samara). Il y vivait une famille, avec une mère pieuse et sa fille Zoë. Le soir du réveillon du Nouvel An (31 décembre 1956), Zoë invita sept de ses petites amies, et autant de jeunes hommes, à dîner et à danser. A cette époque, c'était le jeûne de Noël, et la mère de Zoë la suppliait de ne pas planifier un dîner, mais sa fille insistait pour que les choses se fassent à sa façon. Le même soir, sa mère est allée à l'église pour prier.

Tous les invités sont venus, sauf le fiancé de Zoë, qui n'était pas encore arrivé. Il s'appelait Nicholas. Les jeunes filles et les garçons étaient en couple, Zoë étant donc toute seule. Ne sachant pas quoi faire, et sans vraiment y penser, elle décrocha du mur l'icône de Saint Nicolas le Merveilleux, et dit : "Je vais prendre ce Nicolas et je vais danser avec lui". Ne prêtant aucune attention à elle, ses amis lui conseillèrent de ne pas commettre un tel acte blasphématoire. "Si Dieu existe, qu'il me punisse", dit-elle. Et elle se mit à danser, fit deux ou trois tours, quant tout à coup, il y eut un bruit effrayant dans la pièce, un tourbillon, et une lumière aveuglante étincela la pièce comme un éclair.

La joie se transforma en effroi. Tout le monde a fui la pièce, effrayé. Seule Zoë restait immobile, l'icône de Saint Nicolas collée à sa poitrine, pétrifiée et gelée comme du marbre. Les médecins arrivés rapidement sur place, ne purent la ramener consciente malgré leurs tentatives. Les aiguilles se courbaient et se brisaient en frappant son grand corps marbré ! Ils voulaient l'emmener à l'hôpital, mais étaient incapables de la déplacer. C'était comme si ces pieds étaient cloués au sol. Mais son coeur battait ! Zoë était en vie. Cependant, elle n'était plus capable de manger ou de boire.

Lorsque sa mère est revenue et a vu ce qui s'était passé, elle est tombée inconsciente et ils l'ont emmenée à l'hôpital, qu'elle n'a pas quitté pendant quelques jours. Sa foi dans la compassion de Dieu et ses chaudes prières maternelles pour le pardon de sa malheureuse fille, par la grâce de Dieu, lui ont redonné de la vitalité. Zoë est revenue à la conscience, et avec des larmes, elle a cherché le pardon et l'aide. La maison de Zoë était entourée d'une foule de gens pendant les premiers jours, les fidèles venaient, marchaient de loin. Les curieux, les médecins et les personnalités du coin aussi. Mais selon un ordre des autorités, la maison fut rapidement fermée aux visiteurs. Il y avait toujours deux policiers qui gardaient la maison. La maison était gardée par des policiers, et certains des cheveux des gardes devinrent blancs, même s'ils étaient encore jeunes, de peur d'entendre les cris terrifiants que Zoë faisait chaque nuit. Nuit après nuit, sa mère était à côté d'elle en train de prier. "Maman prie ! Priez parce que je suis perdu à cause de mes péchés ! Priez !" pleurait Zoë.

A cause de tout ce qui se passait, le Patriarche a été informé de prier en personne pour le rétablissement de Zoë. Il a répondu : "Celui qui l'a puni aura aussi pitié d'elle !".. Dès lors, ceux qui ont été autorisés à venir voir Zoë ont été : Un professeur de médecine de haut prestige, qui vint de Moscou. Il a confirmé que le coeur de Zoë n'arrêtait pas de battre. Les prêtres, que la mère avait invités pour enlever l'icône de Saint Nicolas des mains de Zoë, mais ils n'étaient pas capables non plus de retirer l'icône des mains pétrifiées de la jeune fille, et enfin le hiéromoine Seraphim de l'hermitage de Glinsk, qui accomplit le service de l'Eau Bénite et bénit l'icône. Après cela, il dit : "Maintenant, nous devons attendre un signe. Si rien ne se passe, cela signifie que la fin du monde approche !", montrant par ces mots sa foi profonde dans les miracles. Le métropolite Nicolas, qui a également lu le Paraklesis, et a dit : "Nous devons attendre un miracle", répétant la parole du pieux hiéromoine. Le hiéromoine, s'il n'a pas réussi à dépétrifie Zoé, a néanmoins réussit, et ce fut l'un des premiers signes, à prendre l'icône de Saint Nicolas, qui était alors indécollable de la poitrine de Zoé.

A la veille de la fête de l'Annonciation (qui tombait le samedi de la troisième semaine du Grand Carême), un ancien s'approcha des gardes policiers, et leur demanda de lui permettre de voir Zoë. Mais les gardes policiers refusèrent fermement. L'aîné revint le lendemain, mais les gardes ne le permettaient pas non plus. La troisième fois, le jour de l'Annonciation, les gardes l'ont laissé entrer. Ils ont entendu avec quelle compassion il parla à Zoë, alors qu'il entrait, "Maintenant, est-ce que tu es fatiguée de rester debout ?" Un peu de temps passa, et quand les gardes voulurent expulser l'aîné, ils ne le trouvèrent pas dans la pièce. Tout le monde fut alors certain que c'était Saint Nicolas lui-même. Ainsi, Zoë éatit restée là plantée au même endroit exactement 4 mois (128 jours) jusqu'à Pâques, qui était tombée cette année le 23 avril (le 6 mai sur le nouveau calendrier). Et la nuit de la glorieuse Résurrection du Christ, Zoë se mit à crier : "Priez !"

Les gardes policiers de nuit ont commencé à trembler, et ont demandé : "Pourquoi pleures-tu si effroyablement ?" : Elle répondit : "Quelle horreur, la terre brûle ! Priez ! Le monde entier est perdu à cause de ses péchés, priez !" A partir de ce moment, Zoë fut réveillée, ses muscles commencèrent à se ramollir ; elle était revenue à la vie. Ils l'ont finalement mise sur un matelas mais elle a continué à crier et a appeler tout le monde à prier pour le monde perdu à cause de ses péchés, pour la terre qui brûle à cause de son anarchie.

"Comment es-tu restée ainsi jusqu'à maintenant ? Qui t'as nourri ?", lui ont-ils demandé. "Les colombes m'ont nourri" était sa réponse. De ceci, il était évident qu'elle avait reçu la miséricorde et le pardon de la main droite du Seigneur Tout-Puissant. Le Seigneur a pardonné les péchés de Zoë, par la présence de Saint Nicolas le Merveilleux, et à cause de ses grandes tribulations, et de sa position pendant 128 jours. Tous ces événements ont choqué les habitants de Kuibyshev et des environs. Beaucoup de gens ont retrouvé leur foi en Dieu, ayant vu les miracles, écouté ses cris et ses prières pour que nous priions pour les gens perdus à cause de leurs péchés. Ils sont retournés à l'église avec repentance. Ceux qui ne portaient pas de croix ont commencé à en porter une. Le retour dans les églises était si massif, qu'il n'y avait pas assez de petites croix pour ceux qui en cherchaient. Avec peur et larmes, les gens ont demandé pardon pour leurs péchés, répétant les mots de Zoë : "Comme la terre est brûlante, nous sommes perdus à cause de nos péchés ! Priez ! Les gens sont perdus à cause de leur anarchie !"

Le troisième jour de Pâques, Zoë est partie pour le Seigneur, car elle avait parcouru la difficile route de se tenir debout pendant 128 jours devant la face du Seigneur, pour le pardon de tous ses péchés. Le Saint Esprit a préservé sa vie tous ces jours pour la résurrection de son âme de la mort du péché, tout comme dans ce jour éternel à venir, elle ressuscitera son corps pour la vie éternelle ; d'ailleurs, tout comme son nom lui-même signifie : Zoë.

Il est à noter que dans la presse soviétique de l'époque, l'incident de Zoë a été soulevé. Répondant aux lettres envoyées à la direction d'un journal bien connu, un scientifique hautain a prétendu que l'événement avec Zoë n'était vraiment pas si incroyable, mais il a déclaré que c'était une forme de rigidité musculaire encore inconnue de la science. Cette fausseté d'une telle hypothèse est évidente, vu dans un premier temps qu'une telle rigidité du corps ne se produit pas, au point que les médecins ne soient pas capable d'injecter des piqûres. Ensuite, une personne infectée par une telle maladie peut être déplacée, alors qu'ils n'étaient pas en mesure de la déplacer. Elle se tenait droite beaucoup plus longtemps que la moyenne. Ensuite, une maladie ne rend pas une personne à Dieu comme cela, et n'apporte pas de révélations du Ciel. Alors que dans le cas de Zoë, non seulement des milliers de personnes ont retrouvé leur foi en Dieu, mais ils ont montré leur foi en des actes, ont été baptisés, ont vécu moralement. Non seulement, ils croyaient que Dieu existait, mais ils sont devenus chrétiens. De cela, il est clair que nous ne parlons pas d'une simple maladie, mais de divin. Dieu rend vraiment la foi aux gens, délivre les gens de leurs péchés, comme il peut les punir (pour les ramener à la raison, donc toujours par compassion et amour) à cause de ces derniers.
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