Lily-Anne membre
Date d'inscription : 01/09/2010 Localisation : France - Provence
| Sujet: Enseignement de Jésus à Luisa Piccarreta pour grandir dans la vie spirituelle ou en repérer les écueils, afin de vivre dans la Divine Volonté Jeu Nov 28 2019, 11:26 | |
| Sur l'humilité
- La croix seule est nourriture pour l'humilité (24 juin 1900, tome 3, page 86), L'âme craintive ou l'âme qui n'a peur de rien
- Si l'âme est craintive, c'est un signe qu'elle se fie beaucoup à elle-même. Ne trouvant en elle que faiblesses et misères, alors, naturellement et justement, elle craint. Si, d'autre part, l'âme n'a peur de rien, c'est un signe qu'elle met toute sa confiance en Dieu. Ses misères et faiblesses se perdent en Dieu ; elle se sent revêtue de l’Être divin. Ce n'est plus l'âme qui travaille, mais Dieu dans l'âme. Que peut-elle craindre ? La vraie confiance en Dieu reproduit la Vie divine en l'âme (3 janvier 1907, tome 7, page 61). Sur le trouble
- Pour ne pas être troublée, l'âme doit se trouver bien en Dieu, elle doit tendre totalement vers lui comme vers un point unique et elle doit regarder toute autre chose d'un œil indifférent. Si elle fait autrement, dans chaque chose qu'elle fait, voit ou entend, elle est investie d'une inquiétude comme une fièvre lente qui la rend épuisée et troublée, incapable de se comprendre (23 mai 1905, tome 6, page 85). - Dans le trouble, c'est l'amour propre qui veut se manifester pour régner ou c'est l'ennemi qui veut nuire (22 juillet 1905, tome 6, page 91), - Si l'âme se trouble à tout propos, c'est signe qu'elle est rempli d'elle-même. Si elle se trouble pour une chose et non pour une autre, c'est signe qu'elle a quelque chose de Dieu, mais qu'elle a beaucoup de vide à combler. Si rien ne la trouble, c'est signe qu'elle est totalement remplie de Dieu (9 août 1905, tome 6, page 92), - Celui qui n'aime pas la vérité est troublé et tourmenté par elle (16 janvier 1906, tome 6, page 109). Penser à soi-même- Penser à soi-même, c'est comme sortir de Dieu et revenir en soi. Penser à soi-même n'est jamais une vertu, mais toujours un vice, même si cela revêt l'aspect du bien (23 août 1905, tome 6, page 94). Se préoccuper de se sanctifier- L'âme qui se préoccupe surtout de se sanctifier vit aux dépens de sa propre sainteté, de sa propre force et de son propre amour (15 novembre 1918, tome 12, page 71). Perdre humainement pour gagner divinement- Ma Fille, qui perd gagne et qui gagne perd (16 octobre 1918, tome 12, page 68). Sur la Confession- la chose principale qui renouvelle l'homme et en fait un vrai catholique est la confession (14 mars 1900, tome 3, page 55).Source : Joannes Maria _________________ | |
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