Dieu n'est pas un magicien pour satisfaire tous nos caprices !

Dieu n'est pas un magicien à notre service pour satisfaire tous nos caprices !

Il y a tout d’abord la tentation d’utiliser une sorte de pouvoir magique pour satisfaire sa faim. Chez chacun de nous, il y a cette tendance à vouloir satisfaire ma faim, mon besoin d’argent, mon besoin de reconnaissance, ma vanité. Jésus multipliera les pains un jour, mais ce sera par compassion pour la faim des autres, pour nourrir les foules. Ce sera un geste de communion et non de repli sur soi.

La deuxième tentation est celle d’utiliser Dieu comme un magicien pour répondre à tous mes caprices. « Jette-toi du haut du temple ; et Dieu enverra ses anges te prendre dans leurs mains avant que tu ne touches le sol. » Le dieu proposé ici par le tentateur, c’est le Dieu magicien que nous prions dans beaucoup de nos dévotions plus ou moins superstitieuses où nous voulons mettre Dieu à notre service plutôt que d’entrer en véritable communion d’amour avec Lui.

Texte en entier : Homélie pour le 1er dimanche du carême A - Scourmont

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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Seigneur, pourquoi ne réponds-tu pas ?

Pourquoi ne réponds-tu pas ? Seigneur, je veux juste de l'argent, une maison à trois étages, une Mercedes... Je ne comprends pas pourquoi Dieu ne me répond pas... Je prie pourtant avec Foi !

Priez-vous pour un transport ou pour une voiture dernier-cri ? Dieu n'est pas un guichet automatique, ni un distributeur de bonbons.

Quand nous prions pour un besoin, est-ce que nous demandons comme un enfant qui a un besoin ou comme un enfant gâté ? Dieu n'est pas notre serviteur, mais il est notre Père... Et tout comme le ferait un père aimant, Dieu nous donne : protection, amour, joie, guérisons...

Il nous donnera ce dont nous avons besoin, ce qui est le mieux pour nous... mais pas toujours ce que nous désirons ou exigeons de Lui.

Besoin d'argent, il répondra surement par un travail. Pas celui que l'on voudrait peut-être... mais celui qui contribuera à nos besoins.

N'oubliez pas que bien que DIEU réponde à la prière du Juste. Je le redis : il n'est pas notre serviteur mais notre DIEU, notre Père.

Cependant, Dieu a aussi un sens de l'humour particulier ... il arrive qu'il réponde exactement comme nous lui avons demandé mais nous ne le voyons pas, tellement les difficultés nous envahissent... Une personne que je connais très bien a vécu cela.... Laissez-moi vous raconter :

Cette personne vivait de gros problèmes financiers ... Elle voulait vraiment travailler, payer ses dettes... avoir une vie normale, mais cela ne semblait pas fonctionner. Pourtant elle priait avec une sincérité et une persévérance incroyable... Elle ne demandait pas beaucoup à Dieu : chaque jour, elle élevait son cœur à Dieu et pleurait devant Lui, qu'Il jette un regard sur sa détresse et lui permette d'avoir juste assez pour passer le mois. Depuis des années, elle pleura devant Dieu pour qu'il l'aide à avoir assez de travail pour payer juste ses dettes...

Quand le temps était arrivé à payer, elle comptait l'argent ramassé dans son enveloppe et elle réalisait qu'elle avait juste assez d'argent pour payer ses factures, mais pas 1 dollar de plus. Elle croyait vraiment que Dieu prenait soin d'elle parce qu'elle était son enfant mais le mois suivant, l'angoisse recommençait. Cette personne ne comprenait pas pourquoi Dieu ne lui donnait pas plus ? Pourquoi Dieu permettait-il ce stress chaque mois ?

Un jour qu'elle partageait auprès de pasteur Violette Ruland ses angoisses, ses combats, celle-ci lui fit remarquer que Dieu répondait exactement à ce qu'elle lui demandait : Juste assez pour payer ses dettes chaque mois...

Ce fut la révélation, elle ne s'en était jamais aperçue... OUI elle savait que DIEU RÉPONDAIT A SA PRIÈRE.... Chaque mois depuis des années, Il lui donnait exactement ce qu'elle lui demandait. Pasteur Violette lui suggéra de prier pour l'abondance dans sa vie, pour que Dieu réponde à tous ses besoins selon sa volonté. Et Dieu répondit aussi avec générosité... Cette personne ne gagna pas le super loto, mais elle commença à travailler plus, à pouvoir payer ses dettes plus facilement... Maintenant, elle remercie Dieu pour son sens de l'humour, le loue de lui apprendre à prier et le remercie pour l'abondance qu'il lui donne selon SA VOLONTÉ.

Notre Père est bon, Il ne veut pas que nous manquions de quoi que ce soit... mais comment Lui demandons-nous ce dont nous avons besoin ?

Dieu répond selon notre demande.

Et mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ. Philippiens 4 : 19

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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La prière toujours exaucée

« Dieu n'a pas promis de nous exaucer à notre façon, mais à la sienne. De même, il n'a pas ajouté qu'Il nous exaucerait au moment fixé par nous, mais à celui que sa Sagesse et sa Bonté jugeront plus conforme à sa gloire et à notre bien.

Nouvelle illusion et nouvelle source de déception pour certaines âmes à courte vue !

Elles sont semblables à des enfants capricieux. Quand Dieu n'exauce pas à l'instant leurs petits désirs, elles se lamentent et s'agitent.

Combien elles Lui plairaient davantage si elles se fiaient à sa bonté, si elles lui laissaient pleine liberté de choisir le temps où Il les exaucera.
[...]

Plusieurs, sans prescrire le temps ni la manière d'être exaucés, veulent du moins contrôler, par leur raison, s'ils ont été entendus par Dieu.

C'est là une défiance cachée, un doute au moins ébauché sur la fidélité de Dieu à ses promesses.

Pendant cette vie nous ne devons pas voir, mais croire que Jésus nous exauce, puisqu'Il l'a dit. Sans cela où est notre foi ?

Faisons donc crédit à Jésus-Christ. N'est-Il pas digne d'être cru sur parole ? Ne recherchons pas si certaines de nos prières n'ont peut-être pas été entendues.

Croyons d'une foi inébranlable que toute prière dans la mesure où elle est une prière, humble et confiante, est infailliblement exaucée, même si notre raison humaine n'a pu le savoir.

Dieu se réserve de nous faire comprendre à découvert au ciel, ce qu'Il nous propose ici-bas par la foi.

Là-haut nous verrons la façon admirable dont Il nous a conduits pendant notre pèlerinage terrestre.

Quand donc nous avons fait une demande, ne nous en préoccupons plus sinon pour la renouveler. Dieu se charge de l'exaucer de la manière et au moment qu'Il a choisis. Et si nous avons confiance en Lui Il l'exaucera toujours plus magnifiquement que nous n'aurions pu l'espérer. »

Père Jos. Schrijvers C.SS.R., Les âmes confiantes, Librairie St Alphonse, Louvain, 1932 (2e éd.).

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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Le Seigneur exauce toutes nos prières

Jésus dit des choses très audacieuses. Il affirme que tous ceux qui demandent recevront, que ceux qui cherchent trouveront, et qu’à tous ceux qui frappent, la porte s’ouvrira. Jésus est-il sérieux en disant cela ? Est-ce qu’il n’aurait pas dû dire : "presque tout le monde" ? Peut-il vraiment nous donner une telle garantie de manière aussi inconditionnelle ?

Oui, il le peut ! N’est-il pas tout-puissant et omniscient ? N’empêche que nous avons tendance à penser que c’est trop beau pour être vrai. Il nous est difficile de prendre ces paroles telles quelles, et à ne pas les interpréter comme on lirait un poème, en admirant leur beauté sans les prendre à la lettre.

Jésus savait que nous serions tentés d’en douter. Alors il les répète en prenant quelques exemples. Un père digne de ce nom pourrait-il torturer ses enfants en leur donnant des pierres au lieu de pain, ou un scorpion au lieu d’un œuf ? Bien sûr que non. Même si nous sommes tous des pécheurs, des hommes égoïstes, « mauvais », comme le dit Jésus, nous nous efforçons de donner de bonnes choses à ceux que nous aimons.

Eh bien, nous devrions pouvoir comprendre que Dieu, dont l’amour est libre de la moindre parcelle d’égoïsme, est beaucoup plus enclin à nous donner de bonnes choses, lui qui nous aime sans fin et sans mesure. De même que le Christ a répondu à la demande de ses disciples de leur apprendre à prier en leur donnant le Notre Père, la plus parfaite de toutes les prières, ainsi répondra-t-il à toute requête que nous lui adressons, plus généreusement que nous ne pourrions l’imaginer.

Oui, ceux qui demandent recevront, et ceux qui cherchent trouveront, car Dieu est tout simplement trop bon pour ne pas répondre à chacune de nos prières.

Et pourtant, il arrive que Dieu ne nous accorde pas ce que nous lui demandons. C’est alors que nous pouvons constater le niveau de notre maturité spirituelle. Les chrétiens immatures réagiront dans ce cas comme si Dieu n’avait pas entendu leur prière. Ils développeront un ressentiment contre Dieu. Et pour justifier leur réaction de dépit ils pourront même se persuader que Dieu n’existe pas. C’est une tendance qui est très présente dans la philosophie, l’art, la littérature et le monde du spectacle contemporains.

Et pourtant, cette réaction est fondamentalement égocentrique. Le seul moment où nous doutons de ce que Dieu entend nos prières, est quand il ne nous donne pas ce que nous lui demandons, quand nous le lui demandons. Si nous faisons une prière d’action de grâce ou de louange, par exemple, nous ne doutons jamais de ce que Dieu nous entend. La frustration qui résulte d’une prière prétendument non exaucée est le signe d’un manque de maturité spirituelle.

De chrétiens qui font preuve de plus de maturité savent que Dieu entend nos prières et répond à chacune d’elles. Mais cette réponse peut revêtir plusieurs formes, comme saint Augustin l’a enseigné depuis déjà très longtemps. Si nous demandons quelque chose à Dieu dans la prière, Dieu peut répondre de trois manières.

Il peut dire OK, et nous donner ce que nous lui demandons. Il peut aussi dire non, tout simplement, ce qui veut dire que ce que nous lui demandons n’est pas bon pour nous. Ce non est aussi une réponse à notre prière, et les parents savent que ce non requiert parfois davantage d’amour qu’un oui de facilité. Enfin, troisième possibilité, Dieu peut répondre OK, ... mais pas tout de suite.

Oui, non, et pas maintenant : voilà les trois manières dont Dieu peut répondre à nos demandes. Si nous gardons cela en mémoire, nous pourrons alors vaincre la tentation de nous mettre en colère quand Dieu ne nous donne pas exactement ce qui nous lui demandons quand nous le lui demandons.

Dans une culture où règne en maîtresse la confiance arrogante en la technologie et la science, il nous est bon de nous souvenir de cela. Nous ne sommes pas Dieu. Nous avons besoin de Dieu. Nous aurons toujours besoin de Dieu. Demander, chercher et frapper ne sont pas passés de mode avec l’invention de l’électricité! Dieu nous invite à reconnaître et à accepter ce besoin, et à prendre au sérieux son invitation à demander, à chercher et à frapper, pour lui donner plus de liberté d’agir dans notre vie.

Saint Jean Paul II recevait des milliers de lettres dans lesquelles les gens lui demandaient de prier à leurs intentions, pour leurs familles et leurs problèmes. Il avait une pile de papiers avec ces requêtes sur son prie-Dieu. Tout au long de la journée, au gré de ses multiples visites à la chapelle, il priait pour chacune de ces intentions autant qu’il pouvait. Les autres, il les confiait à l’intercession de la Vierge Marie.

C’est un signe de maturité spirituelle de s’approcher de Dieu dans la prière, avec persévérance et confiance avec tous nos besoins, matériels, sentimentaux et spirituels. Si nous ne le faisons pas, personnellement et en famille, cela veut dire probablement que nous sommes en train de nous éloigner de Dieu. Aujourd’hui, il nous invite chacun, chacune à revenir vers lui, à nous approcher, à persévérer dans la demande, à chercher, à frapper.

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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Dieu tout-puissant n'est pas votre père Noël personnel

Notre Dieu n'est pas le pourvoyeur de faveurs célestes comme une divinité païenne inexistante.

Dieu n'est pas un «concierge cosmique» qui ne vit que pour satisfaire chacun de nos caprices.

Seul le Père Noël promet de livrer la marchandise à ces garçons et filles qui restent de son meilleur côté. On pourrait dire qu'un bon garçon qui n'obtient pas le poney qu'il a demandé réfute l'existence du Père Noël mais cela ne dit rien sur l'existence de Dieu. Notre Dieu n'est pas le pourvoyeur de faveurs célestes comme une divinité païenne inexistante. Il est plutôt l'amant de l'humanité qui nous a aimés dans l'existence.

Bien que ce soit certainement une chose merveilleuse lorsque nos espoirs, nos souhaits et nos désirs correspondent aux siens et que nous «obtenons ce que nous voulons», ce n'est pas le but de la foi et de notre foi. Les faux dieux de l'âge du bronze étaient des despotes orientaux qui punissaient chaque crime avec une douloureuse exactitude et récompensaient la bonne conduite par de généreux trésors. Le vrai Dieu n'est pas du tout comme ça. Comme le Christ l'a expliqué, le soleil brille sur les bons comme sur les méchants (Mt 5, 45). À cet égard, les athées et les chrétiens ont cette croyance en commun: le bien et le mal n'arrivent pas à tout le monde parce que nous le «méritons».

Le point auquel nous divergent, c'est que les chrétiens croient que Dieu nous est présent pour nous fortifier lorsque nous trébuchons lorsque les vicissitudes de la vie nous accablent. L'athée qui choisit de vivre sa vie seul, se croyant être sa seule source de secours et d'amour, s'effondrera et se désespérera et deviendra amer à son sort d'être traité injustement. Quand vous pensez qu'il n'y a rien de plus grand que vous-même, c'est à quelques pas du narcissisme à part entière.

Notre Magnifique Amant cherche toutes les occasions d'être près de nous - tout ce que nous devons faire est de Le chercher. Le chrétien qui s'abandonne vraiment à Dieu, lui fait confiance et accepte son destin, qui se sait faible et incapable d'opérer un changement à grande échelle dans l'univers, est soutenu. Il est soutenu et survit, tout comme le cardinal Văn Thuận au cours de ses 13 années d'isolement dans une prison communiste athée au Vietnam. Mais aussi saint et remarquable qu'il soit, il est loin d'être unique. De nombreux chrétiens ont été injustement condamnés aux prisons mais n'ont pas eu le moral brisé.

Mis à part le Strawman évident, pourquoi les athées voient-ils Dieu comme le «concierge cosmique» qui doit guérir tous les maux, arrêter tous les crimes en cours et satisfaire chacun de nos moindres désirs en s'assurant que nous ne faisons rien de plus que de nous frayer un chemin à travers la vie. Il peut y avoir des religions qui définissent Dieu ainsi, mais le judaïsme traditionnel et le christianisme ne le font absolument pas. Et si tous nos enfants insistaient sur le même laissez-faire «hélicoptère» parental de notre part? Exiger que nous leur donnions tout ce qu'ils veulent tout en insistant sur le fait que nous gardons toutes nos règles morales pour nous. Nous serions leurs esclaves et non leurs maîtres.

Il en va de même pour Dieu Tout-Puissant. Nous sommes seuls lorsqu'il s'agit de choisir entre le bien et le mal - que nous choisissions de nuire ou d'aider les autres. Il n'y a pas d'autres options rationnelles. Si Dieu créait une telle situation dans laquelle personne ne pouvait commettre un acte pervers, par exemple, aucun enfant ne pourrait jamais mourir d'avoir été jeté par une fenêtre, et au lieu de cela, simplement léviter une fois qu'il était hors de la fenêtre, comment de nous choisissent de nous aimer? Ou pour sauver les autres du mal? Ou pour aider lorsque d'autres sont dans le besoin? Comment l'un de nous pourrait-il savoir ce qu'était «bien»? Le fait que les athées désirent grandement juger les théistes est simplement conforme au libre arbitre et au sens moral dont Dieu a imprégné tous ses enfants. Certes, c'est une perversion tortueuse de ces cadeaux, mais c'est leur choix à faire.

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Angelo Stagnaro

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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Que voulait dire Jésus quand il a dit: "Demandez et vous recevrez" ?

Jésus a dit: «Demandez et vous recevrez, et votre joie sera complète» dans Jean 16:24 . Des déclarations similaires se trouvent dans Matthieu 7: 7 ; 21:22 ; Marc 11:24 ; Luc 11: 9 ; et Jean 15: 7 . Est-ce une promesse générale sans conditions? Si nous demandons trois cents livres de chocolat livrées à notre porte, Dieu est-il obligé de nous le donner? Ou les paroles de Jésus doivent-elles être comprises à la lumière d'une autre révélation?

Si nous supposons que «demandez et vous recevrez» signifie «demandez tout ce que vous voulez et je vous le donnerai», alors nous avons transformé le Seigneur en un génie cosmique qui sert chacun de nos caprices. C'est le problème de l' évangile de la prospérité et la parole des enseignements de la foi.

Dans le sermon sur la montagne , Jésus dit que quiconque demande reçoit, quiconque cherche trouve, et quiconque frappe trouvera une porte ouverte ( Matthieu 7: 7–8 ). Mais avec ceci et tous les autres versets, nous devons examiner le contexte. Jésus poursuit en disant que Dieu ne manquera pas de donner de bonnes choses à ses enfants (verset 11). Donc, c'est une condition à la promesse de «demander et recevoir»: ce que nous demandons doit être bon selon l'estimation de Dieu. Dieu donnera des cadeaux avantageux à ses enfants; Il ne nous donnera pas de choses mauvaises ou nuisibles, peu importe à quel point nous les réclamons. Le meilleur exemple d'un bon don est le Saint-Esprit, selon Luc 11:13. Nous commençons à voir un double objectif de la prière: accroître notre compréhension de ce que Dieu appelle «bon» et cultiver en nous un désir de ce qui est bien.

Nos prières à Dieu ne sont pas sans rappeler nos demandes des hommes. Nos prières sont basées sur une relation, comme le souligne Jésus dans Matthieu 7: 8 . Si un enfant demande à son père quelque chose que le père sait être blessant, la demande est refusée. L'enfant peut être frustré et malheureux lorsqu'il n'obtient pas ce qu'il a demandé, mais il doit faire confiance à son père. À l'inverse, lorsque l'enfant demande quelque chose dont le père sait qu'il est bénéfique, le père le lui fournira avec empressement parce qu'il aime son enfant.

Nous avons une autre condition à la promesse de «demander et recevoir» dans Jean 14:14, "Vous pouvez me demander n'importe quoi en mon nom, et je le ferai." Ici, Jésus ne promet rien et tout ce qu'ils veulent à ses disciples; il leur demande plutôt de demander «en mon nom». Prier au nom de Jésus, c'est prier sur la base de l'autorité de Jésus, mais cela implique aussi de prier selon la volonté de Dieu, car la volonté de Dieu est ce que Jésus a toujours fait ( Jean 6:38 ). Cette vérité est énoncée explicitement dans 1 Jean 5:14 : «Si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Nos demandes doivent être conformes à la volonté de Dieu.

La promesse de «demander et recevoir», même avec ses conditions, ne peut jamais décevoir. Il n'y a aucune chance que les choses dont nous avons besoin ne soient pas dans la volonté de Dieu. Il promet de pourvoir à ce dont nous avons besoin lorsque nous «cherchons d'abord son royaume et sa justice» ( Matthieu 6:33 ). Bien sûr, ce que nous voulons n'est pas toujours ce dont nous avons besoin . Si ce que nous voulons n'est pas dans la volonté de Dieu, alors nous ne voulons vraiment pas le recevoir. Dieu sait ce qui est bon pour nous et il est fidèle et aimant à dire «non» aux prières égoïstes et insensées, peu importe à quel point nous voulons ce que nous demandons.

Dieu nous donnera toujours de bonnes choses. Notre travail consiste à comprendre ce qui est bien, afin que nous sachions quoi demander. L'esprit naturel ne peut pas comprendre cela. Mais, lorsque nous nous offrirons comme «un sacrifice vivant» et que nous serons transformés par le renouvellement de notre esprit, alors nous «pourrons tester et approuver ce qu'est la volonté de Dieu: sa volonté bonne, agréable et parfaite» ( Romains 12: 1 –2 ). Ensuite, en demandant ce dont nous avons besoin dans la foi, nous aurons tout ce dont nous avons besoin pour la vie, la piété et la plénitude de la joie ( Jean 16:24 ).

L'instruction biblique concernant la prière est que nous prions pour les bonnes choses dont nous avons vraiment besoin, selon la volonté de Dieu, dans l'autorité de Jésus-Christ, avec persistance (voir Luc 18: 1 ), de manière désintéressée (voir Jacques 4: 3).) et dans la foi (voir Jacques 1: 6 ). Dans Matthieu 21:22, Jésus insiste à nouveau sur la foi: «Si vous croyez, vous recevrez tout ce que vous demandez dans la prière.» Ceux qui croient vraiment en Dieu seront témoins de la puissance incroyable et infinie de Dieu. Cependant, en comparant les Écritures avec les Écritures, nous savons que la demande doit être faite selon la volonté de Dieu. Une partie de la foi consiste à adhérer au plan de Dieu de la meilleure façon possible. Si nous demandons la guérison, et c'est la meilleure chose pour nous, nous ne devons pas douter que Dieu nous guérira. S'Il ne guérit pas, alors ne pas être guéri est une partie nécessaire d'un plan plus vaste - un plan qui est finalement pour notre bien.

Considérez Psaume 37: 4: «Délectez-vous dans le Seigneur et Il vous donnera les désirs de votre cœur.» Ce verset ne nous donne pas un moyen de manipuler Dieu; cela ne signifie pas non plus que, si nous obéissons, Il nous récompensera de la friandise dont nous avons besoin. Cela signifie plutôt que, lorsque nous nous réjouissons de Dieu, nous trouverons tout ce que nous voulons et avons besoin en Lui. La clé ici est que le cœur du chercheur est changé - lorsque nous prenons plaisir au Seigneur, les désirs de Dieu commencent à devenir les nôtres. Lorsque nos désirs correspondent à ceux de Dieu, alors nos prières sont automatiquement alignées sur Sa volonté.

Parmi les prières les plus importantes dans la vie d'un chrétien figurent «Apprends-moi à t'aimer par-dessus tout» et «Fais-moi envie de ce que tu veux». Quand nous désirons vraiment Dieu, quand nous sommes passionnés de voir sa volonté s'accomplir dans ce monde, et quand nous demandons ce qui lui apporte la gloire, il est désireux de nous donner tout ce que nous demandons. Parfois, les choses qui glorifient Dieu sont agréables - un mariage ou un enfant. Parfois, ils sont difficiles pour nous - un échec qui nous humilie ou une faiblesse physique qui nous rend plus dépendants de Dieu (voir 2 Corinthiens 12: 7 ). Mais, lorsque nous prions selon sa volonté, sous l'autorité de Jésus, avec persévérance, altruisme et foi, nous recevrons ce dont nous avons besoin.

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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Jésus n'est pas votre distributeur automatique

Avez-vous déjà mis de l'argent dans un distributeur automatique et le sac de chips s'est ensuite coincé? C'est une expérience exaspérante, et peu importe que je n'aie perdu qu'environ 50 centimes. J'ai mis cet argent dans la machine et j'espère avoir mes jetons ! Je ferai donc tout mon possible pour décoller mon goûter : enfoncer ma main le plus haut possible dans la fente de livraison ; donner des coups de pied, secouer et railler la machine ; et en général me ridiculiser. Mais généralement, il n'y a pas moyen de sortir ces jetons.

Bien sûr, ce n'est pas vraiment comme ça que les distributeurs automatiques sont censés fonctionner. La plupart du temps, vous vous rendez dans un distributeur automatique, étudiez les offres, insérez votre argent, faites votre sélection et le tour est joué ! Avec un tour du distributeur, la bonté traitée de votre choix tombe entre vos mains en attente.

Souvent, nous traitons Jésus comme s'il était notre distributeur automatique personnel, quelqu'un qui est là pour répondre à nos prières comme bon nous semble. Comme si nous étions le patron. Comme si nous savions ce dont nous avons vraiment besoin dans cette vie si seulement il répondait à nos demandes. Et puis quand il ne livre pas, on se met en colère (ou amer) ; nous nous interrogeons sur sa bonté ; nous l'insultons et le blâmons parce que notre vie n'est pas telle que nous l'avions imaginée – un peu comme nous agissons lorsqu'un sac de chips se coince dans un distributeur automatique. Mais Jésus n'est pas notre distributeur automatique.

Nous savons ce que nous voulons, mais nous ne savons pas ce dont nous avons besoin

Jésus n'est pas notre distributeur automatique parce que, pour commencer, la plupart des choses dans un distributeur automatique ne sont pas bonnes pour nous. Nous pouvons nous tromper en pensant que ce bar Snickers va remplir nos estomacs vides, mais une demi-heure plus tard, nous revoilà, debout devant le distributeur automatique alimentant les quartiers dans les fentes, croyant qu'une autre collation saura rassasier nous. Nous voulons un autre bar Snickers, mais ce n'est pas ce dont nous avons besoin. Ce dont nous avons besoin, c'est d'un repas.

Je suis un parent, donc je sais une chose ou deux sur la différence entre les désirs et les besoins (notez que je n'ai pas dit que j'étais un expert). Voici un exemple de conversation qui a lieu presque quotidiennement chez moi entre moi et mon fils de trois ans :

"Maman, j'ai faim. Je veux de la glace.

« Fox, tu ne peux pas avoir de crème glacée en ce moment. C'est presque le dîner.

"Mais je veux de la glace."

"Tu vas te ruiner l'appétit."

"Mais je veux de la glace."

Et ainsi de suite, encore et encore. En tant que parent, je sais que la crème glacée peut avoir bon goût et qu'elle peut soulager la faim de Fox, au moins un peu, mais un repas équilibré sera beaucoup plus satisfaisant et lui donnera les nutriments dont il a besoin pour rester en bonne santé. Alors je dis non. Mais Fox sait seulement qu'il n'obtient pas ce qu'il veut, et il a toujours faim (en tout cas à ce moment-là).

Il n'y a pas de discussion avec des enfants de trois ans, mais aussi, ne sommes-nous pas comme ça avec Jésus ? Nous sommes des bambins qui ne voient pas le repas pour la glace.

Jésus sait ce que nous voulons, mais plus important encore, il sait ce dont nous avons besoin. Lorsque nous exigeons qu'il nous donne ce que nous voulons (ou pensons avoir besoin), je l'imagine comme un parent exaspéré, secouant la tête et disant : « Non. J'essaie de te dire que si je te donne ce que tu veux, je te priverai de ce dont tu as vraiment besoin.

Bien sûr, cette prise de tête imaginaire est une spéculation. Mais nous savons que Jésus nous a promis de bonnes choses de la part de Dieu, son Père et le nôtre. Dans Matthieu 7 :11, il dit : « Si donc vous, qui êtes méchants, savez faire de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père céleste fera-t-il de bonnes choses à ceux qui le lui demandent ! Il ne promet pas de répondre à nos demandes spécifiques (ou à nos demandes du tout, peu importe ce que prêche l'évangile de la prospérité), mais il nous invite à prier et il promet de nous donner de bonnes choses. Ce que sont ces bonnes choses, il le sait mieux que nous. Il est Dieu, après tout, ce qui m'amène à mon point suivant.

Qui est en charge ici ?

Cela semble évident, mais cela vaut la peine d'être nommé : nous ne devrions pas traiter Jésus comme un distributeur automatique parce qu'il est le Seigneur de l'univers et nous ne le sommes pas. Est-ce que cela semble suprêmement narcissique à quelqu'un d'autre d'agir comme si nous pouvions ordonner à Jésus de faire n'importe quoi et s'attendre à ce qu'il nous obéisse ? C'est une question de posture. Jésus nous a certainement invités à lui offrir nos prières, qui incluent les désirs de notre cœur, mais ces prières font partie de notre relation avec lui. Et nous ne sommes pas son patron. Il est notre patron. Et pourtant, lorsque nous exigeons des choses de Jésus, nous ne supposons pas seulement que nous savons ce qui est le mieux ; nous sous-entendons également que nous le contrôlons.

Mon mari et moi appellerons parfois Fox « patron » parce qu'il aime nous ordonner. "Maman. Arrêter de parler!" proclame-t-il. « OK, patron », je vais dire. Ces commandes sont en partie évolutives, mais je me hérisse encore, car il n'est pas en charge. Ou du moins, il ne devrait pas l'être. Je ne veux pas qu'il me parle comme ça, ou à tout autre adulte d'ailleurs. Ce n'est pas que je m'attends à ce qu'il ne me fasse pas de demandes, mais quand il crie : « Arrête de parler ! » il ne demande pas, il exige.

Il convient de répéter que Jésus veut de bonnes choses pour nous et nous dit de le prier. Un peu plus tôt dans Matthieu 7, il dit : « Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et la porte vous sera ouverte. Car celui qui demande reçoit, celui qui cherche trouve, et celui qui frappe, la porte s'ouvrira » (versets 7). Mais demander ne veut pas dire exiger. Et cela ne signifie pas non plus que Jésus nous donnera tout et tout ce que nous demandons ; il veut nous donner de bonnes choses, mais ces bonnes choses sont selon sa volonté, pas la nôtre.

En général, Fox est un bon garçon. Il est doux et drôle, et il veut naturellement nous faire plaisir. Cela me fait un plaisir fou lorsqu'il demande de lire un livre au lieu de regarder une émission, ou de boire de l'eau au lieu de jus, ou lorsqu'il prend la décision de faire une sieste au lieu de passer son temps au lit à frapper les murs. Il ne sait peut-être pas toujours ce qui est le mieux pour lui, mais en tant que parent, je me réjouis quand je le vois faire des progrès vers la sagesse et le discernement de soi.

Nous pouvons (et parfois le faisons) agir comme des tout-petits avec Jésus, exigeant ce que nous voulons sans tenir compte de ce dont nous avons vraiment besoin. Mais finalement, si nous sommes en relation avec lui, le Saint-Esprit sera à l'œuvre dans nos vies, transformant nos cœurs et nos esprits afin que nous connaissions sa volonté et commencions à prier pour des choses qui sont vraiment bonnes pour nous.

Dieu n'est pas un magicien pour satisfaire tous nos caprices ! Images?q=tbn:ANd9GcRE0sjCxxnGg_noPs242U8d3JQk1x5SECagVwSRSLNBHGOpBn0YpWrjD-h1_4X0DW6UDg&usqp=CAU

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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Pourquoi Dieu ne répond-il pas à mes prières ?

Partout dans le monde en ce moment, les gens se posent la question : Pourquoi Dieu ne me répond-il pas quand je crie vers Lui ? Comment concilier l'idée d'un Dieu qui dit : « Demandez et il vous sera donné » avec le fait que ce même Dieu refuse souvent de nous accorder ce que nous désirons le plus ?

Il y a des demandes auxquelles Dieu dit toujours non, peu importe avec quelle ferveur nous prions. Par exemple, si une personne veut détourner de l'argent de son travail ou commettre un adultère avec un collègue, Dieu ne lui apportera aucune aide. (Cela ne signifie pas que la personne qui veut poursuivre ces choses ne réussira pas de toute façon. Dieu nous a donné le cadeau formidable du libre choix, et cela inclut le choix de faire des choses terribles.)

Ensuite, il y a les prières auxquelles Dieu dit non pour des raisons qui ne sont pas si évidentes. Il y a une vieille expression qui dit : « Dieu nous donne ce dont nous avons besoin, pas ce que nous voulons. » Dieu ne se soucie que de notre bien ultime, ce qui revient à savoir si nous parvenons ou non au ciel. Lorsque nous demandons à Dieu de nous accorder quelque chose, Il dit oui ou non en fonction de ce qu'Il sait qu'il nous arrivera à l'avenir à la suite de cette décision. Est-ce que nous, et les personnes qui sont affectées par nous, serons plus susceptibles d'aller au paradis ou non ?

Mais si Dieu ne nous donne que ce dont nous avons besoin et ce qui est bon pour notre croissance spirituelle, il s'ensuit qu'il y a certaines prières auxquelles Dieu dit toujours oui ! Il suffit de regarder la Bible, les écrits des théologiens chrétiens au cours des siècles et les témoignages de milliers de personnes dont les prières sont exaucées. Dieu aime nous dire oui. Non seulement aux "petites" prières, mais aussi aux grandes, pratiques et profondes.

Il est souvent plus difficile de comprendre pourquoi Dieu ne répond pas aux prières qui ne sont pas nécessairement de nature pécheresse : Pourquoi Dieu n'a-t-il pas guéri le cancer de ma mère ? Pourquoi ne m'a-t-il pas augmenté pour que je puisse payer mes factures ? Pourquoi ne m'envoie-t-il pas de petit ami ? Pourquoi a-t-il rendu mon fils autiste ?

La volonté de Dieu est impénétrable et, dans une certaine mesure, nous devons l'accepter. Mais notre souffrance peut parfois faire partie du plan de Dieu pour nous. C'est pourquoi « Dieu, s'il vous plaît, faites sortir du bien de cette mauvaise situation » est l'une des prières les plus puissantes de l'univers - et à laquelle Dieu dit toujours oui - mais c'est aussi l'une des plus difficiles à prier. Lorsque nous sommes en plein milieu de la souffrance, il est très difficile d'envisager calmement toutes les choses merveilleuses qui pourraient nous être réservées dans le futur. C'est pourquoi des clichés comme « Regardez le bon côté des choses » peuvent être rebutants.

Et pourtant, des expressions comme celles-ci ne deviennent généralement pas des clichés à moins qu'elles ne contiennent une part de vérité. Quelque part le long de la ligne, les êtres humains ont remarqué que les mauvaises choses peuvent céder la place à de bonnes choses ou même y conduire.

Au fond, la question de savoir comment transformer la souffrance en bonheur est une question religieuse. En fin de compte, c'est Dieu seul qui a le pouvoir de faire sortir le bien du mal. Bien qu'il soit vrai que Dieu ne nous révèle pas toujours les raisons des mauvaises choses qui arrivent, Il promet de nous en faire traverser. Il promet également, à ceux qui le lui demandent dans la prière et à ceux qui font de leur mieux pour faire sa volonté, qu'il fera sortir le bien de chaque malheur qu'ils rencontrent dans la vie ; qu'il transformera d'une manière ou d'une autre, à la fin, chaque cas de souffrance en une opportunité pour un bonheur plus grand et plus profond.

Si vous deviez mémoriser un seul verset dans les Écritures, Romains 8:28 pourrait être celui à choisir, car il détient la clé de cette promesse. Si vous l'apprenez, les « frondes et flèches de la vie » peuvent en effet vous renverser, mais aucune ne pénétrera jamais si profondément que vous serez vaincu et détruit. Le verset dit simplement : « Toutes choses concourent au bien, pour ceux qui aiment Dieu et sont appelés selon son dessein. Si des ténèbres infernales de la Crucifixion, Dieu a apporté la lumière miraculeuse de la Résurrection, Il peut certainement prendre les mauvaises choses qui nous arrivent dans nos vies et en tirer une sorte de bénédiction.

Il est important de noter, cependant, que bien que Dieu permette à beaucoup de mauvaises choses de se produire dans la vie, Il ne les provoque pas intentionnellement. Au contraire, Dieu pleure avec nous quand nous sommes à l'agonie. Il est comme tout père qui se sent mal quand ses enfants tombent et se blessent.

Dieu ne cause pas de douleur pour forcer les êtres humains à agir de certaines manières. En même temps, il est exact à 100 % de dire : « Pas un seul moineau ne tombe à terre sans la permission de notre Père céleste. Ce grand paradoxe – comment Dieu peut rester « en charge » tout en permettant aux gens d'avoir le libre arbitre – se trouve au cœur même du problème de la souffrance humaine. Franchement, nous ne savons pas comment Dieu est capable de réconcilier des réalités apparemment opposées.

Cependant et quelle qu'en soit la cause, la plupart des chrétiens croient que la souffrance a une valeur rédemptrice. Il y a un vers mystérieux dans saint Paul qui dit : « Dans ma propre chair, je comble ce qui manque à la souffrance du Christ pour son Corps, l'Église » (Colossiens 1,24). Les catholiques ont toujours interprété cela comme signifiant que Dieu nous donne la capacité d'« attacher » d'une manière ou d'une autre notre souffrance à la Croix, et que toutes les douleurs que nous éprouvons dans la vie peuvent être utilisées par Dieu pour aider à édifier le « Corps » de son Église Terre et au ciel. C'est pourquoi vous entendrez parfois des catholiques se dire d'« offrir » leur douleur à Dieu. Toutes les dénominations au sein du christianisme ne vont pas aussi loin, mais tous les chrétiens reconnaissent que Dieu est capable de relier à notre souffrance une valeur mystique que nous ne pouvons pas toujours voir.

Peut-être que le plus grand bien qui peut venir de la souffrance est son potentiel à rendre une personne plus semblable au Christ. Lorsque vous avez faim, que vous êtes blessé ou que vous êtes pauvre, par exemple, vous vivez exactement les mêmes choses que Dieu Lui-même a faites. Par conséquent, il est possible d'être encore plus proche de Lui et plus comme Lui. Cette intimité avec le Seigneur peut vous apporter une sorte de joie et de paix que vous ne trouverez nulle part ailleurs.

Le père John Corapi d'EWTN exhorte toujours ses téléspectateurs à «être en terre battue». Ce qu'il veut dire par là, c'est que les gens doivent être suffisamment flexibles dans leur pensée pour pouvoir écouter la volonté de Dieu. Après tout, si Dieu est un artiste et que l'un de ses objectifs est de faire de vous une personne meilleure et plus sainte, alors le type de « matériau » dont vous êtes fait est très important. Si vous êtes froid, dur et inflexible, comme le marbre, qu'est-ce que Dieu devrait faire pour vous changer ? Il ne serait certainement pas capable de simplement vous tirer et vous étirer doucement dans une forme différente. Il devrait prendre un maillet et un ciseau et commencer à vous marteler jusqu'à ce que vous commenciez enfin à prendre la forme qu'il vous a destinée depuis le début. Être de l'argile, bien sûr, signifie que vous seriez plus doux, plus impressionnable, plus ouvert aux désirs créateurs de Dieu.

D'une manière grossière, le choix que nous avons sur la souffrance est le même choix que nous avons quand il s'agit de jeter les ordures. Nous pouvons soit le mettre dans la corbeille, soit le jeter à la poubelle. Si nous prions Dieu, s'il vous plaît, faites sortir le bien de cette mauvaise situation, il peut prendre n'importe quel type de douleur que nous lui infligeons - même quelque chose d'aussi insignifiant qu'un mal de dents - et le recycler afin qu'il profite réellement à notre âme à long terme.

Chacune de vos larmes, chacune de vos faiblesses, chacune de vos humiliations, chacun de vos échecs – chaque mauvaise chose qui vous arrive dans la vie – peut être transformée. De chaque adversité, Dieu peut produire un bien supérieur. De chaque perte, Dieu peut trouver un cadeau merveilleux à vous offrir. De chaque mort, Dieu peut faire naître une nouvelle vie, si seulement vous le Lui demandez.

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"Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit: Voici, je fais toutes choses nouvelles." (Apocalypse 21:4-5)

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Est-ce mal de prier pour de l'argent ?

Lorsque Jésus nous a dit de «demander et nous recevrons», il n'a pas précisé qu'une chose en particulier était interdite. Pourtant, il y a certaines choses pour lesquelles nous ne sommes pas à l'aise de prier. J'ai connu des gens qui ont refusé de prier pour le soulagement de la souffrance ou pour que la volonté de Dieu soit faite, mais Jésus a prié pour ces deux choses (Matthieu 26:39) la nuit avant sa mort. Certaines personnes ne se sentent pas bien en train de prier pour elles-mêmes, mais Jabez a fait exactement cela (1 Chroniques 4: 9-10) et «Dieu a exaucé sa prière». Cependant, d'après mon expérience, la plupart des gens ont peur de prier pour de l'argent. Dans cet esprit, répondons à la question évidente: est-ce mal de prier pour de l'argent ?

Que dit la Bible sur l'argent ?

Avant de répondre à la question de prier pour de l'argent, regardons ce que la Bible dit sur l'argent :

Tout d'abord, il est clairement mauvais d' aimer l'argent…

Citation :: Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux, et certaines personnes dans leur désir se sont éloignées de la foi et se sont percées de nombreuses douleurs. (1 Timothée 6:10)

Selon Jésus, il est également mauvais de servir de l'argent…

Citation :: "Personne ne peut servir deux maitres. Soit vous détesterez l'un et aimerez l'autre, soit vous serez dévoué à l'un et mépriserez l'autre. Vous ne pouvez pas servir Dieu et l'argent. " (Matthieu 6:24)

Il met également en garde contre la cupidité…

Citation :: "Veillez à vous prémunir contre toute cupidité, car même si l'on est riche, sa vie ne consiste pas en possessions." (Luc 12:15)

Nous ne devons pas prier pour l'argent que nous prévoyons de dépenser bêtement…

Citation :: Vous demandez mais ne recevez pas, parce que vous demandez à tort, de le dépenser pour vos passions. (Jacques 4: 3)

Est-ce mal de prier pour de l'argent ?

Cela dit, abordons la question de la prière pour de l'argent. Jésus reconnaît que notre Père céleste est conscient de nos besoins matériels (Matthieu 6:32). Il nous dit également de demander et nous recevrons (Matthieu 7: 7). Si nous avons les dépenses nécessaires (loyer, nourriture, vêtements, etc.), il n'y a rien de mal à prier pour payer nos factures. Dans mon post précédent, j'ai discuté de la manière inhabituelle dont Jésus a produit l'argent pour payer la taxe du temple.

Pouvons-nous confondre nos «besoins» avec nos «désirs»? Absolument. C'est quelque chose que nous devons apporter au Seigneur dans la prière. Il nous aidera à comprendre cela. En attendant, allez-y et demandez-lui de subvenir à tous vos besoins spirituels et matériels. C'est exactement ce qu'il veut.

Gary Zimak

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