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 L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE

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LucJos
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LucJos


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MessageSujet: L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE   L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE Icon_minitimeMar Oct 18 2016, 15:54


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LucJos
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MessageSujet: Re: L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE   L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE Icon_minitimeMer Oct 19 2016, 15:35

Un journaliste belge et 1 réalisateur néerlandais mettent au jour 1 vaste réseau pédophile
Belga 19/10/2016

Le journaliste belge Peter Dupont et le réalisateur néerlandais Jacco Groen ont passé 17 mois sous couverture dans le monde de la pornographie enfantine. Leur travail a abouti à la plus grande opération de la police philippine en matière de cybersexe, écrivent plusieurs médias néerlandais mardi. Le résultat de leur enquête est un documentaire intitulé 'Grenzeloos misbruikt' diffusé mardi soir sur la chaîne néerlandaise NPO2.

Peter Dupont et Jacco Groen ont mis quatre mois avant de recevoir une adresse aux Philippines. Ce pays est considéré comme un eldorado pour le tourisme pédophile via webcam, où des clients adultes payent pour voir en streaming des enfants être abusés, une pratique considérée comme beaucoup plus sûre que le téléchargement d'images pédopornographiques.

Chaque jour, 750.000 hommes parmi lesquels des Néerlandais, selon les auteurs du documentaire, recherchent des shows à caractère sexuels mettant en scène des mineurs d'âges parfois âgés de deux ans à peine.

Les abuseurs, le plus souvent des membres de la famille ou des voisins, reçoivent des clients 2,50 euros par show et 0,50 euros pour chaque prestation sexuelle exécutée.

Grâce au travail d'enquête des journalistes, la police philippine a pu démanteler le 3 novembre 2015 une maison active dans le cybersexe à Tambacan, un bidonville malfamé de la ville d'Iligan et libérer ainsi 11 enfants âgés de 7 à 17 ans.

Plusieurs arrestations ont également eu lieu à cette occasion tant aux Philippines qu'à l'étranger. Les noms de 600 personnes membres du réseau pédophile et réparties dans 36 pays ont également été identifiés. Mais le travail est loin d'être terminé, la police philippine manquant de personnel pour affronter le problème, selon Jacco Groen.

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LucJos
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MessageSujet: Re: L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE   L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE Icon_minitimeVen Oct 21 2016, 13:02

Pornographie :
« On regarde pour savoir ce qu’aiment les meufs »

L'Assemblée décide d'aborder enfin un problème qui terrifie
parents et professeurs depuis maintenant quelques années.
 

Charlotte d'Ornellas
3 octobre 2016

«J’ai un compliment et un reproche à vous faire», commence le professeur Israël Nisand, gynécologue obstétricien et professeur des universités, à l’adresse du député Jean-Frédéric Poisson. « Le compliment : merci d’organiser cette première rencontre à l’Assemblée nationale sur le thème de la protection de l’enfance contre la pornographie. Le reproche : pourquoi si tard ? »

Le professeur résumait ainsi le soulagement palpable de la salle comme des intervenants : enfin un parlementaire qui accepte de se saisir de ce problème qui terrifie parents et professeurs depuis maintenant quelques années. Réunir autant d’acteurs si différents autour d’une table n’était pas chose facile ! Les convictions de ce député très engagé ne sont un secret pour personne, mais les intervenants ont passé outre les différences, parfois majeures, pour se concentrer sur un sujet qu’ils estiment urgent. La politique comme on l’aime…

Ce vendredi, à l’Assemblée, il y avait donc autour de la table la philosophe et sexologue Thérèse Hargot qui avait jeté un véritable pavé dans la marre en remettant en cause la libération sexuelle dans un ouvrage plébiscité à l’hiver dernier : IVG, homosexualité, contraception… aucun sujet sensible n’avait échappé à sa plume. Israël Nisand, également. Gynécologue qui avait reconnu en mars dernier avoir aidé des homosexuels à avoir des enfants en infraction avec la loi. Grégory Dorcel ensuite, DG d’une industrie de production de films pornographiques dont le chiffre d’affaires dépasse 18 millions d’euros et enfin Marc Vannesson, qui représentait Vers le Haut, un think tank dédié aux jeunes, aux familles et à l’éducation. Peu de point commun à première vue, et pourtant, le même constat : les conséquences d’un accès prématuré (voire un accès tout court pour certains intervenants) à la pornographie sont dramatiques.

Israël Nisand parle crûment. Un collège tout à fait fréquentable l’a récemment sollicité pour intervenir après des fellations collectives organisées dans les toilettes… Première question d’un élève : « Comment se fait-il que les femmes aiment sucer les sexes des animaux ? » Il poursuit : « J’ai entendu parlé de zoophilie dans 100% des collèges dans lesquels je suis intervenu ». De l’autre côté du bureau, Thérèse Hargot approuve et la salle conserve un silence gêné.

Pour la reconnaissance d’un « droit à l’enfance »

Tous s’entendent sur un point : les enfants sont incapables de prendre la moindre distance par rapport à ce qu’ils voient. Pour eux, les images sont le réel, et ces images détruisent la confiance, l’affectivité, le regard et les aspirations de ces enfants. « On regarde pour savoir ce qu’aiment les meufs », est une réponse communément entendue dans ces écoles. Les « meufs », de leur côté, acceptent de faire des choses qu’elles viennent raconter en pleurant le lendemain. Le culte de la performance, la dégradation de la femme, mais également l’enfance volée, tout est évoqué. Marc Vannesson appelle au respect du « droit à l’enfance », Jean-Frédéric Poisson reprend l’expression à son compte : « Les enfants ne sont pas des adultes miniatures », insiste-t-il. Applaudissements dans la salle.

Thérèse Hargot transcende le sujet par une réflexion beaucoup plus large : « Nous avons voulu nous affranchir de l’autorité religieuse, désacraliser la sexualité, et nous en avons fait un objet de consommation, créant ainsi un nid à l’industrie pornographique. Aujourd’hui, cette dernière est vecteur de normes de jouissance, de réussite, d’efficacité, qui sont terriblement angoissantes pour des enfants qui ne peuvent les atteindre. Alors posons-nous la question :  la société que nous voulons est-elle celle de la marchandisation de la sexualité ? » Sa réponse est évidemment non, celle de la salle aussi apparemment.

« La pornographie a dégradé l’image de la femme, mais également celle de l’homme », insiste-t-elle, illustrant son propos par la dernière publicité du site internet adopteunmec.com, qui met en scène deux jeunes femmes qui jettent un homme dans un caddie. Elle cherche des causes profondes : les jeunes garçons qu’elle rencontre sont « adorables » et consomment pourtant du porno « trash ». Elle interroge donc :  « N’est-ce pas une manière de se défouler ? Quelle place laissons-nous à la virilité pour s’exprimer aujourd’hui ? » Même question pour la féminité : « Les femmes reprennent à leur compte des insultes, elles se nomment elles-mêmes putes ou salopes, ou prennent « connasse » comme nom de scène ! » La question reste ouverte, mais le constat est sans appel : en transformant la sexualité en produit de consommation, ce sont l’homme et la femme que nous avons changés.

L’urgence éducative partagée par tous

Mais le sujet discuté ce vendredi matin était la protection des enfants, concrètement : que faire, comment faire ? Difficile d’y répondre.

Israël Nisand plaisante : « Je suis de gauche alors je peux le dire, ce n’est pas sous ce gouvernement que les choses changeront », et poursuit sa dénonciation : « Il y a même des bobos pour trouver encore que la pornographie est le meilleur moyen pour apprendre la sexualité, or nous savons – par des études – que la consommation de ces images n’est pas sans conséquence ». Il développe : « Des études montrent un coefficient de corrélation entre l’âge de la première vue d’une image pornographique, la quantité de consommation de ces images et le rapport à la sodomie dans les premiers rapports sexuels ». Pire encore : « Lors d’une étude, une personne sur cent déclarait avoir un appétit pédophile. Après trois heures de visionnage d’images pédo-pornographiques, on était passé à 12% ». Là encore, le constat est clair : « La pornographie a une influence indéniable sur les pratiques sexuelles des enfants mais également sur celle des adultes ».

Tous veulent commencer par le début : l’application de la loi qui existe déjà ! Elle prévoit en effet la condamnation de ceux qui exposent des images susceptibles d’être vues par des mineurs. Une loi non suivie d’effets. Elle prévoit également trois interventions par an, à l’école, d’un conseiller en vie affective et sexuelle. Peu respectée sur le terrain. Sur les termes, les intervenants ne sont pas tous d’accord : Marc Vannesson semble regretter que l’Éducation nationale prévoit en réalité des cours de sexualité, ce qui n’est évidemment pas la même chose que des conseils en vie affective et sexuelle. Mais tous sont d’accord : arrive un âge ou ces questions doivent être abordées par un tiers, les parents n’étant pas forcément les meilleurs confidents. Même s’ils doivent s’investir aussi ! Sur ce point, Israël Nisand insiste : « Si les parents n’ont pas construits les murs, nous ne pouvons mettre le toit !  Certains enfants n’ont jamais appris à respecter leur corps et là, c’est quasiment foutu ».  Il ne s’agit donc pas d’évincer les parents, mais de les aider.

Un problème majeur, une réponse politique inexistante

Sur l’omerta politique, Israël Nisand a sa petite idée : « Le business ! On parle là d’une industrie qui brasse des milliards de dollars. Sans compter l’idéologie qui continue à penser qu’il est interdit d’interdire… » Malin, il insiste pourtant : « Les députés répondent systématiquement qu’ils ne peuvent rien faire, mais tous les parents sont d’accord avec nous, ça doit donc devenir un argument électoral ! » La salle sourit, mais l’idée ne semble pas être tombée dans l’oreille d’un sourd.


Très concrètement, il propose également que le numéro de carte bleue soit réclamé à la première image pornographique consommée sur internet, afin de contrôler l’âge. Grégory Dorcel intervient : « C’est ce que prévoit justement la loi, mais personne ne l’applique ! ». Israël Nisand poursuit : « Il y a cinq fournisseurs d’accès en France, il suffit de leur dire : première infraction, 10 millions d’euros, deuxième 100 millions d’euros. Ils arrêteront tout de suite, ça remplira les caisses de l’État et les parents voteront pour vous », lance-t-il à Jean-Frédéric Poisson apparemment convaincu. Grégory Dorcel acquiesce largement : c’est une règle qu’il respecte et voit évidemment d’un très mauvais œil le développement de la pornographie sauvage sur internet notamment.

Le gynécologue termine en reprenant une angoisse de Thérèse Hargot : « Que vont devenir les rapports hommes-femmes dans cette génération biberonnée à la pornographie ? » La réponse semble inquiéter l’ensemble des intervenants. C’est pour cela qu’il insiste : « Harcelez vos hommes politiques, réclamez-leur sans cesse ce qu’ils comptent faire ! »  Sur cette discrétion politique, Thérèse Hargot a également son mot à dire : « Ils ne s’engagent pas parce que ça remettrait en cause tout ce qu’ils ont établit pendant des années ! Ils ont déconnecté la personne de son corps, et voilà le résultat ».  Elle insiste, suivie par Marc Vannesson : « La réponse doit être globale, la question de l’éducation sexuelle ne doit pas être réduite à des questions de santé et d’hygiène. Il faut apprendre aux enfants à respecter leurs corps, à découvrir leur identité, à découvrir ce qu’ils sont finalement ».

Marc Vannesson renchérit : « En 2004, une étude a été menée sur 1000 jeunes, la consommation de pornographie est souvent liée à de l’absentéisme scolaire, une forte consommation d’alcool, et parfois même au suicide. Cela ne veut pas dire que la pornographie est responsable de cela, mais que le malaise est global. La réponse doit l’être aussi ». Il poursuit, donnant raison à Thérèse Hargot : « La sexualité est toujours abordée comme une question de santé publique, et trois thèmes sont abordés en priorité. Au primaire : reproduction, changement du corps, égalité homme-femme. Au collège : respect, IVG/contraception, sida. Au lycée : IVG/contraception, sida, respect. Mais n’importe quel professionnel vous dira qu’un tel discours de peur et de protection, alors que l’on parle de liberté, ne peut faire prendre aucune décision ajustée ».

Des enfants fragilisés par des familles détruites

En se basant sur des études très précises, Marc Vannesson réclame plusieurs choses : une réflexion sur l’accès aux écrans des plus jeunes, une éducation affective et sexuelle adaptée à chaque enfant avec implication de la famille. Mais là encore, un bémol : la famille est parfois la source du malaise. « Une étude américaine révèle très clairement que dans les familles divorcées, plus le père a quitté tôt la maison, plus les filles ont une sexualité et parfois même une grossesse précoces ».  Il cite alors une autre étude peu réjouissante de l’OMS conduite dans 40 pays : la France est systématiquement dernière lors que l’on demande aux jeunes s’il est « facile de parler avec son père ou sa mère ». Dans cette étude, une fille française sur quatre répond que le contexte familial n’est pas propice pour aborder les sujets importants. La déconstruction de la famille n’a pas fini de faire parler d’elle…

Interpellé par la salle sur son activité professionnelle, Grégory Dorcel se justifie : « 75% des adultes français consomment aujourd’hui du porno, je réponds à une attente mais j’ai choisi de respecter les règles de mon pays et de protéger les mineurs ». Il confie même financer « discrètement » des associations de protection de l’enfance. Pourquoi discrètement ? « Parce qu’il serait malvenu que nous apparaissions dans des projets éducatifs ! » répond-il immédiatement, et comment lui donner tort. La salle et l’intervenant ne réussiront pas à se mettre d’accord sur le rapport des adultes à la pornographie mais le sujet du jour n’était pas celui-ci.

C’est donc Jean-Frédéric Poisson, organisateur du colloque, qui conclut : « Je vais réfléchir à créer les journées parlementaires de la protection des mineurs contre la pornographie », promettant par ailleurs d’user de « tous ses pouvoirs parlementaires pour questionner le gouvernement sur ce qu’il compte faire, concrètement, pour faire appliquer la loi ».

« À l’année prochaine », lance-t-il en guise de fin, avant que la salle ne réponde : « Avant, même ! ».


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jacquespascal

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MessageSujet: Les signes de beauté de notre société sont pédophile.   L'INTERDICTION D'INTERDIRE ET L'IMMORALITE SEXUELLE Icon_minitimeSam Oct 22 2016, 08:09



Il y a déjà quelques mois Axel red , une chanteuse pop française dénonçait cette société aux mœurs pédophile.

Dans l'émission "on n'est pas couché" elle expliquait ses propos.



Extrait de l'article (...)Ce samedi, Axelle Red était invitée par Laurent Ruquier à « On n'est pas couché » sur France 2. La chanteuse a pu glisser quelques mots sur son nouvel album "The Songs" reprenant ses plus grands tubes en version acoustique avant d'être taquinée et interrogée sur tout autre chose par les chroniqueurs de l'émission.

Ce soir-là, Léa Salamé avait décidé de revenir sur une déclaration d'Axelle Red qui avait affirmé en octobre dernier qu'"une femme sans poil" ressemblait "à un enfant". Loin de ne plus s'y reconnaître, la mère de trois adolescentes a persisté : "Les filles de nos jours, les adolescentes, elles ne savent plus si on a le droit d'avoir un poil. Et moi je trouve, très sincèrement, que c'est le résultat d'une société pédophile. Quand on voit les signes de beauté qu'on a dans notre société, ce sont très souvent des signes d'enfance."Pour sa part, elle déplore de "vouloir enlever tous ses poils, jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus aucun".

La chanteuse n'a jamais caché ses combats féministes pour les droits des femmes et s'est toujours mobilisée contre les violences, les abus sexuels, le trafic humain, ...

Yann Moix a conclu en déclarant ensuite "Eh bien je viens de me faire traiter de pédophile ce soir..." Et à la question de Laurent Ruquier qui lui demande si les femmes d'âge mûr peuvent faire aussi une épilation intégrale, Axelle Red préfère aussi tackler en ironisant...


source :http://www.lalibre.be/lifestyle/people/axelle-red-denonce-la-chasse-aux-poils-imposee-par-la-societe-56e6801a35702a22d55c33bd
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