Stan
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Québec, Canada
| Sujet: Le chrétien est un « Christophore », c’est-à-dire un porteur du Christ Dim Avr 24 2016, 19:51 | |
| - Citation :
Le chrétien est un « Christophore », c’est-à-dire un porteur du Christ
« À partir du jour de notre baptême, il est donné à chacun de nous un nouveau nom, en plus de celui que nous donnent déjà maman et papa, et ce nom est “Christophore”, a dit le pape. C’est le nom de notre attitude, une attitude de porteurs de la joie du Christ, de la miséricorde du Christ. »
« En tant que chrétiens, nous avons la responsabilité d’être missionnaires de l’Évangile », a souligné le pape.
Communiquer la joie de l’Évangile ne signifie pas « faire du prosélytisme », a expliqué le pape, « c’est faire un cadeau ». Les premiers disciples du Christ se sont empressés de partager la joie de leur rencontre avec Lui : « André est aussitôt allé le dire à son frère Pierre (cf. Jn 1,40-42), et Philippe a fait de même avec Nathanaël (cf. Jn 1,45-46). » Parce que « rencontrer Jésus, c’est rencontrer son amour, a dit le pape. Cet amour nous transforme et nous rend capables de transmettre à d’autres la force qu’il nous donne. »
« La miséricorde que nous recevons du Père ne nous est pas donnée comme une consolation privée, a-t-il souligné, mais elle fait de nous des instruments afin que d’autres puissent aussi recevoir le même don. »
Le pape a mis l’accent sur la « circularité étonnante » qui existe entre la miséricorde et la mission : « Vivre de la miséricorde nous rend missionnaires de la miséricorde, et être missionnaires nous permet de grandir toujours plus dans la miséricorde de Dieu », a-t-il dit.
« Prenons donc au sérieux notre identité de chrétiens et engageons-nous à vivre en croyants », a demandé le pape à la fin de la catéchèse. Cela permettra de « recevoir cette grande miséricorde de Dieu qui accueille tout le monde ».
Source : https://fr.zenit.org/articles/le-chretien-est-un-christophore-cest-a-dire-un-porteur-du-christ/
Stan _________________ "Une pieuse réserve sur ce qui nous échappe vaut mieux qu'une âpre discussion sur ce dont on est incertain" (Adam de Perseigne)
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