Stan
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Québec, Canada
| Sujet: Belgique : Des banquets de l’indignité pour soutenir l’euthanasie des enfants Lun Fév 10 2014, 12:33 | |
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Belgique : Des banquets de l’indignité pour soutenir l’euthanasie des enfantsLe Parti Socialiste, heureux de voir se réaliser le projet d’euthanasie des enfants malades, organise aujourd’hui un grand banquet militant. Egalement une manière de moquer la journée de jeûne et de prière de l’Eglise belge.Nos confrères du groupe Sud Presse relayent une initiative controversée du Parti Socialiste: l’organisation d’un grand banquet destiné à soutenir l’euthanasie des enfants malades, qui devrait être votée la semaine prochaine à la Chambre des représentants. Il prendra place à Huy, ce soir. Si ce rendez-vous gastronomique a pour but de se réjouir du vote sur l’euthanasie des enfants malades, le but est également de se moquer publiquement de la journée de jeûne et de prière lancée par l’Eglise catholique. Alors que le monde entier avait applaudit à l’initiative de jeûne du pape François pour la paix en Syrie, on peut se demander ce qui pousse ces militants à se gausser ouvertement des catholiques qui prieront aujourd’hui dans toute la Belgique.
Cette initiative choque les nombreuses personnes, car la faim est une réalité en Belgique. Une réalité qui ne peut pas être moquée ou utilisée pour la petite guéguerre stérile entre catholiques et laïcs. Une réalité dont souffre plusieurs milliers de personnes en Belgique. Le Parti Socialiste est-il à ce point déconnecté de la réalité sociale des plus précarisés? A titre d’exemple, les épiceries sociales de la Croix-Rouge doivent venir en aide à plus de 3.500 personnes chaque année. 3.500 personnes qui s’estimeront légitimement humiliées par ce banquet pour l’euthanasie des enfants.Source : http://info.catho.be/2014/02/06/des-banquets-de-lindignite-pour-soutenir-leuthanasie-des-enfants/#.Uvj0Mc7TvIX
Stan _________________ "Une pieuse réserve sur ce qui nous échappe vaut mieux qu'une âpre discussion sur ce dont on est incertain" (Adam de Perseigne)
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