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 Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES

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André Dominique

André Dominique


Date d'inscription : 15/09/2010
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MessageSujet: Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES   Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES Icon_minitimeSam Nov 09 2013, 05:57

La révolte des bonnets rouges

http://p.ribot.free.fr/bonnetrouge.htm

Citation :

L’histoire de la révolte des bonnets rouges

« Cette révolte appelée aussi révolte du papier timbré fut l'une des plus sanglantes de l'histoire de la Bretagne. En 1673, Colbert veut lever de nouveaux impôts en Bretagne: la gabelle et le papier timbré (qui taxe tout document officiel). Or, depuis l'union de la France et de la Bretagne en 1532, tout nouvel impôt doit être accepté par les Etats généraux de Bretagne. Bien sur, ceux-ci s'opposent à cette taxe supplémentaire mais Louis XIV passe outre.

Dans un contexte économique difficile, la contestation s'étend aux campagnes bas-bretonnes. L'explosion a lieu à proximité de Châteaulin le 9 juin. La révolte des Bonnets rouges du Poher et des Bonnets bleus du pays bigouden vient de commencer. Son souvenir et celui de la répression qui suivra, va marquer durablement les esprits en Basse Bretagne.

Le 9 juin 1675 au matin, le marquis de la Coste, lieutenant du roi pour la Basse Bretagne, se rend à Châteaulin, où il doit s'assurer du maintien de l'ordre et de l'exécution des nouveaux édits sur le tabac et le papier timbré qui servait à rédiger les actes

Quelques jours plus tôt, un huissier avait été molesté dans cette même ville, alors qu'il lisait les textes des édits. Un incident révélateur de la tension qui était alors perceptible dans les campagnes bas-bretonnes, même si elles sont relativement calmes par rapport aux villes de Bretagne, secouées par de violentes émeutes depuis avril. Des troubles ont éclaté à Saint-Malo et Lamballe. A Guingamp et à Nantes, on a exécuté des meneurs. A Rennes, le gouverneur de Bretagne, le duc de Chaulnes, est pratiquement assiégé dans son hôtel.

Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES Bonnets1

Le tocsin sonne

Dans ce contexte, la venue du marquis de la Coste est perçue comme une provocation. Dans trente paroisses autour de Châteaulin, le tocsin retentit et des bandes de paysans en armes s'assemblent.
L'une d'elles rencontre le cortège du marquis. Les esprits s'échauffent et De la Coste blesse d'un coup d'épée un des paysans qui tenait des propos insolents. Les agents de l'administration sont aussitôt pris à parti.. Blessé d'une balle à l'épaule, le marquis de la Coste ne doit son salut qu'en promettant l'annulation des édits. Au même moment, une autre troupe rassemblée à Briec reçoit une fausse information selon laquelle le marquis se trouve au château de la Boissière à Edern. Des dizaines de paysans des paroisses de Landudal, Trégourez et Plogonnec se rendent au château qu'ils pillent et brûlent en partie.

"Nulle sûreté par la campagne"

Le tocsin de la révolte vient de sonner dans l'évêché de Cornouaille et son retentissement est immédiat. Le duc de Chaulnes quitte Rennes pour la citadelle de Port-Louis où il s'enferme en attendant des troupes en provenance du sud de la France. De Gonville, commissaire des guerres, écrit à Louvois, ministre des armées : "Il n'y a, Monseigneur, nulle sûreté par la campagne, il n'y a que les plus proches de Brest où le calme est". Les insurgés du Poher choisissent un bonnet rouge comme signe de ralliement, ceux du pays bigouden, un bonnet bleu.

Le premier dimanche de juillet 1675, à Spézet, une foule importante se rassemble devant la maison du notaire Porcher. "Ils se mirent à fouiller toute ladite maison et à esfondrer les coffres, armoires et autres meubles", témoigna Ysabeau Bouriquen, la servante de maître Porcher. Quant au papier timbré, servant aux actes notariaux, "après les avoir fait trier, ils en déchirèrent une grande partye et en emportèrent à brassées, hors ladite maison".
Le 11 juillet, près de 6.000 paysans de Saint-Hernin, Kergloff et des paroisses environnantes prennent d'assaut le château de Kergoat à Saint-Hernin, dont le propriétaire, Toussaint de Trevigny, était connu pour sa dureté contre les paysans et avait déjà eu affaire, ponctuellement, à des actes de révolte. Les insurgés tuent l'intendant, le sieur de Kervilly, et plusieurs serviteurs. Les tires et parchemins sont détruits, les canons enlevés et le château brûlé. En ce mois de juillet 1675, les notaires, les "fermiers du devoir " et les nobles sont partout attaqués et le papier timbré brûlé. La révolte passée, la marquise de Montgaillard de Poullaouen, estimera "à plus de 200 maisons de noblesse", le nombre de manoirs et châteaux pillés.

Le code paysan

Le code paysan ou code "pesovat" (ar pezh 'zo vat, ce qui est bon, en breton) est une des originalités de cette révolte. Véritable programme politique, les insurgés y exposent leurs revendications. Ils demandent l'abolition de droits et taxes féodales et une justice équitable.
Le code paysan étonne l'Europe, l'ambassadeur de Venise en France en fait mention, comme certaines gazettes hollandaises et anglaises. C'est un texte bien construit, écrit sans doute par un ou plusieurs juristes.

Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES Bonnets2

Le 2 juillet 1675 à la chapelle Notre-Dame de Tréminou, en Plomeur, quartier général des insurgés, les représentants des paroisses soulevées se réunirent et rédigèrent le "code paysan". Ce "règlement" fait par les nobles habitants de quatorze paroisses depuis Douarnenez jusqu'à Concarneau provient des paysans les plus instruits et les plus modérés qui ont rédigés les cahiers de doléance de 1789.

Or, le meneur le plus célèbre des Bonnets rouges, Sébastien Le Balp, a eu une formation de juriste. Né en 1639, à Poullaouen, il fut remarqué très tôt par le marquis du Tymeur qui l'envoya faire du droit à Nantes. Revenu dans le Poher, Le Balp s'installe comme notaire royal à Kergloff. Accusé de malversations, il est jeté en prison de 1673 à 1675. Il est relâché faute de preuve, à la veille de l'insurrection.

Sébastien Le Balp à la tête de la révolte

La révolte en centre Bretagne va trouver un chef dans ce notaire à la réputation ruinée. Les événements passés, un des bourgeois de Carhaix témoigne qu'il s'était "acquis une telle réputation parmi les paysans révoltés [...] qu'il s'était fait passer pour le chef, que lesdits révoltés suivaient entièrement ses ordres pour sonner les tocsins, pour s'attrouper et s'assembler où il voulait, que pendant la sédition, il a été le premier en tête, à tous les incendies, pillages et désordres". Le comte de Boiséan, gouverneur de Morlaix, ne s'y trompe pas en écrivant, le 26 juillet, au marquis de Montgaillard : "Je crois que s'y pouviez gagner leur chef ou lui faire couper la gorge, tout ce parti se réduirait en fumée". Le marquis de Montgaillard qui entretient des rapports ambigus avec les insurgés, était en effet arrivé par ruse à les dissuader de marcher sur cette ville. La prise du port de Morlaix aurait permis aux Bonnets rouges de recevoir le renfort d'une escadre hollandaise qui croisait alors dans la Manche.
En représailles, le manoir du Tymeur en Poullaouen, appartenant à Montgaillard, est pillé et en partie brûlé. Mais Le Balp ne rompt pas ses relations avec le marquis. En effet, les insurgés savent que des troupes royales sont en route pour la Bretagne. Or, pour espérer leur résister militairement, il leur faut un professionnel de la guerre. Sébastien Le Balp tente de persuader Montgaillard, ancien officier de l'armée royale, de prendre la tête des troupes insurgées.

Le Balp tué à Poullaouen

Sébastien Le Balp entend réunir 30.000 hommes en armes le 3 septembre au manoir du Tymeur. Il compte ensuite marcher sur Carhaix et Quimper, puis affronter les troupes du duc de Chaulnes. Arrivé au Tymeur la veille au soir, avec 2.000 hommes, Sébastien Le Balp s'isole pour s'entretenir avec le marquis de Montgaillard et le frère de celui-ci. Mais ce dernier, vers minuit, s'empare d'une épée et transperce la gorge du chef des insurgés. Les deux nobles parviennent ensuite à s'enfuir en semant la confusion chez les Bonnets rouges complètement démoralisés par la mort de leur meneur. Dans le même temps, les troupes fraîches qu'attendait le duc de Chaulnes arrivent en Bretagne. Le 1er septembre, elles sont à Quimper, du 4 au 18 dans le Poher, le 20 à Morlaix, le 12 octobre, elles pénètrent dans Rennes. En l'absence de rébellion organisée, l'expédition se transforme en promenade de santé pour les troupes royales. Pour les habitants des paroisses révoltées, en revanche, c'est le début d'une longue épreuve.

Une répression sans pitié

Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES Bonnets3

Les meneurs qui sont capturés sont pendus aux clochers ou aux arbres bordant les châteaux pillés par les rebelles. Au milieu de la répression, le duc de Chaulnes a cette phrase terrible : "Les arbres commencent à avoir le poids qu'on leur donne". Plusieurs clochers du pays bigouden qui avaient sonné le tocsin de la révolte sont rasés. Ceux de Lanvern, Languivoa en Plonéour-Lanvern et Lambour à Pont-l'Abbé n'ont jamais été reconstruits.  A Rennes, un faubourg est entièrement rasé et les Etats de Bretagne, réfugiés à Vannes, sont obligés de verser une contribution de trois millions de livres au trésor de guerre, une somme colossale. La reprise en main est aussi idéologique avec les missionnaires du père Maunoir, envoyés ré évangéliser les campagnes rebelles. Quant au corps de Sébastien Le Balp, il est exhumé. On fait un procès à son cadavre qui est ensuite traîné sur une claie, rompu et exposé sur une roue. Après avoir soufflé le temps de l'été 1675, la révolte des Bonnets rouges s'éteint tragiquement dans une longue répression ».

Erwan Chartier
Depuis hier, j'ai cette parole au coeur :

"Qui vit par l'épée périra par l'épée."

Citation :

Vent de panique au sommet de l’État

C’est un article qui vient de paraître sur le site d’Europe 1. Il n’y a donc aucune raison de croire qu’ils aient tort dans les informations qu’ils nous rapportent.

Figurez-vous que Hollande et Ayrault « consultent des élus de la majorité pour comprendre ce qui ne marche pas ».

Comme nos zélus semblent un peu dépassés et ne comprennent pas du tout ce qui se passe – ce qui en dit très long sur leur capacité de compréhension et d’analyse – peut-être que quelques lecteurs parmi vous auront la grande bonté et l’infinie bienveillance de faire parvenir à notre Président quelques éditions du Contrarien Matin. Si vous êtes d’accord, je peux même offrir un abonnement gratuit à tout le gouvernement. Cela leur serait certainement très utile… passons. Voici la suite de l’article : accrochez-vous, c’est énorme !

« Qu’est-ce qui cloche ? Fronde sociale un peu partout en France, chiffres du chômage toujours inquiétants et sondages en berne… C’est le sauve-qui-peut à tous les étages pour l’exécutif, raconte à Europe1 un député socialiste pourtant expérimenté et habitué des tempêtes politiques. Selon nos informations, cette panique s’incarne dans des saynètes qui se jouent ces jours-ci au plus près du pouvoir. À Matignon, c’est le Premier ministre, qui depuis quelques semaines, consulte les parlementaires par fournées : deux rendez-vous hebdomadaires, un déjeuner et un apéritif dînatoire. « Dites-moi ce qui ne marche pas, ce qui n’est pas compris », interroge Jean-Marc Ayrault qui écoute, prend des notes… »

Hahahaha, lis le contrarien espèce de nodocéphale… (mot savant désignant une tête de nœud). C’est simple, messieurs les mamamouchis. Pour essayer de comprendre les problèmes des vrais gens de la France d’en bas, vous vous réunissez entre-vous pour des apéritifs dînatoires préparés par vos grands chefs cuisiniers… Vous savez, avec une telle approche, vous êtes globalement sûrs de continuer à ne rien comprendre et en plus à créer un agacement encore plus grand puisque vous vous empiffrez pendant que le Secours Catholique tire la sonnette d’alarme sur la misère dans laquelle tombent nos concitoyens chômeurs en fin de droits…

« Hollande acte l’idée d’un remaniement. Valls, responsable de tous les maux ? À l’Elysée aussi, le président de la République reçoit les élus le mardi par douzaines. « Il cherche des solutions », confie un député à Europe 1, « et nous on a l’impression que le Président ne sait pas où il va ». Mais il y a plus éloquent encore sur cette impression que plus rien ne tient. Mardi soir à Matignon, au milieu de 30 parlementaires, Jean-Marc Ayrault s’énerve : « Si on n’avait pas été pollué par les Roms, il aurait été plus simple d’expliquer notre politique économique. » Devant les élus médusés, le Premier ministre vient d’étriller littéralement son ministre de l’Intérieur Manuel Valls, qui, selon un récent sondage, arrive en tête des personnalités de gauche pour lui succéder à Matignon, avec 30 % des sondés souhaitant sa nomination. »

J’ai beaucoup aimé cette remarque d’une profondeur surprenante sur le fait que c’était la faute aux Roms… D’abord, c’est une expression très stigmatisante pour nos pauvres Roms, donc ce n’est pas très socialiste comme propos mon cher Jean-Marc, sans compter que pour le coup, les pauvres Roms n’y sont pour rien. C’est la prison idéologique des socialistes qui les amène dans cette impasse. Personne n’a forcé Hollande à aller parler à la télé comme le dernier des sous-préfets de province un samedi après-midi pour gérer la crise d’adolescence d’une petite crétine de 15 ans en train de poser ses exigences à la République. Le problème ce n’est ni les Roms, ni Leonarda mais l’incapacité de nos zélites socialistes d’appeler un chat un chat, un voleur un voleur, un délinquant un délinquant en dehors de toute considération de couleur, d’origine, de caste ou de milieux social. Or le paradoxe français, c’est d’adorer la liberté et la chienlit mais certainement pas l’anarchie et la criminalité. On peut être de gauche, profondément généreux, ouvert, tolérant, et considérer qu’un criminel est… un criminel et que ce bordel ambiant, ça suffit !

« La courbe du chômage ne s’inversera probablement pas. Autre lieu, autre scène : lundi à Saint-Etienne. Quatre ministres sont en déplacement. Parmi eux, Arnaud Montebourg. Le ministre du Redressement productif a le blues, et pour cause. Il confie à un élu local : « Je crois qu’on ne va pas réussir l’inversion de la courbe du chômage, j’ai une avalanche de plans sociaux qui arrive. » L’élu blêmit : cette inversion, c’était la seule bonne nouvelle en vue sur laquelle François Hollande jouait ce qui lui reste encore de crédibilité. »

Mais bon sang de bois, bande d’ectoplasmes, cela fait un an que je vous dis qu’il faut que vous la fermiez sur votre inversion de la courbe du chômage, qu’elle n’aura pas lieu, c’est une impossibilité économique, et c’est le plus grand des pièges politiques dans lequel le Président et le gouvernement sont tombés à pieds joints !
Il ne faut pas faire de fausses promesses, surtout sur un sujet aussi sensible actuellement, tant nos compatriotes ont soit peur de l’avenir soit sont touchés directement ou par leurs proches par le fléau du chômage. Nous savons tous que les gens perdent leur boulot, pas qu’ils en trouvent tous les jours un nouveau ! Au café, au bar, au comptoir, à l’école, chez le coiffeur, partout les Français ne parlent que de cela… le chômage !

« Mais un autre député s’inquiète surtout de l’image déplorable qu’ont les institutions financières internationales et les Français du président de la République, moins de deux ans après son entrée à l’Elysée. « Le doute qui s’exprime sur les marchés, ce n’est plus sur notre cap, mais sur la personnalité d’Hollande, sur sa personne », confie-t-il. Et d’ajouter : « Les gens nous disent ‘il n’est pas à la hauteur’ ». Un autre élu confirme : « Il a galvaudé sa parole sur Leonarda, il faut qu’il reprenne la parole fortement auprès des Français, qu’il prenne de la hauteur. » François Hollande en aura peut-être l’occasion le 11 novembre lors des commémorations de la Première Guerre mondiale. »

François Hollande, aussi sympathique soit-il, ne changera pas. Il ne s’est pas présidentialisé. Il n’a aucun courage. Aucune compétence d’ailleurs. Pour tout dire, c’est l’ensemble de ce gouvernement qui respire l’incompétence et la nullité crasse sans oublier l’amateurisme.

Ils sont tout simplement lamentablement mauvais à peu près sur tout ! Mais on ne peut pas se réjouir d’un tel constat, car cela met en grand danger notre pays et sa stabilité sociale.
Un nouveau gouvernement ne changera rien. Un nouveau premier sinistre, fut-il Valls, n’apportera rien qu’un répit de quelques semaines tant notre gauche reste engluée dans une idéologie totalement dépassée. Une dissolution n’est pas plus la solution tant notre droite n’a pas envie de revenir aux affaires dans cette situation catastrophique et elle risquerait fort de ne pas être plus imaginative.

Alors, il ne reste plus que la lente descente aux enfers pour notre pays, la montée des tensions, jusqu’à la révolution. Et n’imaginez pas que je la souhaite, je la redoute et cela fait des mois que je mets en garde sur les risques de quasi guerre civile qui pèse sur notre pays, et soyons clair, il n’y a jamais pire scénario.

Charles SANNAT                                http://www.lecontrarien.com/

J'implore tout Chrétien à axer sa "révolution propre" sur "l'ESPRIT SAINT" et non pas selon l'esprit du monde car l'histoire nous démontre où tout cela aboutit ...
La Vie dans l'ESPRIT SAINT aboutit à ceci :

"Qui vit par l'ESPRIT SAINT vivra par l'ESPRIT SAINT !"
"Dans la MAin du PERE des CIEUX tu subsistera !
"A JESUS CHRIST, tu ressembleras !"


La seule porte de salut réside dans la FOI à JESUS CHRIST !
Par notre véritable conversion, il importe que nous donnions à DIEU de pouvoir interagir dans le monde !
Face AU DIEU VIVANT et VAINQUEUR, nos lamentables ennemis sont réduits à l'impuissance !
C'est la seule voie de salut, de sauvegarde et de préservation que j'arrive à percevoir ...

Pour en revenir aux grandes manifestations de début d'année où nous avons vu et constater à quel point nos dirigeants et ceux qui leur obéissent peuvent sans scrupule aucun gazer les enfants, femmes et vieillards ... demain ils n'hésiteront aucunement à tirer à balles réelles !!!
Les "morts de cœur", "les cadavres spirituels ambulants", ceux qui profitent à fond du système spoliateur ne se laisseront pas facilement délogés de leurs "avantages" ...
Le démon, se frotte déjà les mains !

Il ne convient pas que les "vivants en Dieu" suivent la "voie du monde", par des actes contraires à la Charité, se fassent déposséder de la "Vraie Vie en Dieu", se voient privés de l'ESPRIT SAINT et par conséquence livrés aux mains de l'ennemi ...
Nous ne sommes pas de ce monde et c'est déjà VAINQUEUR par notre appartenance au ROYAUME DES CIEUX que nous avons tous à régner sur ce monde de "fous insensés" !

La duperie du monde est de nous amener à nous rompre de Dieu > l'apostasie, à nous rendre poings et pieds liés au pouvoir du démon !
Qu'il aille se faire voir, l'impuissant !!!
Si nous gardons et préservons dans la fidélité de la FOI en DIEU, rien ne peut nous arriver si le TRÈS HAUT ne le permet ... de ce fait nous pouvons TOUT ESPÉRER et surtout nous permettre tant et tant de "faits glorieux" face à nos ennemis impuissants ...

Alors quand une certaine révolution aboutit à ceci :

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Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES Quimper06

Histoire : LA REVOLTE DES BONNETS ROUGES Quimper07

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Sourires,
Ce qu'il convient de faire :
- ne plus faire avec ce système,
- réagir d'une façon toute nouvelle,
- rentrer dans la désobéissance active,
- cesser d'être, les proies de ces sangsues bouffis de notre sang économique ...

Seigneur Dieu, comble nous de tous les dons dont tu nous as gratifié par ton offrande sacrificielle sur la Ste CROIX !

En ce jour où nous fêtons la Dédicace de la Basilique du Latran, l'Eglise nous propose de reprendre conscience de qui nous sommes :

Citation :


HOMELIE DE S. CÉSAIRE D'ARLES POUR L'ANNIVERSAIRE D'UNE DÉDICACE


Nous célébrons aujourd’hui dans l’allégresse, frères bien-aimés, l’anniversaire de cette église, avec la grâce du Christ. Mais c’est nous qui devons être le temple de Dieu, son temple véritable et vivant. Les peuples chrétiens ont bien raison de célébrer avec foi cette solennité de la Mère Église, car ils savent qu’ils sont renés spirituellement par elle. Si, par notre première naissance, nous étions pour Dieu des objets de colère, par la seconde naissance, nous sommes devenus les objets de sa miséricorde. La première naissance nous a engendrés à la mort, la seconde nous a rappelés à la vie.

Tous, frères très chers avant le baptême, nous avons été des temples du diable ; après le baptême, nous sommes devenus des temples de Dieu ; et si nous réfléchissons attentivement au salut de notre âme, nous savons que nous sommes le temple véritable et vivant de Dieu. Dieu n’habite pas seulement dans des temples faits de la main de l’homme, ni dans une demeure de bois et de pierres, mais principalement dans l’âme créée à l’image de Dieu, par la main du Créateur lui-même. C’est ainsi que saint Paul a dit : Le temple de Dieu est saint, et ce temple, c’est vous.

Et puisque le Christ est venu pour chasser le démon de nos cœurs, afin de se préparer un temple en nous, travaillons autant que nous le pouvons, avec son aide, à ce qu’il ne subisse pas en nous d’outrage, à cause de nos mauvaises actions. Car celui qui agit mal outrage le Christ. Comme je l’ai dit, avant que le Christ nous eût rachetés, nous étions la demeure du démon ; ensuite nous sommes devenus la demeure de Dieu : Dieu a daigné faire de nous sa demeure. Par conséquent, mes très chers, si nous voulons célébrer dans la joie l’anniversaire d’une église, nous ne devons pas détruire en nous, par de mauvaises actions, les temples vivants de Dieu. Et je dis cela pour que tous puissent comprendre : chaque fois que nous venons à l’église, nous devons préparer nos âmes pour qu’elles soient telles que nous voulons trouver cette église.

Tu veux trouver une basilique brillante ? Ne souille pas ton âme par la saleté des péchés. Si tu veux que la basilique soit éclairée, et Dieu aussi le veut, que la lumière des bonnes œuvres brille en nous, et celui qui est aux cieux sera glorifié. De même que tu entres dans cette église, c’est ainsi que Dieu veut entrer dans ton âme, comme lui-même l’a dit : J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux.

http://www.aelf.org/office-lectures
André Dominique

_________________
"J'écris seulement si quelque chose me coule du cœur jusqu'aux mains."
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