Stan
Date d'inscription : 30/08/2010 Localisation : Québec, Canada
| Sujet: Des choses que l'on ne tient pas vraiment à faire connaître lorsqu'on parle de l'avortement comme d'une libération pour les femmes... Mar Juin 18 2013, 13:03 | |
| Des choses que l'on ne tient pas vraiment à faire connaître
lorsqu'on parle de l'avortement
comme d'une libération pour les femmes... - Citation :
- Une actrice indienne se suicide faute d'avoir pu surmonter la dépression liée à son avortement. La mort de Jiah Khan serait aussi liée à des abus présumés de la part de son partenaire. Le taux de suicide est six fois plus élevé chez les femmes ayant avorté.
L'actrice anglo-indienne Jiah Khan, qui avait tourné dans d'importantes productions de Bollywood, s'est suicidée à Mumbai aux environs du 2 juin, faute d'avoir pu surmonter la dépression causée par son avortement ainsi que par des abus présumés de son conjoint, d'après les informations d'Aciprensa. La défunte a laissé une lettre, trouvée par sa soeur, dans laquelle elle expliquait à son partenaire les raisons de son geste. "J'ai avorté notre bébé", dit cette jeune femme de 25 ans, "et cela m'a profondément meurtrie. J'avais peur de continuer cette grossesse, et je me suis entièrement confiée à toi", dit l'actrice à son ami, Suraj Pancholi, et elle l'assure que "ce que tu m'as fait souffrir tous les jours a détruit chaque parcelle de moi-même, a détruit mon âme." "Je ne peux plus manger ni dormir, ni penser ni fonctionner", dit-elle pour expliquer son suicide. "Je veux échapper à tout ça. La douleur, la violence, les abus, la torture que j'ai souffert, je ne méritais pas ça". Cette lettre a étė découverte par la soeur cadette de Jiah, et diffusée par sa mère, afin de démentir certaines spéculations de la presse indienne selon lesquelles son suicide aurait été lié à des problèmes de carrière de l'actrice. La police confirme que, comme l'indique sa lettre, Jiah a bien subi un avortement début 2013, réalisé par voie médicamenteuse d'après son médecin. Le syndrome post-avortement est un type de trouble lié à un stress post-traumatique, reconnu scientifiquement, et qui se traduit par des symptômes comme cauchemars, insomnie, alcoolisme, agressivité ou dépression, psychose et suicide. La plus grande organisation au monde militant en faveur de l'avortement, la Fédération Internationale de Planning Familial, a reconnu dans son Plan Triennal 1990-1993 que "l'incidence du traumatisme post-abortif peut atteindre jusqu'à 91% des cas chez les clientes ayant subi un avortement chirurgical". Une étude réalisée en Finlande en 1996 et publiée dans le British Medical Journal relève que le taux de suicide est six fois plus élevé chez les femmes ayant avorté que chez celles ayant enfanté.
Source : https://www.facebook.com/pages/Evang%C3%A9liques-Pour-La-Vie/345157668934499 Stan _________________ "Une pieuse réserve sur ce qui nous échappe vaut mieux qu'une âpre discussion sur ce dont on est incertain" (Adam de Perseigne)
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misi
Date d'inscription : 11/05/2013 Age : 72 Localisation : B-6220 - Fleurus
| Sujet: Re: Des choses que l'on ne tient pas vraiment à faire connaître lorsqu'on parle de l'avortement comme d'une libération pour les femmes... Mar Juin 18 2013, 13:30 | |
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loumy29
Date d'inscription : 19/01/2013
| Sujet: Re: Des choses que l'on ne tient pas vraiment à faire connaître lorsqu'on parle de l'avortement comme d'une libération pour les femmes... Mar Juin 18 2013, 15:07 | |
| c'est tellement triste...
L'avortement est la 1ère cause de mortalité dans le monde , des millions et des millions de vies humaines ont été tuées... _________________ Jésus: "Gardez les yeux sur Moi car le monde est cette eau, semblable à des rivières en furie, dans laquelle vous allez vous enfoncer et où vous pouvez être engloutis – mais c'est là que vous devez faire confiance".
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| Sujet: Re: Des choses que l'on ne tient pas vraiment à faire connaître lorsqu'on parle de l'avortement comme d'une libération pour les femmes... | |
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