Taubira veut imposer la théorie des genres aux magistrats

Le ministre de la Justice, Christiane Taubira a convoqué le lundi 3 juin à Paris les magistrats, les invitant à assister à un stage de formation sur « les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre ».

Il s’agit tout d’abord d’une preuve supplémentaire (en aviez-vous besoin ?) du totalitarisme libertaire et LGBT. Le "Progrès" imposé. C’est ensuite une insulte faite à l’indépendance de la Justice en France qui, selon Madame Taubira, devrait se plier aux idéologies du moment. Enfin, conséquence des deux éléments, nous avons ici la confirmation que le gouvernement entend institutionnaliser et judiciariser la théorie des genres.

On ne lâche rien.

Louis Jaeger

http://www.lerougeetlenoir.org/les-breves/taubira-veut-imposer-la-theorie-des-genres-aux-magistrats?var_mode=calcul

Citation :

Stage de propagande sur l'idéologie du genre pour les magistrats

Lundi 3 juin, les magistrats sont convoqués à Paris pour assister à un stage de formation sur « les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre ».

L’insistance et le ton employé par le ministère pour obliger les magistrats à assister à cette formation a provoqué la colère du principal syndicat de magistrat, l’USM. Dans un courrier adressé le 30 mai à la Garde des Sceaux, l’USM s’inquiète :

« Les conditions d’organisation de cette réunion sont symptomatiques de difficultés récurrentes, en contradiction avec les déclarations laissant croire à un assouplissement du lien hiérarchique entre les parquets et le ministère de la justice. Les interlocuteurs naturels de la chancellerie, comme le rappelle le projet de loi, sont les procureurs généraux, du fait de leur statut et des moyens matériels mis à leur disposition. Tel n’est pas le cas des autres magistrats des parquets et parquets généraux qui n’ont pas vocation à sacrifier une partie de leur week-end pour se déplacer et être à Paris, un lundi matin à 9 heures. Le ton comminatoire employé par la directrice des affaires criminelles et des grâces (…), pour ordonner leur présence et imposer (de quel droit ?) leur participation à un stage de deux jours organisé dans le prolongement de cette réunion est à cet égard totalement inadmissible. »

Michel Janva

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Stan