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 Enseignement, Le premier commandement de Dieu

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AuteurMessage
Céline.
Admin
Céline.


Date d'inscription : 29/08/2010
Localisation : Canada

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MessageSujet: Enseignement, Le premier commandement de Dieu   Enseignement, Le premier commandement de Dieu Icon_minitimeDim Avr 29 2012, 13:57

ENSEIGNEMENT

CATÉCHISME POUR LES ADULTES

.


TRENTE ET UNIÈME LEÇON
(Première partie du cours)



LE PREMIER COMMANDEMENT DE DIEU
Enseignement, Le premier commandement de Dieu Cate042bDEMANDE : Quel est le premier Commandement ?
RÉPONSE : Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement.
DEMANDE : Qu'est-ce que Dieu nous ordonne par ce premier Commandement ?
RÉPONSE : Par ce premier Commandement, Dieu nous ordonne de l'adorer humblement et de l'aimer de tout notre cœur.

Par le premier Commandement, Dieu nous ordonne deux choses :
1°) de l'adorer,
2°) de l'aimer.
Je ne vous parlerai que de la première de ces obligations qui du reste renferme la seconde. Le mot adorer, pris dans sa signification littérale, signifie porter la main à la bouche, baiser sa main par un sentiment de vénération. Dans tout l'Orient, ce geste est une des plus grandes marques de respect et de soumission. "Ceux qui adorent, dit saint Jérôme, ont coutume de baiser la main". Il est dit dans le troisième livre des Rois : « je me réserverai sept mille hommes qui n'ont pas fléchi le genou devant Baal, et toutes les bouches qui n'ont pas baisé la main pour l'adorer. »
Pharaon parlant à Joseph, lui dit : « Tout mon peuple baisera la main à votre commandement, il recevra vos ordres comme ceux du roi » (Gen.,XLI,40). Lorsque le mot adorer est employé à l'égard de Dieu, il signifie le culte suprême, qui n'est dû qu'à Dieu seul ; on l'appelle culte de Latrie, d'un mot grec qui signifie serviteur, et qui dans l'origine, désignait le respect, les services et tous les devoirs qu'un esclave rend à son maître ; de là on s'est servi de ce terme pour désigner le culte que nous rendons à Dieu.

D : Qu'est-ce qu'adorer Dieu ?
R : Adorer Dieu, c'est s'anéantir en sa présence, et le reconnaître avec respect comme le créateur et le souverain Seigneur de toutes choses.

Enseignement, Le premier commandement de Dieu Cate042aL'adoration consiste à reconnaître le souverain domaine (du mot latin dominus, maître, seigneur) que Dieu a sur toutes choses, à confesser l'entière dépendance où nous sommes à son égard, et à révérer sa suprême majesté : c'est là l'hommage que nous lui devons ; pourrions-nous le lui refuser ? Il est le seul Être existant par Lui-même, le seul puissant devant qui tout ce qui est créé n'est que faiblesse ; qui par sa seule volonté a fait que toutes les créatures ont commencé à exister, et qui, par cette même volonté, les empêche de rentrer dans le néant d'où il les a tirées. Il est le seul grand, le seul saint, le seul parfait, devant qui tout ce qui est créé est vil et abject. Reconnaissons donc le souverain domaine de Dieu ; et, pénétrés pour lui du profond respect, anéantissons-nous en sa présence et confessons que tout honneur et toute gloire appartiennent à Lui seul.
Tout ce qui constitue notre être, le corps et l'âme, dépend de Dieu ; nous devons donc lui rendre hommage par l'une et l'autre partie de nous-mêmes, et joindre, par conséquent, aux sentiments intérieurs d'adoration, des actes extérieurs, tels que les génuflexions, les prostrations, les chants sacrés, etc., qui associent le corps au culte rendu par l'âme.
L'obligation de rendre à Dieu un culte extérieur a été reconnue dans tous les temps et dans tous les pays : on ne trouve point de peuple qui n'ait eu ses sacrifices, ses cérémonies et ses fêtes de religion. Mais le culte extérieur ne doit être que la manifestation du culte intérieur ; autrement, il est faux, hypocrite et menteur, car il exprime des sentiments qu'on n'a pas. En effet, n'est-ce pas tromper et mentir, vouloir même pour ainsi dire, en imposer à Dieu, que de faire des actions qui marquent qu'on est pénétré envers lui des sentiments d'adoration, de soumission et d'amour, et n'avoir aucun de ces sentiments ? Mensonge horrible ! odieuse hypocrisie ! « Dieu est esprit, dit Jésus-Christ, et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité. »
Mais point d'adoration sans amour. « Il n'y a point d'autre culte que l'amour, dit Fénélon après saint Augustin. C'est le règne de Dieu au dedans de nous ; c'est l'adoration en esprit et en vérité ; c'est l'unique fin. Il ne nous a donné de l'amour qu'afin que nous l'aimions. Notre amour pour lui doit être un amour unique, source de tout autre amour, un amour sans bornes, un amour indépendant de tout autre amour. Faites que les hommes pensent de la sorte, tous les doutes sont dissipés, toutes les révoltes du cœur humain sont apaisées, tous les prétextes d'impiété et d'irréligion s'évanouissent. Je ne raisonne point, je ne demande rien à l'homme, je l'abandonne à son amour ; qu'il aime de tout son coeur ce qui est infiniment aimable, et qu'il fasse ce qui lui plaira ; ce qui lui plaira ne pourra être que la plus pure religion. Voilà le culte parfait. » (Lettres sur la religion, § 1)

D : Faites un acte d'adoration.
R : Mon Dieu je vous adore comme mon Créateur et mon souverain Seigneur, et je me soumets entièrement à vous.

A l'exemple des Saints, faisons souvent des actes d'adoration, mais surtout n'y manquons jamais le matin et le soir, et que les paroles que notre bouche prononce ne soient que l'expression des sentiments dont nous sommes pénétrés au fond du cœur :
Mon Dieu, je vous adore, je m'anéantis, je m'humilie devant vous. Maître absolu de la nature, vous êtes mon créateur et mon souverain Seigneur : oui, c'est à vous que je dois l'existence et la vie ; c'est à vous que je dois tout ce que je possède ; agréez l'hommage que je vous fais de ma soumission et de ma dépendance ; mon sort est entre vos mains ; faites de moi ce qu'il vous plaira ; je me soumet entièrement à vous.
Vous ne m'avez créé que pour me rendre heureux ; fissiez vous fondre sur moi tous les maux, vous sauriez les faire servir à mon avantage, et j'y reconnaîtrais la volonté d'un Père infiniment sage, infiniment bon, qui ne se propose en tout que le bonheur de ses enfants.

D : Ne doit-on adorer que Dieu seul ?
R : Oui, on ne doit adorer que Dieu seul, parce que Lui est le créateur et le souverain Seigneur de toutes choses.

L'adoration étant un acte d'anéantissement par lequel nous reconnaissons la grandeur sans bornes, l'excellence de l'Être suprême et l'empire absolu qu'Il exerce sur tout ce qui existe, il est évident que nous ne pouvons adorer que Dieu seul ; adorer une créature, ce serait reconnaître que tout lui appartient, que tout est dans sa dépendance ; ce qui est une absurdité et une monstruosité. On se sert quelquefois, il est vrai, du terme adorer, à l'égard des créatures ; il est dit, par exemple, au livre de la Genèse, qu'Abraham adora le peuple d'Hébron (Gen.,XIII) ; mais alors ce terme ne doit pas être pris dans son sens rigoureux, et il signifie seulement : honorer, révérer, donner des marques d'estime et de respect, etc.

D : Doit-on adorer Jésus-Christ ?
R : Oui, on doit adorer Jésus-Christ, parce que Jésus-Christ est Dieu.

Enseignement, Le premier commandement de Dieu Cate042cJésus-Christ, notre divin Rédempteur, est Dieu ; or, puisque Jésus-Christ est Dieu, il s'ensuit qu'il est le créateur et le souverain Maître de toutes choses, que nous sommes en tout sous sa puissance et son autorité suprêmes ; que notre vie, notre être, tout dépend de Lui : nous devons donc l'adorer, et ce serait méconnaître sa divinité, nous rendre, par conséquent, bien coupables à ses yeux, que de lui refuser le culte suprême, l'honneur souverain qui lui est dû.

D : Peut-on adorer son humanité ?
R : Oui, parce que l'humanité, le corps, le cœur et la chair de Jésus-Christ appartiennent à la personne même du Fils de Dieu.

Jésus-Christ, Dieu et homme tout ensemble, est une Personne divine, et non pas une personne humaine, quoiqu'il ait la nature humaine, tout ce qui est en Jésus-Christ est donc digne d'adoration ; nous pouvons donc adorer son Corps, puisque c'est le corps d'un Dieu ; son Cœur, puisque c'est le cœur d'un Dieu ; sa Chair, puisque c'est la chair d'un Dieu. En rendant ainsi le culte suprême à l'humanité de Jésus-Christ, c'est à la Personne même du Fils de Dieu, à une Personne divine, à Dieu Lui-même que nous le rendons ; d'où il est facile de comprendre que ce culte est parfaitement légitime, et que ce n'est point transporter à la créature ce qui n'appartient qu'au Créateur.
Nous pouvons adorer l'humanité de Jésus-Christ, son corps, par exemple ; et c'est ce que nous faisons dans la célébration des mystères sacrés, et spécialement dans la solennité eucharistique, connue sous le nom de Fête-Dieu, fête du Saint-Sacrement.
Une fête particulière et une confrérie, qui comptent un grand nombre de membres, ont été aussi instituées en l'honneur du sacré-cœur de Jésus-Christ. Pour se faire une juste idée de cette dévotion, il ne faut point perdre de vue ce qui suit.
1°) Le véritable objet de la dévotion au Sacré-Cœur est le Cœur de Jésus-Christ uni hypostatiquement au Verbe divin. Je dis : uni hypostatiquement au Verbe ; car si le Cœur de Jésus n'était pas hypostatiquement uni à la divinité, il ne serait plus adorable du culte de latrie, parce qu'il cesserait d'être le Cœur d'un Dieu ; on pourrait lui rendre un culte, mais inférieur à celui que nous rendons à Dieu, et supérieur à celui que nous rendons aux saints.
2°) Dans l'exercice de la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus, nous ne faisons jamais, nous ne pouvons même jamais faire abstraction de l'âme et de la divinité auxquelles le Cœur de Jésus est uni. En adorant le Cœur de Jésus, nous ne le séparons pas de la Personne de Jésus-Christ ; nous adorons la Personne du Fils de Dieu, laquelle renferme et sa divinité et son humanité tout entière, quoique, dans les hommages que nous lui rendons, notre intention se dirige plus particulièrement sur une des parties de son humanité.
3°) Le Cœur de Jésus que nous adorons est un Cœur vivant, source inépuisable, éternelle d'amour divin puisque son corps adorable, depuis sa sortie du tombeau, est plein de vie et de gloire dans le ciel, et que c'est la Personne divine qui anime ce Cœur adorable.
4°) L'Église a distingué le Cœur de Jésus pour en faire l'objet d'un culte spécial, et la raison en est manifeste : le Cœur étant le siège de l'amour, le Cœur de Jésus est la source de la charité, type éminemment propre à élever l'âme à la pensée de l'amour immense de cet Homme-Dieu pour les hommes.
5°) Ce serait sans doute une erreur grossière, et même une espèce de matérialisme, de considérer le Cœur matériel de Jésus autrement que comme un symbole naturel de l'amour. Il est certain toutefois que notre cœur éprouve des mouvements physiques correspondants aux sentiments de l'âme : il se dilate dans la joie, se resserre dans la tristesse. Aussi, de tout temps, on a symbolisé par le cœur le sentiment de l'amour. Ces expressions : c'est un cœur noble, tendre, aimant, consacrées par le langage de tous les peuples, et qu'on retrouve dans les livres saints pour désigner l'élévation des sentiments et la bonté de l'âme ; ces expressions nous montrent que le genre humain a toujours cru que les pensées et les sentiments retentissent au cœur. C'est donc avec raison que l'Église nous représente le Sacré-Cœur de Jésus comme embrasé de charité pour nous, qu'elle lui attribue le sentiment de l'amour, et qu'elle en fait l'objet d'un culte spécial, afin de rappeler sans cesse à notre souvenir tout ce que ce divin Sauveur a fait pour nous.
Enseignement, Le premier commandement de Dieu Cate042dEn confirmation et comme complément de ce qui vient d'être dit touchant l'adoration due à l'humanité de Jésus-Christ, nous citerons le passage suivant, tiré de la Correspondance de Rome : « On doit honorer l'humanité du Christ in concreto, en tant qu'elle est humanité du Christ, comme unie à la divinité en unité de personne, de la même manière que nous vénérons et adorons le corps de Jésus-Christ, comme corps de l'Homme-Dieu. Mais, selon l'opinion des théologiens les plus autorisés, la pratique d'adresser des prières à la sainte humanité du Christ prise in abstracto, c'est-à-dire abstraction faite de son union avec la divinité, ne serait pas approuvable. Car l'humanité seule, n'ayant pas été notre médiatrice, ne mérite point par elle-même, ne satisfait pas et n'intercède pas par elle-même. La prière suppose que celui auquel elle est adressée peut opérer par lui-même, puisque nous lui demandons de faire quelque chose pour nous. Or, l'Eglise adresse toujours son culte a l'Homme-Dieu. Elle lui décerne ce culte suprême qui n'a de nom dans aucune langue, bien que le mot de latrie ait été fixé pour le désigner. Le culte quelle rend au Fils est le même que celui qu'elle rend au Père. L'incarnation du Verbe ne lui a rien fait perdre de ses attributs essentiels. L'une et l'autre natures, unies hypostatiquement, ont droit à la même adoration. L'Eglise ne sépare jamais, dans son culte public, la divinité de l'humanité de Notre-Seigneur considérée abstractivement. Elle ne prohibe pourtant pas de décerner un culte intérieur et privé à la sainte humanité de Notre-Seigneur. Par exemple, a sa sainte âme, à cause de la plénitude de grâces dont elle a été ornée. Ajoutons même que, sous le rapport pratique, on ne doit pas régulièrement séparer l'humanité de la divinité ; mais on doit décerner au Christ le culte suprême de Latrie qui lui est du a raison de sa dignité » (Correspondance de Rome, édit. du Mans, p. 480-486).
Enfin ajoutons que l'Eglise entend, par union hypostatique, l'union du Verbe avec la nature humaine, union de laquelle il ne résulte qu'une seule Personne.

TRAITS HISTORIQUES
Voici comment saint François de Sales adorait Dieu parfois des nuits entières : « Qui êtes-vous, Seigneur, et qui suis-je ? Ah ! que vous êtes grand, et que je suis peu de chose ! Vous êtes le Créateur de l'univers, et je ne suis qu'une chétive créature ; vous êtes le Maître absolu de toutes choses, et je ne suis qu'un serviteur très indigne ; vous êtes tout, et je ne suis rien ; et pour tout dire en un mot, vous êtes Celui qui est, et moi je suis comme si je n'étais pas. Comment, vous étant ce que vous êtes, et moi ce que je suis, oserai-je paraître devant vous ? ».

C'était dans le Cœur de Jésus que Louis XVI allait déposer les effusions de son âme affligée et les amertumes dont on l'abreuvait. C'est dans ce divin Cœur qu'il puisa ce courage calme, inaltérable, plein de dignité, qu'il fit paraître surtout dans ses derniers moments. Cet infortuné monarque, sans appui, sans conseil, réduit avec sa famille à une espèce de captivité, au milieu de son propre palais, ne trouvait de consolation que dans le Cœur de Jésus, et c'est pour marquer toute la reconnaissance dont il était pénétré pour ce Cœur adorable que, par un vœu dont l'authenticité ne saurait être révoquée en doute, il lui consacra sa personne, sa famille et son royaume, et promit que, s'il recouvrait sa couronne et sa puissance royale, il prendrait les mesures nécessaires pour établir une fête solennelle en l'honneur du Sacré-Cœur de Jésus, laquelle serait célébrée à perpétuité dans toute l'étendue de son royaume. Il n'était pas dans les desseins de Dieu que ce prince pût exécuter ses promesses et confirmer son offrande : un autre sacrifice était exigé de lui ; il ne devait pas recouvrer sa couronne : une autre couronne lui était réservée. Mais le Ciel, qui agréa son martyre, n'avait pas rejeté son vœu. Le vœu de Louis XVI a été porté par nos anges tutélaires et nos saints patrons au pied du trône du Roi des rois. La consécration de la France au Sacré Cœur de Jésus est écrite dans le ciel.

http://www.fatima.be/fr/sanctus/prieres/cate42.php

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Quand ils diront : « Paix et sécurité ! », alors une destruction subite sera sur eux...1 Thessaloniciens 5:3
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