Le Sommet de Biden sur la Démocratie Attaque les Blancs et les Catholiques.

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Le Sommet de Biden sur la Démocratie Attaque les Blancs et les Catholiques
By Alexis I. Fragosa, Esq. | December 10, 2021
WASHINGTON, D.C., 10 Décembre (C-Fam)

Une responsable américaine a déclaré cette semaine qu’elle souhaitait voir la fin de l’agenda “blanc”.
La militante LGBT Jessica Stern l’a dit lors du Sommet pour la démocratie, convoqué cette semaine par le gouvernement
américain. Stern n’a pas expliqué ce qu’elle entendait par «l’agenda blanc».

La table ronde, coparrainée par le Département d’État des États-Unis et un événement parallèle spécial au Sommet
du président Biden pour la démocratie, a été animée par Stern, l’envoyé spécial des États-Unis pour faire progresser
les droits humains des LGBTQI+. Le panel comprenait des responsables gouvernementaux et des militants homosexuels
et transgenres, « promouvant les droits humains des personnes LGBTQI+ comme pierre angulaire de notre engagement
envers la démocratie ».

“J’ai une liste de Noël de quelques souhaits pour nous aider en cours de route”, a déclaré la militante transgenre Phylesha
Brown-Acton. “Commencer par mettre fin aux agendas religieux racistes et conservateurs traditionalistes blancs qui se
surpassent dans toutes les régions du monde qui alimentent la violence et menacent la démocratie.”

“Nous voulons tous voir tous ces souhaits pour vous et pour nous tous”, a déclaré Stern, “C’était fantastique.”

La table ronde, décrite comme “une partie vitale du Sommet du président pour la démocratie” par le secrétaire américain
aux Transports Pete Buttigieg, a non seulement promu ce qui pourrait être interprété comme des commentaires racistes,
mais a également attaqué l’Église catholique.

“Maintenant, en ce qui concerne LGBTQI +, l’église catholique, ou l’église en général, mais surtout l’église catholique, est très rigide”,
a déclaré Esther Muthoni Rosanna Passaris, une parlementaire de Nairobi, au Kenya, qui a rejoint Catholics for Choice
pour défendre les LGBT et droit à l’avortement.

Le Sommet du président Biden pour la démocratie, qui se tiendra en deux parties, a réuni plus d’une centaine de pays,
la société civile et le secteur privé pour élaborer un programme “pour lutter contre les plus grandes menaces pour les démocraties”.
Le premier sommet se concentre sur trois thèmes : l’autoritarisme, la corruption et les droits de l’homme.

Les pays participants venaient d’Afrique, d’Amérique du Sud, d’Amérique du Nord, d’Asie et d’Europe.
La Hongrie était le seul membre de l’Union européenne à ne pas avoir été invité à participer au sommet de Biden.
Au cours de sa campagne présidentielle, Biden a décrit la Hongrie comme un “régime totalitaire”.

“Ce n’est pas un hasard si certains des mêmes endroits où la démocratie semble reculer sont ceux où l’égalité LGBTQ+
semble être la plus fragile”, a déclaré Buttigieg lors de la table ronde.

“Les personnes LGBTQ sont souvent obligées de rester dans le placard par peur de la violence”, a déclaré le panéliste
Tamás Dombos de l’Alliance LGBT hongroise. Dombos a qualifié les récents efforts de la Hongrie pour restreindre la diffusion
d’informations concernant l’homosexualité et la chirurgie de changement de sexe parmi les mineurs de “campagne
de haine coordonnée à motivation politique contre les LGBTQI”.

En réponse à leur exclusion du sommet, la Hongrie a empêché l’UE de participer officiellement au sommet.
Parce que la Hongrie n’est pas invitée, il ne peut y avoir de position commune de l’UE, a déclaré le ministre hongrois
Gergely Gulyás, citant la règle de l’unanimité de l’UE sur les affaires étrangères.

Le Guatemala, qui a récemment adhéré à la Déclaration de consensus pro-vie de Genève, n’a pas non plus été invité.
Hier, lors d’une réunion avec des dirigeants pro-vie à l’hôtel Willard près de la Maison Blanche, le président guatémaltèque
Alejandro Giammattei a déclaré qu’il préférerait être avec des pro-vie au Willard plutôt qu’avec Biden à la Maison Blanche.

Au cours de la table ronde, Buttgieg a annoncé le lancement du Global LGBTQI+ Inclusive and Democracy Empowerment Fund
(GLIDE), une initiative du Département d’État américain et du Bureau de la démocratie, des droits de l’homme et du travail (DRL).
Le Fonds GLIDE fournira des ressources aux organisations de la société civile et aux défenseurs des droits de l’homme du
monde entier pour engager des dirigeants politiques, gouvernementaux et communautaires de soutien dans le but
de « réduire l’intolérance » envers les personnes LGBTQI+.

https://c-fam.org/friday_fax/le-sommet-de-biden-sur-la-democratie-attaque-les-blancs-et-les-catholiques/

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