DANGERS DU MASQUAGE UNIVERSEL - RÉPONSES DE SANTÉ CANADA
Dans l'état actuel des choses, les canadiens ont été contraints de participer à une expérience humaine de masse avec des masques obligatoires, sans leur consentement. Mais quelqu'un a-t-il pensé aux effets nocifs potentiels à long terme?
Nous avons appelé la Division des produits pour les instruments médicaux de Santé Canada pour clarifier la question. Il semblerait que le gouvernement ne soit pas non plus très clair sur la question. Disons simplement qu'ils sont aussi confus que nous en ce qui concerne les impacts négatifs potentiels à long terme des masques.
Pourquoi? Essentiellement, leur position était que les masques ne présentent aucun risque pour la santé car nous n'avons aucune donnée à cet effet. Cela semble irresponsable car il n'y a pas de données par le fait que nous n'avons jamais mandaté le masquage universel dans un cadre communautaire. Et c’est ainsi que nous sommes devenus les sujets d'expérience sociale sans précédent.
En examinant la question plus en profondeur, nous avons découvert des études qui montrent que les masques peuvent provoquer une hypercapnie, une accumulation de dioxyde de carbone dans la circulation sanguine. L'hypercapnie, à son tour, peut entraîner des problèmes de santé, notamment des effets sur le cerveau, le cœur, les poumons et le système immunitaire. Les masques peuvent également empêcher des niveaux d'oxygène adéquats par l'hypoxie, un risque pour la santé qui peut provoquer ou entraîner, entre autres problèmes de santé, le cancer. (1)
Bien sûr, les «démystificateurs» des médias sociaux et grand public ont brutalement critiqué les préoccupations légitimes concernant l'utilisation des masques à long terme, mais ont-ils réellement étudié la science?
« La Dre Margarite Friesz-Brisson, neurologue et neurophysiologiste, dit ceci à propos de l’imposition de masques aux enfants: « L’enfant a besoin du cerveau pour apprendre et le cerveau a besoin d’oxygène pour fonctionner. Nous n’avons pas besoin d’une étude clinique pour cela. C’est une physiologie simple et incontestable. » Elle met en garde contre un « tsunami de démence » dans le futur, en raison de la privation d’oxygène due au port de masques aujourd'hui. Elle souligne une physiologie reconnue depuis longtemps que la ré-inhalation de notre air expiré crée un état de carence en oxygène et un excès de dioxyde de carbone.
La normalisation est un phénomène observé en médecine dans lequel l'individu s'adapte à des conditions défavorables. Les porteurs de masques peuvent croire qu'ils se sont habitués à porter un masque. Cependant, les effets des processus dégénératifs dans le cerveau s'accumulent pendant un état de privation d'oxygène. » (1)
Les matériaux et produits chimiques utilisés pour fabriquer les masques présentent aussi possiblement un danger pour les porteurs de masques.
« Le matériel le plus couramment utilisé pour les fabriquer [les masques] est le polypropylène, d'une densité de 20 ou 25 grammes par mètre carré (g / m2). Les masques peuvent également être en polystyrène, polycarbonate, polyéthylène ou polyester. » (2)
Alors que le composé de polypropylène est considéré comme un plastique plus sûr (bien que des recherches récentes indiquent la présence d'une certaine toxicité) non connu pour provoquer le cancer, le polyéthylène, en revanche, est un cancérigène connu. Il en va de même pour le polystyrène, le principal ingrédient de la mousse de polystyrène.
Du Children's Environmental Health Network:
« La mousse de polystyrène expansé, communément appelée polystyrène, est un type de polystyrène (plastique dur) composé de produits chimiques nocifs. Le polystyrène est utilisé dans la fabrication d'une large gamme de produits, des gobelets et récipients jetables aux matériaux isolants dans les logements.
Les enfants sont souvent plus vulnérables aux produits chimiques toxiques et aux polluants en raison de certains comportements, tels que ramper au sol ou mettre des choses dans leur bouche. Leur corps est également encore en développement, de sorte que leur capacité à se défendre contre les produits chimiques toxiques ou à les décomposer est plus faible. Nous devons donc minimiser l'utilisation de produits contenant des produits chimiques nocifs, comme le polystyrène expansé, en particulier autour des enfants. » (3)
L'Organisation mondiale de la santé, dans la mesure où on peut leur faire confiance, a classé le styrène comme cancérigène. Alors, pourquoi font-ils la promotion de masques s'ils peuvent en contenir? (4)
Du National Library of Medicine:
« ... Par conséquent, sur la base d'études sur le cancer chez les animaux et sur l'homme et sur les résultats génotoxiques, y compris la clastogénicité et les dommages à l'ADN chez les travailleurs, ainsi que sur d'autres résultats mécanistes favorables et biologiquement plausibles, le styrène et l'oxyde de styrène-7,8 devraient être considérés comme présentant des risques cancérogènes pour l'homme, en particulier pour les cancers lymphatiques / hématopoïétiques. » (5)
En ce qui concerne le polycarbonate, le centre médical de l'Université de Rochester écrit:
« Le plastique polycarbonate est durable, résistant aux chocs et transparent. Cela en fait un matériau idéal pour les biberons, les bouteilles d'eau rechargeables, les gobelets et de nombreux autres récipients pour aliments et boissons. On le trouve également dans les verres de lunettes, les disques compacts, les scellants dentaires et la vaisselle en plastique. Et, en tant que résine, il forme le revêtement protecteur pour les boîtes de conserve et de boissons en métal.
Mais la recherche a soulevé des inquiétudes quant aux effets sur la santé d'un produit chimique utilisé dans la fabrication du polycarbonate - bisphénol A (BPA). Certaines études ont montré que le BPA peut laisser échapper des traces du produit dans les contenants en polycarbonate et des revêtements en résine dans les aliments et les boissons. Lors d'essais sur des animaux de laboratoire, le BPA semble copier ou perturber l'hormone œstrogène et affecter le système reproducteur. Cela pourrait éventuellement augmenter le risque de cancer.
Les bébés et les jeunes enfants courent le plus grand risque parce qu'ils mangent et boivent plus que les adultes, livre pour livre. De cette façon, ils ont une plus grande exposition au BPA, dit le National Institute of Environmental Health Sciences (NIEHS). En raison de ce risque, la FDA a interdit l'utilisation du BPA dans les biberons et les gobelets et prend des mesures pour réduire l'exposition humaine au BPA. En 2009, les 6 plus grands fabricants de biberons ont promis de cesser de vendre des versions en polycarbonate aux États-Unis » (6)
Ajoutant à la complexité du problème, le BPA a également soulevé des inquiétudes parmi les experts de la santé et les militants activistes. Savoir si un plastique utilisé dans la fabrication d'un produit est fabriqué avec du BPA pourrait être difficile, voire futile pour les consommateurs. Comme pour tout produit chimique, le degré d'exposition doit être pris en compte. La FDA affirme que de petites quantités de BPA sont sans danger pour les humains, mais il est à craindre que cela n'affecte le cerveau (y compris en provoquant des troubles d'apprentissage), l'immunité, les problèmes de reproduction et d'autres troubles et maladies de santé.
Pourquoi les responsables de la santé publique prennent ce risque avec la santé publique mérite un examen et une certaine inquiétude. Doit-on appliquer le principe de précaution pour le Covid mais pas pour les masques et leurs effets nocifs potentiels, en particulier sur les enfants?
1.
https://pdmj.org/.../masks_false_safety_and_real_dangers.../2.
https://www.thomasnet.com/.../how-surgical-masks-are-made/3.
https://cehn.org/our-work/eco-healthy-child-care/ehcc-faqs/4.
https://www.sciencedaily.com/rel.../2018/05/180530113105.htm5.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3165940/6.
https://www.urmc.rochester.edu/encyclopedia/content.aspx...Fearless Canada
Céline
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